52 - Je suis non interventionniste dans les décisions des autres.
Je laisse les autres vivre ce qu'ils ont à vivre avec leurs propres décisions,
quelque soit leurs niveaux de "conscience",
ce qui leurs permet d'assumer au mieux leurs décisions, et de changer s'ils veulent changer,
en constatant les conséquences de leurs comportements et actions.
Mais ils peuvent aussi, toujours accuser les autres de leurs malheurs et de leurs souffrances.
En général on n'assume pas les décisions induites, ou prises par les autres pour nous même;
car si cela ne fonctionne pas, on accusera les autres de nous avoir donné un mauvais conseil.
S'il s'agit de ses propres décisions, on est face aux conséquences de nos propres décisions.
Et si on le souhaite, on peut demander un accompagnement à une autre personne (c'est de notre décision).
Je répond à des demandes (si je le peux) si c'est la décision d'une personne,
je ne porte pas les personnes avec mes décisions,
se sont les personnes qui prennent leurs décisions.
Et si j'évoque un partage d'expérience, chaque expérience est différente;
et je ne dis pas aux autres ce qu'ils doivent faire.
Il n'y a qu'eux qui peuvent prendre des décisions pour leurs vies et les assumer;
comme je prend mes décisions pour ma vie, et je les assume.
Je suis non interventionniste parce que je suis convaincu que c'est le plus efficace pour le bonheur et l'évolution des êtres;
ce qui ne veut pas dire que je ne prend pas de décisions, que je n'agis pas;
je prends des décisions et j'agis suite aux 'intuitions' qui émanent de ma 'conscience';
par exemple en m'améliorant moi même, en écrivant; et mes actions sont plus des interpellations pour les autres, pour qu'ils décident avec leurs niveaux de 'conscience'.
Parceque je crois que seuls les personnes peuvent se changer, en prenant leurs propres décisions, qu'elles se sentent prêtes à assumer;
et évoluer si les conséquences de leurs comportements ou actions ne leur conviennent plus;
pour des nouveaux comportements et actions qui les rendra plus heureux,
ainsi que leur environnement, car nos bonheurs sont interdépendants.