Le Journal

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Le Journal évoque pour des jours donnés, des 'intuitions':

 

22 décembre 2024 - Je crois que c'est en faisant face à la réalité que l'on est le plus heureux.

Si on ne veut pas faire face à la réalité, parce que la réalité nous fait souffrir;

je crois que c'est en faisant face à la réalité que l'on souffre le moins, que l'on dépasse ses souffrances, et que l'on évolue vers plus de bonheur pour tous.

Si on ne veut pas faire face à la réalité, et que l'on se sente obligé de jouer un rôle pour paraître plus beau, pour être aimé, en masquant ce que l'on est réellement, profondément; je suis convaincu que cela va engendrer encore plus de souffrances pour tous.

Et si, en étant nous même, les autres ne nous aiment pas, en réalité c'est une bonne nouvelle s'ils ne veulent pas vivre avec nous.

Et même si personne ne veut vivre avec nous, je crois qu'il faut continuer d'être ce que l'on est réellement, profondément; et 'd'aimer' les autres pour ce qu'ils sont réellement, profondément, malgré les masques qu'ils se mettent parfois.

 

22 décembre 2024 – Nous vivons dans un monde majoritairement égotique (où les personnes fonctionnent majoritairement avec leur mental et leurs attachements qui déclenchent des comportements automatiques).

Nous vivons dans un monde majoritairement égotique où plus de 90% des personnes fonctionnent plus de 90% de leurs temps avec leur mental et leurs comportements automatiques, et pas en pleine 'conscience'.

Ce qui veut dire que dans nos relations, nous sommes la plupart du temps avec des personnes qui fonctionnent avec leur mental et leurs comportements automatiques (avec leur ego), et pas en pleine 'conscience' (avec leur 'conscience').

Et, dans nos relations amoureuses, il y a de grandes chances que les autres nous aiment avec leurs mental et leurs comportements automatiques (de manière égotique) pour les plaisirs que nous leur procurons, ou pour nous utiliser.

Mais, même si les personnes qui fonctionnent principalement en pleine 'conscience' sont rares; une partie des personnes qui fonctionnent majoritairement de manière égotique ont parfois des moments de pleine 'conscience' (émergence de leurs 'consciences).

Si nous souhaitons être 'aimé' pour ce que nous sommes, sans attachements (qui déclenchent des comportements automatiques) sans que l'autre n'attende rien en retour (comportement en pleine 'conscience' de la 'conscience'); nous risquons d'être déçu si nous constatons que l'autre nous aime pour les plaisirs que nous lui procurons, et nous utilise (comportement égotique de son ego).

Mais gardons l'espoir, il y a chez certaines personnes, de temps en temps, au milieu de cet océan de comportements égotiques, des émanations 'd'amour' en pleine 'conscience' pour ce que nous sommes, pour notre bonheur, sans rien attendre en retour.

Si nous sommes de temps en temps ou régulièrement en pleine 'conscience'; et que nous souhaitons être 'aimé' pour ce que nous sommes, sans que l'autre n'attende rien en retour (expression en pleine 'conscience' de la 'conscience' de l'autre); et que nous rencontrons une personne A qui fonctionne régulièrement en pleine 'conscience; et que nous souhaitons vivre avec cette autre personne A; cela ne veut pas dire que cette autre personne A va décider de vivre avec nous; elle va peut être décider (c'est son libre choix) de vivre avec une autre personne X, qui est régulièrement en pleine 'conscience'.

Mais, même si cette autre personne A est régulièrement en pleine 'conscience'; elle a quand même des attachements, et elle peut aimer (de manière égotique) une personne Y qui fonctionne majoritairement de manière égotique; parce que le mental et les attachement de la personne A lui font aimer de manière égotique cette personne Y, et que la personne A décide de vivre avec cette personne Y égotique.

Et même si une personne fonctionne régulièrement en pleine 'conscience'; rien ne l'empêche de vivre avec quelqu'un qui lui procure, sans attachement, des plaisirs matériels.

 

21 décembre 2024 –' L'amour' des autres pour de ce que nous sommes, pour notre bien-être, sans rien attendre en retour, peut nous éveiller à notre 'conscience'.

Parfois on souhaite que les autres (surtout les êtres que l'on 'aime') nous 'aiment' pour ce que nous sommes, pour notre bien-être, sans rien attendre en retour; mais on constate parfois qu'ils nous aiment pour les plaisirs que nous leurs procurons ou pour nous utiliser. Alors cela peut engendrer en nous même des souffrances; et nous pouvons parfois nous enfermer en nous même, en vouloir aux autres, ne plus vouloir les écouter, pour ne plus souffrir. Mais ce n'est qu'une fuite, pour ne pas faire face à cette réalité.

Lorsque nous nous rendons compte que les autres ne savent pas, donc ne peuvent pas, nous 'aimer' pour ce que nous sommes, pour notre bien-être, sans rien attendre en retour; nous ne pouvons plus leur en vouloir, les rejeter, ne plus vouloir les écouter; alors nous continuons d'écouter les autres, 'd'aimer' les autres, pour ce qu'ils sont, pour leurs bien-êtres, sans rien attendre en retour; même s'ils nous aiment pour les plaisirs que nous leur procurons ou pour nous utiliser; et peut être que notre 'amour' pour ce qu'ils sont, pour leurs bien-êtres, sans rien attendre en retour, éveillera leur 'conscience' et leur 'amour' pour ce que les autres sont, pour leurs bien-êtres, sans rien attendre en retour ?

 

19 décembre 2024 - Nos comportements d'attirances automatiques aux relations sexuelles ?

Lorsque l'on voit une personne qui nous plaît, et que cela déclenche en nous l'envie d'avoir une relation sexuelle avec elle, c'est peut être parce que nous avons un attachement aux relations sexuelles ?

Si c'est un attachement, on peut observer ce qui déclenche cet attachement.

Si l'effet de l'attachement est l'envie d'avoir une relation sexuelle avec une personne; les déclencheurs de l'attachement peuvent être :

L'aspect physique de cette personne ?

Les attitudes excitantes de cette personne ?

Les paroles de cette personne ?

Le toucher, les contacts avec cette personne ?

Le fait que l'on se comprenne avec cette personne ?

Les connexions 'subtiles' avec cette personne ?

Les émanations 'subtiles de séduction de cette personne ?

etc...

 

Pour déconnecter un attachement (ce qui déconnecte le déclenchement automatique des effets de l'attachement, lorsque les déclencheurs de l'attachement sont présents); on peut re traverser en pleine 'conscience' l'événement origine qui a inscrit cet attachement.

Je rappelle qu'un attachement a un événement origine, qui est renforcé ensuite par une suite d'événements similaires;

 

Donc, on peut se poser la question: Quel événement a pu inscrire cet attachement ?

 

Alors, peut venir à notre 'conscience' une personne dont nous étions amoureux dans le passé: Elle était belle, émanait d'elle du charme, de la séduction, et nous avions envie d'avoir une relation sexuelle avec elle. Alors on re traverse en pleine 'conscience' cette ancienne situation: on observe en pleine 'conscience' l'aspect de la personne, ses paroles, ses attitudes, ses émanations; et nos sensations, nos sentiments, nos pensées.

 

Puis on se pose la question: Existe t'il des situations similaires plus anciennes? (pour savoir si on a bien atteint l'événement origine qui a inscrit l'attachement, ou simplement un événement renforçant l'attachement).

Si on re trouve d'autres situations similaires antérieures; alors on retraverse en pleine 'conscience' la  situation la plus ancienne trouvée, avec ce qui était présent: On observe en pleine 'conscience' la situation, l'autre, son aspect, ses paroles, ses attitudes, ses émanations; et nos sensations, nos sentiments, nos pensées.


Donc, un attachement a un événement origine, qui est renforcé ensuite par une suite d'événements similaires; mais cette suite d'événements peuvent être dans cette vie incarnée, ou dans certaines de nos vies antérieures ? (ce n'est qu'une croyance; et bien sûr chacun est libre d'avoir les croyances qu'il veut).

Donc, après avoir re traversé en pleine 'conscience' une ancienne situation dans cette vie; on se repose la question de savoir si il existe encore d'autres situations similaires ?

Peut alors émerger une situation dans une de nos vies humaines antérieure; alors on retraverse en pleine 'conscience' cette ancienne situation: Ce qui était présent, les comportements de l'autre, nos comportements.

 

Pour certains on peut s’arrêter là. Et peut être que cela suffit pour leur permettre de prendre plus de distance, d'avoir plus de compréhension et de maîtrise, de leurs comportements automatiques de vouloir avoir des relations sexuelles, si l'autre émet des déclencheurs de leur attachement aux relations sexuelles.

 

Avec la suite, je vais être prudent;

mais je vais quand même évoquer une autre possibilité, où les consciences (les âmes) peuvent se réincarner dans des corps d'être humains; mais on peut aussi envisager que de manière encore plus ancienne, notre 'conscience' se soit incarnée dans des corps d'animaux; et que de manière encore plus ancienne, que notre 'conscience' ai pu s'incarner dans des êtres mono ou multi cellulaires ?

Là, on dépasse peut être les croyances de certains; mais je ne souhaite choquer personne, je ne fais que d'exprimer des possibilités.

 

Je continue le voyage dans les vies antérieures.

Peuvent donc venir à notre 'conscience' une vie antérieure animale; et on retraverse en pleine 'conscience' une ancienne situation: Par exemple un animal nous plaisait, et on avait envie d'avoir une relation sexuelle avec lui; et on retraverse en pleine 'conscience': Les comportements et émanations de l'autre; et nos sensations, nos sentiments, nos pensées.

 

Puis, pour faire court, pour retrouver l'événement origine, on peut se poser la question: Quand sont apparues les premières relations sexuées ?

Les premières relations sexuées sont apparue il y a environs 1 milliard d'années (ou plus), avec l'apparition des eucaryotes: organismes unicellulaires ou multicellulaires.

Comme avec l'homme, le matériel génétique cellulaire des eucaryotes est contenu dans un noyau; cette évolution permet une complexification des fonctions cellulaires, favorisant l'évolution des êtres.

Mais si les eucaryotes ont un comportement de reproduction sexuée;

Est ce que ce comportement vient d'un attachement, d'un comportement automatique inscrit en eux ?

Et si cela provient d'un attachement; quels déclencheurs déclenchent ce comportement automatique de vouloir avoir une relation sexuelle avec un autre eucaryote ?

Pour le savoir, peut être retraverser en pleine 'conscience' cet événement origine, où notre 'conscience' était incarnée dans un eucaryote ?

Et peut être alors, cela nous permettra t'il de prendre de la distance ou se libérer de notre comportement automatique de vouloir avoir une relation sexuelle, si l'autre émet des déclencheurs, comme par exemple : Des odeurs, des molécules, des sons, des mouvements, un rayonnement, une communication 'subtile' d'attirance... ?

 

Et si on a pris de la distance, et déconnecté notre attachement aux relations sexuelles; on peut être attiré par une personne, et avoir envie d'avoir une relation sexuelle avec elle, mais sans attachement. Alors, si cette personne est d'accord pour avoir une relation sexuelle avec nous tant mieux; sinon, si la personne ne veut pas avoir de relations sexuelles avec nous (si nous avons déconnecté cet attachement) on souffrira moins (ou pas)?

 

Et peut être alors, que l'envie d'avoir une relation sexuelle avec une personne, sera engendrée parce qu'on aime la personne de manière libre et ouverte (sans attachement), pour ce qu'elle est temporairement (son corps, son mental), et profondément, durablement (sa 'conscience)?

 

Merci de votre attention; et de votre tolérance à ces possibilités?

 

19 décembre 2024 - Les frustrations, les souffrances, les dépressions.

Parfois on est frustré, on souffre, voire on tombe en dépression parce que notre ego (notre mental et nos attachements) veut quelque chose; mais la réalité est différente de ce que notre ego veut.

Par exemple :

- On veut qu'une personne nous 'aime' de manière libre et ouverte (pour ce que l'on est, pour notre bonheur, sans rien attendre en retour); mais la personne nous aime pour les plaisirs qu'on lui apporte.

- Notre ego est amoureux d'une personne, et notre ego veut que cette personne soit amoureuse de nous; mais cette personne n'est pas amoureuse de nous.

- Notre ego veut sortir avec une personne; mais cette personne n'a pas envie de sortir avec nous.

 

Dans ces cas notre ego est souvent centré sur ce qu'il veut, sur ses désirs, sur ses attentes, sur ses exigences.

 

Pour sortir de cet enfermement, dans ce que notre ego veut, dans les désirs de notre ego, dans les attentes de notre ego, dans les exigences de notre ego; on peut être en pleine 'conscience' de ce que les autres souhaitent; et de nos comportements, sensations, sentiments, pensées; ouvert à la réalité de ce que notre 'conscience' observe:

par exemple :

- Une personne ne sais pas, et ne peux pas nous 'aimer' de manière libre et ouverte, parce que qu'elle ne sait qu'aimer pour les plaisir que les autres lui procurent; parce qu'elle ne sait pas ce que c'est que 'd'aimer' les autres de manière libre et ouverte, pour ce que les autres sont, pour leurs bonheurs, sans rien attendre en retour.

- Les attachements d'une personne (ses comportements automatiques) sont en réaction de perturbation avec nos attachements (nos comportements automatiques).

- Une personne a envie d'être avec une autre personne que nous.

 

En observant en pleine 'conscience' nos comportements (dont nos comportements automatiques, nos attachements et leurs événements origines), nos sensations, nos sentiments, nos pensées, la réalité, on prend du recul par rapport à nos comportements, à nos frustrations, à nos souffrances, à nos dépressions, à la réalité;

et on peut plus facilement laisser émerger de nos 'consciences' des 'intuitions' qui nous aideront à trouver un autre positionnement plus harmonieux pour tous par rapport aux situations qui nous font souffrir, et d'agir pour notre bien être et celui des autres.

 

18 décembre 2024 - Puissions nous être avec les êtres avec lesquels on a envie d'être, et qui ont aussi envie d'être avec nous.

Plusieurs possibilités:

- Puissions nous être relâché en pleine 'conscience' dans l'amour libre et ouvert, et échanger avec les êtres que l'on 'aime' de manière libre et ouverte, et qui ont envie d'être avec nous et qui nous 'aiment' de manière libre et ouverte.

- Puissions nous être et échanger, avec les êtres avec lesquels on a envie d'être et que l'on 'aime', et qui ont aussi envie d'être avec nous, d'échanger avec nous, et qui nous 'aiment'.

- Puissions nous être et échanger avec des êtres avec lesquels nous avons envie d'être et d'échanger, et qui ont aussi envie d'être avec nous et d'échanger avec nous.

- Si des êtres ne souhaitent pas être ou échanger avec nous; puissent ils être avec des personnes avec lesquelles ils ont envie d'être et d'échanger; et que ces personne aient aussi envie d'être avec eux et d'échanger avec eux.

 

16 décembre 2024 - Les messages 'subtils'.

Lorsque l'on observe sa respiration en pleine 'conscience', relâché,

peuvent émerger des 'intuitions' de notre 'conscience'.

Mais ces 'intuitions';

Est ce qu'elles sont issues de notre 'conscience' isolée ?

Est ce qu'elles proviennent d'une réponse à une question 'subtile' que nous avons  envoyé dans l'espace 'subtil ?

Est ce un message 'subtil' que nous ’envoie une ou des 'consciences' ?

Est ce un message de 'ce qui est' qui s'expriment au travers de notre 'conscience' ?

 

13 décembre 2024 - Notre avis ?

Sommes nous uniquement un corps matériel qui va disparaître ?

ou avons nous une 'conscience' (une âme) qui nous survit après la mort de notre corps matériel ?

Nos 'consciences' ont elles émergé de 'ce qui est' illimité dans le temps et l'espace ?

Nos 'consciences' évoluent elles vers plus d'amour entre les êtres, et plus de bien être pour tous?

 

12 décembre 2024 - Les causes des dépressions ?

Un partage d'expérience, ce n'est qu'un partage d'expérience; et pas une certitude que les autres doivent appliquer sans réfléchir, sans prise en responsabilité en fonction de ce qu'ils sont.

Ce que je crois, en ce qui me concerne; c'est que je voulais que cela soit comme je le voulais, mais que les autres voulaient autre chose.

 

12 décembre 2024 - Le libre choix d'aimer.

Lorsque l'on aime une personne, on a envie de la voir, d'être près d'elle;

mais si cette personne n'a pas envie de nous voir, c'est son libre choix;

et si on 'aime' cette personne de manière libre et ouverte (sans conditions) on accepte alors ses décisions de vivre ce qu'elle a décidé de vivre.

 

12 décembre 2024 - Les égoïsmes conduisent à la souffrance, 'l'amour' au bonheur.

Si on est égoïste; que l'on se focalise sur ses plaisirs de court terme; on n'est pas attentif aux autres; et ce manque d'attention aux autres engendre des souffrances.

Si ensemble on s'intéresse aux bonheurs des autres; si ensemble on 'aime' les autres; on trouve ensemble des solutions harmonieuses pour le bonheur de tous.

 

11 décembre 2024 - Être soi.

Être soi, c'est ne pas forcer; c'est accepter 'ce que l'on est' profondément, durablement; c'est parfois sentir la pression des autres mais sans être enchaîné; c'est se libérer de ses chaînes, de ses attachements, de ses certitudes et exigences mentales; c'est peut être aussi, parfois, souffrir de ne pas être compris pour 'ce que l'on est' profondément, durablement; mais continuer 'd'aimer'.

Etre soi 14 dec 2024

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Si Etre soi c'est reconnaître, et être 'ce que l'on est' de manière profonde, durable: sa 'conscience';

c'est peut être aussi, ne pas croire que l'on est que son ego (appelé aussi le faux soi): son corps, son mental et ses attachements, qui ne sont peut être que des éléments superficiels et temporaires?

 

10 décembre 2024 – L'unité de l'ego et de la 'conscience'; l'ego et la 'conscience' peuvent fonctionner en harmonie.

A chaque matière est associée une 'conscience'.

A chaque sensation matérielle est associée une sensation 'subtile'.

A chaque sentiment matériel est associé un sentiment 'subtil'.

A chaque pensée matérielle est associée une pensée 'subtile'.

A chaque attachement matériel est associé un attachement 'subtil'.

 

Chez certains êtres, l'ego (le corps + le mental + les attachements) et la 'conscience' sont en confits, en opposition; et une partie a la volonté de contrôler, de commander, que tout soit comme elle le veut; alors c'est la guerre, et tout le monde souffre.

 

Mais l'ego et la 'conscience' peuvent fonctionner en harmonie pour le bien être de tout 'ce qui est'; parce que tout 'ce qui est' est unité; ce n'est qu'une question de perception en fonction de son niveau de 'conscience'.

Dans cette unité, il y a un amour réciproque inconditionnel; une écoute réciproque; des échanges réciproques; un respect réciproque; une reconnaissance des capacités et complémentarités réciproques; une acceptation réciproque de ce que l'autre est.

Pour que l'harmonie fonctionne il est donc nécessaire que personne ne veuille prendre le 'contrôle sur l'autre; mais accepte ce qui émerge dans l'amour, l'échange, l'harmonie du bien être de tous.

Dans ce contexte, l'ego va devenir en harmonie et en unité avec la 'conscience'; vide de réflexions mondaines, vide d'interprétations dans le pouvoir, vide d'exigences, vide de jugements, vide d'attachements perturbateurs; au mieux de ses capacités, dans l'harmonie et l'unité de l'amour inconditionnel avec 'ce qui est'.

Mais si on aime les 'consciences'; cela ne veut pas dire que l'on est d'accord avec tous les comportements des egos.

 

8 décembre 2024 – Qu'est ce qui anime nos relations ?

- 'L'amour' inconditionnel réciproque, en pleine 'conscience', pour le bonheur de tous ?

- Nos attachements égoïstes réciproques: Comme des discussions ou activités mondaines, l'utilisation de l'autre comme source de plaisirs ou d'arrivisme par rapport à ce que l'on veut ?

- Autre ?

 

5 décembre 2024 – A chaque instant,  respiration, relâché, en pleine 'conscience'?

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Peut être que la pleine 'conscience', 'l'amour' inconditionnel, peut nous conduire dans la confiance en 'ce qui est' ?

 

3 décembre 2024 – L'autre n'est pas qu'un objet de plaisirs (sexuels, de distractions...)

Ce qu'est réellement, profondément, durablement l'autre, ce n'est pas son corps physique, ses attachements, son mental avec ses certitudes, ses interprétations, qui génèrent en moi des plaisirs auxquels je me suis peut être attaché.

Ce qu'est réellement, profondément, durablement l'autre, c'est sa 'conscience'.

'J'aime' la 'conscience de l'autre: Son amour pour les autres, son altruisme, son relâchement, la profondeur de son niveau de 'conscience', sans attachements, pour le bien être et l'évolution de tous, sans rien attendre en retour.

 

30 novembre 2024 – Différentes inscriptions d'attachements.

Un attachement peut s'inscrire suite a un choc physique, psychologique, 'subtil' ou autre, violent dans notre passé;

mais un attachement peut aussi s'inscrire suite à des désagréments moins violents mais répétitifs, ou suite à des plaisirs répétés:

Attachement à des désagréments répétés.

Au début on a un désagrément, ce qui génère une souffrance.

Puis ces désagréments reviennent; et au bout d'un certain nombre de répétions de ces désagréments, on s'énerve, on trouve cela injuste, on en a vraiment marre; et on se rajoute tout seul des souffrances par nos pensées, par nos énervements générés par ces répétitions.

Le signe que l'on a un attachement à des souffrances répétées; se sont ces souffrances que l'on se rajoute après un désagrément répétitif.

Pour désactiver un attachement à des désagréments répétés:

On commence par observer en pleine 'conscience' notre comportement d'énervement lorsqu'un désagrément répétitif reviens;

puis on recherche en pleine 'conscience' le moment origine de ces désagréments;

puis on observe en pleine 'conscience' les situations de répétitions de ces désagréments;

puis on observe en pleine 'conscience' les moments où l'on a commencé à rajouter de l'énervement à ces désagréments répétés;

Ensuite on observe en pleine 'conscience' que cette souffrance surajoutées ne nous apportent rien, sinon nous faire souffrir.

Mais peut être que ces désagréments ont quelque chose à nous dire: En respirant, relâché, en pleine 'conscience', en laissant émerger nos 'intuitions'. Puis, compte tenu de ces 'intuitions', en agissant pour le bien être de tous.

Attachement à des plaisirs répétés.

Au début, on ressent du plaisir à quelque chose, à une activité, à un être:

puis, il y a la répétition à ce plaisir; et on s'y habitue.

On s'est attaché à quelque chose, à une activité, à un être, si, lorsque ce quelque chose, cette activité, ou cet être, n'est plus présent;

on est frustré, on est énervé, on souffre, on se sens en manque.

Pour déconnecter un attachement à des plaisirs répétés:

On commence par observer en pleine 'conscience', que lorsque une chose, une activité, un être n'est pas là, on est frustré, énervé, on souffre.

Puis on rechercher en pleine 'conscience' le moment origine de ce plaisir;

puis on observe en pleine 'conscience' les situations de répétition de ces plaisirs;

puis on observe en pleine 'conscience' les moments où l'on a commencé à rajouter de l'énervement suite aux absences de ces plaisirs.

Mais peut être que ces frustrations, énervements, souffrances, ont quelque chose à nous dire: En respirant, relâché, en pleine 'conscience', en laissant émerger nos 'intuitions'. Puis, compte tenu de ces 'intuitions', en agissant pour le bien être de tous.

Lorsque notre attachement au plaisir est déconnecté, on se rend alors compte, en pleine 'conscience', que l'on peut aimer/apprécier quelque choses ou quelqu'un sans attachement: Si la personne est là c'est ok; mais si la personne n'est pas là, on ne souffre pas, on n'a pas de sensation de manque.

On peut aussi prendre 'conscience', que l'on est toujours en liens 'subtils' avec la 'conscience' de chaque chose, de chaque être.

 

28 novembre 2024 – Décider de ne rien faire est une action.

Peut être ne pas se forcer à faire des choses, parce qu'il faut faire des choses (c'est notre ego qui veut faire).

Peut être ne plus voir des personnes, parce qu'il faut voir des gens, avoir des amis.

Décider de ne rien faire est une action.

Peut être ne rien faire pour se reposer.

Se reposer de toutes les obligations, les efforts que nous avons fait dans le passé; toutes les contraintes que nous avons porté, toutes les personnes que nous avons vu parce qu'il fallait les voir, ne plus faire parce qu'il faut le faire;

oublier tout cela;

et laisser librement être ce qui émerge sans effort du plus profond de nous même, de notre 'conscience', pour le bien être de tous.

 

23 nov 2024 – Le libre arbitre de ressentir ce qui émerge profondément de ce que l'on est.

On peut constater principalement deux voies d'évolution personnelle:

1- Soit on se conforme à ce que des personnes «reconnues» disent ou écrivent; et on conduit sa vie, en se conformant ce qui est écrit dans des livres, dans des paroles d'un guru, d'un maître spirituel.

2 – Soit on écoutes certes les autres; les traditions qui évoquent des manières de vivre en harmonie avec les autres, de les aimer, d'évoluer spirituellement; mais on décide en son âme et 'conscience' en fonction des 'intuitions' qui émanent de nous;

comme Bouddha l'a évoqué: “ peu importe où vous l'avez lu ou qui vous l'a dit, même si c'est moi, à moins que cela ne s'accorde avec votre raison.”

Ce que j'écris, ce n'est qu'un partage d'expérience, comme j’écoute les expériences des autres, et me fait mon avis en mon âme et 'conscience'.

 

22 novembre 2024 – La respiration, une transition entre l'état égotique et la pleine 'conscience'.

On est tellement habitué à vivre de manière égotique, avec nos comportements automatiques et notre mental; que nous ne nous rendons souvent même plus compte, que nous fonctionnons avec nos comportements automatiques et notre mental.

Mais dans les situations importantes confuses, empreintes parfois de tristesses et de douleurs; le comportement égotique nous maintien souvent dans cet état de confusion, de tristesse, de douleurs; alors que la pleine 'conscience' facilite l'émergence de solutions harmonieuses pour tous.

Aussi pour sortir de l'état égotique, lorsque nous ressentons que nous sommes dans une situation importante confuse, empreinte de tristesse et de douleurs; il y a un moyen que nous avons toujours avec nous: Notre respiration;

car la respiration est un élément de transition entre l'état égotique et la pleine 'conscience'.

Donc dans ces cas de confusion, de tristesse, de douleurs; respirons,relâché, mais bien sur en observant notre respiration; nous sommes alors en pleine 'conscience'; ce qui nous permet aussi d'observer nos points de contact avec le sol, nos sensations, nos sentiments, nos pensées; de laisser émerger des 'intuitions' de notre 'conscience', et d'agir pour le bien être de tous.

 

20 novembre 2024 – Halos d'énergies d'attachements à une personne ou à autre chose.

Il peut y avoir autour de notre 'conscience' un halo vaporeux (un sorte de brouillard enveloppant) d'énergies d'attachements à une personne ou à autre chose. Il peut aussi rester des scories d'énergies d'attachements (qui sont encore présentes autour de notre 'conscience') après un travail de déconnexion d'attachements; et cela peut créer en nous une phobie, une focalisation, une obsession, à une personne ou à une  chose.

Dans ces deux cas, on peut pratiquer un nettoyage de ces énergies parasites par le magnétisme.

Le magnétiseur (ou soi même, en auto magnétisme) balaye le corps matériel et les corps énergétiques ('subtils'), de la tête aux pieds, en envoyant du magnétisme, en visualisant en pleine 'conscience' que ces énergies parasites sont emportées et dissipées de nos corps matériels et 'subtils' avec ces mouvements du magnétisme.

On est alors nettoyé de ces énergies parasites; et on n'est plus focalisé et perturbé par la personne (ou la chose) qui nous obnubilait , qui nous obsédait.

 

20 novembre 2024 – Si une personne A n'a pas envie de vivre avec une autre personne B, est ce OK ?

Trois possibilités:

1- La personne B 'aime' la personne A de manière libre et ouverte: Pour ce qu'est la personne A, attentive à son bonheur, sans rien attendre en retour. Par 'amour', la personne B respecte la liberté, le choix de la personne A: C'est OK

2 - La personne B aime la personne A de manière égotique pour les plaisirs que la personne A lui procures. La personne B n'a pas les plaisirs qu'elle veut, elle souffre. Peut être qu'a un moment la souffrance de la personne B va lui faire prendre 'conscience' qu'elle est attachée aux plaisirs que la personne A lui procure; et la personne B va travailler à déconnecter son attachement au plaisir, déconnecter l'emprise de son ego (son mental et ses attachements) sur sa 'conscience: C'est OK.

3 - La personne B n'aime pas la personne A: C'est OK de ne pas vivre avec une personne que l'on n'aime pas.

 

18 novembre 2024 - Les souffrances.

Parfois, face à ses souffrances ou celles des autres, on voudrait ne pas souffrir, on voudrait que les autres ne souffrent pas; on se dit que c'est injuste, que les souffrances ça ne devraient pas exister, et on se rajoute des souffrances avec ces pensées.

Mais la souffrance a peut être un sens?  Mais nous n'en percevons peut être pas le sens?

Peut être que ces souffrances ont quelque chose à nous dire?

Alors, on peut respirer, en pleine 'conscience'; envoyer sa respiration dans cette souffrance, et laisser émerger des 'intuitions' de notre 'conscience'.

Alors, par exemple, émergera de notre conscience':

Que l'on s'est attaché à certains plaisirs, et que maintenant l'absence de ces plaisirs nous font souffrir (on se fait donc peut être souffrir tout seul avec cet attachement que nous avons inscrit en nous; mais que nous pouvons déconnecter, par exemple en retraversant en pleine 'conscience' l'événement origine qui a inscrit notre attachement à ce plaisir);

Ou que l'on s'est attaché à la non souffrance, lors d'un événement origine ou notre souffrance a été particulièrement intense.

On peut donc agir sur nos souffrances en déconnectent nos attachements qui en sont la cause (détail au chapitre Prat18-Déconnecter attachement).

 

Parfois 'l'intuition' qui émerge à notre 'conscience'; c'est que cette souffrance viens d'un autre être; alors, on peut par exemple, envoyer en pleine 'conscience' notre respiration dans cette souffrance; puis envoyer avec notre respiration cette souffrance dans notre cœur où cette souffrance se transmute en amour en pleine 'conscience'; envoyer ensuite cet amour en pleine 'conscience' vers l'être qui à émis cette souffrance.

Puisse notre rayonnement d'amour en pleine 'conscience', accompagner cet être à laisser émerger de sa 'conscience' les causes de ses souffrances; et décider des actions qu'il entreprendra pour plus de bien être pour tous.

 

Mais, même si on est au mieux que l'on puisse être; il y a parfois encore des souffrances, mais se sont les souffrances minimum;

mais en comprenant le sens de ces souffrances, ont a la capacité d'agir sur elles, et d'évoluer pour le bien être de tous.

 

16 novembre 2024 - Est ce possible?

Est ce possible, si on a été un ange; et que l'on ai décidé d’expérimenter notre libre arbitre en devenant un démon, pour en voir les conséquences: l’égoïsme, la haine, la possession, l'avidité, les souffrances; que l'on ai décidé ensuite, en toute liberté: l'écoute des autres, l'amour des autres, les actions pour le bien être de tous ?

 

13 novembre 2024 - Le désespoir.

Le désespoir peut être un attachement lié aux situations que l'ego croit désespérées, avec un sentiment d'impuissance, de ne plus voir de solutions, de ne plus voir comment s'en sortir; qui peut conduire à perdre espoir, à être complètement découragé, à ne plus rien faire, à ne plus se battre, à penser à tout arrêter, voire à se suicider.

Comme le désespoir est souvent lié à un attachement; et comme un attachement peut se déconnecter en étant en pleine 'conscience' (par exemple et en retraversant en pleine 'conscience' l'événement origine qui a inscrit cet attachement); si on a un attachement lié au désespoir, on peut le déconnecter (plus de détail dans Courts Textes au chapitre Prat18-Déconnecter attachement); et éventuellement, si on le ressent comme tel, en se faisant accompagner par un être en pleine 'conscience', qui peut nous aider à être en pleine 'conscience', pour nous permettre de déconnecter cet attachement.

Et ce qu'il est aussi important de savoir;

c'est que ce qui semble impossible à notre ego,

ne l'est peut être pas pour notre 'conscience' en unité avec 'ce qui est'.

 

12 novembre 2024 - Le courage.

Le courage c'est de ne pas avoir d'attachement à la peur (on peut bien sûr ressentir des sensations de peur, mais on les observe en pleine 'conscience', et on n'est pas  attaché" à ces sensations).

Dans les situations dangereuses, agressives, risquées:

Le courage c'est de ne pas passer en mode réactif (déclenchement de son attachement à la peur) et avoir peur, être paralysé, ne pas quoi savoir dire, ne pas agir. On peut déconnecter son attachement à la peur, comme n'importe quel attachement (plus de détail dans Courts Textes au chapitre: Prat18-Déconnecter attachement).

Le courage c'est de rester en pleine 'conscience', de laisser émerger ses 'intuitions', d'agir en accord avec ses 'intuitions', au mieux que l'on sache être en harmonie avec 'ce qui est'.

 

11 novembre 2024 - Communications.

Il existe deux types de communications entre les êtres:

les communications matérielles et les communications 'subtiles'.

 

Les communications matérielles (par la voix, le visuel, le toucher, les odeurs) sont des communications d'ego à ego (l'ego c'est: Le corps physique + Le mental avec ses réflexions, ses interprétations, ses jugements + Ses attachements).

Un attachement est un programme qui a été inscrit dans une personne dans le passé suite à un choc physique, émotionnel, ou autre; qui se compose d'un (ou plusieurs) déclencheur et d'effets (présents lors du choc); et lorsque plus tard cette personne se retrouve en présence du déclencheur, les effets de l'attachement se déclenchent automatiquement.

Par exemple si dans le passé une personne a été fortement agressée avec des gestes et des paroles violentes et que la personne ai eu peur et n'ai rien dit; et que ce choc a inscrit dans cette personne un attachement; aujourd'hui si cette personne est agressée par des gestes ou des paroles (les déclencheurs de l'attachement), automatiquement elle va avoir peur et se taire (les effets de l'attachement).

Dans les cas de communications matérielles; les personnes sont centrées sur elles; avec leurs attachements; et leurs interprétations mentales, leurs certitudes, leurs jugements (ce qui est bien ou mal) de leurs egos.

Les communications égotiques sont donc des communications mentales et réactives (déclenchement des attachements).

 

Les communications 'subtiles' sont des communications de 'conscience' à 'conscience', avec des échanges d'informations 'subtiles' (non matérielles).

Par exemple il arrive un événement à un enfant; et sa mère (bien que l'enfant se trouve par exemple à 100 km d'elle) ressent instantanément une alerte en elle au sujet de son fils.

Les communications 'subtiles' sont instantanées, et peuvent concerner une 'conscience' ou plusieurs 'consciences'.

 

Représentation des communications matérielles et 'subtiles':

Commmunications subtiles 23 dec 2024 jpg

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les 2 formes en gris clair représentent des corps matériels humains.

Les formes grises dans les têtes des corps humains représentent leur cerveau, leur mental.

Les cercles de points de couleurs au centre des corps matériels représente des 'consciences'.

Les 'consciences' ont des spécificités propres (qui peuvent être données dans l'aléatoire par 'ce qui est' ou la 'conscience' elle même, à n'importe quel instant).

Les points noirs et gris en cercle représentent l'ego.

Les attachements sont représentés par des ellipses.

En haut du dessin il y a un cercle de points de couleurs: C'est une 'conscience' désincarnée' (une âme sans corps physique, comme par exemple un fantôme; ou une 'conscience' qui est sortie de son corps physique comme dans les expériences de mort imminente).

Les 'consciences' sont représentées au centre des corps matériels, mais c'est uniquement pour en faciliter la représentation, et montrer que la 'conscience' est incarnée dans tel être. Mais en réalité les 'consciences 'sont partout (ce qui est difficile à représenter sur un dessin).

Les communications matérielles sont représentées par des points noirs et gris entre les êtres.

Les communications 'subtiles' sont représentées par des points de couleurs entre les 'consciences'.

 

10 novembre 2024 – Être seul.

Être seul, c'est peut être l'absence de communications avec d'autres êtres.

Lorsque on est, par exemple, seul chez soi et que l'on tourne dans ses pensées ou que l'on déclenche certains de ses comportements automatiques; on se parle à soi même; et on ne peut pas vraiment dire que c'est de la communication, parce qu'on est isolé dans son mental et ses comportements automatiques.

 

Maintenant, si on est à l'extérieur de chez soi, si on est en relation avec une autre personne; que nous échangeons des paroles; mais que chaque personne s'exprime en étant dans ses pensées, dans ses attachements, centré sur elle même. En réalité il s'agit de deux monologues, sans réelle écoute de l'autre; et dans ce cas est ce vraiment de la communication ?

Et nous sommes alors, peut être seul parmi d'autres personnes ?

 

Si maintenant, on est chez soi, en état de méditation de pleine 'conscience'; que l'on reçoit et perçoit des communications 'subtiles' d'autres 'consciences', d'autres êtres; et que l'on émet des communications 'subtils' vers d'autres 'consciences', d'autres êtres; on est relié 'subtilement' à ces 'consciences', à ces êtres; et même si notre corps matériel est dans une pièce et qu'il n'y a pas d'autres êtres matériels dans cette pièce; on ne peut pas dire que l'on est seul: on est en communication avec d'autres 'consciences', d'autres êtres.

 

Les 'vraies' communications sont donc peut être:

des émissions 'subtiles' et profondes de nos 'consciences' (ce que nous sommes profondément, véritablement; et pas les réflexions de notre mental et les déclenchements automatiques de nos attachements de notre ego: le faux soi);

des réceptions 'subtiles' et profondes de ce que l'on nous envoie;

des perceptions 'subtiles' et profondes de ce que l'on nous envoie.

Les échanges réciproques entre des 'consciences' d'êtres, lorsque elles sont en communications 'subtiles' profondes, relient de manière 'subtile' profonde les êtres'; on est alors peut être plus jamais seul ?

 

2 novembre 2024 – Si on ne nous demande rien.

A quoi cela sert il d'intervenir sur la vie d'une autre personne (si on veut l'aider), si cette personne ne nous demande rien ?

Cela peut parfois déranger, perturber, énerver la personne ?

Cela peut parfois la mettre mal à l'aise (que quelqu'un s’immisce dans son intimité, dans sa vie ) ?

Cela peut donc avoir l'effet inverse: L'autre personne est dérangée, perturbée, énervée, mal à l'aise; alors que l'on souhaite aider la personne à aller mieux ?

Mais qui veut aider l'autre personne?

L'ego ou la 'conscience' de l'être qui souhaite aider la personne?

C'est peut être l'ego de l'être qui veut séduire, se valoriser, obtenir quelque chose ?

C'est peut être la 'conscience' de l'être qui laisse émerger des 'intuitions' de sa 'conscience' ?

 

31 octobre 2024 – Des visions différentes.

Si une personne choisit la voie du pouvoir matériel, se sentant séparée et supérieure aux autres, contrôlant son monde matériel;

et qu'une autre personne choisit la voie du libre arbitre des autres, pour le bien être pour tous, dans l'unité de l'interdépendance des êtres;

elles n'ont pas la même vision de 'ce qui est'; et il semble difficile à un tel couple de fonctionner de manière harmonieuse.

 

26 octobre 2024 – Lorsque l'on est dans le pouvoir.

Lorsque l'on fonctionne de manière égotique (avec son corps physique, son mental, ses attachements), que l'on est est dans le pouvoir avec de fortes capacités d'émanations 'subtiles'; on est interpellé de manière égotique les personnes qui fonctionnent de manière égotique (avec leurs corps physiques, leurs mental, leurs attachements), qui sont dans le pouvoir, avec de fortes capacités d'émanations 'subtiles'.

Lorsque l'on fonctionne en pleine 'conscience' (donc avec les émanations de sa 'conscience'), on aime de manière libre (sans attachements) et ouverte (pour ce que les autres sont, pour leurs bien-être, sans rien

 

24 octobre 2024 – Un être souhaite qu'une personne soit amoureuse de lui.

D'abord, pourquoi l'être souhaite qu'une personne soit amoureuse de lui ?

Pour savoir pourquoi un être souhaite qu'une personne soit amoureuse de lui,

il est important de savoir dans quel type de fonctionnements l'être est;

car nous avons avons trois type de fonctionnements:

1- Le fonctionnement réactif (piloté par ses attachements qui génèrent des comportements automatiques).

2- Le fonctionnement mental: on pense, on réfléchit, on interprète, on juge.

3- Le fonctionnement en pleine 'conscience' en liens 'subtils' avec les autres 'conscience'; et des 'intuitions' émergent de la 'conscience' en harmonie avec les autres 'consciences'.

 

Donc, dans quel fonctionnement est l'être.

1- Si l'être est en mode réactif; cela veut dire qu'un de ses attachement s'est déclenché:

Par exemple l'être est attiré de manière réactive par des femmes dans le pouvoir, avec des fortes émanations sexuelles; et la personne avec laquelle l'être souhaiterai qu'elle soit amoureuse de lui, est justement dans le pouvoir avec de fortes émanations sexuelles.

2- Si l'être est en mode mental, cela veut dire qu'il prend sa décision en réfléchissant.

Par exemple, l'être pense que la personne est jolie, qu'elle a une bonne image, qu'elle est sympathique et qu'intellectuellement cela lui convient.

3- Si l'être est en pleine 'conscience'; sa 'conscience' (en liens avec 'ce qui est', dont les autres 'consciences'), émet instantanément 'l'intuition' que la personne lui plaît et qu'il souhaiterai sortir avec elle; et souhaite en conséquence que la personne soit amoureuse de lui.

 

Regardons maintenant dans quel fonctionnement est la personne.

1- Si la personne est en mode réactif; les attachements de la personne lui font aimer (ou pas) de manière réactive l'être; par exemple la personne est amoureuse de l'être, parce que la personne est attachée à la sécurité et à l'image; et que l'être répond à ses attachements.

Si ce n'est pas le cas, et que la personne n'est pas amoureuse de l'être; l’être peut alors rechercher les attachements de la personne. Par exemple jouer la personne sûre, protectrice, et qui a une bonne image vis à vis des autres.

Mais cela est de la manipulation; et si on est aimé pour ce que l'on n'est pas, cela ne sera pas stable, et va générer des souffrances lorsque la vérité éclatera.

2- Si la personne est en mode mental; l'être peut essayer de la convaincre par des raisonnements que l'être est la personne qui lui faut. Mais un raisonnement mental peut être opposé à un autre raisonnement mental; il y a donc de l’instabilité à baser une relation uniquement sur des raisonnements.

3- Si la personne est en pleine 'conscience': Soit elle est amoureuse de l'être, soit elle n'est pas amoureuse de l'être.

Si la personne est amoureuse de l'être et que l'être est amoureux de la personne: c'est OK.

Si la personne n'est pas amoureuse de l'être, c'est comme ça; il va falloir que l'être accepte cette réalité; car pour une ravoir une relation il est nécessaire que les deux aient envie d'avoir une relation.

 

Revenons à l'être.

Si l'être aime une personne de manière libre (sans attachement) et ouverte (pour ce qu'elle est, pour son bonheur, sans rien attendre en retour); il acceptera par amour le libre arbitre, et les décisions de la personne.

Si l'être aime une personne de manière égoïste, pour les plaisirs qu'elle lui procure; que la personne n'est pas amoureuse de lui; et que l'être persiste dans cette exigence d'être aimé par cette personne: il se fait souffrir tout seul.

Aussi pour limiter des souffrances surajoutées; il est sans doute souhaitable d'accepter les libres arbitres et les décisions des autres, quel que soit leurs niveaux de 'conscience'.

 

24 octobre 2024 – Les naufragés du pire.

Les naufragés du pire, les exclus du bonheur, les prisonniers de la souffrance, les exilé de la solitude, les dépossédés de l'amour, les broyés de la haine, les aveuglent de la vie, les anéantis du mode, les désespérés de l'espoir, les attachés au pilori des tortures, les étouffés de la peur, puissent mes vœux apporter un peu de baume sur votre chemin.

 

19 octobre 2024 – Est on supérieur aux autres, si on a l'impression que l'on a un niveau de 'conscience' plus profond que les autres ?

On peut avoir l'impression que l'on a un niveau de 'conscience' plus profond que les autres; mais est ce que cela veut dire que l'on est supérieur aux autres ?

Nous avons tous une 'conscience'; nos 'consciences' possèdent tous les niveaux de 'conscience'; mais nos niveaux de 'conscience' sont plus ou moins masqués (par nos egos) suivant nos degrés d'évolution.

De plus, toutes les 'consciences' sont interdépendantes dans l'unité; donc qu'il n'y a pas de hiérarchie entre les 'consciences'; simplement des masquages différents.

Se sont les egos (qui masquent plus ou moins les émanations des 'consciences' ) qui comparent, qui jugent, qui définissent des hiérarchies dans les masquages.

Mais dans l'unité des 'consciences' interdépendantes, il n'y a que l'harmonie du fonctionnement de l'ensemble.

 

16 octobre 2024 – Est ce que se venger facilite l'évolution des autres ?

Lorsque l'on vie des expériences; on peut prendre 'conscience' des conséquences de nos comportements; et changer si les conséquences de nos actions génèrent des souffrances surajoutées pour nous même ou les autres.

Si les autres génèrent des souffrances en nous même; cela ne va pas changer les autres si on se venge; mais la loi du Karma favorise pour les autres (comme pour nous même) des éléments pour faciliter leurs décisions de changer.

 

12 octobre 2024 - Qu'est ce que la Terre où on vie?

Un terrain de jeu ?

Un lieu de travaux pratiques ?

Un lieu de plaisirs ?

Un lieu de souffrances ? Pour apprendre quoi ?

Un terrain d'expérience ? Pour évoluer ?

Une ferme d'élevage d'êtres ?

Une maison de correction, un pénitencier? Pour réparer nos erreurs passées ?

Un zoo ?

Un grand hôtel psychiatrique ?

Autre : …...................... ?

Ou tout cela en même temps ?

 

8 octobre 2024 – Aimer une personne égoïste?

Dans le passé, si nous avons vécu dans des mondes égotiques, où plus de 90 % des personnes fonctionnaient plus de 90 % de leurs temps en mode égotique (centrés sur leur corps; leur mental avec leurs certitudes, leurs interprétations, leurs jugements; leurs attachements qui génèrent des comportements automatiques); on peut constater que l'on a aimé (dans cette vie, ou dans des vies antérieures) des personnes pour leurs beautés physiques, pour ce qui émanait d'elles, et qui avaient des comportements égoïstes.

Lorsque l'on a aimé des personnes belles physiquement, avec des émanations qui nous plaisaient, qui étaient égoïstes; on à pu inscrire en nous cette association de perceptions: Belle physiquement, émanations qui nous plaisent, égoïste.

Et lorsque l'on voit une personne belle physiquement, avec des émanations qui nous plaisent, et qui est égoïste; cela peut générer automatiquement en nous un sentiment amoureux.

Lorsque l'on évolue, que l'on perçoit l'interdépendance des êtres, que l'on aime les autres de manière libre (sans attachements) et ouverte (pour ce que les autres sont, pour leurs bonheurs, sans rien attendre en retour); on perçoit que la vie avec un être égoïste va générer des perturbations; et on aura peut être plus envie de vivre avec une personne altruiste plutôt qu’égoïste?

 

4 octobre 2024 – Une relation harmonieuse.

Dans une relation, on est en fonctionnement (majoritairement) égotique (avec son mental, et ses attachements générant des comportements automatiques), ou en fonctionnement (majoritairement) de pleine 'conscience'.

La plupart de temps les personnes alternent ces deux types de fonctionnements.

Mais un fonctionnement est en général majoritaire: Par exemple beaucoup de personnes sont 95 % de leurs temps en fonctionnement égotique, et 5% de leurs temps en fonctionnement de pleine 'conscience'.

1- Si les deux sont en fonctionnement égotique; c'est un troc d'attachement: Par exemple une personne satisfait ses attachement aux relations sexuelles et aux plaisirs d'être avec l'autre; et l'autre satisfait ses attachements au contrôle, à la sécurité, à l'image.

2- Si l'un est en fonctionnement égotique, et l'autre en mode fonctionnement de pleine 'conscience'; cela va être difficile pour le couple de fonctionner de manière harmonieuse; parce que l'un va vouloir satisfaire ses attachements, alors que l'autre (en pleine 'conscience') sera motivé pour désactiver ses attachements; et supportera difficilement, à la longue, les souffrances générées par les fonctionnements égotiques (dont les attachements perturbateurs) de l'autre. Car si l'autre ne change pas et continue de fonctionner de manière égotique (avec son mental et ses attachement); on peut avoir l'impression non seulement de vivre avec un robot (les attachements sont des programmes qui engendrent des comportements toujours les même); mais aussi de faire des efforts pour rien, que c'est un puits sans fond, sans espoir de changement (si l'autre ne décide pas de changer, de désactiver ses attachements perturbateurs).

3- Si les deux sont en fonctionnement de pleine 'conscience', les deux souhaitent désactiver leurs attachements perturbateurs; sont attentifs au bien être de l'autre; et cela facilite une relation harmonieuse.

 

1 octobre 2024 - Aimer l'ego d'une personne ?

On peut aimer la 'conscience' d'une personne,

on peut aimer l'ego d'une personne (son corps physique + son mental + ses attachements),

avec ou sans attachements.

Mais lorsque l'on aime une personne (sa 'conscience', ou son ego, ou les deux) en étant pris dans ses attachements: Est on libre de l'aimer ?

Car si on est pris dans ses attachements (dans ses comportements automatique), sans 'conscience' que l'on s'identifie à son corps physique, à son mental et à ses attachements (qui on été mis à un moment donné, donc qui peuvent être enlevés);

Est on 'conscient' que l'on est contrôlé, manipulé, contrôlé, par ses attachements (générant des comportements automatiques)?

Est on 'conscient' que ce que nous sommes profondément, réellement , durablement, c'est notre 'conscience' (qui nous survit après la mort de notre corps physique); et que notre 'conscience' est masquées par l'agitation de notre ego (notre corps physique + notre mental + nos attachements) ?

Et si une personne est prise dans ses attachements, pilotée par son ego, sans la pleine 'conscience' de ce qu'elle est profondément, réellement, durablement; rien ne nous empêche d'aimer en pleine 'conscience' l'ego de cette personne (ou sa 'conscience, ou les deux).

 

30 septembre 2024 – Des personnes ne sont pas attentives aux souffrances qu'elles génèrent chez les autres.

Des personnes peuvent nous dire des choses qu'elles ne tiennent pas; nous agresser; vouloir nous contrôler pour que tout soit comme elles le veulent sans tenir compte de ce que l'on souhaite; et cela nous fait souffrir.

Et on peut avoir envie de se venger, de leur faire du mal en retour.

Mais se venger, leur faire du mal, qu'est ce que cela va changer ?

On peut aussi souhaiter qu'elles reconnaissent qu'elles nous ont fait souffrir, qu'elles nous demandent pardon; qu'elles décident de changer, et de mettre en place des comportements, des actions pour changer.

Sinon, si elles ne font rien, si cela continue comme avant; elles sont en suspend, en arrêt sur image.

Que puis je faire pour faciliter leurs changements, s'il n'y a pas de demande de changement leurs parts ?

Si elles ne veulent pas changer, sans doute pas grand chose; car il n'y a qu'elles qui peuvent se changer.

Mais je peux quand même être dans une attitude qui leur laisse plus de place pour changer, lorsqu'elles elles le décideront;

par exemple en travaillant sur moi même, en déconnectant mes attachements, en leur pardonnant, en continuant de les aimer de manière libre (sans trop d'attachements) et ouverte (pour le bien être des autres),

Et lorsque se sera le moment:

Lorsqu'elles prendront 'conscience' qu'elles sont centrées sur elles même, sur leurs plaisirs, dans le contrôle afin que tout soit comme elles le veulent sans trop tenir compte des souffrances des autres;

Lorsqu'elles prendront 'conscience' que cerrtains de leurs comportements génèrent des souffrances pour elles même et les autres;

alors elles vont peut être changer; écouter les autres; être plus attentives aux autres et à leurs souffrances (et aux causes de leurs souffrances); laisser les autres vivre ce qu'ils ont décidé de vivre; aimer les autres de manière libre (sans trop d'attachements) et ouverte (pour le bien être des autres) ?

 

25 septembre 2024 – Pourquoi des personnes ne veulent pas vivre avec nous?

Il y a vraisemblablement autant de réponses que de cas spécifiques.

mais ce qui me vient à l'esprit :

C'est peut être parce que l'on est attaché à vouloir tout contrôler ?

C'est peut être parce que l'on est attaché à vouloir que tout soit comme on le veut (la dictature quoi) ?

C'est peut être parce que l'on est attaché à ses plaisirs égoïstes ?

C'est peut être parce que l'on est attaché à son image ?

C'est peut être parce que l'on est attaché à …............. ?

Et cela, peut être au détriment du bonheur des autres ?

Et que l'on ne donne pas vraiment l'impression que l'on a décidé de changer.

 

22 septembre 2024 – On peut être attaché à être aimé.

En préambule, je rappelle qu'il y a un même mot amour, avec deux sens complètement différents:

1 - L'amour libre (de conditionnements) et ouvert (pour ce que l'autre est, pour le bonheur de l'autre, sans rien attendre en retour). Dans ce cas c'est la 'conscience' qui aime.

2 - Et l'amour pour les plaisirs que l'autre nous procure (certains appellent cela de l'amour, mais en réalité c'est plutôt de l’égoïsme). Dans ce cas c'est l'ego (l'ego : l'identification à ses comportements automatiques et à son mental) qui aime.

 

Des personnes sont attachées à ce qu'on les aime de manière libre et ouverte (attachées à ce que l'autre soit attentif à ce qu'elles sont et à leurs bonheurs, sans rien attendre en retour).

Mais lorsque un être dit à une personnes (qui a un attachement à être aimer de manière libre et ouverte): « je t'aime » (alors que cet être les aime pour les plaisirs que la personne lui procure); cette personne a tellement envie qu'on l'aime de manière libre et ouverte, que cette personne croit que cet autre être l'aime de manière libre et ouverte.

Et lorsque la personne se rend compte que l'autre être (l'ego de l'autre être) l'utilise pour ses plaisirs personnels, elle souffre.

 

Mais souvent, l'autre être (l'ego de l'autre être) ne sait aimer qu'avec ses attachements (ses attachements à ses plaisirs, à contrôler...).

L'ego de l'autre être ne sait pas, ne peux pas aimer de manière libre et ouverte.

Alors la personne peut se rendre compte qu'elle ne peut pas demander à un autre être (qui fonctionne avec son ego) de faire ce qu'il ne sait pas faire, ce qu'il ne peut pas faire: c'est à dire de l'aimer pour ce qu'elle est, pour son bonheur, sans rien attendre en retour.

Et si la personne souffre c'est peut être qu'elle est attachée à être aimé comme on le veut (et pas comme l'autre le peux); et que ce n'est pas la 'conscience' de l'autre (ce qu'il est profondément, réellement, durablement) qui déclenche sa souffrance, mais le comportement de ego de l'autre être .

La personne peut alors différencier la 'conscience' de l'être (ce qu'il est profondément, réellement, durablement), des comportements de l'ego (du faux soi) de l'être; et la personne peut aimer la 'conscience' d'un autre être, et ne pas apprécier certains comportements de l'ego de cet être.

Comme c'est l'ego et les réactivités de l'autre être, qui font souffrir la personne; la personne peut pardonner parce qu'elle a 'conscience' que cet être est pris dans les attachements (les comportements automatiques) de son ego, sans réelle 'conscience' de ce qu'il est: sa 'conscience'.

En justice on ne condamne pas quelqu'un qui n'est pas pas responsable de ses actes, qui est pris par une force (dans ce cas ses attachements engendrant des comportements automatiques) qu'il ne peut pas maîtriser.

 

Si une personne vie une situation où elle n'est pas être aimée par un autre être de manière libre et ouverte; et que l'ego de cet autre être utilise l'amour de cette personne pour profiter d'elle (ce qui la fait souffrir ); c'est peut être que dans une vie antérieure cette personne a profité, et fait souffrir, des êtres qui l'aimaient ?

Et aujourd'hui la personne vie peut être ces souffrances pour apprendre à respecter les autres, à prendre soin des autres, à aimer les autres de manière libre et ouverte?

Aujourd'hui, on peut prendre 'conscience' (si c'est le cas bien sûr) que l'on a un attachement à être aimé comme on le veut, et on peut décider de déconnecter cet attachement (détail dans chapitres); afin qu'aimer de manière libre et ouverte ne soit pas une dépendance, mais un libre choix de sa 'conscience'.

 

21 septembre 2024 – Se soumettre ou être libre.

Si on aime une personne, et que cette personne est une dictatrice, qui veut que tout soit comme elle le veut, qui veut tout contrôler; et si on ne se soumet pas; se sera, par exemple: des pressions, des agressions, des culpabilisations, des pétages de plomb, pour que l'on se soumette.

Et vivre un enfer crée par quelqu'un que l'on aime, c'est parfois au dessus de nos forces.

Alors on a le choix de se soumettre ou de se séparer (car il n'y a que les autres qui peuvent se changer).

Si on décide de se séparer ou peut, peut être, regretter, et se demander si la relation aurait pu, malgré tout, avec le temps, fonctionner ?

Mais comment une personne dictatoriale, peut elle aimer un être soumis ?

Comment une personne forte peut elle aimer un être faible ?

Comment une personne peut elle aimer un être qui n'a pas le courage d'assumer ce qu'il est; et qui renonce à ce qu'il est en se pliant à une autre personne?

Aussi c'est a chacun d'assumer son libre arbitre, et d'accepter le libre arbitre des autres;

et de décider avec qui il veut vivre: Avec un être soumis ou avec un être libre.

 

20 septembre 2024 - Certains êtres utilisent les attachements d'autres personnes pour les contrôler.

Certains êtres perçoivent les attachements (ou certains attachements) d'autres personnes (par exemple en observant leurs comportements et ce qui peut les déclencher; ou en sachant qu'il y a des attachements que la plupart des personnes ont...) .

Et ces êtres génèrent volontairement des éléments qui vont faire se déclencher certains attachements chez une autre personne, en fonction des comportements qu'ils souhaitent générer chez cette personne. L'être pilote alors la personne, contrôle la personne via certains de ses attachements.

Par exemple si une personne à un attachement à l'agression qui fait que lorsque cette personne se sent agressé elle a peur, elle se tait et obéit; et si un être souhaite contrôler la personne dans une situation où l'être veut que la personne obéisse; l'être (qui connaît cet attachement chez l'autre personne) va agresser la personne pour qu'elle se taise et obéisse.

 

Manières pour ne pas se faire contrôler par nos attachements:

1-Être 'conscient' que l'on a des attachements (et qu'un autre être peut les utiliser pour nous faire réagir comme il le souhaite).

2- Si on constate qu'un être à généré quelque chose qui nous fait réagir automatiquement: Respirer, observer en pleine 'conscience' notre fonctionnement, nos sensations, nos sentiments, nos pensés, puis ancré dans le sol (sensation de ses points de contact avec le sol) et en pleine 'conscience', laisser émerger ses 'intuitions et agir (par exemple en s'exprimant sur la situation).

3-Déconnecter les attachements concernés (plus de détail dans Courts Textes au chapitre Prat 18-Déconnexion attachement). Car si on n'a pas d'attachement, un autre être ne peut pas nous contrôler par les attachements.

 

17 sept 2024 – Attentif au bien être des autres ?

Si je suis centré sur mon bien être au détriment du bien être des autres;

et que les autres soient centrés sur leurs bien-être au détriment du bien être des autres,

nous générerons des souffrances; et nous ne seront peut être pas au bien-être auquel nous pourrions être ?

Si je suis attentif à mon bien être en harmonie avec le bien être des autres;

et que les autres soient attentifs à leurs bien être en harmonie avec le bien être des autres; on sera dans le bien-être.

 

16 septembre 2024 – Libre circulation de l'amour et des énergies 'subtiles'.

A l'état naturel, libre et ouvert, l'amour et les énergies 'subtiles' circulent, s'échangent librement entre les êtres.

Vouloir retenir l'amour et les énergies 'subtiles', vouloir les saisir, les stocker, les accumuler:

c'est entraver le fonctionnement naturel de 'ce qui est' ;

c'est perturber l'équilibre et l'harmonie en nous et entre les êtres et 'ce qui est' ;

c'est générer des souffrances sur ajoutées.

Aussi, pour l'harmonie de notre bien être, en liens interdépendants avec les bien-être des autres et 'ce qui est' :

on peut visualiser en pleine 'conscience' un flot d'amour et d'énergie 'subtile' entrer par le dessus de notre tête; que ce flot d'amour et d'énergie circule dans tout notre corps; que ce flot d'amour et d'énergie dissout tous les blocages en nous, tous les nœuds, tous les attachements; et que ce flot d'amour et d'énergie chargé de tous ces blocages, de tous ces nœuds, de tous tous ces attachements, s'évacue à la terre, où ces blocages, ces nœuds, ces attachements sont transmutés en libération.

on peut tout lâcher et laisser les choses être dans l'amour et le relâchement;

on peut être détendu, en pleine 'conscience', vide d'attachements, vide de blocages mentaux;

on peut laisser circuler librement l'amour et les énergies 'subtiles' en nous et dans le monde.

 

16 septembre 2024 – Cela a un sens, puisque je t'aime.

Avant, si j'aimais une femme, et qu'elle ne voulait pas vivre avec moi, je continuais de vouloir vire avec elle et je voulais la garder pour moi.

Mais est ce comportement, est ce réellement de l'amour?

Car je constate que l'on emploi le même mot amour pour deux attitudes complètement différentes:

1- l'amour pour les plaisirs que l'autre me procure (mais en réalité c'est de l'égoïsme).

2- et l'amour libre (sans attachements) et ouvert (pour ce que tu es, pour ton bonheur, sans rien attendre en retour).

Aujourd'hui, je suis en pleine 'conscience' dans l'amour libre (sans attachements) et ouvert (pour ce que tu es, pour ton bonheur, sans rien attendre en retour).

Je souhaite vivre avec toi, et toi tu souhaites vivre autre chose: C'est comme ça.

L'amour libre et ouvert donne un sens à ce qui est.

Et aujourd'hui cette situation a un sens pour moi; car mon amour libre et ouvert me permet d'accepter le libre arbitre des autres, quelque soit leurs niveaux de 'conscience'.

 

11 sept 2024 - Qu'est ce qui génère plus de souffrances, ou plus de bien être ?

On peut se poser la question, si ce ne sont pas principalement les comportements humains qui génèrent des souffrances ou du bonheur pour les êtres?

Et si ce ne sont pas principalement les comportements avec des attachements perturbateurs et un mental dictatorial qui génèrent plus de souffrances pour les êtres?

Et si ce ne sont pas principalement les comportements en pleine 'conscience' dans l'amour libre et ouvert qui génèrent plus de bien être pour les êtres?

 

3 septembre 2023 - Parfois des personnes sont directives, elles souffrent; et des êtres veulent qu'elles ne souffrent pas.

Certaines personnes veulent tout contrôler; mais comme elles ne contrôlent pas tout, elles souffrent. Certains êtres veulent intervenir pour qu'elles ne souffrent pas; mais comme leurs efforts restes vain devant ce puits sans fond, ils souffrent.
Mais il n'y a que les personnes elles même qui peuvent se changer; et pas les autres êtres de manière unilatérale.

Alors ce n'est pas la peine que ces êtres se culpabilisent pour des choses qu'ils ne peuvent pas changer unilatéralement.

Les personne qui veulent tout contrôler font bien ce qu'elles veulent, c'est leurs choix, c'est ce qu'elles ont ont décidé de vivre, leurs chemins d'évolutions; leurs souffrances sont des alertes de leurs égoïsmes: c'est à elles de le voir, d'en prendre 'conscience', et de changer si elles le décident.

Aussi, on peut accepter que les autres évoluent au mieux qu'ils le peuvent avec leurs fonctionnements, leurs niveaux de 'conscience, leurs décisions; et travailler sur soi même, au mieux que l'on sache être; par exemple en étant relâché en pleine 'conscience' dans l'amour libre et ouvert, en laissant émerger ses 'intuitions'.

 

30 août 2024 – Beaucoup de personnes ne comprennent pas, voire rejettent les êtres différents.

Les enfants, les êtres, à haut potentiel (ou surdoués) ont souvent des difficultés relationnelles avec les autres personnes; ils ne fonctionnent pas pareil, et n'ont souvent pas les même centres d’intérêt que les autres personnes.

Avoir une idée des hauts potentiels (des surdoués) c'est envisageable si une personne fonctionne avec son mental; car même si une personne a un QI moyen, elle peut imaginer que d'autres personnes ont des QI plus élevés que le sien, mémorisent mieux, réfléchissent plus vite, ont des capacité d'avoir plus d'informations en même temps dans leurs cerveaux, ont des manières plus efficaces de traiter les informations dans leurs cerveaux.

C'est un peu comme si des personnes n'entendaient pas bien, et que les hauts potentiels entendaient mieux qu'eux; ces personnes peuvent alors penser que les hauts potentiels sont des personnes comme elles, avec les même capacités, mais un peu plus développées.

 

Et il y a des enfants, des êtres, qui perçoivent le 'subtil' (ce qui est au delà du matériel).

Là c'est la rupture totale avec les personnes qui fonctionnent avec leurs mental et leurs comportement récurrents.

Car il ne s'agit pas de voir ou de mieux voir que les autres; car dans ce ces cas, les fonctionnements sont complètement différents :

les uns réfléchissent, interprètent, jugent...

et les autres sont en liens avec le 'subtil', et leur apparaît instantanément des 'intuitions' qui ne passent ni par le mental, ni par des comportements automatiques.

C'est comme si des êtres vivaient dans un monde où quasiment toutes les personnes étaient aveugles et que ces êtres voient; et dans un tel monde, un être qui expliquerait à des aveugles ses perceptions serait parfois traité d'affabulateur, de décrire des choses qui n'existent pas; les personnes aveugles nierait souvent leurs perceptions.

Dans notre monde où la plupart des personnes fonctionnent de manière mentale et avec leurs comportements récurrents; les êtres qui fonctionnent avec leurs 'consciences' via leurs perceptions 'subtiles' ne sont souvent pas reconnus, ne sont pas pris au sérieux, ne sont pas crus; sont souvent considérés comme des fantaisistes; des personnes peuvent se moquer d'eux; et si parfois ils disent qu'ils entendent des voix, ils peuvent être classifiée schizophrènes.

Au moyen age on les brûlait; plus tard on en a enfermé certains dans des asiles; ou on a étouffé chez les enfants leurs 'intuitions subtiles' en leur disant d’arrêter de dire des conneries, en leur imposant une éducation mentale en se conformant à des règles mentales dogmatiques.

Les êtres qui perçoivent le 'subtil' sont en général altruistes, parce qu'ils captent des informations 'subtiles' qui leur arrivent des 'consciences', ce qui leur donnent une vue plus globale; et comme ils perçoivent les conséquences des actions, ils perçoivent l’intérêt de l'altruisme, et les effets catastrophiques de l’égoïsme des êtres.

Dans ce mode majoritairement égotique les êtres qui perçoivent le 'subtil' font avec, au mieux qu'ils le peuvent, chacun avec sa manière d'être:

Parfois pour être intégrés, acceptés, pour essayer d'être aimés; des êtres se conforment à ce que d'autres egos attendent d'eux.

D'autres êtres acceptent ce qu'ils sont, et observent les expressions des egos: les exclusions, les moqueries, la compréhension parfois.

Une 'conscience' ne peut pas demander à des egos d'être compris si ces egos ne peuvent pas le faire;

une 'conscience' ne peut pas demander à des egos de les aimer de manière libre et ouverte pour ce qu'elle est, pour le bonheur des autres êtres (et pas pour les plaisirs que les autres leurs procurent) si ces egos n'en sont pas capable;

ce qui n’empêche pas les êtres qui perçoivent le 'subtil' d'aimer de manière libre et ouverte toutes les 'consciences'.

 

29 août 2024 – Leurs propres expériences.

Parfois on donne des conseils aux autres, voir on intervient sur des sujets qui concernent les autres, parce que l'on est convaincu que c'est ce qu'il doivent faire.

Mais souvent, cela n'est pas fondamental dans leurs changements;

parce que les autres ne changent profondément:

que s'ils ont décidé, avec leurs fonctionnements et leurs niveaux de 'conscience', de vivre ce qu'ils souhaitent vivre;

que s'ils ont vécu l'expérience;

et que s'ils en ont tiré leurs propres conclusions, et changé si l'expérience qu'ils ont vécu les a fait changé.

Même si nous avons un niveau de 'conscience' plus profond qu'une personne, et plus d'expérience sur la situation que cette personne a décidé de vivre; notre avis n'est souvent pas déterminant pour qu'elle change; car elle n'a peut être pas besoin de réflexions et de conseils; mais simplement de vivre l'expérience, pour que son changements s'intègre profondément en elle, et ne soit pas qu'une réflexion superficielle venu des autres, qui ne changera pas la personne profondément et de manière autonome.

Aussi est il souvent souhaitable, pour que les autres évoluent; de les laisser faire leurs propres expériences, avec leurs propres fonctionnements, leurs propres niveaux de 'conscience', et leurs propres décisions;

ce qui ne nous empêche pas d'être présent dans l'amour, en pleine 'conscience'.

 

26 août 2024 – L'action la plus altruiste ?

L'action la plus altruiste, c'est peut être de travailler sur soi même.

Cela est un exemple pour les autres;

et cela permet, à chaque instant présent, de laisser émerger de sa 'conscience', au mieux que l'on sache être, l'action la plus altruiste.

 

25 août 2024 – Les communications 'subtiles' de 'consciences' à 'consciences'.

Dans notre monde, la plupart des communications se font d'ego à ego (notre ego c'est notre corps + notre mental + nos comportements automatiques) de manières matérielles par des paroles, des écrits, des gestes, des attitudes, des odeurs, le toucher...

Mais les corps physiques ne sont que les véhicules temporaires qu'utilisent les 'consciences' en se réincarnant vies après vies (dans des corps matériels différents).

Mais les 'consciences' peuvent communiquer directement de 'conscience' à 'conscience', en échangent des informations 'subtiles '(non matérielles).

Ces informations peuvent être des sensations 'subtiles', des sentiments 'subtils', des pensées 'subtiles', des événements 'subtils'...

Et on peut émettre des informations matérielles en même temps que l'on émet des informations 'subtiles'.

En général ces deux types d'informations sont cohérentes: Par exemple une personne dit à une autre personne qu'elle la trouve agréable, et lui envoi aussi en même temps, l'information 'subtile qu'elle la trouve agréable.

Mais les informations matérielles et 'subtiles' peuvent être différentes: Par exemple une personne dit à une autre personne qu'elle la trouve agréable, et lui envoie en même temps l'information 'subtile' qu'elle la trouve désagréable: Si la personne à qui est adressée ces informations perçoit les informations 'subtiles', cela va provoquer en elle de la confusion.

Des différences entre ces deux informations (matérielles et 'subtiles') peuvent donc engendrer de la confusion; mais dans certains cas, cette non connaissance (ou non reconnaissance) de ces deux types d'informations peut avoir des conséquences plus profondes:

Par exemple, si un enfant perçoit les informations 'subtiles', et ne fait pas la différences entre les informations 'subtiles' et les informations matérielles en provenance des egos des autres; si l'enfant est en liens 'subtils' avec sa mètre et que l'enfant se sent en sécurité matérielle et affective avec sa mère; et qu'une réactivité de sa mère fait qu'elle est très énervée par un facteur indépendant de son enfant; que la mère exprime son énervement de manière agressive et incontrôlée dans son environnement, et que l'enfant prenne cette agression comme une agression contre lui même; cela peut casser le lien de confiance et d'affection que l'enfant a pour sa mère; parce que (dans ce cas) l'enfant ne perçoit pas de différence entre l'expression de la 'conscience' de sa mère, et l'expression de l'ego de sa mère.

Cela peut casser des liens égotique entre l'enfant et sa mère; mais les liens 'subtils' entre les deux 'consciences', eux, ne sont pas coupés; mais l'enfant n'a pas la perception de cela.

De manière générale, comme les personnes s'identifient souvent à leurs egos (leur corps matériel + leur mental + leurs comportements automatiques régis par leurs attachements), et que les personnes identifient souvent les autres à leurs egos; en réalité lorsque une personne dit qu'elle aime ou qu'elle n'aime pas une personne; c'est son ego (son mental et ses attachements) qui aime ou qui n'aime pas le corps + le mental + les comportements automatiques de l'autre personne;

et dans ce cas, la 'conscience' de la personne ne sait pas si elle aime ou si elle n'aime pas la 'conscience' de l'autre personne (ce qu'elle est profondément, réellement, durablement).

La non perception des 'consciences' (et les informations 'subtiles' envoyées par les 'consciences') et des egos des personnes, engendrent souvent une incompréhension dans les relations entre les personnes.

La non perception de sa 'conscience' et des autres 'consciences', est en général du à ce que les personnes s'identifient à leurs egos; que les egos génèrent une agitation (mentale par exemple) constante qui masque les émergences des 'consciences'; de plus, souvent les attachements (les certitudes) des personnes leur font dire que les 'consciences' ça n'existe pas.

Et par la non connaissance de ce que les personnes sont; on peut se dire, lorsque des personnes régies par leurs egos nous font du tort :

Je leur pardonne, parce qu'elles ne savent pas ce qu'elles font.

Certes leurs egos ont fait quelque chose (de manière automatique, piloté par leurs attachements inscrits à des moments donnés en elles même) qui m'a fait du tord; mais elles n'ont pas 'conscience' de ce qu'elles sont profondément, réellement, durablement: elles sont pilotées par une force (leurs attachements) qui les contrôle;

et, en justice, pour être condamné, il faut être jugé responsable de ses actes, et pas sous l'emprise au moment des faits, par une force qui les contrôle: L'article 122-1 du Code pénal prévoit que «n'est pas pénalement responsable la personne qui était atteinte, au moment des faits, d'un trouble psychique ou neuropsychique ayant aboli son discernement ou le contrôle de ses actes».

Et on peut dire que les attachements perturbateurs sont des troubles psychiques qui abolissent le discernement de la 'conscience'.

 

Aussi, pour vivre en harmonie avec les autres, on peut dire qu'il est utile:

De percevoir pour soi même et pour les autres: les 'consciences' (et leurs émanations 'subtiles), le mental et les attachements perturbateurs; et de déconnecter ses propres attachements perturbateurs.

On peut alors aimer la 'conscience' de l'autre (ce que l'autre est est profondément, réellement, durablement), sans identifier l'autre à ses comportements perturbateurs (à son ego: son faux soi).

 

20 août 2024 – Attachements aux attentes, aux exigences, aux objectifs, aux engagements.

Certains êtres ont des souhaits et ne sont pas attachés à ceux ci. Et si ces souhaits ne se réalisent pas, s'ils ont la perception d'être à chaque instant au mieux qu'ils sache être, c'est comme ça, et ils ne souffrent pas de ce qui se produit.

 

Si des personnes sont attachées à leurs attentes, à leurs exigences, à leurs objectifs, à leurs engagements; et que cela ne se passe pas comme elles le veulent, cela les gêne, cela les chagrine, cela les fait souffrir, voir les mettent hors d'elles.

Mais nous ne maîtrisons pas tout, pas les autres... il est donc peu probable que tout soit comme on le veut, alors on souffre.

 

Mais on peut souhaiter quelque chose sans attachements; être à chaque instant au mieux que l'on sache être: Alors pourquoi souffrir si on est au mieux que l'on sache être, si on se sait pas faire mieux ?

Vouloir aveuglement (en étant focalisé sur ce que l'on veut) que tout soit comme on le veut, c'est se faire souffrir tout seul, avec nos attachements à nos attentes, à nos exigences, à nos objectifs, à nos engagements.

Ne pas être attaché à ses attentes, à ses exigences,à ses objectifs, à ses engagements ;

c'est aussi ne pas être attaché aux attentes, aux exigences, aux objectifs, aux engagements des autres.

Les attentes, les exigences, les objectifs, les engagements des autres se sont les leurs; et on n'est pas obligé de les faire notre. Mais certains ont un attachement à répondre aux attentes, aux exigences, aux objectifs, aux engagements des autres; et comme nous ne maîtrisons pas tout; si cela ne se passe pas comme les autres le veulent, cela nous gêne, nous chagrine, nous fait souffrir, voir nous met hors de nous:

et certaines personnes ont des capacités à faire déclencher chez un autre être son attachement à répondre à leurs attentes, à leurs exigences, à leurs objectifs, à leurs engagements; en les culpabilisant, en leur disant, par exemple, que si ils ne répondent pas à leurs attentes, à leurs exigences, à leurs objectifs, à leurs engagements, c'est qu'ils ne les aiment pas, qu'ils ne font pas ce qu'il faut, qu'ils se foutent des autres, etc...

Ces êtres deviennent alors les marionnettes de personnes dans l'exigence; et de toute façon comme tout ne se passe pas comme les egos le veulent, ces personnes pourront toujours culpabiliser les autres êtres en leurs disant qu'ils n'ont pas fait ce qu'il fallait, qu'ils sont des minables, et qu'elles ne voient pas comment elles pourraient aimer des minables.

Dans ces cas, on peut, par exemple, commencer par déconnecter son attachement à répondre aux attentes, aux exigences, aux objectifs, aux engagements des autres; ce qui ne veut pas dire, si on n'a plus cet attachement, que l'on n'est pas attentif aux autres et à leur bonheur: au contraire nos actions sont alors plus harmonieuses pour le bonheur de tous.

On peut aussi décider de déconnecter son attachement à ses attentes, à ses exigences, à ses objectifs, à ses engagements (plus de détail dans courts textes au chapitre Prat18-Déconnecter un attachement), pour être plus heureux.

 

12 août 2024 – Les écrans de nos egos entre nos 'consciences'.

Notre 'conscience' peut aimer de manière libre et ouverte une autre 'conscience'.

Mais les expressions de certaines 'consciences' sont parfois masquées par leurs egos (par leurs attachements et leur mental), et ces personnes aiment alors de manière égotique (avec leurs attachements et leur mental) d'autres egos. Dans ce cas, certains personnes peuvent renoncer à aimer une autre personne, en constatant qu'elles ne sont pas aimées en retour comme elles le souhaitent .

Mais, certains êtres, même si certaines personnes ne les aiment pas, continuent d'aimer ces autres personnes de manière libre et ouverte;

parce que l'amour libre et ouvert, ce n'est as un troc; c'est un état d'ouverture inconditionnel à l'autre, sans rien attendre en retour.

Lorsque l'on aime profondément, réellement une personne pour ce qu'elle est; on accepte ses décisions d'aimer qui elle veut, comme elle le veut, quel que soit son fonctionnement et son niveaux de 'conscience'.


En déconnectant nos attachements perturbateurs (à ce que tout soit comme on le veux, etc..) on n'est plus prisonnier de nos attachements; et en se libérant de l'emprise de notre mental (en l'observant en pleine 'conscience'); notre mental et nos attachements n'obscurcissent plus les expressions de notre 'conscience';

on peut alors observer nos 'consciences' sans écrans, et aimer les autres personnes de manière libre et ouverte pour ce qu'elles sont;

et tu n'es jamais loin, puisque tu es dans mon cœur.

 

11 août 2024 – Est ce que l'on aide les autres en se conformant à leurs exigences ?

Si des personnes de notre environnement fonctionnent principalement en mode égotique avec des attachements à ce que tout soi comme elles le souhaitent sinon : Frustrations, énervements, colères, tensions , critiques, agression, culpabilisations des autres pour qu'ils fassent ce qu'elles veulent; et si on a envie de bien faire, de faire plaisir à ces personnes, afin que ces personnes soient heureuses; et que l'on se conforme aux exigences des egos de ces personnes: Est ce que ces personnes seront heureuses ? Est ce que l'on sera heureux ?

Comme les attachements (les nôtres et ceux de ces personnes) sont des puits sans fonds, qui reviennent régulièrement et automatiquement  (tant que l'attachement n'est pas déconnecté); c'est que l'on va s'épuiser, se fatiguer, accumuler des tensions (face aux non satisfactions des exigences des personnes, à leurs critiques et agressions; comme par exemple: tu ne m'écoutes pas, je ne suis pas heureuse parce que tu ne fais pas ce qu'il faut, tu ne fais que de contrarier...).

Ce qui est probable, c'est que les attachement de ces personnes à vouloir que tout soit comme elles le veulent, et notre attachement à vouloir bien faire, à se conformer aux exigences des autres; ne génèrent en fait, que des tensions régulières; et que globalement ni ces personnes ni nous même, ne soyons heureux dans nos relations.

Alors, on peux prendre 'conscience que nous avons (dans ce cas) un attachement à vouloir bien faire, à se conformer aux exigences des autres?

et prendre 'conscience' que l'on n'aide peut être pas vraiment les autres si on se conforme à leurs exigences; car si on maintient les exigences de ces personnes en acceptant leurs exigences; ces exigences vont devenir de plus en plus régulières et importantes; et ces personnes vont s'enfoncer chaque jour un peu plus dans leurs fonctionnements égotiques; et on va tous souffrir et s'épuiser de plus en plus.

Alors on peut décider de déconnecter notre attachement (à vouloir bien faire, à se conformer aux exigences des autres) par exemple en localisant, puis en retraversant en pleine 'conscience' l’événement origine qui a inscrit cet attachement (plus de détail dans Courts Textes au chapitre Prat18-Déconnecter un attachement).

Mais on ne peut pas se substituer aux autres personnes dans la déconnexion de leurs attachements: il n'y a que ces personnes qui peuvent le faite si elles le décident (ce qui ne veut pas dire que l'on ne peut rien faire, on peut par exemple, les accompagner et étant en pleine 'conscience' dans l'amour; et en laissant émerger nos 'intuitions'; ce qui peut faciliter chez ces personnes leurs cheminements et leurs décisions).

Aussi dans ce contexte; des actions harmonieuses pour notre bien être et celui des autres personnes, sont peut être:

- De déconnecter notre attachement perturbateur à vouloir bien faire, à se conformer aux exigences des autres (ce qui ne veut pas dire que l'on n'essaie plus de bien faire; ou que l'on fout des besoins ou souhaits des autres personnes) au contraire, on est beaucoup plus 'conscient' des actions à réaliser pour plus de bonheur pour tous.

- D'être à chaque instant en pleine 'conscience', de respirer, d'être relâché, afin d'observer les 'intuitions' qui émergent de notre 'conscience', puis d'agir en accord avec ces 'intuitions' pour le bien être de tous.

 

3 août 2024 –  A- Quels fonctionnements nous rendent heureux?  B- Quelles personnes nous rendent heureux?

Il y a deux types de fonctionnements:

1- Le fonctionnement égotique (basé sur les déclenchements de nos attachements et du fonctionnement de notre mental).

Dans le fonctionnement égotique, on est centré sur soi, sur ses certitudes, ses interprétations, ses jugements.

Le fonctionnement égotique génère des comportements qui sont répétitifs.

2- Le fonctionnement en pleine 'conscience' dans l'amour libre et ouvert aux autres.

Dans le fonctionnement en pleine 'conscience' on est relié 'subtilement' aux autres 'consciences', des 'intuitions' émergent qui tiennent compte des autres, et des différents aspects des situations, les réponses sont globales.

Ce fonctionnement s'adapte aux spécificités des situations.

 

A - Quels fonctionnements nous rendent heureux ?

A1- Lorsque nous fonctionnons en mode égotique basé sur les déclenchements de nos attachements et du fonctionnement de notre mental, en s'identifiant à notre ego (à nos attachements et à notre mental: notre ego, notre faux soi); tant que nos attachements sont satisfaits c'est ok, on ressent une forme de plaisir; mais si nos attachements ne sont pas satisfaits, on est frustré, énervé, en colère, on souffre.

Par exemple:

Lorsque notre ego est attaché à ce que tout soit comme il le veut: Si tous va comme il le veut c'est ok ; mais si tout ne va pas comme il le veut on on est frustré, énervé, en colère, on souffre.

Lorsque notre ego est attaché à la dictature: Tant que l'on commande et que les autres obéissent c'est ok; mais si les autres n'obéissent pas, on est frustré, énervé, en colère, on souffre.

Lorsque notre ego est attaché à tout contrôler: Tant que l'on contrôle les autres et les situations c'est ok; mais si on ne contrôle plus les personnes ou les situations, on est frustré, énervé, en colère, on souffre.

Lorsque notre ego est attaché à nos plaisirs, à notre égoïsme: Si on est égoïste et que l'on a ce qui nous fait plaisir c'est ok; mais si on n'a pas ce qui nous fait plaisir, on est frustré, énervé, en colère, on souffre.

Lorsque notre ego est attaché à notre mental (identification à notre mental), à ses exigences, à ses jugements, à ses comparaisons: Si nos exigences sont satisfaites c'est ok, ou si on est meilleur que les autres (dans un ou plusieurs domaines) c'est ok; mais si nos exigences ne sont pas satisfaites, ou si on n'est pas meilleur que les autres (dans un ou plusieurs domaines) on est frustré, énervé, en colère, on souffre.

Nos attachements, les exigences de notre mental, se sont des dépendances, comme des addictions; c'est comme une drogue;

et si on n'a pas régulièrement notre drogue (la satisfaction de nos attachements et de notre mental) on souffre; et comme nos attachements et nos exigences mentales reviennent régulièrement; c'est un puits sans fond où nous risquons de nous épuiser et de souffrir sans cesse.

Nos comportements égotiques sont des comportements qui à terme apportent des souffrances à nous même et aux autres.

 

A2- Lorsque nous sommes en pleine 'conscience' dans l'amour libre et ouvert aux autres (en reconnaissant ce que nous sommes profondément, réellement, durablement: notre 'conscience'); on n'est pas attaché à quelque «chose»: Si une «chose» que l'on aime est présente c'est ok; mais comme on n'est pas attaché à cette «chose», lorsque cette «chose» n'est pas présente, c'est comme ça, on n'y pense pas, on ne souffre pas, on est dans l'instant présent sur ce qui est là à cet instant; et pas dans des dépendances au passé ou dans des exigences futures de notre mental.

Par exemple:

Lorsque l'on on est en pleine 'conscience', ouvert, à l'écoute des autres et de leurs bien-êtres; on crée l'harmonie dans nos relations avec les autres, on est tous heureux.

Lorsque l'on on est en pleine 'conscience', tolérant, lorsque l'on respecte les autres: leurs fonctionnements, leurs niveaux de 'conscience', leurs décisions; on crée l'harmonie dans nos relations avec les autres, on est tous heureux.

Nos comportements en pleine 'conscience' dans l'amour libre et ouvert, sont des comportements qui amènent de manière durable du bonheur pour tous.

 

B- Quelles personnes nous rendent heureux ?

B1- Lorsque nous vivons avec une personne (ou des personnes) qui fonctionne en mode égotique basé sur les déclenchements de ses attachements et son fonctionnement mental, en s'identifiant à son ego (donc à ses attachements et à son mental : Son ego, son faux soi) ;

Tant que les attachements de la personne sont satisfaits, cette personne ressent une forme de plaisir; mais si ses attachements ne sont pas satisfaits, cette personne est frustrée, énervée, en colère, elle souffre.

Cette personne attend peut être que nous donnions satisfaction à ses attachements; en somme que nous la prenions en charge.

Par exemple si nous vivons avec:

Une personne qui est attachée à ce que tout soit comme elle le veut (la dictature quoi): Lorsque tous va comme elle le veut c'est ok ; mais si tout ne va pas comme elle le veut, elle est frustrée, énervée, en colère, elle souffre; et risque, si nous ne répondons pas à ses attachements, de nous rendre responsable de ses souffrances.

Une personne qui est attachée à tout contrôler: Tant qu'elle contrôle les autres et les situations c'est ok; mais si elle ne contrôle plus les personnes ou les situations; elle est frustrée, énervée, en colère, elle souffre; et elle risque de nous reprocher de ne pas faire tout ce qu'elle veut, qu'on ne l'aime pas.

Une personne qui est attachée à ses plaisirs, à son égoïsme: lorsque elle est égoïste et qu'elle a tout ce qui lui fait plaisir c'est ok; mais si elle n'a pas tout ce qui lui fait plaisir, elle est frustrée, énervée, en colère, elle souffre; et elle risque de nous reprocher de ne pas lui apporter ce qu'elle veut pour qu'elle soit heureuse. Elle attend peut être que nous la prenions en charge dans la satisfaction de ses exigences; et elle peut nous dire que nous ne l'aimons pas si nous ne répondons pas à toutes ses exigences.

Une personne qui est attachée à son mental (identification à son mental), à ses exigences, à ses jugements, à ses comparaisons: Si elles est meilleure que les autres (dans un ou plusieurs domaines) c'est ok; mais si elle n'est pas meilleur que les autres (dans un ou plusieurs domaines) elle est frustrée, énervée, en colère, elle souffre. Elle ne supporte pas que l'on soit meilleur qu'elle (mais si on n'est pas meilleur qu'elle, ce n'est pas mieux: car elle peut alors penser que l'on est un minable).

Les attachements de la personne, les exigences de son mental, se sont des dépendances, comme des addictions; c'est comme une drogue;

et si la personne n'a pas régulièrement sa drogue (la satisfaction de ses attachements) elle souffre; et comme ses attachements reviennent régulièrement: c'est un puits sans fond où nous risquons de nous épuiser et de souffrir sans cesse face aux comportements répétitifs de cette personne.

En ce qui nous concerne; même si une drogue ou une personne égotique (avec beaucoup de comportements automatiques perturbateurs), peut nous procurer la première fois, ou à court terme, ou quand on a notre dose de drogue ou d'émanations de la personne; du plaisir, un soulagement; progressivement les effets toxiques se révèlent: et on souffre de plus en plus, lorsque on s'est attaché à la drogue, lorsque l'on s'est attaché aux plaisirs addictifs avec une personne, aux comportements d'une personne, aux émanations d'une personne toxique qui nous contrôle via nos attachements: Comme par exemple un attachement au sexe; un attachement à la beauté physique; un attachement à un aspect d'elle qui nous accroche; un attachement à un discours qui nous plaît; un attachement à la valorisation; un attachement à ce qu'elle nous dit que l'on se comprend; un attachement à la sécurité affective, un attachement à être apprécié, un attachement à être aimé... Pour nous libérer de ces dépendances via nos attachements, on peut par exemple prendre 'conscience' que la personne nous contrôle via nos attachements, et aussi déconnecter les attachements via lesquels la personne nous contrôle: Détail pour déconnecter un attachement dans Courts textes, au chapitre Prat18-Déconnecter un attachement.

Les comportements égotiques des autres sont des comportements qui à terme apportent des souffrances pour tous.

 

B2- Lorsque la personne avec qui nous sommes est en pleine 'conscience' dans l'amour libre et ouvert pour les autres (en reconnaissant ce qu'elle est profondément, réellement, durablement : sa 'conscience'); elle n'est pas attachée à quelque «chose»: si une «chose» qu'elle aime est présente c'est OK, mais comme elle n'est pas attachée à cette «chose», lorsque cette «chose» n'est pas présente, c'est comme ça, elle n'y pense pas, elle ne souffre pas; elle est dans l'instant présent sur ce qui est à cet instant; et pas dans des dépendances au passé, ou des exigences futures de son mental.

Par exemple :

Lorsque elle est ouverte, à l'écoute des autres et de leurs bien être; elle crée l'harmonie dans ses relations avec les autres, et on est tous heureux.

Lorsque elle est tolérante, elle respecte les autres leurs fonctionnements, leurs niveaux de 'conscience', leurs décisions, elle crée l'harmonie dans ses relations avec les autres, et on est tous heureux.

Les comportements en pleine 'conscience' dans l'amour libre et ouvert des autres, sont des comportements qui amènent de manière durable du bonheur pour tous.

 

30 juillet 2024 - Parfois on reproche aux autres des défauts que l'on a.

Parfois on reproche aux autres:

- D'être des dictateurs, qu'ils veulent que tout soit comme ils le souhaitent, sinon ils s'énervent, ils sont directifs...

- D'avoir des discours spirituels, mais en réalité ils sont la plupart de leurs temps en mode égotique.

- Qu'ils se croient spirituellement supérieurs aux autres, qu'ils croient avoir raison.

Et si je leur reproche des défauts qui me gênent chez eux; c'est peut être parce que je suis aussi comme cela ?

C'est peut être qu'il est souhaitable que je prenne 'conscience' de cela?

que je change en observant en pleine 'conscience' mes comportements, afin qu'ils soient dans la lumière , et qu'ils se dissipent avec la lumière de mon observation en pleine 'conscience'?

 

14 juillet 2024 – Les gens "anormaux".

Certains ont le syndrome Asperger.

Certains sont, pour notre monde des "anomalies".

Mais nous sommes peut être tous des "anomalies", avec nos spécificités non comprises par les autres.

Lorsque je dis que j’entends les intentions, que je perçois le monde 'subtil', certains ne me croient pas; mais aujourd'hui cela n'a plus d'importance pour moi.

Avant je souhaitais être compris;  mais aujourd'hui cela n'a plus d'importance pour moi.

Avant je souhaitais que l'on m'aime pour ce que je suis, pour mon bonheur; mais aujourd'hui cela n'a plus d'importance pour moi.

Avant je souhaitais que l'on croit en moi; mais aujourd'hui cela n'a plus d'importance pour moi.

Avant je voulais réussir; mais aujourd'hui cela n'a plus d'importance pour moi.

Car ce qui m'importe aujourd'hui, c'est que vous soyez heureux.

 

11 juillet 2024 - Aimer une personne qui à des aspects de sa personnalité qui nous gênent.

Par exemple si on aime une personne dictatoriale, alors que cela ne correspond pas à nos valeurs, on peut se demander: Pourquoi je l'aime ?

Certes on n'apprécie peut être pas son côté dictatorial (dans cet exemple), mais une personne c'est un tout, et bien sûr pas uniquement un trait de caractère.

Et cette personne est peut être aussi parfois charmante, agréable, intelligente, 'subtile' etc...

Et un tout, c'est comme le yin et le yang : Il y a des contraires dans un tout.

C'est comme dans le livre de Robert Louis Stevenson: Docteur Jekyll et M.Hyde.

Une personne avec une double personnalité: Une personnalité Jekyll altruiste, et une personnalité Hyde faisant souffrir les autres.

Hyde se prononce comme hide en anglais, qui signifie caché.

On peut donc tomber amoureux d'une personne qui a une personnalité altruiste (par exemple); mais qui a aussi une personnalité (personnalités multiples, ou trouble dissociatif de l'identité dans les cas très marqués) un peu cachée (que l'on découvre plus tard dans la relation), plus dictatoriale ou égoïste.

Une difficulté dans ce cas, c'est que comme on ne peut travailler que sur soi même, et pas changer les autres; si la personne n'a pas la capacité de changer (ou ne voit pas pourquoi elle changerait); soit on fait avec (on peut travailler sur soi même pour moins réagir aux comportements qui nous gênent), soit on vie avec des tensions récurrentes (on peut avoir la compensation des bons moments); et si cela est malgré tout trop difficile pour nous, cela conduit parfois à une séparation.

Dans un autre exemple où l'on aime une personne qui a un trait de caractère qui nous gêne; cela peut être réactif: Par exemple, parce que l'on aimait notre mère, que notre mère était dictatoriale, et que l'on a inscrit en nous un attachement qui nous fait aimer les femmes dictatoriales.

Dans ce cas, on peut travailler à déconnecter en nous cet attachement (plus de détail au chapitre Prat18-Déconnecter attachement).

Nous serons alors libre d'aimer de manière libre et ouverte, la personne que la vie nous offrira, la personne qui nous aimera, la personne que nous auront choisi.

 

9 juillet 2024 – On peut aimer une personne, et ne pas être compatible pour vivre ensemble. C'est comme ça.

Ne pas être compatible pour vivre ensemble, cela veut dire que les attentes de l'un (ou des deux) ne sont pas compatibles avec l'autre.

Par exemple l'un souhaite une relation sereine dans des échanges libres et ouverts, en n'étant pas soumis à l'autre dans la relation; et l'autre personne est dans le conflit permanent pour que tout soit comme elle le veut.

Dans ces cas, se séparer; cela ne veut pas dire ne plus aimer l'autre, mais reconnaître que l'on n'est pas compatible pour vivre ensemble.

On peut donc aimer une personne et se séparer. C'est comme ça.

 

30 juin 2024 - La manipulation des autres par leurs attachements.

La plupart des êtres/'consciences' de cette Terre ont des attachements.

Un attachement est un programme qui a été mis à un moment donné dans la 'conscience' d'un être;

qui se compose d'un (ou plusieurs) déclencheur, et d'effets produits par ce (ces) déclencheur.

Une fois installé dans la 'conscience', chaque fois que l'être/'conscience' est en présence du déclencheur de l'attachement; l'être/'conscience' déclenche automatiquement les effets de l'attachement.

Par exemple; si dans son enfance un enfant a été agressé; et que cela à inscrit en lui un attachement, qui à engendré le comportement de ne rien dire, de ne rien faire s'il est agressé (comportement qui était peut être adapté à la situation de l'époque);

ensuite, par exemple lorsqu'il sera adulte; chaque fois qu'il aura la perception d'être agressé, il ne dira rien, il ne fera rien.

 

Comme un attachement est un programme qui a été mis à un moment donné; cela veut aussi dire que l'on peut enlever un programme d'attachement. Par exemple en retraversant l'événement origine que a inscrit l'attachement, en étant à un niveau de 'conscience' égal (ou plus profond), que le niveau de 'conscience' auquel l'attachement a été inscrit. Plus de détail au chapitre Prat18-Déconnecter attachement.

 

Si un être perçoit des attachements d'une personne; il peut émettre des déclencheurs qui vont engendrer des comportements automatiques chez cette personne; et pouvoir par ce mécanisme manipuler la personne.

 

Les déclencheurs peuvent être matériels ou 'subtils'; et si les déclencheurs sont 'subtils' et émis à un niveau de 'conscience' que la personne n'est pas capable d'atteindre; la personne ne se rendra pas compte qu'elle est manipulée.

 

Heureusement il y a la loi du karma qui protège et favorise l'harmonie et le bien être des êtres/'consciences'; et si un être/'conscience' manipule d'autres êtres/'consciences' sans leurs accords (les êtres/'consciences' ont leurs parts de libres arbitres, qui sont respectables) pour un profit égoïste, dictatorial; il y aura des alertes (adaptées) vers l'être/'conscience' qui émet ces informations matérielle ou 'subtiles' (quel que soit leurs niveaux de 'conscience') de manipulation vers d'autres êtres/'consciences'.

Ce qui veut dire que si l'on perçoit des attachements chez d'autres êtres/'consciences'; il est souhaitable de respecter leurs libres arbitres et leurs libertés; et se dire que l'on a peut être les même attachements en nous?

Nous pouvons alors décider de déconnecter nos attachements (seul ou accompagné si on le décide).

Parce que l'on ne peut travailler que sur soi même; et pas changer les autres contre leurs libres arbitres.

 

Heureusement, pour approfondir son niveau de 'conscience', sa perception des 'consciences' et des attachements;

il est nécessaire d'aimer les autres;

et la manipulation des autres n'a plus de sens lorsque l'on est en pleine 'conscience' dans 'harmonie interdépendante des êtres/'consciences'.

 

29 juin et 30 juin 2024 – Ma 'conscience' aime ta 'conscience'.

Pour vivre heureux en harmonie en couple; il est important de bien faire la différence entre:

- L'expression de notre 'conscience';

- Et l'expression de notre notre ego (nos comportements automatiques + notre mental: nos exigences, nos interprétations, nos jugements).

 

Par exemple, la 'conscience' d'un être peut aimer la 'conscience' d'une personne, de manière libre et ouverte, pour son bonheur, sans rien attendre en retour;

et en même temps, l'ego de ce même être peut aimer de manière réactive l'ego de la personne (par le déclenchement de comportements automatiques de l'être, générés par des expressions de la personne).

Dans l'exemple ci dessus, tout semble être en accord: la 'conscience' de l'être aime la 'conscience' de la personne; et l'ego de l’être aime l'ego de la personne (certes pas la même manière d'aimer).

 

Mais ce n'est pas parce que l'on aime une personne (sa 'conscience', ou son ego, ou les deux) que l'on va vivre heureux ensemble.

Le premier point qui est une évidence, c'est que pour vivre ensemble; il est nécessaire que les deux souhaitent, et décident de vivre ensemble.

Et un être peut avoir envie de vivre avec une personne, et que cette personne n'en n'ai pas envie.

Parfois dans ce cas là, l'être qui aime la personne, ne veut pas entendre que la personne ne veut pas vivre avec lui; et trouve plein d'explications mentales pour se convaincre que cela devrait être possible en faisant telle ou telle chose (mais on à le droit de rêver, de se raconter des histoires; mais le réveil peut être douloureux).

Mais c'est aussi vrai que les choses peuvent changer (ou pas).

Le deuxième point pour vivre heureux ensemble c'est de savoir, si on fonctionne souvent avec son ego, si les attentes/les attachements de l'être sont compatibles avec les attentes/attachements de la personne.

Car parfois un être aime une personne; mais les deux ne sont pas compatible pour vivre ensemble.

Exemple de non compatibilité entre deux egos: Un ego aime la liberté, est altruiste, écoute et respecte les autres; et l'ego de l'autre personne qu'il aime est très joli physiquement, est dans le pouvoir, veut que tout soit comme il le veut (sinon l'ego pique des crises), est égoïste.

Comment est il possible d'aimer un ego comme cela ?

L’être peut, par exemple, être attaché à la beauté physique et aux relations sexuelles avec la personne (alors il supporte ses caprices).

L'être peut aussi avoir un attachement à aimer les femmes dans le pouvoir et égoïstes. Par exemple si, lorsqu'il était enfant, l'être aimait sa mère; et que sa mère était dans le pouvoir (voulait que tout soit comme elle le voulait sinon elle piquait des crises) et était égoïste.

Il parait donc souhaitable de percevoir en pleine 'conscience' nos attachements (dont nos attachements qui nous font tomber amoureux, et nos attachements aux relations sexuelles); et de percevoir en pleine 'conscience' les comportements et les attachements de la personne que l'on aime (sans les masquer parce que l'on aime la personne, parce qu'on l'idéalise, et que l'on ne veut pas voir ce qui pourrait faire que cela ne fonctionne pas entre nous).

 

Et puis, L'ego peut, par exemple, se dire que pour vivre ensemble de manière harmonieuse, il est souhaitable que les deux êtres/personnes soient altruistes, écoutent les autres, s'intéressent aux autres, respectent les autres, prennent soin des autres, soient tolérants.

Et puis la 'conscience' peut, par exemple, laisser simplement émerger ses ' 'intuitions'.

 

Mais pour trouver la sérénité face au conflit en nous même, lié aux contradictions que nous ressentons dans notre ego face:

- Au fait que nous aimons la personne.

- Au fait que nous trouvons la personne dictatoriale et égoïste; et que cela ne correspond pas aux valeurs de notre ego.

- Au fait que nous ne vivons pas avec la personne que nous aimons.

 

Alors il est utile:

- De déconnecter, ou d'être 'conscient', de ses attachements à tomber amoureux, aux relations sexuelles, à vouloir que tout soit comme on le veut.

- De percevoir que le comportement dictatorial et égoïste de l'autre personne est peut être lié à un attachement à la sécurité ou aux plaisirs, intégré par exemple dans l'enfance de la personne, qui lui a peut être été utile à ce moment là, mais qui est inadapté au bien être des êtres (dont celui de la personne) aujourd'hui.

- De percevoir l'interdépendance des êtres/'consciences'.

 

Alors:

Nous pouvons aimer de manière libre et ouverte (sans attachements à tomber amoureux, aux relations sexuelles, à vouloir que tout soit comme on le veut)  la personne, sans culpabiliser :

- Parce que nous percevons que la personne n'est pas que dictature et égoïsme; que la personne est peut être aussi, intelligente, 'subtile', adaptable, et qu'elle est aussi parfois attentive aux autres; et que la personne n'est pas profondément, réellement, durablement ses attachements avec des comportements dictatoriaux et égoïstes. Mais que ce qu'elle est profondément, réellement, durablement c'est sa sa 'conscience'.

- Parce que nous comprenons que les attachements à la dictature et à l’égoïsme de la personne font que cette personne ne souhaite (peut être) pas vivre avec nous; ou que la vie en couple serait trop douloureuse pour les deux.

- Parce que nous percevons que les attachements de la personne n’empêchent pas notre 'conscience ' d'aimer sa 'conscience'; et notre ego d'aimer son ego: ses qualités, tout en étant 'conscient' que ses «défauts» sont induits par certains de ses attachements.

 

Alors:

- Nous ne masquons pas certaines réalités.

- Nous percevons mieux la réalité.

- Nous percevons mieux nos réactivités et leurs incidences sur nos comportements.

- Nous percevons mieux les réactivités de l'autre personne, qu'elle en souffre, et que cela la conduit, peut être, à ne pas vivre avec nous.

- Nous percevons mieux les difficultés à vivre ensemble.

- Nous acceptons peut être de l'aimer et de ne pas vivre ensemble.

 

23 juin 2024 - Ce que l'on a envie de vivre, ce que l'autre a envie de vivre.

Parfois on vie avec une personne;

on a envie de vivre avec cette personne;

on a l'impression que cela se passe bien;

mais un jour on sent que la personne s'éloigne, qu'elle n'a plus trop envie d'être avec nous, qu'elle n'a plus trop envie d'avoir des relations sexuelles avec nous (si nous avions ce type de relation bien sûr).
Alors, on ne comprend pas; on lui pose des questions sur cette situation, mais on n'a pas forcément des réponses claires, on est inquiet, on souffre.

Et puis un jour la personne nous quitte, c'est l'effondrement un grande douleur, une incompréhension, une colère que l'on masque parfois.

Et l'on reste avec sa colère, ses souffrances, ses interrogations; et on se demande ce que l'on n'a fait qui n'allait pas, ou ce que l'on n'a pas fait: on ne l'écoutait pas assez ? on ne la comprenait pas assez ? on ne répondait pas à ses attentes, à ses besoins ?

 

Mais la vie avec une personne, ce n'est pas qu'un troc de satisfactions des besoins de l'autre (ça, c'est la vision de l'ego).

Il y a une partie irrationnelle pour le mental: C'est l'aspiration de la personne; c'est par exemple l'envie de vivre autre chose, et contre cela le mental ne peut rien.

Et si une personne nous quitte parce qu'elle a envie de vivre autre chose; souvent aucune explication ne pourra apaiser notre mental:

- Parce que la personne ne peut pas nous donner une explication mentale; parce que sa décision ne vient pas d'un raisonnement mental.

- Mais aussi souvent parce que notre ego refuse cette situation.

 

D'ailleurs que pouvons nous y faire ?

Et peut être que quoi que nous fassions, cela ne changera pas son envie de vivre autre chose ?

Alors, faire face à notre souffrance ?

Essayer de la mettre à distance, essayer de l’apaiser?

Constater qu'une personne fonctionne à sa manière, avec son libre arbitre; et que si on fonctionne différemment, on ne comprend pas forcément ses décisions ?

 

Mais on peut aussi l'aimer comme elle est; et si on aime une personne, même si notre souffrance est grande de la voir s'éloigner de nous;

on peut parfois aussi constater (accepter?) que la personne est heureuse de vivre ce qu'elle à décidé de vivre ?

 

21 juin 2024 – Parfois nos perturbations viennent d'autres 'consciences' qui souffrent.

Parfois je suis perturbé, je souffre, et je cherche ce qui provoque cela en moi.

Je suis alors attentif, à être relâché, en pleine 'conscience' au niveau de 'conscience' le plus profond que je puisse être à cet instant;

et j'observe si quelque chose me concernant émerge de ma 'conscience'.

Parfois rien n'émerge.

Je reste relâché en pleine 'conscience', et parfois, ce qui émerge c'est que que ma perturbation viens d'autres êtres.

Je perçois cela comme un appel, parfois comme un appel au secours, d'un être, d'une 'conscience', d'un groupe de 'consciences'...

Comment répondre à ce que je perçois comme un appel?

Je reste relâché en pleine 'conscience'; parfois des 'intuitions' émergent, et j'agis en accord avec cela (je peux prendre contact avec les êtres, écrire, etc..) ;

Ma croyance est de ne pas me substituer aux êtres, mais d'accompagner (suite à une demande) afin que les êtres soient au mieux de ce qu'ils peuvent être à cet instant, pour résoudre eux même leurs préoccupations.

D'autre part, je sais que si on n'est pas en pleine 'conscience' (si notre ego masque les émergences de notre 'conscience', parce que l'on est dans un état mental ou réactif), on aura parfois des difficultés à trouver une solution harmonieuse pour tous (dont nous même).

 

De plus, même si on est en pleine 'conscience'; un attachement inscrit à un niveau de 'conscience' donné peut masquer notre 'conscience' (si on n'est pas à un niveau de 'conscience' égal ou plus profond que le niveau de 'conscience' où cet attachement a été inscrit).

Dans ces cas, il est nécessaire d'approfondir son niveau de 'conscience'.

 

Je sais aussi que si je suis en liens 'subtils' avec un être (ou des êtres, des 'consciences') ;

si je suis en pleine 'conscience' à un profond niveau de 'conscience' (plus profond que le niveau de 'conscience' de l'autre être, à cet instant )

cela aide l'autre être à approfondir son niveau de 'conscience' (dans la limite du niveau de 'conscience' qu'il est capable d'atteindre à cet instant).

Et plus on est à un niveau de 'conscience' profond, plus on est en liens 'subtils' avec les autres 'consciences' à un profond niveau de 'conscience'; ce qui nous donne accès à plus d'informations, qui nous seront peut être utiles pour trouver des solutions à notre préoccupation.

 

On peut se poser la question: Pourquoi ne pas utiliser le niveau de 'conscience' de l'accompagnant, s'il est plus profond que celui de la personne accompagnée ?

Parce que l'on n'évolue pas avec le fonctionnement, ni le niveau de 'conscience', ni les décisions des autres; sinon on risque de se rendre dépendant de quelqu'un qui veut se valoriser, ou prendre le contrôle sur nous; alors qu'en décidant par nous même, nous trouvons nos solutions, nous les assumons: au mieux de ce que nous sommes pour notre autonomie et notre évolution.

 

Je reste alors avec mes perceptions en pleine 'conscience' dans l'amour (vide de perturbations de l'ego : vide d'exigences, vide de jugements, vide d'attachements); je ressens les liens 'subtils' avec les 'consciences' (celle de l'être et des autres 'consciences' environnantes); je ressens notre interdépendance; je reste dans cet état.

Je crois qu'un être en pleine 'conscience', relié en pleine' conscience' dans l'amour aux autres êtres ('consciences') est au mieux qu'il puisse être.

Ce qui ne veut pas dire qu'il n'y a pas de souffrances .

Il y a par exemple des souffrance d'alertes; et elles ont quelque chose à nous dire, pour trouver les causes, des solutions pour résoudre la situation, pour s'améliorer, pour le bien être de tous, dont nous même.

Et les souffrances d'alertes sont les souffrances minimales qui puissent être (sans en rajouter d'inutiles).

 

Parfois, je me sens triste de ne pas pouvoir agir encore plus, pour que les êtres souffrent moins, soient plus heureux.

Je constate alors que c'est mon ego qui a pris le contrôle;

je constate que c'est mon ego qui me dit que ce n'est pas suffisant, qu'il faut en faire encore plus.

Alors je vide mon ego des parasites et des pollutions inutiles : vide d'exigences, vide de jugements, vide d'attachements (entre autre sans attachement à la non souffrance: je souhaite bien sûr que les êtres ne souffrent pas, mais sans attachements).

 

Je reste en pleine 'conscience' dans l'amour, relié aux autres 'consciences'.

Les 'consciences' des autres êtres, peuvent alors éventuellement se connecter 'subtilement', de manière 'intuitive', aux 'consciences' qu'elles souhaitent; cela ne peut que faciliter l'émergence 'd'intuitions' pour résoudre leurs préoccupations.

 

18 juin 2024 – La vengeance.

Parfois dans le passé (dans cette vie, ou des vies antérieures) des femmes ont été agressées, manipulées, violées, torturées, réduites en esclavage; et aujourd'hui elles veulent se venger.

Ces événements traumatisants dans le passé, ont parfois inscrit en elles des attachements à contrôler, à manipuler, à torturer, à dominer, à culpabiliser, à faire souffrir, à tuer...

Est ce qu'elles seront plus heureuses une fois qu'elles se seront vengé ?

Lorsque elles se seront vengé, qu'elles auront torturé, asservi, dominé, manipulé, culpabilisé: Elles seront devenues comme leurs agresseurs; en prenant plaisir à torturer, à dominer, à manipuler, à tuer.

 

Parfois ces femmes agressées rendent des hommes amoureux, par le sexe, la séduction, en montrant qu'elles et eux se ressemblent, se comprennent; elles émettent des chants de séduction, elles enferment des hommes dans leurs filets pour ensuite les agresser, psychologiquement, psychiquement, 'subtilement', pour les détruire progressivement.

Elles commencent à mettre des banderilles, et lorsque les hommes sont au bout du rouleau, qu'ils ne peuvent plus rien donner, qu'ils sont épuisés, elles les jettent, comme des citrons pressés, comme de vielles poubelles, comme de vieilles chaussettes trouées; sans ménagements et sans remords, parfois même ils en meurent (en s'envoyant parfois des maladies).

 

Peuvent elles changer ?

Elles ont leurs parts de libre arbitres.

Il n'y a qu'elles qui peuvent se changer.

Leurs 'consciences' peuvent les aider à changer; mais encore faut il que leurs egos ne masquent pas les émergences de leurs 'consciences'.

Les émergences des 'consciences' traversent tout, sont partout.

Mais si leurs egos n'entendent pas les émergences de leurs 'consciences', ce n'est pas parce que les informations ne sont pas présentes; c'est que leurs egos ne veulent pas les entendre.

On ne peux pas les changer de force, contre leurs gré.

 

On ne peut qu'être à chaque instant au mieux que l'on sache être:

en déconnectant ses attachements (au sexe, aux relations sexuelles de force...);

en vidant son ego (vide d'exigences, vide de jugements...);

en étant en pleine conscience' dans l'amour;

en écoutant dans l'amour;

en respectant les autres;

en prenant soin des autres;

en aimant les autres (même ceux qui sont égoïstes: c'est sans doute ceux qui en ont le plus besoin) de manière libre et ouverte, pour leurs bonheurs, sans rien attendre en retour;

en s'exprimant dans l'amour.

Ensuite, au mieux que l'on puisse faire, c'est comme ça, malgré les souffrances d'alertes inévitables;

et les chiens aboient la caravane passe, on laisse aller c'est une valse, on laisse pisser le mérinos, let it be.

 

14 juin 2024 – Un monde injuste?  Écouter, comprendre, aimer.

Au début, lorsque l'on regarde une personne, c'est souvent son corps physique que l'on voit en premier;

c'est donc souvent son corps physique que l'on aime (ou pas) en premier.

Puis, si on écoute la personne, si on la comprend; on peut être attiré (ou pas), et l'aimer pour ce qu'elle est réellement, complètement.

Pour le monde ('ce qui est'), c'est un peu pareil:

Ce que l'on voit en premier c'est souvent la nature, les végétaux, les corps (physiques) des animaux, les corps des personnes...

Mais on voit aussi les souffrances, les atrocités, les pollutions...

Et on peut se dire, par exemple, que ce monde est injuste.

 

Si on écoute le monde ('ce qui est') ; que l'on essaie de le comprendre ;

qu'est ce que l'on peut voir ?

Que l'origine de 'ce qui est' est: Amour, libre arbitre, interdépendance, impermanence, 'conscience'.

Que l'origine de ce que nous sommes est: Amour, une part de libre arbitre, interdépendance, impermanence, 'conscience'.

Et comme nous avons une part de libre arbitre; nous pouvons l'employer (par exemple) à être dans l'amour en liens avec 'ce qui est', ou être centrés sur nous même égoïstes.

Au début de l'évolution des 'consciences' ; les 'consciences' ont des niveaux de 'conscience' superficiels ; et comme au début nous nous percevons comme un corps physique isolé, qui ressent des plaisirs et des souffrances; nous nous croyons un être isolé, séparé des êtres; et nous devenons égoïstes, à la recherche de plaisirs pour notre corps.

Cette recherche de plaisirs se fait pour nous (parfois aussi pour notre entourage), avec le désir de posséder nos objets de plaisirs, de les accumuler.

Ces accumulations de plaisirs par certains êtres (les plus puissants), se font parfois au détriment d'autres êtres; ce qui génère des souffrances.

Et même les êtres les plus puissants ne sont parfois pas heureux: parce qu'il leur en faut toujours plus, et qu'ils souffrent de ne pas en avoir toujours plus, souvent en comparaison avec les autres (sans être attentif à ce qu'ils ont réellement besoin). Et les convoitises attisent les conflits entre les personnes et le monde, pour posséder toujours plus.

 

On peut voir l'origine du monde ('ce qui est') comme favorable avec les dons de l'amour, des parties de libres arbitres, de l'interdépendance, de l'impermanence, des 'consciences' ?

 

mais on peut aussi voir l'origine de 'ce qui est' (avec par exemple le don d'une partie de libre arbitre des êtres) comme responsable des souffrances que nous constatons aujourd'hui ?

 

Mais se sont peut être les êtres, avec leurs faible niveaux de 'conscience', leurs égoïsmes, et leurs parts de libre arbitre, qui génèrent des souffrances et de l'injustice ?

Est ce que 'ce qui est ' concoure à créer l'harmonie et le bonheur ?

D'abord, en favorisant l'évolution des 'consciences', par l'approfondissement de leurs niveau de 'conscience', cela leur fera prendre ''conscience' de leurs parts de libres arbitres, des conséquences de leurs actes, de connaître les êtres, de les aimer.

Mais aussi par les alertes de la loi du Karma:

Si des êtres génèrent des souffrances pour les êtres, et s'ils ne sont pas attentifs aux conséquences; la loi du Karma génère des alertes (des informations interpellantes au départ, puis des souffrances si l'être n'écoute pas les premières informations), pour leur faire prendre 'conscience' de l'incidence de leurs actions sur les souffrances et l'injustice; pour qu'ils élèvent leurs niveaux de 'conscience', se rendent compte de leurs égoïsmes, afin qu'ils évoluent vers plus de compassion et d'amour.

 

Les souffrances sont donc souvent des alertes pour nous avertir que nous sommes égoïstes, et que nous générons des souffrances pour les êtres, afin de nous améliorer. Des souffrances que nous subissons peuvent aussi être des dommages collatéraux générés par des actions égoïstes d'autres personnes (mais ce qui n'exclus pas que nous soyons aussi concerné).

 

Mais,

si nous n'écoutons pas ces alertes de souffrances;

si nous croyons que ces souffrances viennent des autres ou du monde, sans regarder la part qui nous revient ;

si nous ne voulons donc pas voir notre part de comportement dans ces souffrances ;

nous continuerons à générer des souffrances;

et la loi du Karma augmentera alors la puissance de ses alertes, voire de ses actions sur les' consciences' et la matière.

 

Aussi, pour que le monde réduise ses souffrances, aille vers plus d'harmonie et de bonheur; il est sans doute souhaitable que nous soyons attentif :

aux incidences nos comportements sur le bonheur des autres,

aux souffrances qui peuvent être des alertes ;

ce qui nous permettra de nous améliorer, d'approfondir notre niveau de 'conscience', de développer un amour libre et ouvert pour le bonheur de tout 'ce qui est'.

 

12 juin 2024 – Si on n'a pas réussi à se faire aimer par la personne que l'on aime,

Si on n'a pas réussi à sauver d'elle même la personne que l'on aime.

SI on n'a pas réussi à se faire aimer par la personne que l'on aime; on est quand même souvent 'conscient', 

qu'elle aime bien qui elle veut, comme elle veut, avec son fonctionnement, ses attachements, ses critères, son niveau de 'conscience'.

Mais pour qu'elle m'aime; est ce que je veux me conformer à ses critères pour lui plaire?

Mais alors qui aimerait elle? l'image que je voudrais donner ? et pas ce que je suis ?

Mais si on m'aime, je souhaite peut être que cela soit pour ce que je suis ?

Mais qu'est ce que je peux faire d'autre?

Peut être, être au mieux de ce que je sache être à chaque instant ; en étant en pleine 'conscience' ; en déconnectant mes attachement, en étant sans exigences; en l'écoutant; en l'aimant de manière libre et ouverte ?

Et si, en étant au mieux de ce que je sache être, elle ne m'aime pas, alors je ne regretterai peut être rien ?

Sauf peut peut être, si c'est mon ego qui veut obtenir quelque chose, qui a des exigences ?
Alors je peux décider de devenir vide d'ego: Sans vouloir obtenir des autres quelque chose avec exigence, égoïsme, pour mon seul plaisir. Sinon, si je veux que la personne que j'aime m'aime (sans tenir compte de ce qu'elle souhaite) c'est de l’égoïsme.
Et si je l'aime vraiment (de manière libre, ouverte, en l'écoutant, pour son bonheur, sans rien attendre en retour), si je la respecte, si je l'écoute, si je la comprend ; j'accepte peut être ses décisions, quelque soit son fonctionnement, son niveau de 'conscience' ?

 

Si on n'a pas réussi à sauver d'elle même (de ses tourments, de ses souffrances) la personne que l'on aime; c'est peut être parce que l'on ne peut pas sauver les autres d'eux même, contre leur gré, sinon c'est peut être de la dictature ? de la prise de pouvoir sur l'autre ?

Et d'ailleurs il n'y a peut être que les personnes elles même qui peuvent se sauver ? (avec éventuellement un accompagnement, si elles le souhaitent).

On peut parfois constater que des personnes n'ont pas (à un moment de leurs vies, à cet instant) les capacités de se sauver d'elles même; par exemple si leurs 'consciences' sont tellement recouverte par leurs egos; que leurs 'consciences' ne peuvent (pour l'instant) pas s'exprimer; ce qui leur permettraient de voir, de trouver des solutions à leurs masquages de l'instant.

Car on évolue avec son niveau de 'conscience', son fonctionnement; et pas avec celui des autres.

Lorsque l'on constate des souffrances chez la personne que l'on aime; cela engendre parfois en soi même des souffrances, de la tristesse.

On peux alors visualiser que l'on envoie son inspiration dans ses souffrances, dans sa tristesse; dans la zone de son corps où l'on ressent cette tristesse?

Qu'est ce que nos souffrances ont à nous dire ?

Que l'on se sens impuissant pour aider la personne que l'on aime ?

Que l'on ne sait que l'aimer, être là; mais on a peut être le sentiment que cela est insuffisant ?

Que peut on faire d'autre ?

Écouter encore plus profondément les autres, 'ce qui est' ?

Être à chaque instant en pleine 'conscience' pour favoriser nos 'intuitions' (qui nous donneront des solutions pour supprimer les souffrances de la personne que l'on aime)?

Mais les souffrances de la personne que l'on aime ont peut être quelque chose à lui dire ?

Et si je supprime les souffrances qui ont quelque chose à lui dire; je supprime peut être aussi les informations qui pourraient lui faire prendre 'conscience' des causes de ses souffrances (par exemple des comportements égoïstes)? et qui l’empêcherait d'évoluer ?

Et, même si elle ne comprend pas, même si je ne comprend pas, cela ne veut pas dire que cette situation (avec ces souffrances), n'est pas globalement harmonieuse et favorable au bien être et à l'évolution de tous ?

Alors, peut on accepter cette situation, cette possibilité ?

et être à chaque instant au mieux que l'on sache être, en pleine 'conscience' et vide d'ego (vide d'exigences, vide de comportements automatiques égoïstes) pour ne rien regretter ?

 

1 juin 2024 - Ne rien attendre en retour.

Lorsque l'on fait quelque chose pour une personne, en attendant quelque chose d'autre en retour dans le futur de cette personne (une sorte de troc),

c'est de la manipulation, du contrôle, du pouvoir, de l’égoïsme;

et cela génère des souffrances pour les autres comme pour nous même.

Lorsque l'on agit dans l'instant présent sans rien attendre en retour,

dans l'amour, la liberté ;

cela génère du bonheur pour les autres comme pour nous même.

 

29 mai 2024 – Les attentes des autres.

Si notre ego veut plaire, si notre ego ne veut pas décevoir; on peut avoir tendance à se conformer aux attentes des autres.

Mais lorsque l'on se conforme aux attentes (égotiques) des autres; on n'est pas réellement soi même, donc pas au mieux que l'on puisse être.

Lorsque notre 'conscience' exprime ce qu'elle est; on est au mieux que nous puissions êtres; et si les 'consciences' des autres nous écoutent (en liens 'subtils' avec nous ) il n'y a pas de jugement, et les autres (leurs 'consciences': ce qu'ils sont profondément, véritablement, durablement) nous aiment pour ce que nous sommes.

Lorsque nous percevons cela, nous ne ressentons plus l'obligation de plaire, ni la peur de décevoir.

 

26 mai 2024 - Vivre avec une personne et l'aimer.

Vivre avec une personne et l'aimer;

C'est l'écouter, c'est être attentif à elle, c'est la respecter, c'est la laisser vivre ce qu'elle est, c'est prendre soin d'elle, c'est ne pas l'asphyxier par nos attentes; afin d'être heureux ensemble.

 

23 mai 2024 – L'écoute et l'amour.

L'écoute est peut être le plus important dans nos relations avec les autres;

mais pas avec un esprit plein de certitudes, d'interprétations, de jugements;

mais avec un esprit ouvert; vide de certitudes, vide d'interprétations, vide de jugements.

Bien sûr, l'amour est aussi important dans nos relations avec les autres;

car si on n'écoute pas les autres; qui aime t'on ?

Et si on écoute les autres; on peut les aimer pour ce qu'ils sont (et pas l'idée que s'en fait notre ego).

Mais bien sûr lorsque je parle de l'amour, je ne parle pas l'amour pour les plaisirs que l'autre nous procure; mais de l'amour ouvert, attentif à l'autre, pour son bonheur, sans rien attendre en retour).

Si on aime les autres, une preuve: C'est si on les écoute (ou lieu d'être centré soi même, égoïste).

On peut écouter avec ses oreilles; mais le plus important c'est sans doute d'écouter avec son cœur (son âme, sa 'conscience').

Ecoute et Amour sont indissociables.

 

22 mai 2024 – La maltraitance.

La maltraitance ce n'est pas que les coups, mais aussi:

Les remarques acerbes, culpabilisantes, avilissantes;

Les moqueries, la méchanceté;

La non attention;

La non considération;

L'indifférence;

La non écoute;

Ne pas prendre soin;

Les intentions 'subtiles' (non dites verbalement) acides, sales, agressives, qui ne se voient pas dans le matériel, mais qui détruisent à l'intérieur.

Bref, la maltraitance c'est tout ce qui est fait et exprimé de manière matérielle ou 'subtile' avec l'intention de faire du mal, de faire souffrir, de culpabiliser, de faire plier, de soumettre, de dominer, d'asservir, de détruire.

Heureusement il y a l'amour (l'amour ouvert, attentif à l'autre, pour son bonheur, sans rien attendre en retour), dans notre monde, en nous, dans nos relations avec les autres.

 

12 mai 2024 – La sincérité.

Pour évoluer, pour être heureux parmi les autres; peut être ne pas chercher absolument à convaincre, à séduire, à plaire, à se conformer à ce que veulent les autres;

mais être soi même, exprimer ce que l'on est, ce à quoi on croit, dans l'amour.

A partir du moment où on est soi même, sincère, la réussite ou l’échec n'existe pas.

L'avis des autres, c'est leurs choix, et si les chiens aboient des messages réprobateurs; la caravane passe.

Si d'autres louent nos paroles, nos actions; attention de ne pas être dépendant des chants des sirènes, qui ne sont car parfois que des aboiements suaves.

Les autres s'expriment avec ce qu'ils sont dans l'instant;

et ce que les autres pensent de nous, avec leurs perceptions, leurs interprétations, cela ne nous regarde pas? Cela ne regarde qu'eux, cela leur appartiens.

 

6 mai 2024 – Ce qui veut dire

qu'il faut peut être arrêter de se focaliser uniquement sur soi, sur son bonheur, sur son évolution; mais, à chaque instant:

- Etre en connexion d'amour avec l'ensemble des êtres, relâché;

- Ecouter (vide de volontés égoïstes) les autres, être attentif aux autres, à ce qui est, attentif au bonheur de tous, à l'évolution de tous (dont soi même, un élément interdépendant de cette unité);

- Laisser émerger ses "intuitions" (en liens avec 'ce qui est');

- Agir pour le bonheur de tous (dont soi même, dans l'unité de l'interdépendance de 'ce qui est').

 

6 mai 2024 - Le bonheur de tous les êtres.

Si j'aime tous les êtres, ce qui est; et que j'agis à chaque instant pour le bonheur de tous les êtres (dont moi même);

si les autres êtres aiment tous les êtres (dont moi même); et qu'à chaque instant les êtres agissent pour le bonheur de tous les êtres.

Alors nous avons la possibilité d'être tous heureux, au mieux que nous le pouvons.

Aussi, je commence par ressentir l’interdépendance dans l'union de l'amour réciproque de tous les êtres (vide de volontés égoïstes indépendantes, d’exigences, d'interprétations, de jugements), j'écoute leurs souhaits, ce qu'ils sont, relâché;

je laisse émerger mes "intuitions" en liens interdépendants d'unité avec les matières, les "consciences",'ce qui est', pour le bonheur de tous les êtres ;

et j'agis pour le bonheur de tous les êtres (dont moi même, un élément interdépendant du grand tout).

 

28 avril 2024 - Interdépendant, changeant.

Tout est interdépendant, changeant: Les personnes, les animaux, les végétaux, les minéraux, les 'consciences', les âmes, 'ce qui est' (l'origine de toutes choses; ce qui est de tout temps).

Cela induit que 'ce qui est': les personnes, les animaux, les végétaux, les minéraux, les "consciences", les âmes etc... sont vides d'existences propres indépendantes séparée des autres et ne changeant pas.

On existe certes, mais de manière interdépendante et changeante avec les autres choses matérielles ou 'subtiles'.

On est relié dans une unité par des liens 'subtils' et matériels interdépendants à la matière, aux autres 'consciences', à 'ce qui est'..

La perception de notre ego d'une existence indépendante et ne changeant pas (personnes, animaux, végétaux,  minéraux, 'consciences', âmes, 'ce qui est' etc...) est une illusion de notre ego (notre mental et nos comportements automatiques d'attachements).

 

16 avril 2024 - Les conflits dans notre univers.

Les conflits dans notre univers sont peut être les conséquences d'un manque d'écoute des autres, d'un manque d'amour des autres, d'un manque d’échanges en pleine 'conscience' pour trouver ensemble des solution harmonieuses pour le bonheur de tous.

Aussi, je peux commencer par écouter les autres...

 

11 Avril 2024 – Beaucoup de personnes vivent seules.

Je constate que beaucoup de personnes vivent seules.

Je constate aussi que beaucoup de personnes ont de fortes attentes vis à vis d'un potentiel conjoint; et que les attentes des deux potentiels conjoint sont souvent incompatibles, parce que chacun à parfois des attentes trop fortes vis à vis de l'autre, chacun voulant parfois quelqu'un «mieux» que lui/elle.

Par exemple:

Si chacun attend une personne plus belle physiquement qu'elle/lui.

Si chacun attend une personne plus jeune qu'elle/lui.

Si chacun attend une personne d'une plus grande tolérance qu'elle/lui.

Si chacun attend une personne plus intelligente qu'elle/lui.

Si chacun attend une personne plus gentille qu'elle/lui.

Si chacun attend une personne plus "subtile" qu'elle/lui.

Si chacun attend une personne d'une meilleure position sociale qu'elle/lui.

Si chacun attend une personne d'une meilleure image sociale qu'elle/lui.

Si chacun attend une personne plus riche qu'elle/lui, avec plus de possessions matérielles etc...

Si les egos de chacun attendent «plus» que ce qu'ils sont; ils ne trouveront pas une personne qui elle aussi attendra «plus» que ce qu'ils sont; et les personnes resteront seules.

Si se sont les "consciences" qui s'expriment, alors leurs "consciences" seront peut être interpellées par une personne, quelque soit sa beauté physique, son age, sa tolérance, son intelligence, sa gentillesse , son côté "subtil", sa position sociale , son image sociale, sa richesse, ses possessions matérielles...

 

5 Avril 2024 – Les autres sont différents.

Je raisonne, je fonctionne parfois comme si les autres raisonnaient, fonctionnaient comme moi;

comme s'ils avaient le même niveau de "conscience", les même capacités d'abstraction, les même attachements, les même valeurs.

Parfois j'ai envie de vivre avec une personne;

avec mon raisonnement, mon fonctionnement, cette personne devrait avoir envie de vivre avec moi;

mais avec son raisonnement, son fonctionnement, elle n'en n'a pas envie.

 

2 Avril 2024 – Si je souhaite vivre avec une personne; que cette personne ne souhaite pas vivre avec moi mais avec quelqu'un d'autre.

Cette personne fait bien ce qu'elle veut;

elle vie bien avec qui elle veut;

c'est son choix, sa décision;

Et si c'est sa décision, c'est pour moi le mieux qu'elle puisse faire pour son chemin d'évolution, quel que soit son  niveau de "conscience".

Chacun a ses critères de choix;

si je ne correspond pas à ses critères;

et si une autre personne correspond à ses critères;

c'est comme ça, c'est la réalité du moment.

Je suis ce que je suis, je n'essaie pas de me changer pour me calquer sur ses critères de choix; car si je suis sincère et authentique sur ce que je suis, je suis alors au mieux que je puisse être, je n'ai alors rien à regretter.

 

19 mars 2024 – Je commence par écouter l'autre avec ma 'conscience' (mon coeur).

Si je suis centré sur moi, sur ma liberté individuelle, sur mes plaisirs égoïstes;

et si les autres sont centrés sur leurs libertés individuelles, sur leurs plaisirs égoïstes;

chacun tirera la couverture à lui; nous serons en conflits d’intérêts, qui iront contre nos libertés et nos bonheurs.

Si j'écoute l'autre avec ma 'conscience' (mon coeur); si je suis attentif à le comprendre; si je l'aime de manière libre (sans attachements aux plaisirs qu'il me procure) et ouverte (pour ce qu'il est ); et que les autres m'écoutent avec leurs 'consciences' (leurs coeurs), sont attentifs à me comprendre, et m'aiment de manière libre et ouverte; en échangeant, nous allons trouver ensemble des solutions harmonieuses pour les libertés et le bonheur de tous.

Je commence donc par écouter l'autre avec ma 'conscience' (mon coeur).

 

9 mars 2024 – La pleine 'conscience"'la liberté, l'amour du chiffre 3.

Si a l'origine n'existait que le 1 peut être que tout serait figé, immobile?

S'il n'existait que le 2, le monde resterait peut être dans l'opposition?

Peut être que par le 3, il est possible de trouver l'harmonie de la complémentarité qui relie les différences interdépendantes; dans la liberté, la dynamique, le changement? Comme dans le yin et le yang relié dans une libre complémentarité dynamique changeante et interdépendante.

Le bonheur est il en harmonie complémentaire avec la souffrance, par les liens qui les relient; dans la liberté, la dynamique, qui conduit au changement, à la vie?

Sans la différence du 2 et son observation du 3; la pleine "conscience" existerait elle?

Sans la reliance du 3 de la différence du 2, l'amour existerait il?

 

5 mars 2024 - Je respecte les autres, quel que soit leurs manières d'aimer.

Si j'aime une personne et que j'ai envie de vivre avec elle, mais qu'elle ne veut pas vivre avec moi ; J'observe :

Manière 1 - Si je suis attaché à ce qu'elle m'aime; ou si je suis attaché à ce qu'une personne m'aime et veuille vivre avec moi si je l'aime ?

Manière 2 - Si je l'aime pour les plaisirs qu'elle me procure (sans attachements)?

Manière 3 – Si je l'aime de manière libre (sans attachements de ma part, en respectant son libre arbitre quel que soit son niveau de "conscience") et ouverte (pour ce qu'elle est, pour son bonheur) ?

Parfois plusieurs manières coexistent.

Par exemple, à des moments je peux être attaché à ce qu'elle m'aime; et à d'autres moment l'aimer de manière libre et ouverte pour ce qu'elle est, pour son bonheur.

Manières 1: Si je perçois que je l'aime avec attachements; et que mon ego fait tout ce qu'il peut pour la forcer à m'aimer, pour qu'elle vive avec moi (par exemple en me conformant à ce qu'elle veut, ou en essayant de la manipuler etc...), cela risque de ne pas fonctionner; parce que lorsque l'on veut quelque chose avec attachement, en général c'est l'inverse qui arrive; pour nous faire prendre "conscience" que l'on veut quelque chose de manière égoïste pour notre plaisir, sans tenir compte de ce que l'autre souhaite.

Alors je travaille à déconnecter mes attachements (plus de détails au chapitre 19-Déconnecter un attachement).

Manière 2: Si je perçois que je l'aime pour les plaisirs qu'elle me procure sans attachements; peut être que cela veut dire que je l'assimile à un bel objet source de plaisir ?

Manière 3: Ce qui me parait fondamental face à cette relation avec une autre personne, pour trouver un équilibre en moi même; c'est bien sûr d'écouter mes sentiments, mes souhaits, mes besoins ; mais c'est fondamental d'écouter l'autre: ses sentiments, ses souhaits, ses besoins; d'échanger pour trouver ensemble un équilibre, des décisions communes pour le bonheur des deux.

J'écoute l'autre personne, je la comprend, je reconnais qui elle est; et si je l'aime de manière libre (sans attachements de ma part, en respectant son libre arbitre quel que soit son niveau de "conscience") et ouverte (pour ce qu'elle est, pour son bonheur); je souhaite qu'elle exprime son libre arbitre, qu'elle soit heureuse; et comme je crois que le meilleur moyen d'être heureux c'est de décider par soi même, en son âme et "conscience" en assumant ses décisions; j'accepte sa décision.

Et en acceptant sa décision, je ne me fais peut être pas souffrir tout seul avec mes attachements et mon égoïsme, à vouloir quelque chose que l'autre ne veut pas me donner (ou ne peux pas me donner).

Est ce que je souhaite que l'on respecte mon libre arbitre?

Est ce que je souhaite que l'on m'impose d'être amoureux de quelqu'un si je ne souhaite pas?

Alors pourquoi est ce que je l'exigerais des autres?

Si j'aime une personne, cette personne doit elle m'aimer?

Si une personne ne m'aime pas, est ce que cela veut dire que je ne dois pas l'aimer ?

Si une personne ne m'aime pas  est ce que je peux respecter son libre arbitre, ses décisions, l'aimer, et souhaiter son bonheur ?

Dans tous les cas, je respecte les autres, quel que soit leurs manières d'aimer.

Je respecte leurs libres arbitres, leurs décisions, pour qu'ils évoluent au mieux qu'ils le peuvent, quel que soit leurs niveaux de "conscience".

 

3 mars 2024 - Agir sur le monde, agir sur moi.

Je constate un monde avec de l'égoïsme, de la violence...

Je peux réagir avec mes programmes automatiques d'énervements, de révoltes, face à cela; et enclencher des actions sur le monde et les autres pour les changer.

Les autres changent s'ils le décident, et souvent pas beaucoup;

mais ce n'est pas une raison pour ne pas agir.

Mais comment ai je envie d'agir au mieux que je le peux, pour le bonheur de tous ?

Je peux aussi agir, pour changer en moi même les points que je ne supporte pas chez les autres, même si ces points sont plus faibles chez moi que chez eux.

Je peux travailler à déconnecter mes attachements, afin d'être moins réactif dans mes décisions et actes ;

ma 'conscience' observe alors, dans l'instant présent en pleine 'conscience', toutes ces perturbations du monde, les interpellations que cela génère en moi;  émerge alors de ma "'onscience' (en liens avec les autres 'consciences', 'ce qui est') des 'intuitions' pour le bonheur de tous; j'agis; et s'il il y a des souffrances, se sont les plus faibles qui puissent être générées.

 

29 février 2024 - Être écouté, compris, reconnu, aimé.

Parfois l'ego d'une personne veut (avec attachement) être écouté, compris, reconnu (dans ses compétences et ses capacités), et être aimé par un autre être (par exemple un être qu'il aime) ;

et si l'ego de cette personne ne se sent pas écouté, compris, reconnu, et aimé par cet autre être; les comportements automatiques (attachements) de l'ego de cette personne peuvent générer automatiquement de la tristesse, de la fatigue, une déception, voir une dépression.

Parfois la "conscience" d'une personne souhaite (sans attachement) être écoutée, comprise, reconnue (dans ses compétences et capacités), et être aimée pour ce qu'elle est, par un autre être.

1- Mais parfois cet autre être est tellement centré sur lui même, son mental est tellement saturé par ses certitudes, qu'il n'a pas la capacité d'être attentif à une autre personne et à l'écouter. Parfois l'autre être n'a pas le temps d'écouter une autre personne; ou ça ne l'intéresse pas, et il n'a pas envie de faire d'efforts pour cela.

2- Les fonctionnements des êtres peuvent être très différents d'un être à l'autre ; et parfois avec des fonctionnements (attachements, modes de raisonnements, valeurs, niveaux de perception de ce qui est, capacités d'interprétation, capacités d'abstraction, d'analyse ou de synthèse) complètement différents, il est parfois difficile d'être compris par un autre être.

3- Il est aussi parfois difficile, voire impossible de reconnaître les capacités d'un autre être, si on n'a pas les capacités pour les percevoir. Par exemple, si une personne a des capacités de communiquer 'subtilement' de 'conscience' à 'conscience' ; cette personne ne sera pas reconnu par un être qui ne croit absolument pas aux communications 'subtiles'.

4- Parfois on n'a pas la même manière d'aimer: Pour certains êtres, ils aiment une autre personne pour les plaisirs que cette autre personne leurs procurent; et pour d'autres êtres, l'amour c'est d'être attentif aux besoins de l'autre et à son bonheur: si une personne a une manière d'aimer différente d'un autre être; elle risque de ne sera pas être aimé comme elle le souhaite.

Aussi je ne peux pas demander à un être de m'écouter s'il n'en n'a pas la capacité ;

je ne peux pas demander à un être de me comprendre s'il n'en n'a pas la capacité ;

je ne peux pas demander à un être de reconnaître mes compétences et capacités s'il n'a pas les capacités pour les percevoir.

je ne peux pas demander à un être de m'aimer sans attachement pour ce que je suis, pour mon bonheur, si cet être ne sais qu'aimer pour les plaisirs que je lui procure.

J'écoute les autres êtres en pleine "conscience";

j'essaie de les comprendre, de percevoir leurs modes de fonctionnements, leurs capacités et leurs compétences; je les aime de manière libre (sans attachement ) et ouverte (pour ce qu'il est, pour son bonheur).

J'exprime qui je suis,

et j'accepte que les autres m'écoutent à leurs façons, me comprennent à leurs façons, reconnaissent mes capacités et compétences à leurs façon, m'aiment à leurs  façon; et non pas comme je le veux;

sinon je risque de me faire souffrir tout seul, si je veux des choses que les autres n'ont pas les capacités de me donner.

 

14 février 2024 - Je souhaite être compris.

Je souhaite être compris, même si, peut être:

- Plus de 30 % des personnes ne comprennent pas bien le sens de ce qu'ils lisent ou entendent.

- Plus de 50 % des personnes ont des difficultés de compréhension de certains concepts, de compréhension de notions abstraites par rapport au matériel.

- Plus de 70 % des personnes ont des blocages, ou des attachements qui limitent leurs ouvertures et leurs compréhensions des fonctionnements des autres. Ils fonctionnent avec leurs raisonnements et leurs certitudes; et n'intègrent pas d'autres manières de fonctionner, de raisonner, avec d'autres concepts que les leurs, d'autres hypothèses, d'autres réalités que les leurs.

- Plus de 90 % des personnes ne perçoivent pas clairement leurs "consciences" (ce qui nous survit après la mort de notre corps physique); et donc ne perçoivent pas clairement les échanges "subtils" avec d'autres "consciences". Des personnes ont parfois des "intuitions" qui émergent de leurs "consciences"; mais elles mettent parfois cela sous le terme global d'intuitions, et ne discernent pas si cela vient de leur mental, d'un comportement automatique ou de leur "conscience". Ces personnes n'ayant pas l'expérience du fonctionnement en pleine "conscience"; ne comprennent pas profondément le fonctionnement du monde "subtil" (les 'consciences'...), et ses interactions avec la matière et les egos des êtres.

Le mieux pour l'évolution d'une personne, c'est qu'elle le fasse avec ses fonctionnements, ses interactions avec les autres, son niveau de "conscience", ses décisions. Il n'y a aucune interprétation ou jugement de valeur à faire sur les évolutions des autres; chaque personne et son évolution est respectable; on est simplement là où on en est sur nos chemins. Nous sommes tous reliés, interconnectés, interdépendants; et l'évolution de chacun (quel que soit son niveau de "conscience") favorise l'évolution des autres.

 

13 février 2024 - Écouter 'subtilement' pour aimer ?

Aimer une personne, c'est peut être d'abord l'écouter 'subtilement' avec sa 'conscience' (en étant en pleine 'conscience'), afin :

1- De ne pas se duper soi même en aimant (ou en n'aimant pas) l'ego de cette personne (son faux soi): Ses réactivités, ses pensées mentales, ses attachements, ses perturbations qui la perturbent et perturbent les autres (par des comportements automatiques qui ont été inscrits dans son ego à un moment donné).

2- D'aimer cette personne pour ce qu'elle est réellement, profondément :

sa 'conscience' inaltérable, qui est à tout instant en liens d'amour avec toutes les autres 'consciences', donc toujours en liens 'subtils' avec notre 'conscience'.

 

12 février 2024 - Création d'un nouveau thème:  "Le Journal"

Le Journal évoque pour des jours donnés, des 'intuitions' (textes ci dessus).

Sur smart phone: Pour faire apparaître la liste des thèmes: Le journal, Courts Textes, Vidéos, livres...(ou les faire disparaître);

Revenez au début des pages, et appuyez sur le petit carré en haut à gauche à côté de Vivre en pleine conscience.