Livre 2

Sur smart phone Pour faire apparaître la liste des thèmes: Le journal, Courts Textes, Vidéos, livres...(ou les faire disparaître);

Revenez au début des pages, et appuyez sur le petit carré en haut à gauche à côté de Vivre en pleine conscience.

.

Livre 2 - L'action de la conscience sur la matière et le bonheur.

Ce livre de vulgarisation grand public raconte des histoires et présente des exemples;

parce que l'on apprend par les expériences que l'on vie.

Ce livre explique qu'une conscience (non matérielle) est associée à chaque être humain,

à chaque animal, à chaque végétal, à chaque minéral, à chaque atome;

et montre le rôle fondamental de la "conscience" (la nôtre et celles des autres ),

dans nos interactions avec la matière et les êtres vivants, pour notre évolution,

pour notre bonheur et celui des autres.

Vous trouverez entre autre dans ce livre:

- L'existence de la "conscience".

- L'histoire de l'évolution de la "conscience".

- 20 exemples d'interactions subtiles entre "consciences".

- 39 exemples pour vivre en "pleine conscience".

- 40 cas d'action de la "conscience" sur la matière et le bonheur.

 

Pour une présentation rapide du livre

cliquer sur l'image ci dessous pour faire démarrer la vidéo (8 mn):

L action de la conscience sur la matiere et le bonheur pdfL action de la conscience sur la matiere et le bonheur pdf (5.55 Mo)

Vous pouvez télécharger le texte complet du livre avec le fichiers PDF ci dessus : nom du dossier pdf en bleu

 

Mais chaque ordinateur ou smart phone étant différent; aussi pour information, je vous communique comment je fais pour récupérer et lire un fichier PDF:

Sur ordinateur je clique sur le fichier PDF, et ensuite je récupère le texte dans Téléchargements.

Sur smart phone, certains ont peut être des applications qui ouvrent directement les fichiers, ou envoient les fichiers dans "mes fichiers" , ou dans un dossier téléchargements.

En ce qui me concerne après avoir installé une application (sur Play Store) pour lire les fichiers PDF (j'ai choisi Foxit PDF mais il en existe d'autres);

je laisse un doigt constamment appuyé sur le nom du fichier jusqu'à ce qu'une fenêtre s'ouvre;

puis dans cette fenêtre, j'appuie sur " Ouvrir dans le navigateur...",

ensuite apparaît une autre fenêtre, et j'appuie sur " Ouvrir avec Foxit PDF Editor ";

et le texte du livre apparaît.

 

Sommaire du livre : "l'action de la conscience sur la matière et le bonheur":

Introduction

Chapitre 1- Histoire de l'apparition des «consciences» et de la matière 

Chapitre 2- Différents corps, la «conscience», l'ego

Chapitre 3 -Trois modes de Fonctionnement

Chapitre 4- Histoire de l'évolution de la «conscience» depuis une particule jusqu'à un être humain.

Chapitre 5- 20 Exemples d'interactions «subtiles» avec d'autres «consciences»

Chapitre 6- La liberté, la prévision de l'avenir

Chapitre 7- «Consciences» d'ailleurs

Chapitre 8- Déconnexion des attachements

Chapitre 9- 39 Exemples pour vivre en «pleine conscience»

Chapitre10- 40 Cas qui s'expliquent par l’existence de la «conscience»

Conclusion

 

Texte complet du livre "l'action de la conscience sur la matière et le bonheur":

Les chapitres sont écrits de telle sorte que vous pouvez aller directement au chapitre qui vous interpelle;

et si vous vous rendez compte que vous souhaitez détailler plus tard un point, vous pourrez toujours le faire en allant au chapitre concerné.

 

Introduction

En quoi la connaissance de l'action de la «conscience» sur la matière peut elle réduire la souffrance et favoriser le bonheur?

Et à votre avis,

quelle est la principale cause des souffrances dans ce monde ?

Les comportements humains?

Si tel est le cas, de quels comportements parlons nous ?

- Des comportements égoïstes ?

- De certains comportements mentaux centrés sur nos croyances ou nos certitudes?

- De certains comportements automatique et répétitifs, qui ne sont plus adaptés aux situations nouvelles de l'instant?

Si des comportements humains sont des causes de souffrances;

 

quels comportements nous permettent d'aller vers plus d'harmonie et de bonheur?

Le fonctionnement en «pleine conscience» ?

Je constate que ce comportement est ouvert, plus libéré des conditionnements et des certitudes; et qu'il permet souvent de trouver dans l'instant des solutions cohérentes pour le bonheur de tous, de maîtriser la souffrance voire de s'en libérer, d'en comprendre le sens.

Pour vivre en «pleine conscience» on peut trouver plein d'informations;

mais je vais avoir une approche pratique,

en présentant des histoires et des exemples.

Ces histoires et ces exemples peuvent vous intéresser, vous surprendre, vous interroger, vous amuser; mais quoi que cela vous évoque, vous avez votre esprit critique et votre libre arbitre; car se ne sont bien sûr que mes perceptions, ma vision du monde.

 

Mais avant d'échanger sur la conscience;

il est important de savoir de quoi on parle.

Car comme il y a un seul mot conscience, avec 2 sens différents.

Il y a risque de confusion.

Aussi, pour ne pas confondre les 2 sens que je vois au mot conscience, je vais les différentier, pour que vous puissiez savoir quand j'utilise le premier sens et quand j'utilise le deuxième sens:

 

1- S'il s'agit de la conscience qu'a notre cerveau de ce qu'il perçoit (via des impulsions électriques ou des transfert de produits chimiques dans le cerveau...);

j’emploierai le mot conscience sans «  « entourant le mot conscience (ce type de conscience est parfois appelé la conscience matérielle).

 

2 - S'il s'agit de la «conscience» non matérielle, qui continue d'exister après la mort de notre corps physique;

j'emploierai le mot «conscience» avec des « « entourant le mot.

On peux aussi l'appeler notre principe d'existence, notre réalité profonde.

 

Pour celles et ceux qui ne sont pas convaincus par une existence non matérielle des êtres (dans cette vie, dans des vies passées, ou dans une vie future); il existe, par exemple, de nombreux cas d'Expérience de Mort Imminente (EMI), ou NDE en anglais (Near Death Experience).

Beaucoup de cas relatés se passent dans un hôpital où une personne est par exemple dans le coma (proche de la mort, d'où son nom d'Expérience de Mort Imminent).

Et ces personne perçoivent qu'elles sortent de leurs corps physiques, et se déplacent dans la salle d'opération, parfois dans une pièce à côté. Les personnes gardent leurs perceptions (vue, écoute des sons...) et leurs mémoires.

Lorsque les personnes se réveillent, elles décrivent ce qu'elles ont vécu. On peut penser que se sont des hallucinations ou des perceptions générées par le cerveau.

Mais dans certains cas, les personnes décrivent des choses qu'elles ont vu, et qu'il leur était impossible de voir si elles étaient restées dans leurs corps.

Par exemple des personnes décrivent qu'elles sont allées dans une autre pièce; et ce qu'elles ont vu dans cette autre pièce; et qu'il leur était impossible de voir, si elles étaient restées dans la salle d'opération, dans leur corps physique.

 

Après avoir défini la conscience (matérielle du cerveau) et la «conscience» (non matérielle);

qu'est ce que c'est que le fonctionnement en «pleine conscience» (ou la méditation de «pleine conscience»: c'est le même état d'être):

Le fonctionnement en «pleine conscience» (ou la méditation de «pleine conscience») est un état d'observation en «pleine conscience»: C'est lorsque notre «conscience» observe ce qui est.

Comme si notre «conscience» observait en étant, par exemple, un mètre derrière notre corps physique, les situations autour de nous, nos sensations, nos sentiments etc...

Lorsque l'on débute l'expérience du fonctionnement en «pleine conscience»; par exemple en commençant à pratiquer la méditation de "pleine conscience"; on peut méditer assis, le dos droit comme si un fil tirait notre tête vers le haut, les yeux fermés, dans un endroit calme.

Mais comme il s'agit d'un état d'observation en «pleine conscience», on peut méditer debout, les yeux ouverts, en marchant, dans un environnement bruyant ou agité etc...

Mais on est parfois habitué à un fonctionnement mental ou automatique; et l'état de méditation de "pleine conscience" est souvent fragile au début; et on déconnecte parfois de cet état s'il y a une perturbation.

C'est pour cela qu'au début on médite assis, les yeux fermés, dans un endroit calme; pour pouvoir, une fois que l'on a stabilisé sa pratique de la méditation de «pleine conscience», méditer le yeux ouverts, puis en marchant etc...

Pour pouvoir ensuite, progressivement, méditer dans toutes les situations de sa vie.

 

Pour méditer en «pleine conscience» (ou être en «pleine conscience»);

je commence par observer lentement ma respiration plusieurs fois.

J'observe en «pleine conscience» l'air rentrer dans mes narines, gonfler mon ventre; et à l'expiration j'observe mon ventre se dégonfler et l'air sortir de mes narines.

Puis j'observe en «pleine conscience» mes points de contact avec le sol ou la chaise;

puis j'observe mes sensations dans mon corps;

puis j'observe mes sentiments;

puis j'observe mes pensées:

j'observe en «pleine conscience» ce qui est là:

Un événement, une image, un événement, une sensation, un sentiment, une pensée...

Sans alimenter une pensée par une autre pensée.

Uniquement observer en «pleine conscience» ce qui est là.

Car une des principale difficulté au début;

c'est que l'on pense au lieu d'observer ses pensées.

Donc, si on constate que l'on pense; on revient à l'observation en «pleine conscience» des pensées présentes.

Parfois, quelques minutes plus tard on se remet à penser.

On va, à nouveau, constater que l'on pense; on va donc revenir à l'observation en "pleine conscience" des pensées qui sont présentes. Et chaque fois, au cours de la méditation de «pleine conscience», que l'on se rend compte que l'on pense, on revient à nouveau à l'observation en «pleine conscience» de ses pensées; mais aussi à l'observation de ses sensations, de ses sentiments... de ce qui émerge.

Il est donc fondamental de se rappeler que l'état de méditation est un état d'observation en «pleine conscience» de ce qui est là, dans l'instant sans jugement, sans interprétation, sans que cela engendre une réflexion mentale. Uniquement observer.

Pour faciliter les émergences de mes perceptions (sensations, sentiments, pensées...), je visualise parfois que ma respiration va dans mes sensations, ou mes sentiments, ou mes pensées...

De plus, il est en général plus facile d’être en état de méditation de «pleine conscience» si on médite avec d'autres méditants.

Car les méditants se mettent en liens "subtils".

 

En méditation de «pleine conscience» on peut être à des Niveaux de "Conscience" (NC) plus ou moins profonds:

NC1- Percevoir avec son cerveau, son corps physique,

les matières et les événements matériels, ses sensations matérielles, ses sentiments matériels, ses pensées matérielles

(le terme matériel signifie que la perception se fait via des phénomènes matériels dans le cerveau et le corps physique comme des courants électriques, des transferts chimiques de neuro transmetteurs etc...)

NC2- Observer en «pleine conscience» les matières «subtiles», les événements «subtils», les énergies «subtiles», ses sensations «subtiles», par sa «conscience».

NC3- Observer en «pleine conscience» ses sentiments «subtils» par sa «conscience».

NC4- Observer en «pleine conscience» ses pensées «subtiles» par sa «conscience».

NC5- Être en «pleine conscience» des causes «subtiles».

Pour cela, en «pleine conscience», s'interroger sur un point, une préoccupation; et laisser émerger de sa «conscience» les réponses, les causes «subtiles»: Un sentiment «subtil», une pensée «subtile», un événement «subtil», un attachement «subtil»...

NC6- Être en «pleine conscience» de sa «conscience».

Pour faciliter la «pleine conscience» de sa «conscience»;

on peux être en lien «subtil» avec un être qui est en «pleine conscience» de sa «conscience»; ce qui facilite la perception en «pleine conscience» de notre «conscience».

Une fois cet état de «pleine conscience» de sa «conscience» introduit; il est plus facile de le stabiliser en méditant au calme, chez soi; puis dans sa vie de tous les jours.

NC7- Être en «pleine conscience» de «l'unité», de ce qui est.

Pour faciliter cet état d'être, on peut, en «pleine conscience», se remplir d'amour, de la lumière de la connaissance; partout en soi.

Cet amour, cette lumière s'échange avec le monde, les autres, dans un va et viens sans fin, une «unité» d'être.

 

Chapitre1 - Histoire de l'apparition des «consciences», de la matière.

Est ce que vous aimez les histoires qui peuvent surprendre?

Si la réponses est oui, tant mieux;

car, comme au moyen age certains pensaient que la terre était plate; vous allez peut être découvrir une toute autre proposition de percevoir l'apparition des «consciences» et de la matière.

Mais pourquoi existe t'il quelque chose plutôt que rien?

Ce que l'on peux dire, c'est que nous percevons quelque chose.

Donc il existe quelque chose, même si ce n'est qu'une perception.

Et comme de rien il ne peut rien naître, j'en déduis que quelque chose a toujours existé.

Mais quelque chose pourrait exister, des pierres par exemple,

sans que la «conscience» existe.

Alors quelque chose existerai, mais personne ne s'en rendrai compte.

Mais ce n'est pas ce que l'on constate: On est conscient de l’existence de quelque chose.

 

Mais qu'est ce qui est apparu en premier ?

La matière ou la «conscience» ?

Si tenté de croire qu'il y a eu une chronologie !

 

Première hypothèse: La matière crée la «conscience».

Rappelons le fonctionnement des systèmes matériels;

suivant le deuxième principe de la thermo dynamique:

Les systèmes matériels vont vers un état de désordre croissant,

et cela est irréversible.

Donc, si le monde n'était que matériel à l'origine, et existe de toute éternité, on devrait constater un monde matériel inerte et stabilisé;

et pas un système qui s'organise et qui change tout le temps.

Je vais donc abandonner cette hypothèse.

 

Une deuxième hypothèse est de considérer que la «conscience» existe de toute éternité; que la «conscience» puisse faire apparaître la matière, agir sur elle, et l'organiser.

Pour cela je vais prendre un exemple issu de la physique.

Cela va peut être vous paraître un peu technique, mais je vais faire simple:

Je rappelle qu'en physique quantique, les particules élémentaires (comme par exemple les électrons qui sont un des constituant des atomes) sont dans une probabilité d'états, et que c'est l'observation (la «conscience») qui défini leurs états.

Donc on constate, en physique quantique, que l'observation (la «conscience») à une action sur l'état de la matière.

Maintenant, si la «conscience» a précédé la matière, je peux proposer qu'elle a pu «avoir l'idée» de la matière.

Mais comment une «chose» immatérielle, peut faire apparaître quelque chose de matériel ?

Là, plusieurs propositions:

On peut imaginer que la «conscience» puisse, par exemple, se condenser en matière ?

Mais il y a une autre proposition, si on admet que la «conscience» puisse «imaginer» la matière: C'est que la «conscience» projette son «imagination» sur un écran (comme une projection sur un écran de cinéma); ce qui nous donnerai une perception de la matière.

 

Approfondissons cette hypothèse.

En «pleine conscience»,

1- je perçois la matière.

2- j'ai des sensations.

3- j'ai des sentiments.

4- j'ai des pensées.

5- je perçois parfois la cause à ce qui est (par exemple: j'ai mal parce qu'on m'a donné un coup).

6- je perçois ma «conscience».

7- je perçois une «conscience globale» présente partout, de toute éternité, comme un «bain de conscience».

Un «bain de conscience» reliant, unifiant toutes les «consciences».

Avec un nombre illimité d'informations existant dans le «bain de conscience».

Et que le «bain de conscience» peut faire apparaître des créations, par projection.

Aussi, je peux imaginer qu'un être humain, en plus de son corps Matériel CM1:

- A un corps «subtil» CS2 des matières «subtiles»/des énergies «subtile»/des sensations «subtiles».

- A un corps «subtil» CS3 des sentiments «subtils».

- A un corps «subtil» CS4 des pensées «subtiles».

- A un corps «subtil» CS5 des causes «subtiles».

- A un corps «subtil» CS6 de la «conscience».

Et qu'il existe un corps «subtil» CS7 du «bain de conscience».

 

Et le processus d'apparition d'une «conscience» pourrait être:

-Le «bain de conscience» CS7 fait apparaître une «conscience» par projection d'informations dans un corps «subtil» CS6 de la «conscience».

- Le corps «subtil» CS6 de la «conscience»projette des informations:

dans le corps «subtil» CS5 des causes «subtiles»,

dans le corps «subtil» CS4 des pensées «subtiles»,

dans le corps «subtil» CS3 des sentiments «subtils»,

dans le corps «subtil» CS2 des sensations «subtiles»/des énergies «subtiles»/des matières «subtiles»,

Et au moment de l'incarnation; depuis les corps «subtils», des informations «subtiles» sont projetées dans le corps matériel CM1.

 

Notre «conscience» étant le corps «subtil» de la «conscience» CS6.

Nos corps «subtils» CS5, CS4, CS3, CS2 étant des projections de notre «conscience» CS6.

 

Si je détaille ce processus d'apparition d'une «conscience» sur un dessin;

Il m'est nécessaire de faire une remarque préliminaire: Si le «bain de conscience» remplit tout l'espace, il est donc difficile de le représenter sur un dessin.

Aussi afin de faciliter la compréhension, je représenterai sur les dessins le corps «subtil» du «bain de conscience» par le cercle de plus grand diamètre (même s'il devrait avoir un diamètre infini).

Pour l'apparition d'une «conscience», le «bain de conscience» CS7 projette dans un corps «subtil» de la «conscience» CS6 des informations (points gris sur le dessin):

1c apparition d une conscience

 

 

 

 

 

 

 

 

Il y a une infinité d'informations (de points gris) dans le «bain de conscience» (représenté par le cercle de son corps «subtil» CS7). Mais comme je ne peux pas représenter une infinité d'informations, je n'en n'ai représenté qu'une quarantaine sur le cercle du «bain de conscience» CS7.

La projection des informations (dans le corps «subtil» de la «conscience») CS6 est représenté par des flèches.

J'ai pris, par exemple, quatre informations sur le cercle du corps «subtil» de la «conscience» CS6. Ces quatre informations sont représentées pour montrer que toutes les informations du «bain de conscience» ne sont pas projetées (on peut dire aussi que les informations non projetées sont masquées).

Et avec des projections différentes (on peut aussi dire avec des masquages différents d'informations), cela donne des «consciences» différentes.

Quatre informations sont représentées (pour une facilité de représentation), mais en réalité il y en a des millions, des milliards, voire beaucoup plus d'informations dans une «conscience» CS6.

 

Comme le «bain de conscience» rempli tout l'espace et que les «consciences» sont de la même nature que le «bain de conscience» (la source); les «consciences» remplissent elles aussi tout l'espace.

Si je devais faire une comparaison; je comparerai le «bain de conscience» à tous les gaz (oxygène+azote+gaz carbonique+hydrogène etc...) contenus dans une bouteille.

Et une «conscience», par exemple, au seul gaz oxygène.

Mais l'oxygène rempli aussi la totalité de la bouteille.

Le «bain de conscience» rempli donc la totalité de l'espace,

comme notre «conscience» rempli la totalité de l'espace.

 

Une «conscience», avec son évolution au cours de ses différentes vies incarnées et non incarnées, approfondit progressivement son niveau de «conscience» pour atteindre le niveau de «conscience» du «bain de conscience».

Alors les informations qui étaient masquées sont progressivement dé masquées, et la «conscience» a accès progressivement à toutes les informations.

Avoir accès à toutes les informations est parfois appelé avoir accès aux annales akashiques.

 

Puis une «conscience» peut, à un moment donné, s'incarner.

C'est à dire s'associer (temporairement, la durée de la vie matérielle) à un corps physique matériel.

Une «conscience» s'incarne pour faciliter son évolution.

Pour un être humain, il évolue (entre autre) en constatant les effets de ses actions sur l'écran des matières.

C'est très concret et très clair.

C'est un peu comme les travaux pratiques à l'école:

Par l'expérimentation on intègre mieux les concepts appris lors des cours théoriques.

Lors de l'incarnation, des informations contenues dans le corps «subtil» CS6 de la «conscience», sont projetées dans le corps «subtil» CS5 des causes «subtiles»; et les informations contenues dans le corps «subtil» CS5 des causes «subtiles» sont projetées dans les corps «subtils»: CS4 des pensées «subtiles», CS3 des sentiments «subtils», et CS2 des sensations «subtiles»/énergies «subtiles»/matières «subtiles» (points gris).

Puis des informations «subtiles» (des points gris) sont projetées dans le corps matériel CM1, et elles apparaissent sous une forme matérielle (points noirs):

3c projection dans les corps subtils incarnation

 

 

 

 

 

 

 

 

Mais attention de bien différentier les informations:

Les pensées «subtiles», les sentiments «subtils», les sensations«subtiles»/énergies «subtiles»/matières «subtiles»... représentés par des points gris qui sont des informations «subtiles» (non matérielles) dans les corps «subtils» CS7, CS6, CS5, CS4, CS3 ou CS2.

Et les pensées matérielles, les sentiments matériels, les sensations matérielles, l'énergie matérielle... représentés par des points noirs qui sont des informations matérielles (des impulsions électriques, des transferts de neuros transmetteurs...) dans le corps matériel CM1(dont le cerveau).

Remarque:

Toutes les informations matérielles sont des informations qui sont issues d'informations «subtiles»; ce qui veut dire qu'a toute information matérielle correspond une information «subtile».

Mais la réciproque n'est pas vraie: Certaines informations «subtiles» (comme les points gris reliés par des flèches grises, à droite sur le dessin ci avant) ne sont pas projetées dans le corps matériel CM1. Certaines informations «subtiles» n'ont donc pas d'informations matérielles correspondantes.

Après son incarnation, la «conscience» va expérimenter une vie dans un corps matériel; et en vivant incarnée, la «conscience» va acquérir de nouvelles informations.

Dans le dessin précédent, au début de sa vie incarnée, la «conscience» avait:

4 informations dans le corps «subtil» CS6 de la «conscience»,

et 3 informations dans le corps matériel CM1 (j'ai pris, dans cet exemple, un nombre limité d'informations, pour faciliter la compréhension et ne pas surcharger le dessin; mais en réalité il y a beaucoup plus d'informations dans les corps «subtils» et dans le corps matériel).

Après avoir échangé des informations dans sa vie incarnée;

à la fin de sa vie incarnée il y a (par exemple):

8 informations dans le corps «subtil» de la «conscience» CS6;

et 6 informations dans le corps matériel CM1:

4c aquis infos

 

 

 

 

 

 

 

 

Il est important de se rappeler:

Que toutes les informations qui sont dans le corps matériel CM1 ont leurs origines dans les corps «subtils» CS2 ou CS3 ou CS4;

et CS5, CS6, CS7.

Que toutes les informations «subtiles» qui sont dans les corps «subtils» CS2, CS3, CS4 ont des informations «subtiles» causes dans le corps «subtil» des causes CS5 .

Que toutes les informations «subtiles» qui sont dans le corps «subtil» des causes CS5, sont issues d'informations «subtiles» du corps «subtil» de la «conscience» CS6.

Et que CS6 est issu de CS7.

Pour monter sur un dessin que toute information a une origine dans les corps «subtils»; on peut le représenter de la manière suivante:

5c projection inverse

 

 

 

 

 

 

 

 

A la fin de la vie incarnée, il va y avoir la mort du corps matériel de l'être.

Lors de la mort du corps matériel d'un être; la «conscience» se désolidarise de la matière qui constituait ce corps.

Puis il va y avoir une période intermédiaire entre deux incarnations.

Pendant la période de transition entre 2 incarnations (appelé dans le bouddhisme le bardo de la nature en soi, suivi par le bardo du devenir); la «conscience» de l'être garde toutes les informations «subtiles» qu'elle avait à la fin de sa vie incarnée dans son corps «subtil» de la «conscience» CS6.

Dans cette période intermédiaire (non incarnée) la conscience CS6 peut être représenté de la manière suivante:

6c entre deux incarnations

 

 

 

 

 

 

 

 

La durée entre deux incarnation peut être de quelques semaines à quelques dizaines d'années (parfois beaucoup plus).

Puis la «conscience» de l'ancien être matériel A va se réincarner dans un nouveau corps matériel B:

7c reincarnation

 

 

 

 

 

 

 

 

La base, c'est que les informations «subtiles» qui sont dans le corps «subtil» de la «consciences» CS6 à la fin de la vie incarnée dans un être A, se retrouvent dans le corps «subtil» de la «conscience» CS6 au début de la vie incarnée dans un être B.

Puis des informations «subtiles» contenues dans le corps «subtil» de la «consciences» CS6 sont projetées dans le corps «subtils» CS5 des causes.

Certaines informations «subtiles» contenues dans le corps «subtil» CS5 des causes ne sont pas projetées dans les corps «subtils» CS4, CS3 et CS2: par exemple certaines informations «subtiles» sur des vies antérieures.

Puis des informations «subtiles» contenues dans le corps «subtil» des causes CS5 sont projetées dans les corps «subtils» CS4, CS3 et CS2.

Puis des informations «subtiles» contenues dans les corps «subtils»CS4,CS3,CS2 sont projetées dans le corps matériel CM1.

Variante à ces projections d'informations «subtiles» et à l'incarnation:

Parfois, en plus des informations qui sont dans le corps «subtil» de la «conscience» CS6 à la fin de la vie incarnée précédente A;

il y a parfois des ajouts d'autres informations «subtiles», en provenance du «bain de conscience» CS7, qui sont rajoutées dans corps «subtil» de la «conscience» CS6, lors de l'incarnation dans un corps matériel B. Ces informations rajoutées par le «bain de conscience» CS7 dans la «conscience» CS6 sont représentées dans le dessin ci dessous par des flèches (exemple):

8c reincarnation complements

 

 

 

 

 

 

 

 

Ces compléments d'informations en provenance du «bain de conscience» CS7 permettent de faciliter la prochaine incarnation de la «conscience».

Par exemple si la «conscience» s'incarne dans un nouveau corps matériel très différent de celui de son incarnation précédente;

et que la «conscience» doive affronter, dans sa nouvelle incarnation, des situations nouvelles, ces nouvelles informations (issues du «bain de conscience» CS7) lui seront utiles.

Les informations qui sont dans le corps «subtil» des causes CS5, et qui ne sont pas projetées dans les autres corps «subtils», seront accessible quand l'être atteindra le niveau de «conscience» NC5 «pleine conscience» des causes.

Toutes les informations qui sont dans le corps «subtil» de la «conscience» CS6, sont accessibles («conscientes») quand l'être atteint le niveau de «conscience» NC6 «pleine conscience» de la «conscience».

D'autre part, il est important de savoir que c'est la «conscience» en lien avec le «bain de conscience»,

qui définissent dans quel corps matériel et dans quelle famille la «conscience» va s'incarner.

Ce choix est fait afin de trouver les meilleurs conditions pour évoluer (compte tenu de nos comportements non harmonieux pour le bonheur de tous, que nous devons dépasser, et faire évoluer...) en approfondissant nos connaissances, notre niveau de «conscience» et notre amour pour ce qui est.

Et si nous nous sommes incarné dans un corps matériel, dans une vie qui nous paraît difficile: C'est peut être que cela nous est favorable pour évoluer.

On peut se dire que nos souffrances, c'est un grand malheur, que cette vie est horrible, voire accuser les autres de nous faire souffrir.

Mais si c'est nous qui avons participé à ce choix d'incarnation, il faut l'assumer.

Et peut être, ne plus voir les souffrances comme des injustices,

mais comme des informations, des situations pour grandir.

 

Chapitre 2- Les différents corps, la «conscience», l'ego.

Comme nous l'avons vu au chapitre précédent;

notre «conscience» CS6 projette des informations dans ses autres corps «subtils»; puis ces autres corps «subtils» projettent des informations dans le corps matériel.

J'ai donné des noms à ces corps, mais parfois ils sont appelés différemment.

Pour un être humain:

Le corps matériel CM1 c'est son corps physique (dont son cerveau) avec :

ses perceptions matérielles de la matière,

ses perceptions matérielles des sensations,

ses perceptions matérielles des sentiments,

ses perceptions matérielles des pensées,

ses perceptions matérielles des causes,

ses perceptions matérielles de ce que sont les consciences,

ses perceptions matérielles de ce que qu'est le spirituel, l’âme...

 

Le corps «subtil» CS2 des matières «subtiles», des énergies «subtiles», et des sensations «subtiles» est parfois appelé corps éthérique.

Le corps «subtil» CS3 des sentiments «subtils» est parfois appelé corps astral.

Le corps «subtil» CS4 des pensées «subtiles» est parfois appelé corps mental.

Le corps «subtil» CS5 des causes «subtiles» est parfois appelé corps causal.

Le corps «subtil» CS6 de la «consciences» est parfois appelé corps bouddhique.

Le corps «subtil» CS7 du «bain de conscience» est parfois appelé corps spirituel.

 

Je rappelle que j'appelle le corps «subtil» de la «conscience» CS6: la «conscience» (on peut aussi l'appeler l’âme).

Je préfère rappeler ma définition des mots, car d'autres personnes ont d'autres définitions pour ces mots.

Par exemple, d'autres personnes appellent le corps «subtil» du «bain de conscience» CS7: L'esprit (pour le différentier de l’âme).

 

Dimension des corps «subtils».

Un être non «conscient» va avoir ses différents corps «subtils» près de son corps matériel (son corps physique).

Un être qui approfondit ses niveaux de «conscience» (qui élève ses fréquences vibratoires) va avoir des dimensions de ses différents corps «subtils» plus importantes.

Les enveloppes externes des corps «subtils» sont à l'extérieur du corps matériel; à une certaine distance du corps matériel.

Pour un méditant qui a accès à des niveaux de «conscience» profonds; les distances entre son corps matériel et ses corps «subtils» peuvent être:

Supérieur à 5 cm pour le corps «subtil» Co2 des sensations/des énergies/des matières «subtiles».

Supérieur à 3 m pour le corps «subtil» Co3 des sentiments «subtils».

Supérieur à 30 m pour le corps «subtil» Co4 des pensées «subtiles».

Supérieur à 300 m pour le corps «subtil» Co5 des causes «subtiles».

Illimité pour le corps «subtil» Co6 de la «consciences»:

Les «consciences» occupent tout l'espace, elle sont partout.

Illimité pour le corps «subtil» Co7 du «bain de conscience» qui

occupe tout l'espace, qui est partout.

 

L'aura c'est différent des corps «subtils».

L'aura c'est ce qui est émis (de manière «subtile», donc non matérielle), et qui rayonne autour de notre corps matériel, c'est notre zone d’influence «subtile».

La dimension de l'aura varie d'une dizaine de centimètres à des milliers de kilomètres (pour les méditants ayant atteint un niveau de «conscience» profond).

Si quelqu'un rentre dans l'espace de notre aura on le ressent (de manière «subtile»).

De même, les autres ressentent (de manière «subtile») s'ils rentrent dans le champ de notre aura.

L'aura s'éteint après la mort de notre corps physique, alors que la «conscience» CS6 (parfois aussi appelé l’âme) continu son continuum de «conscience».

 

Mais attention de ne pas confondre les dimensions des corps «subtils» et de l'aura avec la distance à laquelle une information «subtile» peut être envoyée.

Car la distance à laquelle on peut envoyer une information «subtile» est infinie; parce que toutes les «consciences» sont partout, occupent tout l'espace.

 

Après avoir évoqué les corps «subtils» et l'aura,

qu'est ce que l'état de «conscience» ?

Il est fondamental, lorsque l'on parle d'état de «conscience» que nous avons de quelque chose; de bien comprendre qu'il y a

deux types différents de perceptions:

1- La perception par le cerveau (matériel).

2- La perception par la «conscience» (non matérielle).

 

1- La perception par le cerveau (la conscience matérielle) des informations matérielles (via des impulsions électriques, des transferts de neuros transmetteurs dans le cerveau...) qui sont traitées dans le corps matériel (dont le cerveau); et qui sont représentées dans les dessins par des points noirs.

Dans une perception par le cerveau: On est pris dedans (dans sa perception).

Et dans ce cas, ma conscience matérielle (production de mon cerveau) va dire (par exemple):

J'ai mal au dos (je suis pris dans ma sensation).

Je suis triste (je suis pris dans mon sentiment).

Je pense à toi (je suis pris dans ma pensée).

Et dans ces cas on n'est pas en «pleine conscience».

 

2- Dans une perception par la «conscience» (non matérielle), on est en «pleine conscience».

C'est lorsque la «conscience» observe en «pleine conscience» (comme si elle était par exemple 1m à l'extérieur derrière le corps matériel) les informations «subtiles» qui sont dans les différents corps «subtils» (les points gris); et aussi quand la «conscience» observe les projections qui sont dans la matière.

Et dans ce cas ma «conscience» va dire (par exemple):

J'observe en «pleine conscience» mon mal de dos (je suis en «pleine conscience» de ma sensation).

J'observe en «pleine conscience» ma tristesse (je suis en «pleine conscience» de mon sentiment).

J'observe en «pleine conscience» que je pense à toi (je suis en «pleine conscience» de ma pensée).

Et dans ces cas on est en «pleine conscience».

 

Il est fondamental de savoir qui nous sommes réellement, profondément, durablement:

Sommes nous uniquement notre corps matériel, nos raisonnements mentaux de notre cerveau, nos comportements automatiques ?

On regroupe parfois sous le nom d'ego:

L'ensemble des nos comportements automatiques, de nos croyances, et des raisonnements mentaux de notre cerveau, auxquels on s'identifie.

On se dit que c'est notre caractère;

et certaines personnes pensent que nous somme uniquement cela; et que nous n'avons pas de «conscience» (non matérielle).

 

Mais on constate, en développement personnel, qu'un comportement automatique, une croyance ou un raisonnement mental récurrent sont des éléments qui ont été mis à un moment donné, et que l'on peut les enlever.

Donc, cet ego auquel on s'identifie parfois, n'est peut être pas si stable que cela, voire une construction éphémère ?

 

Sommes nous notre «conscience», cette partie non matérielle qui sort de notre corps matériel après la mort de ce corps matériel, en gardant ses perceptions et ses mémoires; et qui se réincarne dans un autre corps matériel ?

Ou qui sort de notre corps matériel dans les expériences de morts imminentes ?

Et on peut se poser la question de savoir si ce continuum de «conscience» est ce que nous sommes réellement, profondément, durablement ?

L'ego n'est peut être qu'une illusion temporaire de ce que nous croyons être ?

Et c'est peut être pour cela que l'ego est parfois appelé le faux soi.

 

Mais dans dans notre monde, avec une composante matérielle,

je crois que l'ego a une place.

Et en «pleine conscience», on peut trouver à chaque instant l'harmonie de la «conscience» et d'un ego sain (un ego sain est dépouillé des comportements automatiques inadaptés; et des raisonnement mentaux de pouvoir, de contrôle, d’égoïsme);

pour qu'émerge à chaque instant un comportement adapté à la situation:

Par exemple, un fonctionnement mental si j'ai un calcul à réaliser.

Par exemple, un fonctionnement automatique pour retirer ma main du feu si je risque de me brûler.

Par exemple, un fonctionnement en «pleine conscience» pour le pilotage de ma vie, dans mes relations avec les autres.

Représentation de la «conscience» et de l'ego:

10c niveaux de conscience

 

 

 

 

 

 

 

La «conscience» est représentée par le cercle CS6 du corps «subtil» de la «conscience» avec les informations «subtiles» (les points gris) qui sont sur ce cercle CS6.

Les autres corps «subtils» sont des projections de la «conscience».

L'ego est représenté sur ce dessin, par le cercle CM1 qui regroupe le corps matériel (avec son cerveau), ainsi que les informations matérielles qui sont sur ce cercle CM1(les points noirs), ainsi que les attachements représentés par des ellipses avec une (ou des) flèche et des points noirs dans ces ellipses.

Je viens de représenter la «conscience» sur un dessin,

et j'ai décrit par des mots, dans les pages précédentes,

ce qu'est la «conscience».

Mais pour être franc et honnête avec vous, le mental (matériel) ne peut pas fondamentalement percevoir réellement et complètement ce qu'est sa «conscience» (non matérielle).

Car on perçoit sa «conscience» quand on est au niveau de «conscience»: «conscience» de sa «conscience».

Ce qui nous permet d'en faire l’expérience directe.

Donc, seul la «conscience» peut percevoir réellement et complètement la «conscience»;

le cerveau n'en n'a qu'une représentation mentale.

Faut il que j’arrête d'écrire sur la «conscience»?

Et vous de lire ?

Pas forcément.

Pourquoi ?

Parce que cela donne des informations, parfois une autre manière de percevoir, interroge...

Mais aussi, lorsque j'écris, je suis en «pleine conscience»; et ma «conscience» est associée à chaque mot, à chaque dessin.

Et on peut lire, percevoir en «pleine conscience» (quelque soit son niveau de «conscience») les informations «subtiles» associées aux mots, aux dessins.

Et on est souvent en «pleine conscience», sans se dire formellement: Je suis en «pleine conscience».

On est alors dans un état de grande simplicité, on ressent avec le cœur; et émergent des «intuitions», des évidences.

En lisant en état d'ouverture, de méditation, de «pleine conscience», d'inspiration; on se laisse porter par le parfum des mots; on ressent les éléments «subtils» qui sont associés aux mots, aux dessins.

C'est comme lorsque l'on regarde un tableau:

On peut analyser la précision du trait, les nuances des couleurs, les noms des personnes représentées etc...

Ou se laisser toucher par les réalités «subtiles» que la «conscience» du peintre à exprimé à chaque instant où son pinceau, porté par sa «conscience», courait sur la toile;

et ressentir l'émotion;

être touché au plus profond de soi par ce qu'a exprimé le peintre de manière «subtile».

 

Mais certain(e)s doutent (ou ne croient pas) de l'existence de la «conscience» non matérielle, et disent que ce n'est pas scientifique.

Mais ils ont de la chance;

car désormais, la physique quantique a montré l'action de la «conscience» (de l'observation) sur la matière.

En effet, la physique quantique explique (et cela est vérifié par des expériences pratiques) que la réalité de la matière n'est pas un état fixe; mais que les particules sont dans une probabilité de différents états, et que c'est l'observation (la «conscience») qui définit leurs états.

Pour préciser l'importance de la «conscience», et son action sur la matière, voici 5 citations de 5 prix Nobel de physique qui ont travaillé sur la physique quantique:

1- Max PLANCK prix Nobel1918:

Ayant consacré toute ma vie à la science la plus rationnelle qui soit. Je peux vous dire au moins ceci à la suite de mes recherches sur l'atome: la matière comme telle n'existe pas. Toute matière n'existe qu'en vertu d'une force qui fait vibrer les particules et maintien ce minuscule système solaire de l'atome.

Nous devons assumer derrière cette force l'existence d'une conscience et d'un esprit intelligent.

Je considère la matière comme dérivant de la conscience. Nous ne pouvons aller au delà de la conscience. Tout ce dont nous partons, tout ce que nous voyons comme existant suppose la conscience.

2- Niels BOHR prix Nobel 1922:

Le bon sens, qui voudrait que les objets existent de manière objective indépendamment de notre observation, devient obsolète lorsque l'on considère la mécanique quantique.

3- Werner HEISENBERG prix Nobel 1932:

Les atomes ou les particules élémentaires elles même ne sont pas réelles, elles forment un monde de potentialités ou possibilités plutôt que des choses ou des faits.

4- Erwin SCHRODINGER prix Nobel 1933:

La conscience ne peut être décrite en terme physique, car la conscience est absolument fondamentale.

5- Eugène WIGNER prix Nobel 1963:

L'étude du monde objectif nous mène à la conclusion que le contenu de la conscience est l'ultime réalité.

 

Chapitre 3 - Trois modes de fonctionnement.

Je constate différents modes de fonctionnement chez un être humain:

1- Le fonctionnement mental.

2- Le fonctionnement automatique.

3- Le fonctionnement en «pleine conscience».

11c 3 modes de fonctionnement

 

 

 

 

 

 

 

 

 

1- Le fonctionnement mental.

Dans ce cas, le cerveau capte une ou des informations matérielles extérieures (parole, geste...), et va chercher dans son cerveau (avec ses croyances, ses mécanismes de traitement des informations, ses programmes) la ou les informations en réponse (points noirs sur le dessin ci après), qui lui paraissent les plus appropriées parmi toutes les informations stockées dans le cerveau. Puis le cerveau répond en donnant des instructions au corps matériel (paroles, geste...)

Ce fonctionnement est limité par:

Le nombre limité d'informations que le cerveau peut capter.

Le nombre limité d'informations dans la mémoire de notre cerveau.

Les capacités limitées du cerveau à traiter les informations.

Mais aussi limité par nos croyances, nos certitudes, nos à priori.

Représentation du fonctionnement mental (de notre cerveau) lors d'un échange d'informations:

12c fonctionnement mental

 

 

 

 

 

 

L'information matérielle reçue est représentée par le point noir (en haut à gauche).

La réponse matérielle est représentée par le point noir (en bas, sur le cercle CM1 en trait noir plus épais);

cette réponse est ensuite projetée vers l'extérieur (parole, geste...): le point noir à l'extrémité de la flèche horizontale du bas.

 

2- Le fonctionnement automatique.

Dans ce cas l'être est régis par des attachements.

Qu'est ce qu'un attachement ?

Un attachement regroupe plusieurs informations. Et on appelle cela un attachement par ce que les informations sont attachées entre elles; que l'être s'est attaché à ce groupe d'informations.

Un attachement est constitué d'une (ou plusieurs) information appelée information bouton (comme un bouton sur lequel on appuie pour activer quelque chose); et d'autres informations (une au minimum, mais en général il y en a plusieurs) appelées informations conséquences.

Si une information est reçue/captée par l'être, et que cette information est contenue dans un de ses attachements comme information bouton, cela va déclencher automatiquement les informations conséquences contenues dans cet attachement;

cela déclenche donc un comportement automatique, que l'on appelle aussi parfois une réactivité.

Sur les dessins,

les attachements sont représentés par des ellipses dans lesquelles il y a une (ou plusieurs) flèche et des points (des informations).

Le (ou les) point au départ de la flèche est (sont) l'information bouton (ou les informations bouton).

Les points (ou le point) à l'arrivée de (des) la flèche sont les informations conséquences.

Les flèches représentent les liens de cause à effet entre les informations boutons et les informations conséquences.

Les informations boutons ou les informations conséquences peuvent être des informations matérielles (points noirs), ou des informations «subtiles» (points gris).

Prenons l'exemple sur le dessin ci dessous,

de l'attachement représenté par l'ellipse en bas sur le dessin, contenant:

1 information bouton (1 point noir), par exemple un bruit d'explosion (à l'origine de la flèche);

1 flèche (représentant le lien de cause à effet);

et 2 informations conséquences (2 points noirs), par exemple avoir peur, et l'action de faire une grimace avec son visage:

13c fonctionnement automatique

 

 

 

 

 

 

Si un bruit d'explosion est présent dans l'environnement de la personne (représenté dans le dessin ci dessous par le point noir, en dehors du cercle CS7, le plus en haut à gauche). Cette information de bruit d'explosion va être captée par la personne:

14c declenchement attachement

 

 

 

 

 

 

Puis, comme un bruit d'explosion est une information bouton de cet attachement; les informations conséquences contenues dans cet attachement: L'action de faire une grimace avec son visage, et un sentiment de peur, vont se déclencher.

L'image de l'action de faire une grimace va se propager dans l'espace matériel.

Cette image matérielle véhiculée sous forme de lumière est représentée sur le dessin ci avant par le point noir, à la pointe de la flèche qui part vers l'extérieur des cercles.

Cette information matérielle: L'action de faire une grimace, peut être perçue par une autre personne.

Le sentiment de peur est propre à la personne, il n'est pas projeté de manière matérielle vers l'extérieur.

C'est pour cela qu'il n'y a pas de deuxième point noir projeté vers l'extérieur.

Comme les échanges entre des personnes dans notre société sont principalement matériels (paroles, gestes, traitement des informations par le cerveau...) c'est pour cela que je n'ai représenté dans les dessins précédents que les attachements dans la matière, sur le cercle CM1 du corps matériel (le cerveau fait parti du corps matériel).

Mais, comme je l'ai déjà évoqué: Toute information matérielle à une information «subtile» origine; et il en est de même pour les attachements: Tout attachement matériel (dans le corps matériel CM1) un attachement «subtil» origine dans les corps «subtils».

Mais, comme une partie des personnes ne perçoivent pas les informations «subtiles», je ne représenterai parfois que les attachements dans le corps matériel, pour ne pas surcharger les dessins.

La représentation des attachements dans le corps matériel, et des attachements origines dans les corps «subtils» est la suivante:

9c declenchement attachement subtil

 

 

 

 

 

 

 

Sur le dessin ci avant on peut constater les couples d'attachements: Les attachements matériels avec des ellipses noires; et les attachements «subtils» avec des ellipses grises.

Je rappelle que dans l’attachement matériel (ellipse noire) situé sur le bas du cercle CM1:

L'information bouton matérielle est un bruit d'explosion (1 point noir),

et que les deux informations conséquences matérielles (2 points noirs) sont avoir peur, et faire une grimace .

Et dans l’attachement «subtil» origine (ellipse grise):

L'information bouton «subtile» est un bruit d'explosion (point gris) sur le cercle CS2 des sensations/énergies/matières «subtiles».

Et il y a deux informations «subtiles» conséquences:

Faire une grimace (point gris) sur le cercle CS2 des sensations/énergies/matières «subtiles»;

et avoir peur (point gris) sur le cercle CS3 des sentiments «subtils» (parce qu’il s'agit d'un sentiment).

Dans ce cas, on peut constater qu'il y a envoi vers l'extérieur de ces deux informations «subtiles»: Une action «subtile» faire une grimace, et un sentiment «subtil» de peur.

Si une autre personne perçoit les informations «subtiles» que cette personne émet; cette autre personne percevra l'émission «subtile» d'un sentiment de peur (et la grimace «subtile») de la part de la personne.

 

Comment se créent les attachements ?

Je constate plusieurs modes de créations des attachements:

a- Les attachements crées par des événements qui nous procurent du plaisir.

b- Les attachements créés par des événements qui réduisent ou nous évitent la souffrance.

c- Les attachements pour favoriser sa survie ou son développement.

d- Les attachements inscrits suite à des chocs (physiques ou psychologiques).

 

a- Dans le cas d'un attachement à un plaisir, nous avons vécu des situations qui nous ont procuré du plaisir, et nous voulons les reproduire. La recherche de ce plaisir peut être «consciente»;

mais parfois on ne se rend pas compte que l'on devient progressivement dépendant au plaisir que nous procure une situation/un être (ou autre chose).

Ensuite si la situation/l'être n'est plus là, on ressent un vide, un manque (comme à une drogue) et on souffre; et cela engendre en nous un comportement automatique de recherche de ce plaisir.

On peut aussi avoir, à la longue, un sentiment de lassitude à ces situations répétitives, qui sont toujours les même.

 

b- Le principe de mise en place d'un attachement à la non souffrance est similaire à un attachement au plaisir; mais dans ce cas on fuit les situations/êtres qui nous créent de la souffrance.

 

c- On peut aussi inscrire un attachement, si un comportement favorise notre survie ou notre développement.

 

d- On peut aussi inscrire en nous même un attachement, lorsque l'on subit, par exemple, un choc physique ou psychologique.

Par exemple, un enfant se fait violemment agressé; et son comportement est de fuir, et de ne plus dire un mot.

C'est un comportement de protection, qu'il peut inscrire automatiquement en lui même, pour se protéger dans des situations similaires.

Dans ce cas, plus tard, si l'enfant (ou la personne lorsqu'il sera devenu adulte) perçoit une agression, il fuira, ne dira plus rien; et cela de manière incontrôlé, automatique.

Au départ de la mise en place d'un tel attachement, cela semble favorable (dans cet exemple fuir peut sauver la vie à l'enfant).

Mais les comportements qui étaient efficaces à un moment donné, dans un environnement donné, ne le sont peut être plus aujourd'hui dans un contexte différent.

Dans l'exemple de l'enfant agressé, aujourd'hui devenu adulte;

si chaque fois qu'il ressent de l'agression, il fuit et ne dit plus rien; sa vie professionnelle et privée risque d'être difficile.

Et dans ce cas, le comportement automatique peut se déclencher lors d'une réelle agression, ou si la personne a l'impression d'être agressée (sans qu'il y ai forcément une intention d'agression).

Par exemple: Si une autre personne la touche accidentellement;

ou si une autre personne qui a des difficulté s’énerve; ou si une autre personne pressée en voiture fait des gestes d'énervements...

Nos attachements, dans de nouveaux contextes, peuvent donc nous apporter de la souffrance au lieu nous apporter des solutions et du bonheur.

Au moment de l'incarnation, les attachements (avec leurs informations) qui étaient dans le corps «subtil» de la «conscience»

à la fin de la vie précédente, sont gardées dans le corps «subtil» de la «conscience» CS6 au début de sa nouvelle vie incarnée.

Puis la «conscience» CS6 projette des informations et les attachements dans ses autres corps «subtils», puis des informations et des attachements sont projetés dans le corps matériel CM1.

Déclenchements et Interactions entre attachements.

 

Parfois c'est une combinaison de boutons qui déclenchent un attachement.

 

Exemple 1 avec deux informations bouton:

Il peut exister un attachement où (par exemple):

S'il n'y a que de l'agression, cela ne déclenche pas l'attachement.

S'il n'y a que de l'injustice cela ne déclenche pas l'attachement.

Mais s'il y a agression et injustice, cela déclenche l'attachement.

 

Exemple 2 avec cinq informations bouton (dont deux boutons principaux).

Si un attachement a par exemple 5 boutons:

1 Agression ; 2 Injustice ; 3 Regard noir ; 4 Il pleut ; 5 J'ai froid.

Et que cet attachement se déclenche si deux boutons principaux sont présents, comme par exemple l'agression et l'injustice; dans cet exemple l'attachement va se déclencher plus fort, si tout ou partie des autres boutons secondaires sont présents (un regard noir, ou il pleut, ou j'ai froid). Mais bien sûr il est nécessaire que de l'agression et de l'injustice soit présent; car si seulement les informations des boutons secondaires sont présentes, cela ne déclenche pas l'attachement.

Remarque générale: Parfois l'intensité ou la sensibilité du déclenchement d'un attachement est différent d'un attachement à l'autre.

Certains attachements sont très sensibles, et le moindre bouton présent déclenche l'attachement.

Dans d'autre cas le déclenchement est moins sensible, et il est nécessaire que les boutons présents soient forts.

Par exemple une agression légère ne déclenche rien, mais une agression violente déclenche l'attachement.

D'autre part notre état est important dans le déclenchement des attachements: Si on est fatigué, stressé, énervé,

les déclenchements sont facilités.

Alors que si on est calme, reposé détendu, un attachement qui se déclenchait si on était fatigué ou stressé, ne se déclenchera pas.

Parfois le déclenchement de l'attachement s'auto alimente:

Le déclenchement de l'attachement nous fait passer en mode mental et réactif, et on se coupe donc de la «pleine conscience»;

on coupe parfois sa respiration, on n'est plus «conscient» de ses points de contacts, on est énervé... et cela renforce l'attachement: on tourne en boucle, on ne peut plus sortir de son attachement, de ses pensées, de son énervement.

 

Exemple 3 Parfois un même bouton est présent dans deux attachements.

Prenons l'exemple, où le bouton «injustice» est présent dans deux attachements.

Attachement A.

Boutons attachement A:

- Injustice (bouton principal 1),

- On ne respecte pas son engagement (bouton principal 2),

- Pas de considération de ce que je suis (bouton secondaire renforçant).

Conséquences attachement A: Je suis énervé; J'ai mal à la tête.

Attachement B.

Boutons attachement B:

- Agression (bouton principal 1)

- Injustice (bouton principal 2)

- Pas de considération de ce que je suis (bouton secondaire)

Conséquences attachement B: Tristesse; Effondrement; Je bloque mes sentiments.

 

Il est important de se rappeler:

Qu'il y a des boutons principaux qui déclenchent l'attachement,

et des boutons secondaires qui seuls ne déclenchent pas l'attachement, mais qui renforcent le déclenchement de l'attachement.

Et qu'il y a des attachements plus ou moins sensible au déclenchement. Dans cet exemple 3, le même bouton est présent dans deux attachements différents.

C'est l'attachement qui a le bouton principal le plus fort, qui va faire déclencher prioritairement l'attachement.

Dans l'exemple 3 ci dessus, s'il y a de l'injustice;

comme l'injustice est le bouton principal 1 (le plus fort) de l'attachement A, c'est l'attachement A qui va se déclencher en priorité.

 

Exemple 4. Dans d'autres cas, la même information bouton (présente dans deux attachements) peut faire se déclencher la somme de toutes les conséquences présentes dans les deux attachements.

 

Exemple 5. Parfois nous avons plusieurs attachements différents (avec des boutons différents) qui conduisent à des effets similaires (par exemple de la colère).

Et si vous avez déconnecté un attachement; et que vous constatez encore les même effets conséquence après;

posez vous en «pleine conscience» la question:

Y a t'il, un autre attachement qui conduit à ces même effets ?

 

Exemple 6. Parfois lorsque un attachement se déclenche, cela en déclenche un autre.

Prenons le cas de deux attachements C et D.

Attachement C.

Bouton attachement C: Un être cher décède.

Conséquence attachement C: Tristesse.

Attachement D.

Bouton attachement D: Tristesse.

Conséquences attachement D: Effondrement.

Si un être cher décède, l'attachement C va générer de la tristesse.

Et cette tristesse va déclencher l'attachement D: De l'effondrement.

 

Exemple 7. Parfois il y a des déclenchements d'attachements en cascade.

Quand on sait:

- Que des attachements peuvent être liés (par exemple par des boutons communs).

- Qu'un attachement peut en déclencher un autre.

- Que lorsque l'on est fatigué, stressé, énervé, les attachements se déclenchent plus facilement.

Il y a un risque de déclenchements en cascades.

Cela peut engendrer une spirale de sensations, d'émotions, de pensées, qui peut conduire à un pétage de plomb complet:

Tout remonte, on est submergé, on ne peut plus rien contrôler.

Dans ce cas:

S'isoler des éléments qui peuvent faire se déclencher un (ou des) attachement.

Respirer; Sentir ses points de contacts avec le sol; Toucher un arbre, un objet, la table; Caresser le chat; Marcher; Parler à une personne ancrée et «consciente» qui vous aime; Écrire; Faites une activité qui vous plaît, qui vous fait du bien, ou qui vous apaise...

La déconnexion des attachement est traité dans le chapitre spécifique: Déconnexion des attachements.

 

3- Le fonctionnement en «pleine conscience».

Dans un fonctionnement en «pleine conscience», on est «conscient» d'informations matérielles et de certaines informations «subtiles».

On est «conscient» des informations «subtiles» qui sont inscrites au niveau de «conscience» auquel on est (ou des informations «subtiles» qui sont inscrites à un niveau de «conscience» plus superficiel que le niveau de «conscience» auquel on est).

Si des informations «subtiles» sont inscrites à un niveau de «conscience» plus profond que celui auquel on est: On n'est pas «conscient» de ces informations «subtiles».

Commençons par l'émission d'une information «subtile»:

15c envoi info subtile

 

 

 

 

 

 

 

 

La «conscience» (le cercle du corps «subtil» de la «conscience» CS6) peut émettre directement (représenté par la flèche du haut) une information «subtile» (comme par exemple une pensée «subtile», un sentiment «subtil», une sensation «subtile»...).

En même temps, la «conscience» envoie cette information dans le corps «subtil» des causes (pour garder la cause de cette information); puis cette information est projetée dans le corps «subtil» correspondant. Dans le cas représenté dans le dessin ci avant, comme l'information est une pensées «subtile»; elle est projetée dans le corps «subtil» des pensées CS4. Cette pensée «subtile» peut ensuite être émise par le corps «subtil» des pensées (flèche horizontale juste au dessous de la première).

Réception et réponse d'informations «subtiles» entre deux «consciences»:

16c echange en utilisant sa conscience pour une info subtile

 

 

 

 

 

 

 

- La «conscience» CS6 de l'être 1 envoie une information «subtile» (la flèche horizontale envoi 1 du haut) vers l'être 2.

- La «conscience» CS6 de l'être 1 envoi aussi cette information (dans cet exemple c'est une pensées) dans son corps «subtil» des pensées CS4 (en passant par son corps «subtil» des causes CS5).

- L'être 1 envoi aussi cette pensées depuis son corps «subtil» des pensées CS4 (flèche envoi 2) vers l'être 2.

- Dans cet exemple, la «conscience» de l'être 2 perçoit l'information (via la flèche envoi 1) dans le corps «subtil» de sa «conscience» CS6 (le point gris à l’extrémité de la flèche du haut).

- La «conscience» de l'être 2 envoi cette pensées dans son corps «subtil» des pensées CS4 (en passant par son corps «subtil» des causes CS5).

- Le corps «subtil» des pensées de l'être 2 perçoit aussi la pensée en direct depuis le corps «subtil» des pensées de l'être 1 (Flèche envoi 2).

- La «conscience» CS6 de l'être 2 répond de manière «subtile» à l'envoi1 par une information «subtile» (flèche réponse 1). Dans cet exemple la réponse de la «conscience» 2 est un sentiment «subtil».

- En réponse à l'envoi 2 de l'être 1; la réponse le l'être 2 est un sentiment «subtil». Aussi, le corps «subtil» des sentiments CS3 de l'être 2 envoie aussi un sentiment «subtil» vers le corps «subtil» CS3 des sentiments de l'être 1 (flèche réponse 2).

Tous ces transferts d'informations «subtiles» se font en même temps: Ils sont simultanés.

Deux circuits de communication: Cela complique un peu les dessins.

Aussi, afin de simplifier les dessins (lorsque cela ne nuit pas à la compréhension des échanges d'informations «subtiles»):

- Comme tous les échanges d'informations «subtiles» qui sont dans les corps «subtils» des sensations CS2, des sentiments CS3, des pensées CS4; sont aussi toujours dans les corps «subtils» de la «conscience» CS6.

- Comme les informations émises par les corps «subtils» de la «conscience» CS6 peuvent être à des fréquences élevées; qui font que ces informations ne sont parfois pas perçues (point détaillé un peu plus loin);

alors que les informations émises par les corps «subtils» des pensées CS4, des sentiments CS3, des sensations CS2, sont sur des fréquences plus basses, donc plus facilement perceptibles par les autres «consciences»;

j'utiliserai parfois dans les dessins (lorsque cela ne nuit pas à la compréhension des échanges d'informations «subtiles») une représentation simplifiée des échanges d'informations «subtiles».

Exemple du cas précédent, mais avec la représentation simplifiée:

17c echange en utilisant sa conscience simplifie

 

 

 

 

 

 

 

 

Effectivement c'est plus simple.

On peut constater dans cette représentation simplifiée,

que les flèches et les informations liées au circuit 1 ont été enlevés.

Il ne reste que le circuit qui passe que les flèches et les informations liées à au circuit 2.

 

Comme je l'ai évoqué précédemment, certaines informations «subtiles» émises sur des fréquences élevés ne sont pas perçues.

Aussi je vais expliquer les conditions qui sont nécessaires,

pour qu'une communication «subtile», puisse être perçue par une autre «conscience».

D'abord, pour expliquer les communications «subtiles» entre des «consciences», je vais faire une comparaison avec les communications radiophoniques (la radio).

Pour les communications radiophoniques, il faut d’abord différentier deux types différents de fréquences:

1- La fréquence d'émission/transmission de l'information:

On l'appelle parfois la fréquence porteuse.

2- Et les fréquences qui contiennent l'information elle même:

On les appelle parfois les modulations de fréquences (par exemple) autour de cette fréquence porteuse.

Différentes stations de radios, émettent des ondes radio sur différentes fréquences d'émission.

Les ondes radio (sur les fréquences d'émission) se propagent dans l'espace.

Et si vous avez un récepteur radio, vous pouvez capter ces émissions radio.

Vous pouvez recevoir une émission radio:

- Soit parce que vous connaissez sa fréquence d'émission; et vous calez votre poste radio sur cette fréquence.

- Soit en balayant les différentes fréquences d'émission, et en vous calant sur la fréquence d'émission désirée, une fois que vous l'avez trouvé.

 

Pour les communications «subtiles», c'est comme avec les communications radio; même s'il y a des différences.

Une des principales différences, c'est que les ondes radios sont matérielles et se propagent à la vitesse de la lumière (300 000 km/seconde); alors que les transmission «subtiles» sont non matérielles et se transmettent instantanément.

Le corps «subtil» de la «conscience» CS6 peut émettre des informations «subtiles» sur différentes fréquences d'émission.

Par exemple émission sur la fréquence Fr61 (le chiffre 61 n'a pas de sens particulier, c'est un juste un exemple. Mais plus le chiffre est élevé, plus la fréquence vibratoire est haute).

Les informations «subtiles» représentées par des point gris,

sont des vibrations qui représentent le contenu de l'information.

(ces vibrations sont différentes de la fréquence d'émission).

Les informations matérielles, représentées par des points noirs, sont aussi des vibrations:

La parole: La vibration de l'air.

La vision: La vibration de la lumière (du photon).

La chaleur: La vibration des molécules.

La matière: Par exemple la vibration des cordes (si on souscrit à la théorie des cordes).

Exemple d'émission par une «conscience» d'informations «subtiles»:

18c emission info frequences

 

 

 

 

 

 

 

 

Comme déjà évoqué, le corps «subtil» de la «conscience» CS6 peut émettre directement une informations «subtile» (par exemple à la fréquence Fr61) représentée sur le dessin ci dessus par la flèche horizontale du haut.

Une information émise par le corps «subtil» de la «conscience» CS6, peut contenir plusieurs informations «subtiles» (comme par exemple: Une pensée «subtile» + un sentiment «subtil»).

C'est le corps «subtil» du «bain de conscience» CS7 qui peut émettre des informations sur les fréquences les plus hautes;

ensuite les autres corps «subtils» peuvent émettre des informations, mais sur des fréquences plus basses.

Les fréquences, des plus hautes aux plus basses, étant celles

du corps «subtil» du «bain de conscience» CS7,

puis du corps «subtil» CS6, puis du corps «subtil» CS5,

puis du corps «subtil» CS4, puis du corps «subtil» CS3,

puis du corps «subtil» CS2 des sensations/énergies/matières «subtiles» (pour les fréquences «subtiles» les plus basses).

 

Les corps «subtils» peuvent émettre des informations «subtiles» sur une fréquence «subtile» donnée; mais ils peuvent aussi abaisser leurs fréquences «subtiles» d'émission, pour émettre sur des fréquences plus basses (l'intérêt de cette possibilité c'est d'être percu par des 'consciences' de niveaux de 'conscience' superficiels)).

Réception et perception des informations «subtiles».

Comme pour les communications radio; pour percevoir une information «subtile» émise par une «conscience» A (ou émise par l'un de ses corps «subtils») sur une fréquence donnée; une conscience réceptrice B doit accorder sa fréquence de réception, sur la fréquence d'émission de cette «conscience» A .

Mais chaque «conscience» (et chacun de ses corps «subtils»),

a une limite dans les fréquences hautes qu'elle peut émettre et capter.

Et si, par exemple, une «conscience» A émet sur une fréquence

haute (par exemple Fr62), et que le maximum qu'une «conscience» réceptrice B soit capable de percevoir est la fréquence Fr61 (donc plus basse que la fréquence Fr62);

la «conscience» B ne percevra pas l'information émise par la «conscience» A.

Si la «conscience» A est consciente de cela; la «conscience» A peut abaisser sa fréquence d'émission (par exemple à Fr61) pour que la «conscience» B puisse percevoir l'information.

Les corps «subtils» CS7, CS6, CS5, CS4, CS3, CS2 peuvent émettre des informations sur plusieurs fréquences «subtiles»

(Fr31, FR32, Fr33 par exemple) en même temps (la même information, ou des informations différentes).

Au début d'une vie incarnée, chaque «conscience» a une capacité de percevoir (ou pas) les fréquences «subtiles»; et a (pour chaque corps «subtil») une fréquence maximum atteignable.

Cela dépend de son évolution, du niveau de «conscience» qu'elle a atteint au cours de ses vies précédentes.

Durant une vie vie incarnée, chaque «conscience» peut développer ses fréquence maximum atteignable (pour chaque corps «subtil»), par la méditation, par le développement de l'amour altruiste, par ses contacts avec des «consciences» qui vibrent à de plus hautes fréquences qu'elle, etc...

Stockage des informations «subtiles» dans les différents corps «subtils».

Les informations «subtiles», dans les différents corps «subtils» sont perçues et stockées avec les fréquences auxquelles elles ont été émises. Ce qui veut dire que dans un même corps «subtil» il y a des informations qui sont enregistrées à des fréquences différentes:

19c differentes frequences

 

 

 

 

 

 

 

 

On peut constater sur le dessin ci dessus; si on prend l'exemple

du corps «subtil» CS4 des pensées «subtiles»; qu'il y en a

deux informations «subtiles» stockées à la fréquence Fr41 et une à la fréquence Fr42.

Représentation sur un dessin de l'émission et de la réception d'une information «subtile»;dans cet exemple c'est une pensée «subtile»

20c sur la meme frequence

 

 

 

 

 

 

 

 

Pour recevoir et percevoir une information «subtile», une «conscience» B (ou ses corps «subtils») se cale donc sur la fréquence d'émission de la «conscience» A(ou ses corps «subtils»):

- Soit parce que les deux «consciences» se connaissent,

ont l'habitude de communiquer, et connaissent intuitivement les fréquences sur lesquelles la «conscience» de l'être A émet.

- Soit la «conscience»B à la capacité de balayer les différentes fréquences d'émission des autres «consciences», et de se caler sur les fréquences d'émissions de ces autres «consciences».

Toutes les «consciences» n'ont pas les même capacités:

Certaines «consciences» ont la capacité de faire varier facilement leurs fréquences «subtiles» d'émission et de réception de leurs différents corps «subtils».

Certaines «consciences» ont une grande capacité d'attention pour percevoir et se caler sur les fréquences «subtiles» d'autres «consciences»; puis d'émettre sur les fréquences de ces autres «consciences».

Bien sûr dans la limite des fréquences maximales que ces «consciences» sont capable de capter et d'émettre.

Dans l'exemple qui suit, je vais faire l'hypothèse que les «consciences» se connaissent, et sont capable de se mettre sur les même fréquences «subtiles» pour communiquer de manière «subtile».

La «conscience» d'un être A, envoie une information «subtile»:

«Un signe de la main subtil» (le point gris sur le cercle CS6), en passant par le corps «subtil» des causes CS5, vers le corps «subtil» des sensations/énergies/matières «subtiles» CS2 (point gris à côté de la lettre A).

Puis cette information «subtile» «Un signe de la main subtil» est projeté dans le corps matériel CM1, ce qui fait réaliser au corps un signe de la main matériel (point noir sur le cercle CM1 de l'être A).

21c echange en conscience deux trajets

 

 

 

 

 

 

 

Il y deux circuits de communication:

Le circuit 1 c'est la communication «subtile»: l'information «subtile» est envoyée de manière «subtile» à la «conscience» de l'être B.

Cette communication «subtile» est représentée par la flèche grise horizontale (avec indiqué Circuit 1 au dessus).

Cette information «subtile» est perçue par la «conscience» de l'être B (ou un de ses corps «subtils»), si celle ci est capable de percevoir les informations «subtiles».

Le circuit 2 c'est la communication qui passe par le matériel:

Le signe de la main matériel effectué par l'être A se transmet par la lumière, et est perçu matériellement par l'être B (le point noir sur le cercle CM1 de l'être B).

Ce qui est important de se rappeler, c'est qu'une communication «subtile» est instantanée (les flèches en gris sur le dessin ci avant); alors qu'une communication matérielle (flèche noire) prend du temps.

Car le temps, pour la transmission d'une information matérielle, dépendant de la distance qui sépare l’émetteur du récepteur,

et de la vitesse de transfert de l'information.

Par exemple, le transfert d'une information visuelle est effectué par la lumière; et la vitesse de la lumière est de 300 000 Km par seconde: c'est rapide, mais pas instantané.

Par exemple, une parole est transmise par le son; et la vitesse du son est d'environ 340 mètres par seconde.

Ce qui veut dire (comme la transmission d'une l'information «subtile» est instantanée, et que la transmission d'une information matérielle prend du temps) que si une informations «subtile» et une information matérielle sont envoyées en même temps;

qu'il y a un décalage entre la réception de l'information «subtile» (qui arrive en premier puisqu'elle est instantanée) et la réception de l'information matérielle qui arrive après.

Et ce décalage explique pourquoi (même si ce décalage de temps est très faible) on a parfois l'impression d'avoir déjà eu l'information, lorsque l'on reçoit une information matérielle.

De même on a parfois compris un message parlé, avant que la personne ai fini sa phrase; car la pensée «subtile» de l'ensemble du message, est en général envoyée au moment où la personne commence à parler (parfois même un peu avant).

Mais cette information «subtile» associé à la communication matérielle (parole, geste...) n'est souvent pas perçue:

- Soit parce que la personne ne capte pas les informations «subtiles».

- Soit parce que la personne qui reçoit l'information «subtile» est concentrée sur le matériel, n'est pas en «pleine conscience», ou ne prête pas attention aux informations «subtiles».

- Soit parce que la «conscience» réceptrice n'a pas accordé sa réception sur la fréquence «subtile» de l'information «subtile» émise.

Mais ce n'est pas, parce qu'une personne à qui on envoie une information «subtile» ne la capte pas, que cette information «subtile» n'existe pas.

On peut développer ses capacités de communications «subtiles»:

- En étant attentif à nos perceptions «subtiles», lors des communications avec les êtres qui nous sont proches (famille, amis, animaux, végétaux...).

- En émettant des informations «subtiles», puis en écoutant ce qui se passe.

- En méditant en «pleine conscience».

- En pratiquant: Lorsque l'on ressent quelque chose, en se mettant en «pleine conscience», et en observant ses perceptions «subtiles».

Mais les communications «subtiles» ne sont pas forcément réciproques.

C'est à dire que si vous percevez les informations «subtiles» émises par une personne, cette personne ne va pas obligatoirement percevoir les informations «subtiles» que vous émettez.

Par exemple, si les deux personnes n'ont pas le même niveau de «conscience»; ou tout simplement parce qu’une personne capte les informations «subtiles» et l'autre pas.

On peut penser que cela est assez intrusif de capter les informations «subtiles» émises par d'autres êtres.

Mais il est important de savoir, qu'avant de percevoir les informations «subtiles»; on a approfondi son niveau de «conscience», on a développé l'amour altruiste, et son respect du libre arbitre des autres êtres.

Mais on ne capte pas les informations «subtiles» qui sont dans les corps «subtils» des «consciences» des êtres.

On ne capte que les informations «subtiles» que les «consciences» des êtres émettent.

Donc, si d'autres êtres captent les informations «subtiles» que vous émettez, c'est que vous les avez envoyé.

Et si vous ne souhaitez pas qu'ils captent les informations «subtiles» que vous émettez, n'en n’émettez pas.

Dans ce cas là il est nécessaire d'être en «pleine conscience», et on visualise que l'on n'émet pas d'informations «subtiles» (pour une période donnée par exemple).

Vous pouvez aussi limiter l'accès aux informations «subtiles» que vous émettez, uniquement aux personnes auxquelles elles sont destinées; en visualisant en «pleine conscience» que les informations «subtiles» ne sont envoyées qu'aux êtres que vous souhaitez.

On peut penser que certains êtres émettent des informations «subtiles» sans en être «conscients»?

Mais dans ces cas, au plus profond d'eux même, ont ils envie d'exprimer leurs joies, leurs tristesses, leurs appels au secours ?

 

Une des difficultés que rencontrent certaines personnes,

c'est qu'elles sont des éponges à informations «subtiles».

Elles perçoivent et captent spontanément beaucoup d'informations «subtiles»; elles ne savent pas comment les gérer; et sont souvent complètement submergées et perturbées par ces informations.

Elles sont parfois «conscientes» de leurs capacités (parfois pas).

Si elles sont perturbées, et qu'elles ne savent pas si les informations «subtiles» viennent d'elle même, ou d'autres «consciences»; dans ces cas, il me parait utile:

De reconnaître en «pleine conscience» que l'on perçoit des informations «subtiles».

Et lorsque l'on perçoit des informations «subtiles» et que l'on se sent perturbé: Être en «pleine conscience» (observer sa respiration, ses points de contact...);

et de son état de «pleine conscience», observer la perception qui est là: Un événement, une sensation, un sentiment, une pensée...

Et de se poser en «conscience» la question d’où vient cette perception ?

De moi, d'un autre être (ou d'un groupe d'êtres) ?

Et laisser émerger instantanément ce qui remonte.

Si remonte à sa «conscience» que l'information «subtile» vient de soi (du déclenchement d'un attachement par exemple); 

on peut travailler en «pleine conscience» sur cette sensation:

Par exemple en envoyant sa respiration dans cette sensation, et en observant les autres informations «subtiles» qui remontent.

(Pour la déconnexion d'un attachement, voir le chapitre spécifique: Déconnexion des attachements).

 

Si on perçoit que l'information «subtile» ne vient pas de nous:

Se poser la question en «pleine conscience»: D'où vient elle ?

et laissez émerger ce qui vient, ce qui remonte à notre «conscience». Et si nous percevons que nos perceptions viennent d'une autre «conscience»; plusieurs cas se présentent:

- Si on perçoit une «conscience» bienveillante;

dans ce cas on peut, si on le souhaite, envoyer de l'amour à la «conscience» émettrice, ou toute autre action de communication «subtile» (ou éventuellement matérielle) qui émerge de notre «conscience». Ou, si on ne se sent pas prêt à répondre à cette demande, se respecter, et répondre amicalement (par l'émission d'une pensée «subtile» par exemple) que l'on ne se sent pas prêt, envoyer de l'amour, et arrêter la réception.

- Si cette demande provient d'un être que l'on ne perçoit pas bienveillant; dire (de manière «subtile») que l'on ne souhaite pas répondre à sa demande; et visualiser en «conscience» que l'on bloque les émissions d'informations en provenance de cette (ou de ces) «conscience».

- Si on est submergé par trop d'informations, on peut aussi, en «pleine conscience» se dire, par exemple:

A partir de ce moment (on peut changer les filtres des informations que l'on souhaite recevoir à chaque instant) je ne laisse passer que les informations de mes proches (voire tout bloquer pour une période), et observer ce que cela engendre.

 

De même, pour les informations «subtiles» que l'on émet.

On peut envoyer des informations «subtiles» pour répondre à des demandes; en respectant les êtres qui ne souhaitent pas recevoir d'informations «subtiles».

Donc, attention au harcèlement «subtil»; en envoyant des informations «subtiles» à un être, à un groupe, au monde, sans être en «pleine conscience» de leurs demandes.

Car si c'est le cas, ce n'est pas éthique; et cela va créer un Karma qu'il faudra ensuite nettoyer.

Donc autant ne pas en créer; et grandir tout de suite en développant notre respect du libre arbitre des autres «consciences», notre écoute des autres et de leurs demandes (ou l'absence de demande).

Car les autres ont la capacité de traiter leurs souhaits par eux même, avec leurs croyances et leurs niveaux de «conscience» de l'instant, à leurs rythmes (car chaque «conscience» à sa propre capacité et vitesse d'intégration, de maturation); seuls, en interaction avec les autres, avec notre accompagnement ou l'accompagnement d'autres «consciences» s'ils le demandent.

Mais attention de ne pas tomber dans la « dictature du bien » (cette expression est le titre d'un livre de Julien Jouanneau),

sans écoute des autres «consciences»; en étant centré sur ses certitudes (de ce que l'on croit bien pour les autres), sans tenir compte des capacités d'intégration et de maturation des autres, sans tenir compte et respecter leurs niveaux de «conscience», et leurs modes de fonctionnements actuels, sans respecter leurs libres arbitres (quel que soit leurs niveaux de «conscience»);

car cela peut être le signe que l'on a un (des) attachement à déconnecter:

Un attachement à ce que les choses soient comme on le veut?

Un attachement à la valorisation, en faisant le bien des autres?

Etc...

 

Avantages du fonctionnement en «pleine conscience».

- Il y a plus d'informations dans les corps «subtils» que dans le mental/le cerveau (100 fois plus, 1000 fois plus, souvent beaucoup plus). On voit donc l’intérêt de travailler avec sa «conscience», avec un niveau de «conscience» le plus profond possible, pour avoir accès au maximum d'informations que l'on peut; plutôt que de fonctionner uniquement avec son mental (son cerveau).

- Lorsque nous sommes en «pleine conscience» et sur les même fréquences que d'autres êtres; nous pouvons être en liaison «subtile» avec ces êtres, et percevoir les informations «subtiles» qu'ils émettent.

Ce qui nous permet d'avoir d'autres d'informations.

- Le fonctionnement en «pleine conscience» tient donc mieux compte des autres êtres, est plus global.

Alors que le fonctionnement mental est plus étroit, parfois centré sur soi, sur ses croyances, ses certitudes et ses à priori.

- Le fonctionnement en «pleine conscience» est adapté à chaque cas, à chaque situation; alors que les fonctionnements automatiques sont toujours pareils et ne tiennent pas compte des spécificités des situations.

- Un autre avantage du fonctionnement en «pleine conscience» est la vitesse de traitement des informations; car un fonctionnement mental (réfléchir, peser le pour et le contre, rechercher d'autres informations, faire d'autres hypothèses...) prend du temps: Des secondes, des minutes, des heures parfois, ou plus;

alors que le fonctionnement en «pleine conscience» est instantané malgré le grand nombre d'informations à traiter.

On voit donc l’intérêt d'utiliser sa «conscience» plutôt que de fonctionner uniquement avec son mental (son cerveau) et ses programmes automatiques pour résoudre une préoccupation, une question.

 

Chapitre 4 – Histoire de l'évolution de la «conscience» depuis une particule jusqu'à un être humain.

Nous avons vu au chapitre 1- Au commencement;

comment le «bain de conscience» peut faire apparaître une «conscience» par masquage d'une partie de ce qu'il est.

Des masquages différents, faisant apparaître des «consciences» différentes. Ces apparitions pouvant se produire de tout temps, ou à n'importe quel instant.

Le «bain de conscience» et l'ensemble des «consciences» sont en liens «subtils» et forment une unité.

Le «bain de conscience» et les «consciences» ont fait apparaître, par projection dans notre univers matériel, il y a environs 13,7 milliard d'années, d'une toute petite partie de l'espace (d'un point),

un éclatement original appelé le big bang (la grosse explosion en français) avec un certain nombre de projections matérielles:

- Des quarks (constituants des protons, des neutrons),

- Des photons (corpuscules supports par exemple de la lumière),

- Des bosons (vecteurs de force dans les interactions),

- De la matière noire,

- De l'énergie noire,

- Des particules (protons, neutrons, muons, neutrinos...),

- Puis des atomes (regroupant plusieurs particules).

- Puis des molécules (regroupant plusieurs atomes).

- Puis des gaz de molécules (d'hydrogène etc...) qui ont donné naissance à des étoiles.

- Puis des réactions nucléaires dans les étoiles ont donné naissance à d'autres molécules plus complexes comme la silice, le carbone, l'oxygène, l'eau...

- Puis ces molécules se sont dissipées dans l'espace, puis se sont ré agglomérées, et ont formés des planètes comme la terre.

- Puis sont apparus sur la terre des cellules, puis des végétaux, puis des animaux, puis des humains.

Et comme cela a été évoqué au chapitre 1,

la matière (ou l'énergie) découle (par projection) d'une «conscience» (qui la coordonne, la pilote).

Et donc une «conscience» est associée à toute matière:

A une particule, comme à un être humain.

Mais la réciproque n'est pas vrai: Une «conscience» peut être non incarnée, c'est à dire non associée à de la matière.

Une «conscience» peut donc être associée à une particule,

ou associée à un groupe de particules:

Une «conscience» associée à un atome (groupe de particules).

Une «conscience» associée à une molécule (groupe d'atomes).

Une «conscience» associée à une cellule (groupe de molécules).

Une «conscience» associée à un végétal (groupe de cellules).

Une «conscience» associée à un animal (groupe de cellules).

Une «conscience» associée à un être humain (groupe de cellules).

Je vais commencer par l'association d'une «conscience» avec une particule.

 

Je conviens que cela peut paraître surprenant qu'une «conscience» puisse être associée au corps matériel d'une particule; comme une «conscience» s'associe aussi au corps matériel d'un être humain.

Mais quel est le point commun entre ces deux «consciences» ?

Et qu'est ce qui les différencient ?

Le point commun entre une «conscience» associé à une particule,

et une «conscience» associée à un être humain;

c'est que la structure de ces «consciences» est de la même nature;

avec une structure de base qui est le corps «subtil» de la «conscience», et des projections depuis ce corps «subtil» de la «conscience» vers les autres corps «subtils».

Cette même structure permet à une «conscience» d'évoluer depuis son association avec une particule, jusqu'à son association avec un être humain.

Ce qui différencie ces «consciences», se sont les informations qui sont présentes dans le corps «subtil» de la «conscience» de ces «consciences» (et en conséquence, les projections qui sont dans les autres corps «subtils»).

- Dans le cas d'une «conscience» associée à une particule,

les informations présentes dans son corps «subtil» de la «conscience» (et par projection dans ses autres corps «subtils») sont essentiellement des lois de comportement: des actions, des réactions à tel ou telle sollicitation.

Et le nombre d'informations est faible.

- Dans le cas d'une «conscience» associée à un être humain il y a beaucoup plus d'informations; notamment dans les corps «subtils» des sentiments, des pensées.

Et les comportements inscrits dans la «conscience» et ses corps «subtils» sont plus sophistiquées: des comportements amoureux, de recherche de nourriture etc...

Il y donc beaucoup plus d'informations dans la «conscience» d'un être humain que dans la «conscience» d'une particule.

Exemple d'apparition d'une «conscience 1» (cercle CS6):

25c apparition conscience particule 1

 

 

 

 

 

 

 

 

Et comme, avec des projections différentes, cela donne des «consciences» différentes.

Autre exemple d'apparition d'une «conscience 2» (cercle CS6):

26c apparition conscience particule 2

 

 

 

 

 

 

 

 

Puis, prenons l'exemple où ces deux «consciences» s'incarnent (s'associent) dans deux particules matérielles.

Nous avons vu au chapitre 1-Au commencement;

le processus d'incarnation d'une «conscience» dans le corps matériel d'un être humain. C'est le même type de processus d'incarnation pour une «conscience» qui s'incarne dans une particule: La «conscience» projette des informations qui sont dans le corps «subtil» de sa «conscience», dans les autres corps «subtils», et dans le corps matériel.

Incarnation de la «conscience 1» dans une particule matérielle 1:

27c incarnation d une conscience de particule 1

 

 

 

 

 

 

 

 

Incarnation de la «conscience 2» dans une particule matérielle 2:

28c incarnation d une autre conscience de particule 2

 

 

 

 

 

 

 

 

Bien sûr, il y a beaucoup plus d'informations dans les «consciences».

Mais ces dessins montent que ces «consciences» sont différentes parce qu'elles ont des informations différentes dans leurs corps «subtils» et leurs projections dans la matière.

D'autre part, chaque point noir avec un petit point blanc au centre (dans le dessin ci avant) sur le cercle du corps matériel CM1, représente un état potentiel de la matière.

Les différents points noirs (avec un petit point blanc au centre) représentent donc un ensemble d'états potentiels superposés.

Et ce n'est que lorsque une autre «conscience» envoie une information «subtile» d'observation à la «conscience» de la particule, que l'état de la matière de la particule est défini.

Exemple avec observation/coordination par une autre «conscience», de la «conscience 1» associée à la particule 1:

29c definition etat particule 1

 

 

 

 

 

 

 

ns cet exemple, lorsqu'il n'y avait pas d'observation par une autre «conscience», le corps matériel de la particule 1 était dans cinq états potentiels superposés.

Lorsque une autre «conscience» (en général la «conscience» de l'atome qui coordonne cette particule) observe/coordonne la particule 1 (information représentée par un point gris en haut à gauche); cela défini un état de la matière (parmi les cinq états potentiels superposés).

Sur le dessin ci avant, les cinq points noirs avec un petit point blanc au centre (informations potentielles), sont remplacés par un seul point noir.

Puis les particules (comme les photons, les électrons, les protons...) vont interagir les unes avec les autres.

Et pour cela, il va y avoir échange d'informations «subtiles», et des actions matérielles.

Exemple d'une «conscience» associée à une particule élémentaire, qui reçoit une information, par exemple à l'occasion d'une interaction avec une autre particule, et qui va répondre à cette sollicitation (représentation simplifiée):

24c conscience particule

 

 

 

 

 

 

 

 

Le point noir en haut à gauche, à l'extérieur du cercle CS7, représente une information matérielle (en provenance par exemple d'une particule extérieure).

Comme toute information matérielle, cette information matérielle est associée à une information «subtile»: Le point gris à coté du point noir, représente l'information «subtile» origine associée à l'information matérielle.

Toutes les lois de comportement d'une particule sont dans sa «conscience» CS6.

Mais comme sur le dessin ci avant, il s'agit d'une représentation simplifiée; les interactions entre les informations «subtiles» (points gris) entre CS6 et CS2 ne sont pas représentées (pour ne pas surcharger le dessin).

Lorsque la «conscience» de la particule ou ses corps «subtils» reçoit une information «subtile» (compte tenu des lois de comportements qui sont stockées dans la «conscience») la «conscience» de la particule, via ses corps «subtils», trouve une réponse «subtile» à cette sollicitation (le point gris sur CS2 à l'extrémité basse de la flèche grise verticale).

Cette réponse «subtile» est envoyée dans la matière (le point noir du bas sur le cercle CM1), ce qui génère un comportement matériel, en réponse à la sollicitation matérielle.

 

Pour les sept pages suivantes je vais parler d'atomes et de molécules.

Je rappelle que la matière (une minéral par exemple) est constituée de molécules (comme des molécules de quartz par exemple).

Que les molécules sont constituées de composants plus petits qui sont les atomes (comme des atomes de silice, des atomes d'oxygène par exemple).

Que les atomes sont constituées de composants encore plus petits qui sont les particules (comme les protons, les neutrons, les électrons...).

Mais si les les atomes et les molécules cela ne vous branche pas trop:

- Vous pouvez survoler les sept pages suivantes (qui vont parler de molécules et d'atomes); et ne lire que les lignes qui vous interpellent, sans que cela ai une influence sur la compréhension de la suite.

Mais certain(e)s sont peut être intéressés par ces premiers niveaux de l'évolution.

- Ou sauter les explications sur les atomes et les molécules,

et aller directement (sept pages plus loin) aux incarnations des cellules, puis des végétaux, des animaux et des humains.

 

Après l'incarnation d'une «conscience» dans une particule passons à l'incarnation d'une «conscience» dans un atome.

Comme par exemple un atome d'hydrogène, un atome de carbone, un atome de fer... (donc constitués de plusieurs particules).

C'est le même type de processus pour l'incarnation d'une «conscience»; que cela soit pour une particule, un atome, une molécule, un végétal, un animal, un humain.

Mais la principale différence entre une particule et un atome;

c'est que dans le cas de la «conscience» d'une particule, la «conscience» est associée au corps matériel d'une particule;

alors que dans le cas de la «conscience» d'un atome, la «conscience» de l'atome coordonne les «consciences» de plusieurs particules.

Il y a deux variantes pour l'apparition (ou la ré apparition) d'une «conscience» associée au corps matériel d'un atome:

- Pour la première variante, le «bain de conscience» démasque

(à partir de l'infinité d'informations qui sont dans le corps «subtil» du «bain de conscience») les informations qui seront nécessaire à cette «conscience» d'atome pour fonctionner dans son environnement; et projette ces informations dans le corps «subtil» de la «conscience» de l'atome.

- Pour la deuxième variante, la «conscience» a déjà eu une existence incarnée, et elle va se réincarner.

Cela peut être la réincarnation d'une «conscience» d'un ancien atome qui a eu sa matière désintégrée (la durée de vie d'un atome est limitée); ou l'évolution d'une «conscience» qui était auparavant associée à une particule, et qui a eu sa matière désintégrée (la durée de vie d'une particule est aussi limitée).

Dans cette deuxième variante, la «conscience» garde les informations qui étaient dans son corps «subtil» de la «conscience» CS6 à la fin de sa dernière incarnation;

et le «bain de conscience» intègre de nouvelles informations dans le corps «subtil» de la «conscience» pour faciliter l'évolution (et ses interactions) de la «conscience» dans sa nouvelle vie incarnée.

Pour continuer le processus d'incarnation d'un atome,

je vais le faire sur un exemple: L'incarnation d'une «conscience» dans le corps matériel d'un atome d'hydrogène.

Mais, même si les compositions matérielles des atomes d'hydrogène sont les même (constitués de deux particules: un proton et un électron);

les «consciences» des atomes d'hydrogène sont différentes d'un atome d'hydrogène à l'autre.

Certes il y a beaucoup d'informations «subtiles» communes dans leurs corps «subtils»; mais il y a aussi des informations «subtiles» différentes, en fonction de qu'a vécu la «conscience» dans sa vie présente et ses vies antérieures.

D'autre part, pour l'incarnation d'une «conscience» dans un atome (constitué de plusieurs particules), ce qu'il faut savoir, c'est que dans un atome, la matière n'est que dans les particules.

L'atome n'est que l'association, la coordination des «consciences» des particules qui le compose.

Aussi, pour réaliser cette association, cette coordination de particules; la «conscience» de l'atome d'hydrogène «appelle» une «conscience» de proton et une «conscience» d'électron.

Ensuite, si des «consciences» de ces particules (proton et électron) ne sont pas déjà gérées par une autre «conscience» d'atome;

la «conscience» de l'atome d'hydrogène 1 (j'ai rajouter un 1 après hydrogène pour le différentier des autres atomes d'hydrogène) transmet aux «consciences» des particules une information sous forme de fréquence «subtile» FrAH1 (Fr pour fréquence, et AH1 pour cet Atome d'Hydrogène 1 en particulier) qui leur indique que c'est la «conscience» de l'atome d'hydrogène 1 qui coordonne désormais ces particules; et cette information FrAH1 est stockée

dans les «consciences» du proton et de l'électron.

De même, le proton1 et l'électron1 envoient leurs fréquences signatures (Fr P1 et Fr E1) à la «conscience» de l'atome d'hydrogène 1, pour lui indiquer qu'elles font désormais parti de cet atome.

La «conscience» de l'atome d'hydrogène1 stocke ces informations FrP1 et FrE1 dans sa «conscience».

30c incarnation conscience atome hydrogene

 

 

 

 

 

 

ur le dessin ci avant, on constate, que les «consciences» du proton1 et de l'électron1 sont associées à un corps matériel (les cercles en trait noir gras au centre des cercles des corps «subtils» des particules); alors que la «conscience» de l'atome d'Hydrogène n'a pas de corps matériel directement associé (il n'y a pas de cercle en trait noir gras au centre des cercles des corps «subtils» de l'atome).

Le corps matériel associé à la «conscience» de l'atome, c'est l'ensemble des corps matériels de ses particules associées.

Les informations FrAH1, FrP1, FrE1 transmises lors de l'incarnation (voir le dessin ci avant), et qui sont présentes dans les différentes «consciences», sont importantes pour la suite.

Car après l'incarnation, comme les «consciences» des atomes d'hydrogène1, du proton1 et de l'électron1 ont les fréquences FrAH1, FrP1, FrE1 dans leurs «consciences», elles se reconnaissent, et peuvent communiquer de manière «subtile»:

31c fonctionnement atome hydrogene

 

 

 

 

 

 

La «conscience» de l'atome d'hydrogène1 agit sur la matière par l'intermédiaire des particules avec lesquelles elle est en liens «subtils».

Sur les dessins, les «consciences» de l'atome d'hydrogène1 et des deux particules sont représentées les unes à coté des autres;

mais c'est uniquement pour faciliter une compréhension visuelle.

En réalité ces trois «consciences» sont partout dans l'espace

(ce qui n'est pas facile à représenter sur un dessin).

A un moment donné, la matière de l'atome va se désintégrer.

Car comme vous le savez peut être, la matière est impermanente, et a une durée de vie limitée.

- La durée de vie d'un proton (particule) est supérieure à 1033 années (un 1 suivi de 33 zéros: Se sont les vrais chiffres).

- La durée de vie d'un électron (particule) est supérieure à 1029 années (un 1 suivi de 29 zéros).

- Pour un atome d'uranium 238 (isotope le plus fréquent sur terre à l'état naturel, et le moins radioactif) la moitié de sa masse se désintègres spontanément après 4,5 milliards d'années.

- Un minéral peut être érodé, cassé, des réactions chimiques peuvent le modifier ou le détruire etc...

Donc, après la désintégration de la matière de l'atome d'hydrogène:

- Soit la «conscience» de l'atome se réincarne dans un autre atome d'hydrogène (ou un autre atome: d'hélium par exemple, ou autre).

- Soit la «conscience» se réincarne dans une matière à potentiel d'évolution plus important, comme une molécule regroupant plusieurs atomes (d'un minéral par exemple).

Pour continuer l'évolution de cette «conscience» d'atome d'hydrogène 1 (après la désintégration de la matière de cet atome);

 

je vais prendre l'exemple de cette «conscience» qui était incarnée dans un atome d'hydrogène 1, et qui se réincarne dans une molécule d'un minéral de quartz SiO2 (1 atome de Silice et 2 atomes d'Oxygène).

La «conscience» démarre sa nouvelle vie incarnée dans une molécule d'un minéral avec les informations qui étaient dans son corps «subtil» de la «conscience» au moment de la fin de sa vie incarnée précédente (dans ce cas une molécule d'hydrogène).

Le «bain de conscience» (en lien avec la «conscience»), ajoute ou supprime des informations dans le corps «subtil» de la «conscience», afin de permettre à la «conscience» de fonctionner plus facilement incarnée dans une molécule d'un minéral de quartz.

Puis c'est le même type de processus que dans les cas précédents: A partir des informations qui sont dans le corps «subtil» de la «conscience», des informations sont projetées dans les autres corps «subtils». Puis la «conscience» de la molécule de minéral (de quartz SiO2 dans cet exemple) «appelle» des «consciences» d'atomes (une «conscience» d'un atome de silice et deux «consciences» d'atomes d'oxygène):

33c incarnation silice

 

 

 

 

 

 

 

 

Au moment de l'incarnation, les «consciences» s'échangent leurs fréquences FrMQ1, FrO1, FRO2 et FrS1, pour s'informer qu'elles appartiennent désormais à la même molécule; ce qui permet aux «consciences» de communiquer de manière «subtile».

Les «consciences» des atomes et des particules ont aussi échangé leurs fréquences de communication «subtile»; ce qui leur permet donc de communiquer de manière «subtile», en se calant sur les fréquences «subtiles» de transmission.

Trajets des échanges d'informations «subtiles» entre les «consciences»:

33c incarnation silice

 

 

 

 

 

 

 

 

La «conscience» de la molécule de quartz échange des informations «subtiles» avec les atomes. Les atomes échangent des informations «subtiles» avec les particules.

La «conscience» de la molécule de quartz peut envoyer plusieurs informations en même temps. Par exemple à la «conscience» de l'atome de silice et aux «consciences» des atomes d'oxygène.

J'ai représenté deux particules par atome pour une facilité de représentation sur le dessin (mais il y a plus de deux particules dans un atome de silice ou d'oxygène).

J'ai aussi représenté les atomes de silice et d'oxygène un peu plus petits, et les particules encore plus petites; mais c'est uniquement pour faciliter une compréhension visuelle. Car comme je l'ai déjà évoqué, les «consciences», quelles qu'elles soient, occupent tout l'espace.

On peut constater sur le dessin (ci avant), que seules les particules ont un corps matériel (les cercles en traits gras au centre).

 

Puis, après l'apparition des minéraux,

le «bain de conscience» va faire apparaître (même mécanisme que pour les cas précédents) des cellules.

Dans ce cas (comme pour les autres cas) le «bain de conscience» fait apparaître une «conscience», ou fait évoluer une «conscience» (en coordination avec la «conscience»), en lui ajoutant d'autres informations dans son corps «subtil» de la «conscience» (de l'ancien minéral, et désormais de la nouvelle cellule).

Puis le mécanisme d'incarnation est le même: Projection d'informations depuis le corps «subtil» de la «conscience» CS6 de la cellule vers les autres corps subtils:

22c cellule projection

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Ensuite, la «conscience» de la cellule va regrouper/coordonner des «consciences» de molécules (qui elles même coordonnent des atomes; et les atomes coordonnent des particules):

23c cellule

 

 

 

 

 

La «conscience» de la cellule 1 va envoyer aux «consciences» des minéraux sa fréquence (par exemple FrC1) pour leur indiquer que c'est la «conscience» de la cellule1 qui coordonne désormais les «consciences» des molécules1et2.

C'est le même processus entre les «consciences» des molécules qui coordonnent les «consciences» des atomes;

et les «consciences» des atomes qui coordonnent les «consciences» des particules.

On peux aussi constater que seul les «consciences» des particules sont associées à un corps matériel.

 

Dans les cas d'incarnation d'une «conscience» dans un être «animé» comme une cellule (ou une bactérie); un cap va être franchi: Le «bain de conscience» va faire apparaître (en lien avec la «conscience») de nouvelles informations (comme des sensations «subtiles»); ce qui permettra (suivant le niveau d'évolution de la «conscience») à la «conscience» de la cellule d'échanger d'autres types d'informations avec son environnement.

Si durant sa vie incarnée, la «conscience» de la cellule n'a pas accumulé les informations nécessaires à une incarnation dans un corps matériel de plus grand potentiel d'évolution; la «conscience» de la cellule va se réincarner dans une autre cellule (ou une bactérie mono cellulaire par exemple). Souvent dans un environnement différent, pour acquérir les informations qu'elles n'a pas acquise dans son incarnation précédente.

Si la «conscience» associée à une cellule a acquis suffisamment d'informations dans sa vie incarnée;

le «bain de conscience» va favoriser la prochaine incarnation de cette «conscience» associée à un être multi cellulaire;

 

comme par exemple un végétal.

Comme d'habitude, juste avant cette nouvelle incarnation, le «bain de conscience» va ajouter des informations dans le corps «subtil» de la «conscience» du végétal pour lui permette de gérer les «consciences» des cellules qu'elle aura à coordonner (1ier étage).

- Chaque «conscience» de cellule coordonnant les «consciences» des molécules qui la compose (2ième étage).

- Chaque «conscience» de molécule coordonnant les «consciences» des atomes qui la compose (3ième étage).

- Chaque «conscience» d'atome coordonnant les «consciences» des particules qui le compose (4ième étage).

Ce qui fait 4 étages de «consciences» successives.

La représentation sur un dessin de la coordination des «consciences» avec 4 étages de «consciences» successives commence à être un peu touffue:

34c vegetal

 

 

 

 

 

 

 

Aussi il existe une représentation simplifiée (que j'ai déjà utilisé dans des chapitres précédents), pour faciliter la représentation et la compréhension sur un dessin.

Dans une représentation simplifiée, si je prend l'exemple d'un végétal; les informations «subtiles» qui sont dans les corps «subtils» du végétal, regroupent toutes les informations «subtiles» qui sont dans tous les même corps «subtils» des «consciences» du végétal, des cellules, des molécules, des atomes, des particules.

Et le corps matériel du végétal regroupera toutes les informations qui sont dans les corps matériels de toutes les particules, qui composent le végétal.

Pour l'incarnation d'un végétal, en représentation simplifiée:

35c incarnation vegetal

 

 

 

 

 

 

 

 

Bien sûr il y a beaucoup plus d'informations que je ne peux en représenter sur le dessin sans le surcharger.

Et dans cette représentation simplifiée, il faut imaginer (puisque cela n'est pas représenté sur le dessin) les corps «subtils» de toutes les «consciences» intermédiaires, jusqu'aux «consciences» des particules; et les transferts d'informations entre les couples de «consciences» qui se transmettent des informations:

«conscience» végétal ↔ «consciences» des cellules

«conscience» cellule  ↔ «consciences» molécules.

«conscience» molécule ↔ «consciences» atomes.

«conscience» atome ↔ «consciences» particules.

 

Puis, après son incarnation, cette «conscience» va vivre sa vie incarnée associée au corps matériel d'un végétal.

Cette «conscience» va interagir avec les «consciences» qu'elle coordonne; mais aussi avec d'autres «consciences» extérieures à la «conscience» de ce végétal (par exemple des «consciences» d'humains, d'animaux, d'autres végétaux etc...).

Les échanges d’informations avec d'autres «consciences» durant

sa vie incarnée, vont permettre à la «conscience» associée à un végétal d'acquérir de nouvelles informations, d'évoluer.

Une «conscience» associée à un végétal passe souvent 100 vies, 1000 vies successives (parfois plus) associée à des végétaux.

A la mort du végétal1 (Le chiffre1 précise que c'est un végétal donné; un autre végétal se serait par exemple appelé végétal 2), les «consciences» des cellules directement associées à la «conscience» du végétal 1 vont se libérer de l'information de la fréquence FrV1 (fréquence de la «conscience» qui coordonnait le végétal 1) qui a été inscrite au moment de l'incarnation du végétal.

- Si un morceau du végétal est séparé du végétal:

Une nouvelle «conscience» végétal 2 peut apparaître pour coordonner le développement de ce morceau de végétal 2 en un végétal spécifique.

Concernant l’influence, au moment de l'incarnation, de la transmission des fréquences de coordination des «consciences», afin que les différentes «consciences» puissent communiquer de manière «subtile»; je vais faire une parenthèse pour évoquer un exemple lié à l'inscription de ces fréquences de communication «subtile».

Cet exemple concerne un être humain; car il est plus facile d'avoir un retour de ses perceptions pour un humain que pour un végétal.

C'est lorsque l'on a par exemple un bras coupé;

et que l'on ressent malgré tout, après cet événement, son bras.

Dans ce cas, les «consciences» qui sont associées aux composants de ce bras (cellules, molécules...)

gardent l'inscription de la fréquence de la «conscience» qui les coordonne.

Et bien que les muscles, les os, les cellules soient séparées;

les «consciences» gardent encore, durant un certain temps, l'information de la fréquence de la «conscience» qui les coordonne.

Cela veut dire que ces «consciences» ne peuvent pas (durant un certain temps) rejoindre un nouveau groupe; puisque la fréquence de la «conscience» qui les coordonne (inscrite lors de l'incarnation) n'a pas encore été désactivée de leurs «consciences».

Les «consciences» peuvent donc continuer à échanger entre elles des informations de manière «subtile»; et on peut par exemple, faire bouger son bras «subtil» (l'ensemble des «consciences» de son bras), ou ressentir des sensations «subtiles» dans son bras «subtil».

 

La «conscience» d'un végétal, après de nombreuses réincarnations associées à différents végétaux; peut, après la dernière destruction matérielle de son corps matériel végétal, se réincarner dans le corps matériel d'un animal.

Dans ce cas, avant l'incarnation de la «conscience» dans son nouveau corps matériel d'animal; le «bain de conscience» fait apparaître dans la «conscience» CS6 de nouvelles informations (cela se fait en coordination avec la «conscience»).

Puis la «conscience» s'incarne dans un corps d'animal.

Exemple d'une «conscience» lors de sa première incarnation animale (représentation simplifiée):

36c premiere incarnation animale

 

 

 

 

 

 

 

 

Un animal a un fonctionnement automatique, un fonctionnement mental, et un fonctionnement en «pleine conscience».

Cela va permettre à la «conscience» de continuer d'évoluer, d’acquérir de nouvelles informations «subtiles» dans ses corps «subtils».

Après de nombreuses vies incarnées en animal (10 vies, 100 vies parfois beaucoup plus); la «conscience» va s'incarner dans un animal avec un potentiel de niveau de «conscience» plus profond:

37c autre incarnation animale

 

 

 

 

 

 

 

 

Avec l'évolution de la «conscience» associée à différents animaux; Il y a bien sûr plus d'informations dans le corps «subtil» de sa «conscience» et ses différents corps «subtils», que lors de sa première incarnation animale.

Et les animaux les plus évolués percevront de plus en plus de sensations, de sentiments, de pensées (comme par exemple les singes bonobos).

La transition animal-humain n'est pas si franche que cela.

Car certains animaux ont plus d'informations, et d'accès à leurs niveaux de «conscience», que certains humains.

Ils ne leurs manquent que la parole.

Je m'interroge parfois, pourquoi les animaux sont dans des zoos ? L'ignorance, la valorisation personnelle, le contrôle, le pouvoir, gagner de l'argent, la prétention...

Mais est ce que l'on montre des êtres humains avec un faible niveau de «conscience», ou qui ne parlent pas notre langue, dans des zoos ?

Puis on va passer à une incarnation humaine.

Je vais faire une remarque à ce stade (mais j'aurais pu la faire plus tard): Les réincarnations peuvent se faire dans des êtres matériels qui vivent sur terre; mais on peut aussi envisager que l'on puisse se réincarner sur une autre planète que la terre (si on envisage la possibilité bien sûr qu'il y ai de la vie sur une autre planète);

ou se réincarner sur la terre, en ayant vécu une vie incarnée précédente sur une autre planète.

Ce point est évoqué dans le chapitre «consciences» d'ailleurs.

La «conscience» a été associée à différents corps matériels dans ses vies antérieures; et elle a appris ce qu'elle avait à apprendre.

Mais la «conscience» a encore des choses à apprendre pour son évolution; et le «bain de conscience» et la «conscience» vont définir dans quelle situation, quelle famille, la «conscience» va s'incarner pour apprendre encore d'autres choses.

L'incarnation (dans l'intention de la «conscience») commence avant la rencontre d'un spermatozoïde avec un ovule.

Un bébé va être conçu, et un spermatozoïde va fusionner avec un ovule, pour créer la première cellule.

La «conscience» (le corps «subtil» de la « conscience CS6) de l'être humain va piloter le développement du corps matériel de l'être humain dès la fusion du spermatozoïde avec l'ovule.

D'abord la «conscience» va faire se reproduire cette première cellule, et des cellules similaires vont se développer.

Puis, lorsque le nombre de cellules a suffisamment grandit;

la «conscience» va faire que des cellules vont se spécialiser dans dans des cellules de cerveau, de cœur, de muscle, d'os … et finisse par construire la totalité du corps physique de l'être humain.

Exemple de «conscience» au début d'une incarnation humaine

Bien sûr le nombre d'informations et d'attachements est beaucoup plus important que ce qui est représenté sur le dessin ci après.

Un être humain à des milliers d'attachements (ou beaucoup plus), et des milliards d'informations (ou beaucoup plus) stockées dans ses corps «subtils» (représentation simplifiée):

38c autre incarnation humaine

 

 

 

 

 

 

 

 

Je vais prendre un exemple où durant sa première incarnation humaine, l'être fonctionne en % de son temps:

90% Avec ses attachements (comportements automatiques).

7% Avec son mental/conscience matérielle/cerveau.

3% En «pleine conscience».

 

Puis après plusieurs vies humaines, avec ses expériences,

il va avoir des moments de «pleine conscience» un peu plus importants. Le «bain de conscience» pouvant provoquer des expériences qui vont favoriser un fonctionnement en «pleine conscience» chez cet être humain.

Mais si on remonte un peu en arrière;

ce qui est important de constater durant les incarnations des «consciences» associées à des particules, à des atomes, à des minéraux, à des cellules, à des végétaux;

c'est que c'est essentiellement le «bain de conscience» qui introduit des informations/attachements, ou supprime des attachements à l'occasion d'une nouvelle incarnation.

Alors que dans le cas d'une incarnation humaine, la «conscience» joue un rôle plus «conscient», bien sûr toujours en lien avec le «bain de conscience», dans les nouvelles informations et attachements qui peuvent être utiles à la «conscience» dans sa nouvelle incarnation.

Puis la «conscience», en vivant des expériences dans sa vie incarnée:

- Intègre de nouvelles informations/attachements.

- Déconnecte certains attachements (très peu à ce stade des premières incarnations humaines).

- Approfondit son niveau de «conscience» (très faible à ce stade des premières incarnations humaines).

Le «bain de conscience» accompagnant la «conscience»;

le «bain de conscience» apportant parfois un coup de pouce,

en accord avec la «conscience»,

en facilitant certaines situations ou événements, qui favorisent l'évolution de la «conscience».

A ce stade de ses différentes incarnations humaines (avec un niveau «conscience» assez léger), l'être fonctionne par exemple(en % de son temps):

85% Avec ses attachements (comportements automatiques).

10% Avec son mental/conscience matérielle/cerveau.

5% En «pleine conscience».

 

Puis l’être va passer des vies incarnées, en restant à un faible niveau de «conscience».

Comme l'être est quand même (de temps en temps) un peu «conscient», il peut constater plus facilement les conséquences de ses actes. Ce qui facilite son évolution.

Mais a ce stade, le nombre de ses attachements ne fait en général que de grandir.

Sa conscience matérielle/cerveau constate parfois ses comportements automatiques, ses raisonnements récurrents ou basés sur ses croyances; mais l'être s'identifie à eux,et croit que c'est sa personnalité.

A ce stade, l'être s'identifie donc à son ego.

(Rappel de ma définition de l'ego d'une personne. L'ensemble des:

- Raisonnements mentaux basés sur ses croyances,

- Raisonnements mentaux récurrents,

- Comportements automatiques,

auxquels cette personne s’identifie).

A ce stade, durant sa vie incarnée, l'être a fonctionné par exemple (en % de son temps):

80% Avec ses attachements (comportements automatiques).

15% Avec son mental/conscience matérielle/cerveau.

5% En «pleine conscience».

Le fonctionnement de l'être avec ses attachements est donc toujours majoritaire.

 

Puis après d'autres incarnations humaines, l'être va être capable d'atteindre (de temps en temps) un niveau de «conscience» un peu plus profond.

Mais l''être continue d'inscrire des d'attachements; car chaque fois qu'il a du plaisir, il s'attache à le reproduire; et chaque fois qu'il ressent de la souffrances il met en place des comportements de fuite ou d'évitement de cette souffrance.

L'être fonctionne désormais (en % de son temps) par exemple:

70% Avec ses attachements (comportements automatiques).

22% Avec son mental/conscience matérielle/cerveau.

8% En «pleine conscience».

Le temps de fonctionnement en «pleine conscience» est faible (8%), parce que l'être s'identifie toujours à ses attachements et à son fonctionnement mental; et que l'être ne maîtrise pas la déconnexion de ses attachements.

 

Puis après d'autres incarnations humaines l'être commence à s'intéresser aux médecines douces, fait un peu de yoga, et est ouvert à la possibilité d'une «conscience» non matérielle.

Et son niveau de «conscience» s'approfondit; ce qui lui permet désormais d'atteindre un niveau de «conscience» moyen.

L'être fonctionne par exemple (% de son temps):

60% Avec ses attachements (comportements automatiques).

30% Avec son mental/conscience matérielle/cerveau.

10% En «pleine conscience».

 

Puis l'être commence (ou continue) à faire du développement personnel; ce qui lui permet de déconnecter plus facilement ses attachements.

L'être passe à un niveau de «conscience» plus profond.

L'être fonctionne désormais, par exemple(% de son temps):

50% Avec ses attachements (comportements automatiques).

35% Avec son mental/conscience matérielle/cerveau.

15% En «pleine conscience».

 

Après un travail soutenu en développement personnel et en méditation, l'être peut faire l'expérience de la perception directe de sa «conscience».

l'Être fonctionne désormais par exemple (% de son temps):

40% Avec ses attachements (comportements automatiques).

35% Avec son mental/conscience matérielle/cerveau.

25% En «pleine conscience».

 

L'être continue de travailler sur lui même, et commence à faire (par exemple) de l'accompagnement.

Il peut désormais atteindre un niveau de «conscience» profond,

et sa pratique est plus régulière.

L'être fonctionne désormais par exemple (% de son temps):

30% Avec ses attachements (comportements automatiques).

30% Avec son mental/conscience matérielle/cerveau.

40% En «pleine conscience».

 

Puis l'être peut (ce n'est pas systématique):

S'attacher à son niveau de développement personnel.

S'attacher à son statut d'accompagnant.

S'attacher à son image.

Commencer à expliquer aux autres ce qu'ils doivent faire.

S'attacher au confort matériel que lui confère sa position.

S'attacher à la vénération que certain(e)s lui portent.

L'être fonctionne alors par exemple (% de son temps):

45% Avec ses attachements (comportements automatiques).

30% Avec son mental/conscience matérielle/cerveau.

25% En «pleine conscience».

L'être sait toujours méditer à un niveau de «conscience» profond;

mais dès qu'il est avec des élèves, l'être fonctionne régulièrement sur ses attachements d'image et de valorisation.

Compte tenu de son nouveau comportement, l'être commence à avoir des problèmes avec ses élèves, et commence à avoir des alertes: Accidents, douleurs dans les genoux, à la tête etc...

À un moment, en méditation suite à une discussion houleuse avec des sympathisants de longue date, il commence à prendre «conscience» qu'il a un problème; et il part en retraite.

Fin momentanée de l'histoire; car on va dire que l'être vient de partir en retraite, et que pour l'instant il n'est pas revenu.

 

Dans cet exemple de parcours, une étape essentielle dans son évolution, c'est l'expérience de la perception directe de sa «conscience».

(Niveau de conscience NC6 «pleine conscience» de sa «conscience»).

Car lorsque un être humain:

- Perçoit ce qu'il est vraiment: sa «conscience».

- Perçoit comment sa «conscience» s'exprime (émergences de perceptions, «d'intuitions»), lorsque il est en «pleine conscience».

- Perçoit ce qu'est son ego et son fonctionnement avec ses raisonnements mentaux et ses comportements répétitifs.

Laisser sa destinée aux mains de ses raisonnements mentaux récurrents et de ses comportements automatiques;

c’est en réalité nier son libre arbitre, et nier ce que l’on est profondément: sa «conscience».

Et si je ne vais pas bien, guidés par mon ego (mes comportements répétitifs, mes raisonnements et croyances mentales), dans un environnement difficile et nouveau, et que je nie ma «conscience»; c’est comme si je voulais diriger un navire dans une zone accidentée nouvelle, et que je laisse les commandes aux programmes d’un ancien système de pilotage automatique devenu dépassé, et que je (ma «conscience») reste enfermé dans ma cabine. Pour le Titanic on a déjà donné.

Je constate que les êtres se sont incarnés pour faciliter l'évolution de leurs «consciences»:

En approfondissant leurs niveaux de «conscience».

En restant plus souvent et plus longtemps en «conscience».

En développant leur amour pour les autres êtres, en respectant leurs libres arbitres.

En constatant de manière pratique, sur l'écran de projection des matières, les conséquences de leurs intentions et de leurs actes.

Est ce qu'une «conscience» est immortelle ?

Cela me fait penser au pervers narcissique.

Certains psychologues pensent:

- Qu'un pervers narcissique ne peut pas être soigné, car pour le pervers narcissique le problème c'est les autres.

- Qu'il s'est enfermé dans ses schémas récurrents.

- Et que, quelque soit ses souffrances d'alertes: Se sont les autres qui sont la cause de ses souffrances, et pas lui.

Alors, il ne change pas.

Dans le cas d'une «conscience» qui persévérerait (car elle a le libre arbitre de persévérer, si c'est sa décision), incarnation après incarnation, dans notre monde ou dans d'autres mondes;

en étant incarnée ou pas; dans un enfermement sans fin, dans des

intentions et comportement contre l'harmonie et le bonheur de tous les êtres; quelles conséquences (karmique) cela peut il avoir:

- Une action du «bain de conscience» sur certains de ses attachements (à l'occasion d'une réincarnation par exemple) en liaison avec la «conscience» (puisque chaque «conscience» à son libre arbitre) ?

- Mais si une «conscience» détruit, fait souffrir, asservi d'autres «consciences», et s'enferme dans ce comportement sans fin.

Si l'amour (la source) a fait émerger une«conscience» du « bain de conscience »(d'elle même); qu'est ce qui empêche l'amour de la faire se réintégré dans le «bain de conscience» en enlevant tous les masquages, dans l'harmonie et le bonheur de toutes les autres «consciences» ?

Si une «conscience» créée dans l'amour, a son libre arbitre; elle est peut être immortelle tant qu'elle reste dans l'amour ?

Et il n'y a peut être que notre «conscience» qui peut se fondre dans le «bain de conscience» ?

Mais dans tous les cas, je crois que le «bain de conscience»,

(ce réseau de «consciences», cet ensemble de ce qui est, cette unité dans les liaisons interactives des «consciences») même s'il est dynamique, interdépendant et changeant, est immortel.

 

Chapitre 5 - 20 exemples d'interactions «subtiles» avec d'autres «consciences».

Rappel: Nous sommes en interactions avec d'autres êtres, d'autres «consciences», avec trois type de fonctionnements:

- Le fonctionnement mental.

Par des échanges d'informations matérielles,

perçues et émises suite à des courants électriques, des transferts de neuro transmetteurs dans le cerveau (Rappel: A toute information matérielle, il y a une information «subtile» associée).

- Le fonctionnement automatique.

Si une informations perçue, est similaire à une information bouton d'un de nos attachements; cela déclenche automatiquement les informations conséquences contenues dans cet attachement.

Ces informations sont «subtiles» pour les attachements dans les corps «subtils», et matérielles pour les attachement correspondants dans le corps matériel (dont le cerveau).

- Le fonctionnement en «pleine conscience».

Par l'échange d'informations «subtiles» entre des «consciences».

Nous avons vu, pour que la réception d'une information «subtile» soit possible, qu'il est nécessaire que la «conscience» qui reçoit l'information se cale sur la fréquence de l'information émise:

39c transmission une info subtile

 

 

 

 

 

 

 

Ce qui est le cas, dans l'exemple ci avant.

Les échanges d'informations «subtiles» peuvent être perçus entre la «conscience» d'un être humain et la «conscience» d'un autre être humain. Mais aussi entre la «conscience» d'un être humain et la «conscience» d'un animal, d'un végétal etc...

La «conscience» d'un chat peut vous envoyer des informations «subtiles»; par exemple sur comment transmuter les énergies négatives.

La «conscience» d'un végétal peut vous envoyer des informations «subtiles»: Par exemple sur comment vous ancrer.

De manière générale entre deux (ou plus) «consciences»,

si les fréquences d'émission et de réception sont les même.

Et comme on l'a déjà vu: Si une «conscience» réceptrice n'est pas encore capable de percevoir les hautes fréquences, et qu'une autre «conscience» émet sur des fréquences hautes; pour communiquer l'être de niveau de «conscience» le plus profond (donc qui a les fréquences les plus élevées), peut abaisser ses fréquences d'émission pour les ajuster aux fréquences que peut percevoir l'autre «conscience».

Et les échanges d'informations «subtiles» sont possible:

- Entre deux «consciences» incarnées.

- Entre une «conscience» incarnée et une «conscience» non incarnée (une «conscience» d'un être qui vient de décéder par exemple).

- Entre deux «consciences» non incarnées.

 

Je vais diviser ce chapitre en deux parties:

 

La première partie pour des interactions «subtiles» entre des «consciences» incarnées (des êtres humains par exemple) et des «consciences» non incarnées; avec les exemples 1 à 7.

Commencer par des interactions «subtiles» entre des «consciences» incarnées et des «consciences» non incarnées, c'est plus surprenant, et moins habituel.

 

La deuxième partie pour des interactions «subtiles» entre des «consciences» incarnées (des êtres humains par exemple), avec les exemples 8 à 18.

 

Donc commençons par des interactions «subtiles» entre des «consciences» incarnées (des êtres humains par exemple) et des «consciences» non incarnées.

Dans les échanges d'informations «subtiles» entre une «conscience» incarnée et une «conscience» non incarnée,

les échanges peuvent être très favorables.

Par exemple lors d'échanges avec son «ange gardien» (pour ceux et celles bien sûr qui ont ces croyances ou ces perceptions).

Mais il y a parfois (comme pour les «consciences» incarnées) des «conscience» non incarnées pas très altruistes.

Et ces «consciences» non incarnées peuvent exprimer leurs libres arbitres en nous perturbant, ou en nous faisant souffrir.

Aussi examinons ces cas.

En ce qui concerne les perturbations par des êtres incarnés c'est souvent plus facile à comprendre (même si nous ne percevons pas toujours leurs intentions). Car il nous est plus facile de faire des liens entre des interactions avec ces personnes physiques, et des perturbations en nous même. Comme par exemple: un malaise, un énervement, de la confusion, de la souffrance... Et de pouvoir les exprimer, échanger avec eux, en prendre plus facilement «conscience» pour agir.

Mais, même si on croit en une partie non matérielle en nous même et dans le monde; un certain nombre de personnes ne perçoivent pas les «consciences» sans corps physique. Ou éventuellement sentent une présence, parfois un message, parfois un malaise... Et parfois des «consciences» sans corps physique nous perturbent.

Il y a des attitudes et des manières communes à connaître lors d'interactions avec des «consciences» non incarnées,

que je vais expliquer. Ce qui me permettra de ne pas les répéter pour tous les cas. Ensuite je détaillerai chaque cas.

 

ATTITUDES COMMUNES A TOUS LES CAS d'interactions avec des «consciences» NON INCARNEES.

En remarque préliminaire, je vais faire une comparaison avec une situation de la vie de tous les jours:

Une personne nous agresse (ou nous avons la perception d'être agressé, alors que ce n'est peut être pas l'intention de l'être qui interagit avec nous).

Comment réagissez vous ?

1- Vous essayez de vous justifier ?

2- Vous agressez en retour ?

3- Vous fuyez?

4- Vous restez en «pleine conscience» et vous essayez de trouver ensemble une solution?

5- Autre........................................?

Ce qu'il est important de savoir, c'est que souvent, une agression par autre personne est le signe d'une difficulté, d'un problème, d'un attachement chez l'agresseur (même si c'est nous qui avons attiré, par notre forme, ces situations, parce que l'on a en nous des attachements en connexion avec ceux de l'autre personne).

Dans ce cas, pour remédier à cet effet (l'agression par une autre personne) il est utile de remédier à la cause: La difficulté, le problème, l'attachement de l'agresseur (en ce qui nous concerne, si nous avons favorisé cette réaction d'agression, c'est à nous de travailler sur notre comportement; par exemple en déconnectant l'attachement qui a favorisé cette agression).

Certes si la cause de l'agression chez l'agresseur est un attachement (un comportement automatique); on ne peut pas agir directement sur cet attachement; c'est à l'agresseur, compte tenu de son libre arbitre, de le faire si il le décide.

Mais si on déconnecte en soi même l'attachement qui a favorisé cette agression, ensuite on n'attirera plus ce type d'agression de la part des autres.

Ce qui ne veut pas dire que les autres ne nous agresseront plus; car on peut être agressé par quelqu'un qui a un problème, sans que nous ayons d'attachement qui attire cette agression.

Mais on peut, dans certains cas, favoriser la prise de «conscience» de l'agresseur; ce qui peut le décider à travailler à la déconnexion de son attachement.

Par exemple on peut dire à l'agresseur ce que l'on constate:

ses actions et leurs conséquences sur nous, sur les autres, et sur lui; et qu'un comportement automatique (d'agression par exemple), on peut agir dessus. Après la balle est dans son camp; et on peut l'accompagner dans son travail personnel, si tel est sa décision.

Donc si on est agressé par une personne, comme par une «conscience» non incarnée; se poser la question: Quelle est la difficulté, le problème, l'attachement chez l'agresseur ?

Mais si la réponse à cette question permet de mieux trouver des réponses sur le fond, pour traiter la cause de l'agression;

il y faut aussi parfois prendre des mesures d'urgence de court terme pour se protéger comme:

- Fuir, se couper de l'agresseur.

Par exemple, si on nous court après le couteau levé;

avant d'avoir la réponse à la question de savoir quel est sa difficulté, son problème; le comportement de courir très vite, a montré toute son efficacité.

- Si il y a urgence et que l'on ne peut pas fuir: Se défendre, se débattre, crier, demander de l'aide, se protéger, essayer de mettre l'agresseur hors d'état de nuire.

Et ensuite, si c'est possible de discuter, si on le ressent comme tel, si l'agresseur souhaite régler sa difficulté; on peut travailler sur le fond, en recherchant ensemble les causes de l'agression pour y remédier.

En premier lieu, dans les interactions avec des entités

(des «consciences» non incarnées); comme il y a des entités perturbatrices, parfois négatives ou intrusives;

la première chose à faire est de se protéger.

En ce qui me concerne, mon système de protection consiste:

- A être en «pleine conscience».

- A m'ancrer: Je ressens (j'observe) mon contact avec le sol.

- Puis j'observe en «pleine conscience» ma respiration, mes sensations, mes sentiments, mes pensées présentes, ma "conscience", l'unité.

- A me mettre au niveau de «conscience» le plus profond que je peux; ce qui élève mes fréquences vibratoires.

- A demander, si je le ressens, à une (des) «conscience» aimante d'être présente, de m'accompagner.

- A avoir préalablement travailler sur mes attachements.

Car des sollicitations extérieures risquent de faire se déclencher certains de mes attachements. Et sans attachements par lesquels des perturbations extérieures risquent de me faire réagir automatiquement, je suis comme une poêle anti adhérente, je suis transparent, les attaques glissent sur moi ou me traversent, sans me perturber.

- A me remplir d'amour, et rayonner cet amour autour de moi, et vers l'entité (et cela tout tout au long de l'échange); pour favoriser l'ouverture, la compréhension, la connexion, la bienveillance avec l'autre «conscience».

- A visualiser en «conscience» les agressions/intentions perturbatrices des «entités»; les diriger vers mon cœur; et par la puissance de mon amour, les transmuter en amour; puis renvoyer cet amour vers l'entité. J'utilise l'énergie de perturbation de l'entité pour la transmuter en amour. Je ne m'épuise donc pas, car plus l’énergie de perturbation est forte, plus l'énergie transmutée en d'amour renvoyée vers l'entité est forte.

Je rappelle que les entités perturbatrices («consciences» perturbatrices) sont issues du "bain de conscience" (la source de toutes «choses», présente partout); et que la force la plus puissante inhérente au «bain de conscience» est l'amour;

plus puissante que la force d'une entité qui aurait une intention qui ne serait pas en harmonie avec la «source».

Donc je reste dans l'amour, dans un état de «conscience» profond, je laisse émerger mes «intuitions», et j'agis.

Après avoir mis en place son système de protection;

percevoir la nature de l’entité et dialoguer (si c'est possible) avec elle: Etre à l'écoute de l'entité, percevoir ses intentions, ses difficultés, ses attentes, observer son comportement; et se faire une idée du type de situation dans lequel on est:

- 1ier type de situation: L'entité est prise dans ses attachements, ses schémas, sans «conscience».

- 2ième type de situation: L'entité a une part de «conscience», comprend la situation, et éventuellement avec notre aide, est d'accord pour trouver une solution.

- 3ième type de situation: L'entité a une part de «conscience», mais ne tient pas compte de notre perturbation,

et reste dans ses schémas, dans ses attachements et ses comportements perturbants.

- 1ier type de situation: L'entité est prise dans ses attachements, ses schémas, sans «conscience».

Parler à l'entité. On peut parler physiquement avec une entité, mais le plus important, se sont les intentions, les pensées «subtiles» associées. Entrer en relation avec elle, envoyer de l’amour. Percevoir qui elle est; échanger avec elle sur ses buts, ses intentions, ses difficultés, ses attentes, en ayant un but commun:

le bonheur de cette entité en lien avec le bonheur des autres êtres (puisque nous sommes tous en interaction/interdépendance).

Faire des constats sur ses actions, et leurs conséquence sur votre souffrance, celles des autres, et les siennes.

Évoquer des causes possibles chez l'entité (une difficulté, un problème, un attachement...); et que cela lui permettrait de régler la situation et d'aller mieux; pour l'amener à prendre «conscience» que si elle n'en tient pas compte, les lois du Karma feront leur œuvre; et que ces comportements engendreront chez elle des alertes (qui peuvent aussi être de la souffrance).

Une entité perturbatrice peut parfois changer d'attitude si on lui témoigne de l'écoute, de l'attention, de la bienveillance; et se mette à échanger avec nous, à exprimer son point de vue, sa souffrance.

Car l'objectif de cet échange est d'amener l'entité à sortir du comportement dans lequel elle s'est enfermée, pour l'amener vers le 2 ième type de situation: L'entité a une part de «conscience».

Si l'entité constate que l'on reste dans l'amour, et qu'elle ne peut pas se nourrir de nos peurs, nous perturber, elle préfère parfois s'en aller.

Si on perçoit que l'entité active certains de nos attachements pour nous faire réagir comme elle le souhaite et nous déstabiliser: Travailler à déconnecter ces attachements en nous même (voir détail dans le chapitre: Déconnexion des attachements), et cela afin que l'entité n'utilise plus ce moyen contre nous.

Si l'entité persiste dans la perturbation et ne veut pas partir;

voir plus loin le paragraphe: Comment faire partir une entité perturbatrice.

- 2 ième type de situation: L'entité a une part de «conscience», comprend la situation, et éventuellement avec notre aide, est d'accord pour trouver une solution.

Dans ce cas l'entité discute (par une communication «subtile») et a une part de «conscience».

On peut dire, dans ce cas, que c'est un peu comme un travail de coaching, pour accompagner l'entité à résoudre sa difficulté:

Dialogue en «pleine conscience», constats, conséquences, l'entité gère son cheminement, décide ce qu'elle veut faire.

-3ième type de situation: L'entité a une part de «conscience», mais ne tient pas compte de notre perturbation, et reste dans ses schémas de penser et ses attachements.

Essayer quand même de dialoguer, même si au début c'est un monologue (dialoguer pour ne rien regretter), pour l'amener dans le 2 ième type de situation si c'est possible.

Si pas de changement, les lois du Karma vont agir.

Il est nécessaire de maintenir ses protections aussi longtemps que l'entité est présente (en étant en «pleine conscience», ancré, dans l'amour).

Après avoir vu les ATTITUDES COMMUNES A TOUS LES CAS

 

regardons maintenant les spécificités d'un certain nombre de cas:

Exemple d'interaction 1 - Une «conscience» perdue d’une personne décédée.

Pour un être décédé récemment (un humain, mais cela peut aussi être un animal...), sa «conscience» sans corps est parfois perdue, elle erre, et ne réalise pas complètement ce qui lui arrive.

Elle est parfois dans le déni, et reste attachée/accrochée au monde matériel (qui la rassurait).

Et elle a peut être trouvé une personne, une ambiance protectrice et chaleureuse en vous.

Donc la «conscience» de l'être décédé reste collée à une personne (éventuellement à vous).

On peut dire à cette «conscience» que son corps matériel est mort, et que son chemin n’est désormais plus dans ce monde matériel, mais dans «l’au delà».

On peut appeler une «conscience» aidante (par exemple une autre «conscience» décédée, qui était proche d'elle dans sa vie matérielle précédente) pour qu’elle puisse l’accompagner vers la lumière.

Parfois la «conscience» du défunt n'a même pas «conscience» que son corps physique est mort (souvent en cas de mort violente): Dans ce cas discuter avec elle sur son état.

Dans d'autres cas, la «conscience» de la personne décédée est attirée par la personne, parce que la personne est une passeuse d’âmes: Une personne qui aide les «consciences» des personnes décédées à passer dans l'au delà (et que la personne ne le sais pas?).

Dans ce cas la personne (éventuellement en lien avec un accompagnant) élève son niveau de «conscience» (le plus profond possible), donc élève ses fréquences vibratoires; ce qui favorise l’ouverture d’un passage vers le monde «subtil» (l'au delà); le canal de lumière deviens visible, et «l’entité» peut monter dans l'au delà.

 

Exemple d'interaction 2 - Une «conscience» d'une personne décédée a un travail à faire.

Une «conscience» d'une personne décédée peut perturber une personne parce que:

- La «conscience» à quelque chose à dire ou faire avant de «monter» dans l'au delà.

- Un vivant ne veut pas que le défunt parte.

- La «conscience» du défunt veut rester auprès d’un vivant.

- Un blocage de la «conscience» de la personne décédée doit être nettoyée avant le passage dans l’au delà.

Dans tous ces cas, discuter avec la «conscience» de la personne décédée pour comprendre la situation, et trouver ensemble une solution appropriée.

 

Exemple d'interaction 3 - Une «conscience» perturbatrice non incarnée.

Cela peut être:

- Une entité, qui en veut à une personne; et qui la tient pour responsable de ses difficultés, ou de difficultés de personnes qui lui étaient proches.

- Un esprit farceur.

- Une entité qui prenait plaisir à perturber les êtres lorsqu’elle était incarnée, et qui continue de le faire en étant désincarné.

On peut échanger sur les causes qui la font agir comme cela; voir avec elle les conséquences de ses actes. Mais se rappeler de s’ancrer (ressentir ses points de contact avec le sol), de se connecter à sa «conscience», d'être dans l'amour, et d'écouter ce qui émerge de sa «conscience».

Parfois l'entité est attirée par les zones d'ombre d'une personne (qui sont aussi souvent les même zones d'ombre de l'entité). On peut alors éclairer (en étant en«pleine conscience») cette part d'ombre qui est cachée, pour la dévoiler, la déconnecter. Parfois l'entité ne veut pas voir sa part d'ombre; et le fait de l'éclairer par la «conscience»; cela la fait partir. Mais si l'entité ne veut toujours pas partir, voir plus loin le paragraphe: Comment faire partir une entité perturbatrice.

 

Exemple d'interaction 4 - Une entité perturbatrice utilise un (ou plusieurs) de nos attachements pour nous perturber.

Si une entité perçoit un (des) attachement chez une personne; l'entité peut utiliser un (des) attachement de cette personne pour la faire réagir comme elle le souhaite; en lui envoyant des informations qui vont déclencher un (des) attachement chez cette personne.

Certaines entités désincarnés (ou certaines personnes incarnées d'ailleurs) ont une perception de beaucoup d'attachements d'autres êtres; et en envoyant des informations appropriées, elles peuvent faire réagir ces êtres dans la direction qu'elles veulent; en choisissant la réactivité de l'être qui leur paraît la plus adaptée à ce qu'elles souhaitent.

Par exemple si une personne à un attachement comme: Je suis toujours très gentil avec les autres;

l'entité peut jouer jouer avec cet attachement de la personne.

Il est nécessaire que cette personne prenne «conscience» de son attachement et de ses réactions automatiques, pour pouvoir déconnecter cet attachement (voir le chapitre: Déconnexion des attachements) et ne plus être perturbée par l'entité.

 

Exemple d'interaction 5 - Une entité a pris le contrôle de la «conscience» d'une personne (avec des incidences sur son corps physique, ses sensations, ses sentiments...).

Pour comprendre le mécanisme de prise de contrôle d'une personne par une entité, je vais rappeler certains éléments que j'ai évoqué au chapitre 3 - Trois modes de fonctionnement:

Des informations «subtiles» émises par une «conscience»A peuvent être captées par le corps «subtil» de la «conscience» d'une autre «conscience»B; pour cela la «conscience»B doit s'accorder en réception, sur les fréquences d'émission de la «conscience»A.

Cela se fait:

- Soit parce que les deux «consciences» se connaissent, ont l'habitude de communiquer, et connaissent intuitivement les fréquences sur lesquelles l'autre «conscience» émet.

- Soit la «conscience»B à la capacité de balayer les différentes fréquences d'émission des autres «consciences», et de se caler sur les fréquences d'émissions de ces autres «consciences».

Toutes les «consciences» n'ont pas les même capacités:

- Certaines «consciences» ont la capacité de faire varier facilement leurs fréquences d'émission et de réception.

- Certaines «consciences» ont une grande capacité d'attention aux fréquences des autres «consciences».

- Certaines «consciences» ont la capacité de se connecter aux fréquences d'autres «consciences», et d'émettre sur ces fréquences des informations, mais aussi parfois des instructions de perception ou d'action.

Bien sûr dans la limite des fréquences maximales que ces «consciences» sont capable d'atteindre.

Ce qui se passe dans le cas du contrôle de la «conscience» d'une personne par une entité; c'est que l'entité, après avoir balayé les différentes fréquences de réception et d'émission de la personne (c'est bien sûr «intuitif», ce n'est pas un fonctionnement mental), envoie sur les fréquences de la personne des informations ou des instructions de perception ou d'action.

Et ces informations ou des instructions de perception ou d'action peuvent être des des sensations, des sentiments, des pensées, des actions sur le corps matériel de la personne...

Parfois la personne pense que ces perturbations viennent d'elle.

Parfois la personne perçoit que quelque chose la perturbe.

Mais comme ce n'est pas éthique de la part de l'entité,

il va y avoir des retours de Karma pour l'entité.

Ce point peut être évoqué avec l'entité, s'il est possible de dialoguer avec elle; et un échange en «pleine conscience» peut s'enclencher pour voir les actions à entreprendre pour sortir de cette situation.

Parfois il y a une non connaissance de l'action des entités sur les personnes.

Et des personnes, perturbées par des entités, sont parfois classées à tord comme schizophrène. Mais si l'on n'identifie pas la cause d'une perturbation, on va avoir du mal à la traiter la personne.

Comment faire partir une entité perturbatrice.

Si une personne se sent perturbée, qu'elle pense qu'une entité s'est fixée sur elle, elle peut décider de se faire accompagner dans ce travail.

Pour moi, le processus de déconnexion d'une entité qui a pris le contrôle de la «conscience» d'une personne s'appuie sur:

- La profondeur des états de «conscience» de la personne et de l'accompagnant.

- La profondeur de l'amour que l'on a pour les autres.

- Les intentions éthiques de la personne et de l'accompagnant.

- Un ancrage profond de la personne et de l'accompagnant.

- La connaissance des mécanismes d'action pour faire partir une entité.

- L'expérience d'interactions avec des «consciences» perturbatrices (favorable pour la personne, impératif pour l'accompagnant).

- Les capacités de la personne et de l'accompagnant à faire face en «pleine conscience», même si des sensations, des sentiments, des pensées très perturbantes remontent.

Au début et durant toute la séance, pour la personne et l'accompagnant:

- Être dans un état de «pleine conscience» profond.

- Ressentir ses points de contact avec le sol/la chaise.

- Être dans l'amour: Visualisation d'un échange et de circulation continue d'amour entre la personne, l'entité, l'accompagnant, l'environnement.

- Percevoir et établir réciproquement les liens «subtils» entre la personne et l'accompagnant (être sur les même fréquences).

- Observer en «pleine conscience», et faire face en «pleine conscience» aux perturbations présentes; qu'elles soient générées par l'entité, ou l'effet du déclenchement d'une de nos réactivités.

Et même si nos sensations, sentiments, pensées, créent en nous des peurs profondes: Ne nous identifions pas à ces peurs, ne restons pas pris dans ces peurs, faisons face, et observons les en «pleine conscience» pour ce qu'elles sont: Des sensations, des sentiments, des pensées.

La personne et l'accompagnant sont «sur les même fréquences» de communications «subtiles»; donc comme l'entité s'est mise «sur les même fréquences» que la personne, cela veux dire que les trois sont «sur les même fréquences».

Cela veut donc dire que l'on peut envoyer et recevoir des messages «subtils» avec l'entité.

L'entité peut donc nous envoyer des messages «subtils», des informations «subtiles» perturbatrices, des douleurs;

mais aussi envoyer des informations qui vont déclencher des attachements chez la personne ou l'accompagnant: Des peurs ancestrales, des souffrances, des brouillages.

Dans ces cas, la personne et l'accompagnant font face ensemble, en restant ancrés, et unis, en observant en «conscience» les perturbations qui sont présentes.

En étant relié, le maintient du niveau de «conscience» de l'un,

aide l'autre à maintenir son niveau de «conscience».

Et si on constate que l'un des deux a décroché de sont état de «conscience»; revenir en «conscience» en observant sa respiration, en ressentant ses points de contacts avec le sol, en observant ses sensations, ses sentiments, ses pensées, et faire face en «pleine conscience» à ce qui est là.

Comme la personne et l'accompagnant sont en lien «subtil» avec l'entité;

d’abord reconnaître l'entité: On peut lui demander son nom.

L'entité est localisée; et elle a compris qu'elle est localisée.

Ensuite c'est un échange en communication «subtile».

On peut parler, mais le plus important se sont les intentions «subtiles» associées aux paroles.

Être dans l'amour et la bienveillance.

Comprendre pourquoi l'entité est là.

Dans l'échange avec l'entité, la base est d'être en «pleine conscience» au niveau de «conscience» le plus profond que l'on puisse, donc d'élever ses fréquences vibratoires, et de laisser émerger ses «intuitions» pour résoudre ensemble la situation.

Si l'entité envoie des informations «subtiles» sur des fréquences basses pour nous perturber; se rappeler que l'on peut vibrer en même temps sur des fréquences basses et des fréquences hautes: On peut donc rester en contact avec l'entité en étant sur ses fréquences basses, mais garder sa hauteur de vue en «pleine conscience», en étant en même temps sur des fréquences hautes, pour qu’émergent des actions adaptées à la situation.

Évoquer à «l'entité» qu'elle perturbe la personne, et que la personne veut retrouver son intégrité.

Être attentif aux réponses, expressions ou questions de l'entité, comprendre son point de vue et exprimer le sien en «pleine conscience»; lui demander comment on peut l'aider.

L'entité s'est peut être habituée à la personne, attachée à la personne, parce qu'il a un attachement précis; parce que certains attachements de la personne font écho chez l'entité ?

Aussi, si on constate un attachement chez la personne, le désactiver (généralement dans une autre séance).

Voir le détail dans le chapitre: Déconnexion des attachements.

L'envoi d'amour vers l'entité la fait parfois partir; parce qu’une entité très négative est parfois réactive à l'envoie d'amour, et fuit.

Si l'entité perturbe toujours la personne et ne veut pas partir;

on passe à une phase plus directive:

Depuis l'état de «conscience»:

«pleine conscience» de notre «conscience»,

ou «pleine conscience» de «l'unité»,

avec une intention profonde et affirmée, en étant dans l'amour, exprimer: Entité (la nommer si on connaît son nom), par la puissance de l'amour nos «consciences» et du «bain de conscience», quitte la «conscience» et le corps de «nom de la personne »; et par la puissance de l'amour de nos «consciences» et du «bain de conscience» de ne plus revenir la perturber.

Maintenir cette pratique jusqu'au départ de l'entité.

 

Exemple d'interaction 6 - Interactions avec des «consciences» qui vibrent à des fréquences basses.

Nous avons vu:

- Que les corps «subtils» vibrent à différentes fréquences,

et émettent des informations, des énergies, à ces différentes fréquences.

- Que chaque corps «subtil» vibre dans une plage de fréquences données (le corps «subtil» des sensations/énergies/matières «subtiles» vivre aux fréquences les plus basses, et progressivement les autres corps «subtils» vibrent à des fréquences plus hautes).

- Que chaque plage de fréquences est d'autant plus élevée, que l'on approfondit son niveau de «conscience».

- Que l'on peut vibrer et émettre des informations «subtiles» sur plusieurs fréquences à la fois.

Si je prend l'exemple du corps «subtil» des sentiments:

Il y a des fréquences basses, qui correspondent à des sentiments comme la peur, la tristesse, la haine.

On dit parfois que les fréquences basses sont dans le bas astral.

Il y a des fréquences hautes qui correspondent à des sentiments comme la joie, l'amour.

On dit parfois que les fréquences hautes sont dans le haut astral.

Les entités malfaisantes vibrent en général dans le bas astral.

Aussi, comment se protéger si nous sommes amené à accompagner une «conscience» qui est en interaction avec le bas astral (fréquences très basses: d'égoïsme, de perturbations, de peurs ancestrales...); car nous risquons d'être confronté à des fréquences basses, si nos fréquences sont "alignées" sur les fréquences basses d'autres êtres.

Cela peut nous entraîner là où ces entités le souhaitent.

Cela peut nous perturber.

Une clé, c'est de se rappeler (comme évoqué dans les pages précédentes) que notre «conscience» peut vibrer sur plusieurs fréquences en même temps (2, 3 ou plus).

Notre «conscience» peut donc vibrer sur une fréquence basse;

ce qui nous permet d'être en "communication" avec le bas astral

(si cela est nécessaire pour un travail d'extraction ou de nettoyage par exemple); mais en même temps on peut vibrer sur des fréquences hautes (niveau de conscience profond), on est dans l'amour, ce qui nous permet de ne pas se faire embarquer (en restant ancré, en observant ses points de contact avec le sol, la chaise, ce qui nous permet d'évacuer des énergies perturbatrice vers la terre: un peu comme un paratonnerre).

Et on reste en observation/en «pleine conscience» de ce qui se passe, de ce que l'on a à réaliser.

Vibrer en même temps, en «pleine conscience», sur des fréquences hautes, cela nous protège, et nous gardons nos capacités de laisser remonter nos «intuitions», qui nous guident dans ces situations.

 

Exemple d'interaction 7 - Envoie d'intentions perturbatrices à une personne.

Dans ce cas, une «conscience» désincarnée (mais cela est aussi possible avec une «conscience» incarnée) envoie de manière «subtile» une (ou des) intention perturbatrice (donc de manière non matérielle) à une autre personne.

Si on ressent une «intention» extérieure qui nous perturbe:

- Observer en «pleine conscience» sa respiration, ses points de contact.

- Se mettre au niveau de «conscience» le plus profond que l'on peut.

- Observer en «pleine conscience» les effets de cette perturbation sur nous même: Nos actions, nos sensations, nos sentiments, nos pensées...

- Laisser émerger en «conscience» les causes (ne pas rechercher mentalement; observer simplement ce qui remonte, car ce n'est pas un processus mental; c'est un processus «intuitif»), l'origine de cette perturbation.

- Envoyer de l'amour. Si l'origine est un être, envoyez de la compassion à cet être, peut être pris dans ses difficultés, ses souffrances, ses attachements, pour qu'il prenne «conscience» des causes de ses actions, de leurs conséquences; et trouve ses solutions, ses nouvelles manières d'être.

- Laisser émerger en «pleine conscience»: Par exemple des actions, et agir (paroles, actes, autre...).

- Rester en observation, en «pleine conscience» de cette perturbation, de vos sensations, et envoyer de l'amour, tant que cette perturbation est présente.

- Transmuter cette perturbation en amour en visualisant en «pleine conscience» que cette perturbation va avec votre inspiration dans votre cœur et la transmute en amour; et qu'avec votre expiration, cet amour depuis votre cœur est envoyée à l'origine de la perturbation; et que cet amour et votre «pleine conscience» apporte amour et «pleine conscience» et l’émetteur de cette perturbation, s'il le souhaite.

- Si vous percevez qu'un attachement en vous se déclenche suite à cette perturbation, le déconnecter (voir le chapitre déconnexion des attachements)

D’autre part, ce qu’il faut savoir, c’est que si une «conscience» non incarnée (ou incarnée), envoie une information (sensation, sentiment, pensée, intention...) perturbatrice à une autre personne pour la perturber. Cela n’est pas (bien évidement) en harmonie avec le bonheur de tous les êtres; et que le «bain de conscience» (la loi du Karma) va envoyer à la «conscience» perturbatrice les messages d’usage pour l’informer que ses actions ne sont pas en harmonie avec le bonheur des êtres.

Si la «conscience» perturbatrice continue et persiste dans ses perturbations; le «bain de conscience» (via les lois du Karma) va continuer de lui envoyer les retours nécessaires, mais plus puissants, pour lui faire prendre «conscience» de son comportement, et de leurs conséquences, pour qu'elle décide de changer.

La «conscience» perturbatrice peut, par exemple, ressentir les mêmes tourments qu’elle envoie aux autres (dans cette vie, dans une prochaine incarnation, ou en étant désincarnée) pour qu’elle comprenne, ce que cela fait; et lui faire prendre «conscience», que si elle décide d’agir en cohérence avec le bonheur de tout les êtres elle sera heureuse; sinon les souffrances d’alerte (ou autre) risquent de grandir.

Il n’est pas souhaitable, par réactivité, pouvoir ou vengeance, que la personne affectée par ces intentions perturbatrices envoie à l’émetteur des pensées, des intentions perturbatrices en retour.

Car vous seriez comme la «conscience» qui vous perturbe (attachement de vengeance...). Vous seriez dans l’agressivité, et vous vous exposeriez aux même retours du «bain de conscience».

Mais rassurez vous, le «bain de conscience» va agir par les voies appropriées. Car même si une «conscience» a un libre arbitre, il y aura des actions du «bain de conscience», suite à des actes contre le bonheur des êtres.

Et si une «conscience» désincarnée (ou incarnée) attaque une autre personne qui est dans l'amour; c’est comme si «l'entité» s’attaquait au «bain de conscience».

Cela me rappelle le film «la Scoumoune» avec Jean-Paul Belmondo: Cela porte «la poisse» à l’agresseur.

 

Je vais maintenant évoquer des interactions «subtiles» avec avec des personnes incarnées.

 

Exemple d'interaction 8 - Communications matérielles et communications «subtiles» avec des personnes incarnées.

Il est important de bien distinguer deux types de communications différentes:

- Les communications matérielles: C'est l'expression de notre cerveau, de nos croyances et certitudes, de nos pensées, de nos comportements automatiques; l'expression de ce à quoi nous nous identifions; de ce que nous croyons être: notre ego (notre faux soi).

Les communication matérielles peuvent se faire par des paroles, par des écrits, par des gestes...

- Les communications «subtiles»: C'est l'expression de notre «conscience», lorsque nous sommes en «pleine conscience».

Notre «conscience» s'exprime entre autre par nos «intuitions»,

et l'envoie d'informations «subtiles» comme des sentiments «subtils», des pensées «subtiles»...

Mais attention de bien savoir reconnaître une «intuition» issue de notre «conscience», d'un comportement automatique qui se déclenche, ou d'un fonctionnement mental.

Comment reconnaître un fonctionnement automatique,

d'un fonctionnement mental,

d'un fonctionnement en "pleine conscience" ?

Le comportement automatique, comme son nom l’indique, c’est automatique.

Ce qui veut dire que si un comportement revient régulièrement, toujours pareil, il y a de grandes chances qu’il soit issu d’un comportement automatique.

Ce fonctionnement est utile pour certaines taches; par exemple si nous retirons automatiquement notre main si elle touche quelque chose de très chaud.

Le problème, c'est que certains fonctionnements automatiques se sont inscrits dans un environnement donné; et si aujourd'hui l'environnement est différent, ce fonctionnement automatique peut être inadapté, voire créer de la souffrance.

Le comportement mental, basé sur nos croyances parfois partiales ou certitudes, sur des raisonnements appris, a lui aussi parfois un air de déjà vu.

Lorsque l'on observe ce comportement, on constate que l'on pense, ce qui est la caractéristique principale de ce fonctionnement.

Ce fonctionnement est utile pour certaine taches; par exemple pour faire des calculs mathématiques.

Mais pour savoir si nous aimons quelqu'un(e); à nous de voir si nous préférons le fonctionnement mental, le fonctionnement automatique ou le fonctionnement en "pleine conscience"(notre "intuition") ?

Le fonctionnement en "pleine conscience" est "intuitif".

Et si ce qui émerge est plutôt original ou inattendu,

le fonctionnement en "pleine conscience" est plus probable.

Le délai d'apparition de l'émergence de la réponse après une interrogation, une question, est un élément important;

car dans le cas d'un fonctionnement en "pleine conscience" la réponse après une interrogation, une question, est instantanée.

Alors que si la réponse arrive plus d'une seconde après l'interrogation, la question, c'est en général le mental qui a pris le contrôle.

Bien sûr, un fonctionnement automatique se déclenche aussi souvent en moins d'une seconde;

mais si le déclenchement est inférieur à la seconde, on a alors le choix entre le fonctionnement en "pleine conscience" et le fonctionnement automatique (qui est plus facile à reconnaître par son côté répétitif).

Si on est en "pleine conscience", on va pouvoir reconnaître dans quel type de fonctionnement on est, ou avons été.

Si on est pris dans nos sensations, dans nos sentiments dans nos pensées (mode mental ou automatique): je constate que c'est souvent le cas dans notre monde moderne; on n'aura souvent pas le recul nécessaire pour différentier nos différents états.

Le contexte est aussi très important, si on se sent tendu, stressé, pressé, énervé; le fonctionnement sous comportement automatiques est vraisemblablement en train de monter, pour flirter parfois avec le 100% fonctionnement automatique.

Si par contre on est dans la nature, relax, détendu, calme, que la vie est belle, le fonctionnement en "pleine conscience" est plus probable.

Mais cela dépend aussi beaucoup des personnes:

Certaines personnes restent en "pleine conscience" même dans le stress ou la difficulté; et d’autres restent en fonctionnement automatique ou mental, même si elles sont dans un endroit calme et inspirant ou dans la nature.

Le fait de se poser en "pleine conscience" (état d'observation),

la question de savoir dans quel comportement on est, et de laisser émerger ce qui remonte, développe "l'intuition"; et à force, on reconnaît de mieux en mieux dans quel type de fonctionnement on est, on était.

Mais ce qui peut être déroutant si on ne différencie pas

un fonctionnement automatique,

d'un fonctionnement mental,

d'un fonctionnement en "pleine conscience",

c'est qu'il peut y avoir de la confusion dans nos perceptions;

si par exemple on perçoit une information matérielle (une parole d'une autre personne par exemple) avec un sens différent d'une information «subtile» perçue en même temps (une pensée «subtile» émise par cette même personne par exemple) .

Par exemple quelqu'un vous dit: Cette robe est jolie;

et que vous percevez en même temps une pensée «subtile»:

«Elle à l'air d'un gros sac dans cette robe».

Vous pouvez alors penser que vous vous racontez des histoires...

ou pas ?

Vous pouvez dans ce cas, vous assurer que vous êtes en «pleine conscience», en respirant, en ressentant vos points de contacts avec le sol, en observant vos sensations...

Et en «pleine conscience» laisser émerger vos «intuitions»;

par exemple dans ce cas, en disant à l'autre personne:

Tu ne trouves pas que j'ai l'air d'un gros sac dans cette robe ?

Ou tout autre émergence de votre «conscience»...

Et écouter en «pleine conscience» la réponse de l'autre.

On peut développer ses perceptions «subtiles»:

Sujet détaillé au chapitre 9 - 39 exemples pour vivre en pleine «conscience» - Exemple 3.

 

Exemple d'interaction 9 - Incompréhensions entres «consciences».

Je constate que des personnes croient discuter avec d'autres personne en exprimant mentalement leurs certitudes, leurs croyances, en étant centrées sur elles même.

Mais ce n'est pas forcément un dialogue; c'est peut être simplement une suite de monologues pour valoriser leurs egos, avec l'idée qu'elles se font de la valorisation d'elles même, et du dialogue.

L'échange entre deux êtres, lorsqu'un être parle (par exemple), c'est que l'autre écoute ce qu'il dit en «pleine conscience» pour percevoir toute les «subtilités» émises par l'autre être.

Puis l'être qui a écouté, peut émettre en «pleine conscience» ce qui vient du plus profond de lui même.

L'échange complet, c'est d'être en «pleine conscience», dans la bienveillance, dans le respect de ce que l'autre exprime et de ce que l'on exprime.

Vouloir convaincre, juger, gagner, c'est être dans l'ego, la guerre, la souffrance.

Et on ne se comprend pas vraiment; et on reste souvent seulement dans ses certitudes.

 

Exemple d'interaction 10 - Le Pervers Narcissique (le PN).

Un cours de psychologie sur le pervers narcissique? Non.

Juste mon avis sur le PN (le Pervers Narcissique):

- Égoïste.

- Centré sur elle/lui, sur sa satisfaction, qu'importe les souffrances des autres.

- Sans compassion pour les autres; bien qu'il/elle peut répéter qu'il/elle aime les autres, qu'il/elle est généreux/se, et que les autres ne sont que des ingrats.

- Les autres ont toujours tord.

- Le problème c'est les autres, pas elle/lui

- La manipulation, le chantage (par la culpabilisation etc...)

- Grossir des détails, ne sélectionner que ceux qui l'intéressent, en les sortant parfois du contexte, sans vue globale, pour confirmer qu'il/elle a raison; avec des raisonnement qui peuvent nous faire penser que l'on a tord.

- Ne supporte pas la contradiction. Et si il/elle risque de perdre, il/elle s'énerve ou dit : c'est une évidence, et arrête de m'énerver.

- Veut paraître une bonne personne; donc dit ce qu'il/elle fait pour les autres, pour se valoriser.

- Se fiche de la figure des autres, en pointant des points qui font mal chez l'autre. Et si l'autre réagit violemment à ses critiques:

c'est que l'autre est excessif dans ses réactions.

- Dans le contrôle, dans le pouvoir.

Etc........

Regardons le pervers narcissique en «pleine conscience»,

tel qu'il est.

Car on sort de sa dépression (par exemple si on est en relation avec un pervers narcissique) en voyant, en disant en «pleine conscience» le mal que les autres nous ont fait, nous font, sans complaisance (sans vengeance non plus);

mais dire ce que l'on perçoit, ce que l'on ressent.

Et je crois qu'il n'y a pas de bons ou de mauvais avis sur ce que l'on constate; mais que des faits, des perceptions, des sensations, des sentiments, que l'on exprime.

Accompagner un pervers narcissique ?

Des thérapeutes pensent que l'on ne peut pas guérir un pervers narcissique.

Parce que pour le pervers narcissique, le problème c'est les autres, pas eux.

Et quel que soit les alertes qu'a le pervers narcissique (même des douleurs intenses), pour lui la cause de ses souffrances se sont les autres, pas lui même.

Donc comme la cause, ses sont les autres il ne voit pas pourquoi il changerai.

Et on ne peut pas changer les autres contre leurs gré.

Les autre changent s'ils décident de changer.

Aussi, si un PN peut changer, c'est qu'il l'a décidé.

C'est qu'a un moment il a «conscience» de ses comportements, des ses attachements, des conséquences pour lui même et les autres. Et qu'ayant observé ses comportements, ses attachements qui le perturbent, il prend «conscience» qu'il peut agir dessus, qu'il recherche les événements qui ont inscrits ces attachements, pour les désactiver, seul ou accompagné.

Sachant que des personnes l'aiment, l'acceptent tel qu'il est, acceptent son libre arbitre, ses décisions, pour évoluer à son rythme, dans la tolérance, l'amour; et il se passe ce qui se passe. Certes il y aura des difficultés, mais autant faire face aux difficultés pour quelque chose qui est important pour nous, que nous avons décidé, pour notre bonheur et celui des autres.

 

Exemple d'interaction 11 - L'agression.

Imaginons des parents qui agressent régulièrement, jours après jours, un de leurs enfants avec:

- Des critique malveillantes sur tout ce qu'il fait; aucune félicitation, même s'il fait des efforts démesurés, en y mettant une grande bonne volonté, tout son cœur.

- Des dénigrements constants.

- Aucun respect, le ridiculisant, se moquant de lui, surtout lorsque d'autres personnes sont présentes.

- Des agressions verbales, physiques, et «subtiles» dans les intentions associées.

L'enfant est pris en otage, car il est dépendant de ses parents pour se nourrir, se loger...

Et ne pouvant pas fuir, face à ces agressions constantes, d'autant plus insoutenables qu'elles viennent de personnes qu'il aime;

si la seule solution qu'il a trouver pour sortir de ce calvaire, c'est de mettre fin à ses jours; est ce un meurtre de la part de ses parents?

L'agression contre les autres est condamnée et condamnable.

Mais que va faire la justice si l'enfant n'a pas de coups visibles, que les voisins n'ont pas fait de signalement, que l'enfant ne s'est pas plaint à l'extérieur, et que la police à conclut à un suicide ?

Mais balayons d'autres aspects de cette situation; en restant prudent, en ne généralisant pas, en sachant que chaque cas est différent.

Une manière 1 (parmi tant d'autres) de voir l'agression d'une personne:

C'est que la «conscience» de l'enfant a peut être choisi cette incarnation pour apprendre, pour progresser, en vivant cette situation ?

Mais attention, cela n'enlève en rien la responsabilité des parents, et qu'ils vont avoir des retours (karmiques) suite à leurs actes contre le bonheur des autres.

Parfois, dans une vie antérieure, nous avons considéré les autres comme des objets, nous les avons critiqué, maltraité sans être attentif à leurs souffrances.

Aussi parfois, pour apprendre ce que cela fait;

la «conscience» s'incarne dans une personne qui va être considérée comme un objet, qui va être critiquée, malmenée.

La personne ne va pas ressentir intellectuellement la souffrance, mais va la vivre.

En espérant que cela lui apprenne à respecter les autres, à être attentive aux autres, à encourager et à accompagner les autres, à prendre soin des autres.

Et, même si notre comportement nous paraît moins perturbateur que ceux des autres; travaillons sur cette part de nous même que l'on peut améliorer, pour continuer de grandir.

Mais ne généralisons pas un exemple d'une manière de voir,

à toutes les situations.

Une autre manière 2 de voir l'agression d'une personne;

c'est si nous avons vécu dans une vie antérieure, dans la non «conscience».

Et face à des agressions, si nous avons fonctionné avec des réactions parfois agressives, parfois de fuite, et que nous avons eu du mal à sortir de ces situations.

Peut être nous sommes nous incarné dans cette vie, pour apprendre à rester en «pleine conscience» même lorsque nous sommes agressé ?

Car si on nous agresse et que nous ne sommes pas en «pleine conscience»; nous risquons de rester bloqué dans nos sentiments, dans nos colères, et nous allons souffrir et nous détruire nous même en rajoutant des émotions et des pensées destructrices, de vengeance ou de haine.

Alors qu'en étant en «pleine conscience» face à l'agressivité;

on l'observe, on observe nos réactions, on n'est pas submergé.

Et on peut laisser émerger en «pleine conscience» les actions les plus appropriées.

Ce qui nous permet:

De gérer l'agression sans se détruire soi même.

De comprendre ce que nous souhaitons, décidons, d'améliorer en nous même.

De comprendre aussi, avec son agresseur, s'il le souhaite, les causes de cette agression (comme un comportement réactif).

De plus, je crois que le fonctionnement en «pleine conscience» est favorable pour limiter une agression, pour ne pas l'entretenir, pour ne pas la renforcer, pour la limiter au mieux que l'on peut, voir (dans le meilleur des cas) pour la faire cesser.

Une autre manière 3 de voir l'agression d'une personne:

C'est l’égoïsme chez l'agresseur, malgré le lien de parenté qu'elle peut avoir avec un proche; alors que leur rôle est la protection et l'accompagnement dans l'évolution de leurs proches.

Une autre manière 4 de voir l'agression d'une personne:

La votre …....................................................................... ?

Savoir si c'est un meurtre ?

En «pleine conscience» ce qui vient;

c'est que les actions que souhaite prendre une personne agressive pour maîtriser son agressivité, ne peuvent être décidées que par la personne elle même. En étant «conscient» des conséquences de ses intentions et de ses actes, pour lui même comme pour les autres.

Et si, face à l'agressivité je sens monter la colère en moi; je me dis de m'assurer que je suis en «pleine conscience», d'observer ce qui émerge (mes «intuitions»), et d'agir en «pleine conscience».

Mais un enfant n'est souvent pas capable de se mettre en «pleine conscience» dans l'adversité, la barbarie, l'injustice.
Et il a besoin d'un accompagnement, d'un soutien, d'une aide temporaire; avant de pouvoir faire face en «pleine conscience» seul, pour s'en libérer.

Parfois il trouve du réconfort auprès d'un autre membre de sa famille, d'une personne de son entourage, d'un professeur, d'un ami, de son ange gardien, d'un être imaginaire, de son chat...

Afin que l'amour reste en lui, et l'aide à tenir; plutôt que de se laisser submerger par la haine et la vengeance qui risque de le détruire intérieurement; en attendant progressivement, que son état de «conscience» se développe en lui; en devenant un adolescent, un adulte plus autonome.

En enclenchant, lorsqu'il le pourra, un travail personnel sur les agressions qu'il a vécu, pour les dépasser, les comprendre, les transmuter, les libérer, pour que cela le fasse grandir; et alors à ce moment là, savoir si c'est un meurtre, ne sera peut être pas le plus important ?

 

Exemple d'interaction 12 - La fuite face à la colère, l'agression.

Parfois dans le passé (lorsque nous étions enfant par exemple), nous avons eu des conflits violents avec certains de nos parents, d'autres personnes, et on a réagit par la fuite.

Ce comportement, qui nous a peut être été utile dans le passé, a pu inscrire en nous un comportement automatique (un attachement) qui nous conduit aujourd'hui,

si on se sent agressé à fuir.

Et par exemple, suite à une autre nouvelle grosse colère de notre compagne(compagnon), on peut se sentir agressé, et on peut réagir automatiquement par la fuite, et lui dire que nous la(le) quittons.

Il y a deux types d'orientation de sa colère:

- On la tourne vers les autres en les rendant responsables, en les agressant (par exemple), ou autre...

- On la tourne vers soi même, et par exemple: On se culpabilise, on mange parfois de manière compulsive (et on grossit), on fait monter sa tension, on risque de développer un ulcère à l'estomac ou un cancer...

Mais aujourd'hui un comportement automatique de réaction par la fuite, suite à la colère ou l'agression, est souvent inadapté;

parce que nous sommes plus forts, plus indépendants, plus «conscients», moins réactifs, plus autonomes, et que les situations sont différentes.

D'autre part, la colère de l'autre, si elle est parfois perçue comme une agression contre nous même, est en général l'expression d'une difficulté, d'une souffrance créée par le décalage entre ce que l'autre veut et la réalité du monde, ou par un besoin non satisfait.

Dit autrement: Ça ne va pas comme l'autre le veut, ou qu'il a un besoin non satisfait, alors il se met en colère, il s'énerve.

Mais est ce réaliste de vouloir que les autres soient comme on le veut ?

Par exemple si on aime une personne, que l'on veut que la personne nous aime, mais qu'elle ne nous aime pas.

Peut t'on l'obliger à nous aimer ?

Et si une personne n'a pas envie, elle a pas envie.

Mais j'ai le choix de l'accepter ou pas; et si je ne l'accepte pas, je me bat contre ce qui est, et je risque de souffrir.

De plus, si j'aime une personne et que j'ai envie qu'elle m'aime,

je risque de ne pas entendre les messages qu'elle ne m'aime pas;

et je vais interpréter/déformer des messages, pour me convaincre qu'elle m'aime.

En vivant dans l'illusion, cela masquera peut être de manière éphémère certaines de mes souffrances; mais cette illusion risque de générer au global beaucoup plus de souffrances.

Et un jour ou l'autre il faudra bien faire face à la réalité ?

Je crois que l'on est au mieux que l'on puisse être si on est en «pleine conscience» maintenant (au lieu d'être en mode réactif automatique).

Car on a alors le choix de choisir l'action la plus adaptée à la situation: l'action automatique que nous avions avant ou une autre. Nous sommes donc plus libre.

Aussi, face à colère, à l'agression, il me paraît souhaitable:

- De rester en «pleine conscience». Par exemple en observant sa respiration, ses points de contact, ses sensations, ses sentiments, ses pensées...

- De faire face.

- De voir la réalité telle qu'elle est.

- De s'excuser ou de demander pardon si nous avons provoqué de la souffrance ou de la colère chez l'autre.

- D'exprimer chacun ses sentiments.

- D'écouter la colère de l'autre, ses causes, les besoins ou les demandes qui ne sont pas satisfaites chez l'autre.

- De chercher à comprendre l'autre, ses difficultés; éventuellement en reformulant ce qu'il vient de dire pour s'assurer que l'on a bien compris, en demandant éventuellement des précisions; en remerciant l'autre de prendre le temps de m'expliquer, parce que cela me permet de mieux le comprendre.

- D'exprimer chacun ses besoins (par exemple: De n’être pas agressé, d'être respecté, de vivre dans le calme, d'aimer et d'être aimé, d'être libre, d'être écouté et compris ?...).

- D'éviter les attaques personnelles, les jugements.

- D’être tolérant, d'accepter le libre arbitre des autres.

- De trouver ensemble des solutions qui satisfont les besoins des deux.

- De se dire que l'on s'aime (si c'est la cas bien sûr), et que l'on se respecte.

- D'envoyer de l'amour à l'autre, de prier pour lui, afin qu'il ai la vision la plus claire possible; afin qu'il puisse décider en toute liberté les solutions qui créent le plus de bonheur pour lui même et les autres.

- Éventuellement de définir des règles de fonctionnement, des nouveaux comportements, auxquels les deux parties souscrivent.

- De travailler à déconnecter ses attachement (ses comportements automatiques réactifs).

Car si on ne peux pas changer les événements, on peut changer nos réactions face à ces événements.

 

Exemple d'interaction 13 - Accompagner les autres.

Parfois on veux aider les autres avec nos projections, nos attachements, nos certitudes:

Pour se valoriser ?

Pour se déculpabiliser ?

Pour prendre le pouvoir ?

Parce que l'on est attaché à la non souffrance ?

Parce que l'on ne comprend pas le sens de la souffrance ?

Parce que …...................................................... ?

En disant aux autres ce qu'ils doivent faire;

parfois en agissant à leur place;

on ne fait alors peut être que de rajouter des couches d'attachements, de certitudes, de servitudes, de dépendances chez les autres ?

Alors que l'on ne peut, peut être:

- Que travailler sur nous même à prendre «conscience» et déconnecter nos certitudes, nos attachements, pour libérer l'expression de notre «conscience» ?

- Que créer des circonstances favorable pour les autres, par notre ouverture et notre reliance à notre «conscience» ?

- Qu'accompagner les autres; en les laissant s'exprimer, avec leurs manières de fonctionner, leurs décisions; sans leur expliquer ce qu'ils doivent faire; en respectant leurs libres arbitres, quel que soit leurs niveaux de «conscience» ?

Et vouloir intervenir, en pensant bien faire, sans les laisser être avec leurs propre raisonnements, avec leurs propres manières de fonctionner, avec leurs propres «intuitions», avec leurs propres décisions; cela ne risque t'il pas, plutôt que de les faire avancer, de les freiner dans leur autonomie et leur évolution ?

Parfois il n'est pas nécessaire d'échanger par des paroles.

Il suffit d'être là, en «pleine conscience».

Car si je suis à un niveau de «conscience» profond, et en lien «subtil» avec l'autre; cela facilite un état de «conscience» profond chez l'autre; et cela lui facilite la résolution de ses difficultés, s'il le désire.

 

Exemple d'interaction 14 - Un accompagnant c'est un peu comme un vendeur d'habits (mais rassurez vous, il y a aussi des différences):

L'acheteur rentre dans le magasin d'habits, il regarde, il prend ses décisions, et sort du magasin si rien ne l'intéresse.

Si l'acheteur souhaite une information, il demande au vendeur.

Et l'acheteur ne veut pas être ennuyé par un vendeur qui voudrait lui fourguer quelque chose parce qu'il gagne de l'argent avec cela. Si le vêtement lui plaît, il l'achète, c'est tout.

L'accompagnant répond à une demande; il n'essaie pas de convaincre une personne qu'il doit faire du développement personnel en lui demandant X euros par séance.

L'accompagnant répond à une demande d'information, d'accompagnement; et un échange, un équilibre se crée entre eux.

 

Exemple d'interaction 15 - Parfois je suis perturbé quand une personne est perturbée (un membre de ma famille, un ami...).

Parfois je me sens perturbé; et, en «pleine conscience» je m'interroge de savoir quel comportement ou quel attachement en moi même peut générer cette perturbation ?

Et parfois rien n'émerge.

Alors, toujours en «pleine conscience», je m'interroge ?

Cette perturbation vient elle de moi ou d'une personne (ou d'un être) avec lequel je suis en lien «subtil» ?

Et parfois ce qui émerge, c'est que je perçois une perturbation «subtile» d'une autre personne, et un nom émerge à ma «conscience».

Si en «pleine conscience» je le ressens, cela peut être l'occasion de rencontrer cette personne (cet être), de lui parler pour voir ensemble, si cela vient bien d'elle.

Et, si tel est son désir, voir ensemble si des actions émergent de sa «conscience» pour traiter sa perturbation.

Mais parfois le contact directe ou le téléphone n'est pas possible.

Dans ces cas, comme je n'ai pas à intervenir à sa place;

je me rappelle que pour résoudre une difficulté; être dans un état de «pleine conscience», à un niveau de «conscience» le plus profond possible, permet de laisser émerger plus facilement des informations/solutions utiles pour éclairer une situation.

Et j'ai constaté, lorsque on est en lien «subtil» avec un être;

que si l'on est soit même en état de «pleine conscience» à un niveau de «conscience» profond; cela permet à cet être d'atteindre plus facilement un niveau de «conscience» profond, si il le souhaite; et cet état de «pleine conscience» profond, et lui permettra peut être de mieux traiter sa préoccupation.

Alors, je m'assure que je suis en «pleine conscience» profonde

(à un niveau de «conscience» profond); je ressens le lien «subtil» avec cet être; et j'observe en «pleine conscience» la perturbation:

Comme par exemple la tristesse, la dépression, l'effondrement, la fatigue; sans penser, sans interpréter, simplement observer.

Puis, avec ma respiration j'envoie en «pleine conscience» de l'amour à ce que je perçois comme la source de mes perceptions. L'autre reçoit s'il le souhaite, c'est lui qui décide.

C'est le mieux que sache être, faire.

Laissant le libre arbitre de l'autre s'exercer, et décider ce qu'il a à apprendre de cela.

Comme je suis au mieux que je sache être, je ne regrette rien;

et cela sans plonger dans une tristesse ou une perturbation sans «pleine conscience» qui ne ferait que m'épuiser.

Ce qui ne veut pas dire que je ne ressente pas la tristesse, mais je ne fais que l’observer en «pleine conscience», c'est tout.

Puis en général, la perturbation que je ressentais se dissipe.

Mon parent, ami, trouvera ses propres réponses quand il sera prêt.

Parfois, ce que je perçois, c'est que mon alerte, mon interrogation, ma perturbation, vient d'un ensemble d'êtres.

Dans ces cas, j'observe en «pleine conscience» les informations/sensations/sentiments/pensées «subtiles» qui me parviennent; je ressens les liens «subtils» avec cet ensemble d'êtres, j'envoie de l'amour, et je reste en «pleine conscience» de mes perceptions, dans la bienveillance.

 

Exemple d'interaction 16 - Ascendant de l'ego, Charisme de la «conscience».

Charles Manson avait de l'ascendant sur ses adeptes.

Mohandas Karamchand Gandhi avait du charisme.

1-Charles Manson avait de l'ascendant sur ses adeptes:

Il avait une motivation de contrôle, de pouvoir vis à vis du monde, de valorisation de lui même.

Il percevait des attachements de ses adeptes, et les utilisait: Attachement au sexe, attachement à la liberté, attachement à un idéal, attachement à l'image d'être un rebelle, attachement à la valorisation d'appartenir à un groupe d'élus...

Et non seulement il percevait des attachements;

mais il savait parler, il avait le look.

Il se disait une réincarnation de Jésus.

Ses adeptes se laissaient porter par ses idées.

Il ne sollicitait pas leur avis ni leur esprit critique.

Il utilisait son mental, et les attachements qu'il percevait chez ses adeptes.

2- Mohandas Karamchand Gandhi aimait les autres, avait une motivation désintéressé pour leurs bonheurs.

Il avait un niveau de «conscience» profond.

Il vivait en «pleine conscience».

Il interagissait de manière «subtile» avec les autres «consciences»:

Ses paroles étaient associées à des communications «subtiles» qui touchaient les autres; ce qui leur faisait ressentir son charisme.

Sa reliance à sa «conscience», et ses liaisons «subtiles» avec les autres, facilitait l'ouverture et la connexion des autres à des états plus profonds de «conscience», ouvrant les autres à de nouvelles prises de «conscience», à plus de paix, à plus d'altruisme.

 

Exemple d'interaction 17 - amour et «amour» dans la relation de couple.

Une difficulté dans la langue française, c'est que pour un seul mot, il y a parfois 2 sens différents (parfois plus).

Il y a donc un risque de confusion entre 2 personnes; si la première utilise le premier sens et l'autre le deuxième sens.

C'est la cas du mot amour, qui a 2 sens différents:

- Le premier sens, c'est l'amour avec attachement: On est attaché au plaisir que l'autre nous procure, on est attaché aux besoins que l'autre comble en nous: Besoins d'activité, de présence, de sécurité, d'écoute, de valorisation, de respect...

Et ces attachements créent des peurs: De ne pas être aimé, de l'abandon, de l'enfermement, de l'échec, de la solitude...

Et vous aimez l'autre s'il répond à vos attachements.

- Le deuxième sens, c'est «l'amour» ouvert, sans rien en attendre en retour.

Sans troc d'un besoin auquel on est attaché et que l'autre satisfait, contre un autre attachement que l'on satisfait chez l'autre.

Comme par exemple: Troc d'un attachement au sexe chez l'un, contre un attachement à la sécurité et à la distraction chez l'autre.

Si on n'est pas attaché à ses besoins, on est autonome, libre.

On n'a plus besoin de réclamer à l'autre qu'il comble nos manques; et on a plus de chance «d'aimer» librement, sans rien attendre en retour.

Mais souvent les deux types d'amour coexistent.

Et pour que cela fonctionne dans un couple;

il est favorable d’être «conscient» de ses besoins, de ses attachements, de ses exigences, de ses zones d'intolérances.

Que chacun écoute l'autre: ses besoins, ses attachements, ses exigences, ses zones d'intolérances.

Que chacun ai envie que les besoins des deux soient satisfaits.

Pour cela il est souhaitable de s'aimer, sans que cela ne soit une obligation mentale, mais une évidence; et que l'on discute pour voir comment les besoins des deux peuvent être satisfaits, et agir.

Un amour profond réciproque nous aide à dépasser nos comportements répétitifs perturbateurs, nos exigences, nos attachements, qui perturbent la relation.

Alors accepter les fonctionnements de l'autre, accepter son libre arbitre, sa manière de vivre et d'évoluer, l'accepter tel qu'il est, sans vouloir le changer; car c'est l'autre qui décide de se changer s'il en a envie, quand il se sent prêt; et pas sous la contrainte (par exemple d'être quitté s'il ne change pas rapidement).

Aussi, je n'attend rien de toi.

Je n'ai aucune exigence.

Je n'attend aucun comportement particulier de toi.

Je n'attend pas que tu combles un de mes vides.

Je n'attend pas que tu te conformes à mes exigences.

Je ne veux pas te posséder, ni t'asservir, ni t'enfermer.

Je ne veux pas te convaincre.

Je ne veux pas te dire ce que tu as à faire.

Je t'aime, c'est tout.

Et si on n'essaye pas de s'aimer et d'accepter l'autre tel qu'il est,

on ne sait pas si on peut réussir.

Mais si au moindre comportement que je juge pas convenable,

je ne tolère rien,

je ne pardonne rien,

Vais je vivre seul ?

Dois je tout accepter ?

Je ne le crois pas.

Mais je peux avoir un comportement d'ouverture, aimant, écoutant, en «pleine conscience».

Et je ne ressentirais pas, parfois, tes propos comme des agressions ou des attaques contre moi même;

mais comme l'expression d'une difficulté chez toi.

Et j'aurais envie de t'aimer, d'échanger avec toi pour savoir comment tu te vois sortir de tes difficultés, de tes souffrances.

Alors j'échange avec toi, sans rajouter des tensions ou des difficultés par mon intransigeance ou mon jugement.

Qu'est ce que cela peut m'apprendre sur moi même:

- A rester en «pleine conscience» dans les moments difficiles, et a ne pas passer en mode réactif dans ces moments là ?

- A être attentif aux autres ?

- A comprendre les causes des souffrances des autres ?

- A rester dans l'amour, même si les autres ont des difficultés ou sont perturbés ?

- La tolérance ?

- Le pardon ?

L'attachement à la relation sexuelle: Est ce de l'amour ?

Cela dépend peut être de la définition et du sens, que l'on donne au mot amour.

Si je devais donner une estimations du temps de fonctionnement d'un être humain sur ses trois modes de fonctionnement; je dirais:

60% de son temps, en fonctionnement sur ses attachements (ses comportements automatiques).

30% de son temps, en fonctionnement mental (réflexions de son cerveau).

10% de son temps, en fonctionnement en «pleine conscience»,

et souvent à un niveau de «conscience» superficiel.

Ce qui veut dire que les relations sentimentales/sexuelles peuvent être principalement pilotées par des attachements réciproques.

Par exemple:

Si tu satisfais mon attachement à la reproduction sexuée;

si je satisfais tes attachements à être écouté, à être valorisé(e).

A la question: Pourquoi tu m'aimes ?

Tu va peut être répondre: Lorsque tu satisfais mes attachements ?

Mais comme vous avez pu vous en rendre compte, en général,

on ne vous répond pas de cette manière.

Sinon, à vous de décoder le sens que votre partenaire donne au mot amour:

- Un troc d'attachements ?

- Un amour ouvert sans rien attendre en retour ?

- Un mélange des deux ?

- Autre : …........................ ?

Et si à la question: Pourquoi tu m'aimes ?

Tu réponds:

- Je ne sais pas.

- Parce que je t'aime.

- Parce que c'est toi.

- Quelle question idiote.

- Parce que tu as plein de défauts et que tu poses des questions idiotes.

Il y a peut être plus de chance que cela soit un amour ouvert sans rien attendre en retour ?

 

Exemple d'interaction 18 - Le regard des autres.

Pensez à une personne qui vous plaît, ou à un film qui vous plaît,

ou à un livre qui vous plaît : …......................................... ?

Et regardez les avis des personnes qui vous entourent (ou sur internet...).

Il y aura toujours quelqu'un pour dire (sincèrement) que cela ne lui plaît pas, que c'est pas terrible, et fera des critiques.

Pour vous c'est pareil, il y aura toujours quelqu'un pour dire que

vous avez des défauts, et vous critiquer.

Et ils diront ce qu'ils pensent (même si parfois c'est pour se

valoriser, vous contrôler...).

Car les manières de voir, les programmes mentaux, les a priori,

sont différents d'une personne à l'autre.

Parfois on veut que les autres nous aiment (notre mère, notre père,

un ami, son chat...) et on essaie de se conformer, à ce que l'on

pense qu'ils veulent. On devient une image de caricature, un perroquet, un robot répétant ce que l'on pense que l'autre veut.

Mais si l'autre aime cette image,

quelle valeur cela a t'il à nos yeux ?

Et s'il aime cette image que nous projetons de nous;

peut être qu'il n'aime pas ce que nous sommes ?

Pour le savoir: Accepter d'être ce que l'on est.

Oser ce qui émerge du plus profond de nous:

ce que l'on aime, ce à quoi on croit.

Et si on est sincère avec nous même, au mieux que nous pouvons être, nous n'avons rien à regretter.

Et vous surprendrez, inspirerez peut être, les autres.

Vous serez fier de vous.

Et votre mère, votre père, votre ami et votre chat vous aimeront

pour ce que vous êtes.

Mais c'est peut être déjà le cas.

 

Exemple d'interaction 19 - Parler en premier.

Pourquoi des personnes parlent en premier, lors d'un échange sur un sujet ?

- Parfois c'est réactif; le sujet évoqué déclenche un comportement automatique; et on a à cœur de répondre tout de suite.

- Parfois on veut absolument parler en premier pour donner son avis, pour clore le débat, et la messe est dite.

Et comme de toute façon on a raison, les autres ne peuvent dire que des choses fausses ou des conneries; et on défend bec et ongle notre point de vue; trouvant pleins d'arguments

(avec ou sans logique, ou en déformant ou grossissant des détails,

parfois complètement sortis du contexte), voire en rigolant ou se moquant de ce que l'autre dit, comme par exemple: Ce n'est pas possible d'être aussi C... (Cornichon).

- Parfois c'est parce que ce qui nous intéresse c'est nous, notre avis; et que l'avis des autres on s'en fout un peu (ou beaucoup).

On est centré sur soi (et de toute façon on a raison).

- Parfois c'est pour se valoriser.

- Parfois, enfant, on n'a jamais pu en placer une.

Notre avis et nos besoins n'intéressaient personne.

Alors aujourd'hui dès que l'on peut s'exprimer, on saute sur l'occasion et on parle tout de suite;

de peur qu'ensuite on n'ai plus le droit à la parole, qu'on ne puisse pas donner notre avis, exprimer nos besoins.

- Mais aujourd'hui, on n'est plus pris en otage par nos parents

(ou le système dans lequel nous étions, lorsque nous étions enfant), et on peut parler.

Même si c'est après qu'une personne ai pris la parole, et décide de la rendre plus tard (ou d'occuper le terrain; dans ce cas, il faut attendre un peu plus longtemps).

Et après avoir écouté l'autre en «plein conscience», en lien «subtil» avec lui/elle pour le/la comprendre profondément, globalement;

nous pouvons nous exprimer (toujours en «pleine conscience»);

en étant attentif à ne pas déclencher un état réactif et conflictuel, chez l'autre; et cela afin de maintenir la discussion.

Car si on s’engueule, s’énerve et se traite de tous les noms d'oiseaux; il n'y a plus de communication, cela devient un combat de coqs (d'ergots ou d'egos).

Mais si on reste en «pleine conscience» on va peut être trouver des réponses qui répondent aux attentes des deux.

Car si cela doit conduire à une action commune, il est nécessaire que les deux trouvent ensemble une solution cohérente pour eux.

Si on ne trouve pas une solution qui réponde aux attentes des deux; on reste en «plein conscience»; on maintien la relation, dans le calme; et on constate (poliment) que l'on a des avis différents.

Alors, chacun fait les actions qu'il souhaite.

Et ne pas avoir pas parlé en premier, n'a pas d'importance.

Car on a écouté l'autre en «pleine conscience»,

on a exprimé son point de vue en «pleine conscience»;

on a trouvé en «pleine conscience» une position commune

(ou pas);

Et, comme c'est le mieux que nous pouvons faire,

on ne regrette rien.

 

Exemple d'interaction 20 - Le sens des interactions avec les autres ?

Dans notre monde matériel, les interactions matérielles avec les autres sont elles un jeu de billard, avec des chocs, des lois matérielles, des mouvements prévus de réactions mentales ou automatiques, qui sont des conséquences de causes mentales ou automatiques ?

Est ce que la cohérence des interactions «subtiles» des «consciences» se trouve dans les liens «subtils» d'amour qui les relient, qui les unifient; et donne un sens aux interactions «subtiles» entre les «consciences» ?

 

Chapitre 6- La liberté, la prévision de l'avenir.

Rappel hypothèse (réalité?): Le «bain de conscience» est libre de créer, de faire apparaître des «consciences» avec des parties masquées de lui même; et de laisser aux «consciences» une part de libre arbitre, en cohérence avec les autres «consciences» et le «bain de conscience».

Mais si toutes les «consciences» ont une part de libre arbitre, dans le cadre plus général du libre arbitre du «bain de conscience»;

est on être réellement libre ?

D'abord, il me paraît nécessaire de voir le monde tel qu'il est,

et d'accepter:

- Ce qui est, son fonctionnement.

- Les libres arbitres des «consciences» (si elles existent bien sûr), et du «bain de conscience».

- D'aimer.

Car je crois que c'est l'amour entre les «consciences» qui donnent la cohérence aux libres arbitres des «consciences».

Car lorsque des «consciences» émettent des créations de leurs libres arbitres; toutes les «consciences» perçoivent ces créations;

et par amour, ensemble, elles sont heureuses, de participer à ces créations, de permettre à ces créations d'exister.

Notre liberté réside alors peut être dans l'expression en «pleine consciente» de notre «conscience»; en ressentant les liens «subtils» qui nous relient aux autres «consciences», en respectant leurs libres arbitres par amour.

Tenir compte des libres arbitres des autres «consciences» et exprimer le notre; c'est alors un peu comme être dans le flux d'un fleuve: Il y a un flux général des créations libres des autres «consciences» et, en harmonie avec ce courant général; par nos propres libres créations; on peut aller un peu à droite, un peu à gauche, un peu ailleurs... et exprimer notre libre arbitre de cette manière; en respectant les courants qu'induisent les libres créations des autres «consciences».

Avec une volonté mentale (de notre ego), on ne peut pas faire tout ce que notre ego veut (parfois au détriment des autres), même si on est milliardaire: Par exemple, on ne peut pas forcer les autres à nous aimer, notre corps matériel ne peut pas s'élever dans les airs sans assistance, on ne peut pas mettre la lune dans une bouteille. Mais l'ego se croit parfois libre, parfois partiellement libre, parfois pas libre (plus rarement).

Si je reprend l'exemple du fleuve; si mentalement, on veut aller où son ego veut, en remontant et perturbant le courant général;

on va lutter constamment contre ce qui est, contre des courants que l'on n'accepte pas; on peut réussir (avec la vision de son ego) quelques coups. Mais à la longue, on va s'épuiser, et échouer dans ce que son ego voulait imposer à ce qui est (dans cette vie ou dans ses futures vies incarnées).

Je crois que le libre arbitre n'existe pas dans le domaine matériel; que la liberté de l'ego n'est qu'une illusion.

Lorsque l'on pense avec son cerveau, avec ses idées reçues, ses pensées récurrentes, ses croyances, ses certitudes, ses raisonnements répétitifs, ses comportements automatiques régis par nos attachements; nous réagissons comme des robots conditionnés.

Et si nous ne sommes pas «conscient» de ce que nous sommes,

en nous identifiant à notre ego (notre faux soi):

Nous sommes conditionnés, et nous avons l'illusion que nous sommes libre.

Nous sommes conditionnés par nos programmes automatiques, nos pensées récurrentes ou partiales qui se déclenchent;

et le propre du conditionnement, c'est que l'on n'en n'est pas «conscient».

Et si on ne comprend pas ce qui se passe, on évoque le hasard.

Nous nous avons mis des chaînes, en nous attachant à des plaisirs, à des raisonnements, à des comportements, à des croyances.

Mais on ne peut pas aliéner le libre arbitre de notre «conscience» et de celui des autres «consciences» sans qu'il y ai des conséquences, des alertes.

Si nous agissons avec des intentions égoïstes, centrées sur la satisfaction de nos plaisirs, qui vont parfois à l'encontre de la liberté et du bonheur d'autres êtres; la loi du karma va nous envoyer des alertes (des messages, des coïncidences, parfois de la souffrance, parfois la maladie...), pour nous avertir que nos comportements et nos actions ne sont pas en harmonie avec le libre arbitre et le bonheur des êtres, de ce qui est.

La loi du karma induite par nos motivations et actions, engendre donc des conséquences, qui peuvent nous faire penser que cela limite notre libre arbitre.

Mais la cause racine de ces alertes karmiques pour une personne, c'est dans ce cas la limitation par cette personne, du libre arbitre des autres «consciences». Les alertes sont donc un mécanisme de régulation de la cohérence du libre arbitre des êtres.

Lors des incarnations d'une «conscience» associée à des particules, des atomes, des minéraux, des cellules, des bactéries, des végétaux; le «bain de conscience» joue un rôle prépondérant dans la mise en place des informations et des attachements dans le corps «subtil» de la «conscience».

Lors des incarnations d'une «conscience» dans des animaux ou des êtres humains; la «conscience» participe plus activement (bien sûr en lien avec le «bain de conscience») à ses choix d'incarnations.

Et dans ses vies incarnées, on peut:

- Approfondir ses niveaux de «conscience».

- Acquérir de nouvelles connaissances.

- Inscrire des attachements, mais aussi déconnecter des attachements.

- Développer son amour pour ce qui est.

- Apprendre face aux événements heureux ou douloureux qui nous arrivent; ce qui nous permet d'évoluer.

Et avec cette vision de l’existence de sa «conscience», de son libre arbitre, et de son expression parmi les autres «consciences»; on peut se sentir libre et responsable de sa vie.

Dans la proposition au départ de ce chapitre, j'ai évoqué:

Le «bain de conscience» est libre de créer, de faire apparaître des «consciences» avec des parties masquées de lui même; et de laisser aux «consciences» une part de libre arbitre, en cohérence avec les autres «consciences» et le «bain de conscience».

Mais si nous n'avons pas la connaissance de tout ce qui existe, que nous ne percevons pas tout ce qui existe,

si nous avons des niveaux de «conscience» limités,

des dimensions que notre réalité ne peut pas percevoir;

ces éléments que nous ne percevons pas, ont peut être une influence sur nos vies, sur nos libres arbitres ?

Et nous ne nous en rendons peut être pas compte ?

Alors, face à ces ignorances, nous avons peut être le sentiment d'être libre, alors que nous sommes influencés sans en être «conscient».

Mais, même si nous ne percevons pas des niveaux de «conscience» plus profonds, toutes les autres dimensions, d'autres phénomènes au delà de nos perceptions; et que ces éléments que nous ne percevons pas aient une influence sur nous;

Rien n'interdit que nous ayons quand même une part de libre arbitre dans nos interactions avec les autres, avec ce qui est.

Compte tenu de nos connaissances, de notre niveau de «conscience», de notre libre arbitre, pouvons nous prédire l'avenir?

Il y a différents types de prédictions:

- Celles qui sont faites avec le mental.

- Celles qui sont faites en étant relié au monde «subtil».

Pour le premier type mental.

Aussi fines que soient les perceptions matérielles;

les informations matérielles sont souvent limitées:

- Par le traitement des informations, avec des interactions avec beaucoup de phénomènes ou beaucoup de causes (que l'on ne connaît pas forcément toutes).

- Par l'imprécision des mesures (parfois un détail peut faire complètement diverger une prévision: L'effet papillon).

- Par des raisonnements parfois partiaux ou erronés.

- Par la capacité du mental à traiter un nombre limité d'informations.

Pour le deuxième type «subtil».

Si on est à un niveau de «conscience» profond, on a accès à plus d'informations: Les informations «subtiles» inscrites dans notre «conscience», plus les informations «subtiles» qui sont émises par d'autres «consciences».

Et si on perçoit de manière «subtile», plus d'informations, malgré le grand nombre d'informations (comme dans le domaine «subtil» une «conscience» peut traiter un grand nombre d'informations de manière globale et instantanée), des prévisions sont possible.

C'est ce que fait «intuitivement» un voyant.

Mais je crois que ce qui peut faire diverger une prédiction,

c'est le libre arbitre des «consciences».

Pourquoi?

Si je prend l'exemple d'un voyant qui fait une prévision en étant relié au monde «subtil». Sa prévision est le résultat

des informations «subtiles» qu'il a perçu à cet instant;

et de leurs conséquences une prévision peut émerger.

Mais si après qu'un voyant ai fait une prévision,

une autre «conscience» exerce son libre arbitre en envoyant en «pleine conscience» une nouvelle information libre, une nouvelle action libre dans le système;

le voyant est il capable d'avoir vu cette nouvelle information/action ?

La prévoir voudrait il dire que cette information était prévisible, donc déterminée, donc pas libre ?

Si le libre arbitre existe, cela veut il dire qu'une action d'une «conscience» qui exprime son libre arbitre est imprévisible ?

Si tel est le cas, une prévision peut être modifiée par une «conscience» qui exprime son libre arbitre après la prédiction.

Et croire dans des prévisions absolues,

c'est peut être ne pas croire au libre arbitre des «consciences» ?

 

Chapitre 7 - «Consciences» d'ailleurs.

Sur un sujet sensible comme celui ci: Des «consciences» ailleurs que sur la terre;

est il utile d'avoir:

De l'indulgence ?

De l'humour ?

De la tolérance ?

De l'ouverture ?

Je vais essayer d'employer parfois un ton humoristique, avec malgré tout des informations scientifiques réelles et exactes.

En tout cas, j'espère quand même que vous allez passer un bon moment: D'interrogation, de rigolade, ou de déchaînement des foudres humaines...

On peut se poser la question (ou pas: Dans ce cas vous pouvez éventuellement passer au chapitre suivant, ou tout autre action que vous avez envie de faire...):

Est ce qu'une forme de vie intelligente existe sur une autre planète ?

Et en variante dans une telle hypothèse: As t'on pu être incarné auparavant, dans une vie antérieure (si cela existe bien sûr) sur une autre planète?

Et si tel est le cas, peut on retrouver des événements qui auraient engendrés des comportements répétitifs; qui auraient été inscrits dans notre «conscience» lorsque nous étions incarnés sur une autre planète?

D'accord, je sais que certains se posent de drôles de question, mais enfin, on peut tester ses limites à la tolérance,

dans les 5mn qu'il faut pour lire ces quelques pages.

Et je peux même rajouter une autre question: Notre «conscience» peut elle se réincarner dans un corps matériel sur une autre planète, après notre mort ?

Là, on est peut être à la limite du supportable pour certains ?

Mais je vous propose de continuer, et ensuite de vous faire votre propre avis. Car je ne demande à personne de me croire sur parole (sur lignes écrites pour être plus précis).

Face à de telles questions, où les dérapages peuvent être fréquents; je vais quand même faire preuve de réalisme. Dommage, on aurait pu rigoler un peu plus!

Car je suis ingénieur arts et métiers de formation (très concret et très pratique), j'aime le bon sens, et je ne suis le porte parole que de ma «conscience».

Vous voyez: Pour l'instant je ne prend pas trop de risques !

Mais c'est avec des bases scientifiques que je vais commencer à répondre à mes questions, à vos questions ? (mais c'est vrai que vous n'avez peut être rien demandé) ?

Premièrement : y a t'il une probabilité qu'il y ai de la vie ailleurs que sur la terre dans notre univers?

Je rappelle que dans notre univers observable (donc le minimum que l'on connaisse; car il y a peut être quelque chose d'autre en dehors de notre univers observable);

L'estimation actuelle du nombre de galaxies est de 2 000 milliards (2 000 000 000 000 : un 2 avec 12 zéros après) de galaxies.

Je précise que, même si j'ai décidé de traiter ce sujet de manière un peu humoristique; tous les chiffres cités sont exacts (vous pouvez vérifier, et c'est facile avec internet).

Il y a de l'ordre de 50 milliards d'étoiles par galaxie (un 5 avec 10 zéros après).

Ce qui veut dire que dans l'univers observable il y a environs:

1 00 000 000 000 000 000 000 000 (un 1 avec 23 zéros après) étoiles.

Il y a en moyenne plus d'une planète par étoile, ce qui veut dire que dans l'univers observable il y a au minimum 1 00 000 000 000 000 000 000 000 planètes (un 1 avec 23 zéros après).

Les spécialistes, compte tenu des observations faites sur les planètes qui tournent autour d'autres étoiles que le soleil, estiment que seul 10% des planètes peuvent potentiellement accueillir la vie.

Ce qui veut dire en synthèse, que dans notre univers observable , il y a de l'ordre de 10 000 000 000 000 000 000 000 (un 1 avec 22 zéros après) planètes qui peuvent potentiellement accueillir la vie.

De plus, les scientifiques estiment que l'explosion du big bang (grosse explosion ayant projeté la matière que nous observons aujourd'hui) s'est produit entre 13,7 et 13,8 milliards d'années;

que les premières étoiles se sont formées il y a environs 12 à 13 milliards d'années.

Notre soleil s'est formé il y a 4,6 milliards d'années.

La terre s'est formée il y a 4,5 milliards d'années.

C'est à dire que des étoiles et des planètes ont commencé à se former environs 8 milliards d'années avant le soleil et la terre ne se forment.

Et sur ces 8 milliards d'années et les 10 000 000 000 000 000 000 000 planètes qui peuvent potentiellement accueillir la vie (et qui se sont formées durant cette période) il n'y aurait que la terre qui accueillerai la vie ?

Ceux qui ne connaissent pas ces chiffres peuvent être sceptiques sur la vie sur d'autres planètes. Mais quand on connaît ces chiffres; la probabilité qu'il y ai de la vie en dehors de notre planète, dans notre univers, est bien réelle.

Et en plus, on a le droit de rêver !

D'autre part, si on croit que le «bain de conscience» et des «consciences» existent de toute éternité; cela veut dire que le «bain de conscience» et des «consciences» existaient avant le big bang (bien qu'il soit difficile d'envisager avec nos perceptions matérielles un avant big bang, compte tenu qu'au moment du big bang le temps et l'espace étaient complètement distordu, et que la notion du temps n'as peut être pas de sens à ce moment là).

Si je reviens à l’existence possible d'une vie matérielle sur une autre planète;

certains scientifiques objectent, que même si le nombre de planètes est très grand; le nombre de «hasards» est aussi très grand, pour conduire à la vie sur une planète.

Et que l'on ne retrouvera pas forcément tout ces «hasards», pour l'apparition de la vie sur une autre planète.

Par exemple, parmi les «hasards» qui ont conduit à la vie sur la terre: Jupiter (compte tenu de sa masse, et de ce que l'on constate sur les autres systèmes étoile/planètes), devrai normalement se trouver dans la zone habitable (distance au soleil ni trop chaude ni trop froide); ce qui n'aurait pas permis à la terre de se situer à cette distance idéale du soleil; mais c'est parce qu’il y a la présence de Saturne, que Jupiter ne s'est pas approché plus près du soleil (et s'est ré éloigné); et que le terre a pu se maintenir sur cette orbite.

Un autre exemple pour conduire à la vie, c'est que la planète ai une atmosphère. Dans le cas de la terre les volcans ont générés de grandes quantités de gaz; en plus les objets qui sont tombés sur la terre, et qui ont apporté leurs contributions à notre atmosphère, à l'apparition de la vie.

Mais, si on envisage que la «conscience» puisse agir sur la matière; l'intelligence et la créativité des «consciences» ont pu avoir une action sur tout ces «hasards».

Que la vie existe sur une autre planète, je crois que c'est possible. Et compte tenu du grand nombre de cas, des grandes périodes de temps qui se sont écoulées depuis la création de planètes, et des actions possible des «consciences» sur les événements; je pense qu'il y a une forte probabilité qu'il y ai d'autres formes de vies intelligentes dans notre monde observable.

Plus intelligente que sur la terre ?

Là ça ne doit pas être trop difficile à trouver, quand on voit ce que nous faisons de la terre: On nous donne un paradis, on en fait une décharge, on tue les espèces qui y vivent; les dirigeants décident pour un mandat de 5 ans, sous la pression de demandes de court terme, de ceux qui veulent en profiter au maximum, et qui ne croient pas à la vie après la mort.

Ça va peut être leur faire drôle quand ils vont se retrouver en haillons, sur un tas de fumier dans leurs prochaines incarnations ?

Donc, s'il y a eu émergence de la vie, sur une autre planète, il y a 7 ou 8 milliards d'années. On peut estimer que pendant ces milliards d'années, des civilisations ont eu le temps de devenir plus avancée que la notre (ou alors ils sont sacrément c... cornichons!).

Donc leur niveau technologique doit être avancé, et leurs niveaux ce «conscience» profond ?

Mais une civilisation même si elle est apparue il y a 7 ou 8 milliards d'années a pu, par exemple s'éteindre après 1 milliard d'années (par exemple par l'épuisement des ressources, des catastrophes naturelles etc...).

Mais des civilisations qui seraient apparues il y a 100 millions d'années sont peut être encore existantes, et ont peut être atteint un niveau de développement important ?

Mais peut on imaginer leur niveau de développement après 100 millions d'années (100 000 000 ans de développement) ?

Alors que nous avons depuis l'apparition de l'homo sapiens que 300 000 ans d'évolution ? (99 700 000 années de moins).

Nous serions des fourmis pour eux.

Et quel intérêt portons nous aux fourmis ?

Peut être que la terre est un un zoo ?

Une zone protégée de non intervention pour des espèces inférieures ?

Ils nous observent peut être sans (trop) intervenir ?

Peut être sommes nous insignifiants pour eux, et qu'ils ne nous regardent peut être même pas ?

Et même si leurs planètes ont été détruites matériellement;

qu'est ce qui les empêchent, avec leur niveau de «conscience»,

de se réincarner sur d'autres planètes qui seraient apparues quelque milliards d'années avant l'apparition de la terre.

Où que leurs «consciences» influent sur la matière, sur des planètes pour les rendre habitables ?

Et cela a peut être été le cas pour la terre ?

Peut être que certaines de ces «consciences» incarnées dans des vies antérieures sur d'autres planètes, vivent aujourd'hui incarnées sur la terre ?

Ou que leurs «consciences» désincarnées sont présentes.

Ou que leurs «consciences» nous visitent ?

Et on peut se poser la question (encore une question !): Ces civilisations peuvent elles nous contacter ?

Je vous propose de regarder les distances et les temps de communication avec les connaissances actuelles de la science.

Un corps matériel (ou une communication matérielle: une onde radio, la lumière, une particule matérielle...) ne peut pas dépasser la vitesse de la lumière: 300 000 km / seconde (une trouvaille de monsieur Albert Einstein).

Après le soleil, l’étoile la plus proche de la terre, Proxima Centauri, est à 4,2 années lumière.

Ce qui veut dire que si nous voulons communiquer avec les particules matérielles les plus rapide que nous connaissons (la lumière) la réception d'une information se fera 4,2 ans plus tard.

Maintenant, si on veut déplacer un corps physique;

aucun objet matériel conçu par l’homme ne va à 300 000 km/seconde (300 000 000 m/seconde).

La sonde solaire Hélios 2, l’engin le plus rapide fait par l’homme (à la date de 2018), va à une vitesse de 70 000 m/seconde, c’est à dire plus de 4 000 fois moins vite que la vitesse de la lumière, c’est à dire qu’a la vitesse de l’engin le plus rapide fait par l’homme (en 2018),

il nous faudrait 17 000 ans environs pour rejoindre Proxima Centauri.

Si des êtres n’habitent pas près de l’étoile la plus proche de notre système solaire (se serait un coup de chance incroyable qu’ils habitent juste près de l’étoile la plus proche de notre système solaire, mais pourquoi pas).

Mais si on fait l’hypothèse qu’ils peuvent habiter dans la galaxie d'Andromède, galaxie de taille comparable à notre galaxie (la voie lactée) et proche de notre galaxie;

combien de temps nous faudrait il (avec les connaissances techniques actuelles) pour aller les rejoindre (ou qu’ils arrivent sur Terre) ?

2,5 millions d’années si on va à la vitesse maxi de 300 000 km/seconde.

Plus de 10 milliards d’années si on va à la vitesse de la sonde solaire Hélios 2 (l’engin le plus rapide fait par l’homme).

Et oui, vous avez bien lu !

C'est le bon chiffre : 10 milliards d’années.

Cela veut dire, dans cette hypothèse, que cela peut être long avant de voir arriver des êtres matériels en provenance d'une autre galaxie, et que le café a le temps de refroidir.

Mais il existe peut être des techniques pour voyager plus vite que nous ne connaissons pas actuellement ?

Par des trous de ver ?

Via d'autres dimensions ?

Des connaissance et technologies à découvrir ?

Dans ce cas on peut demander à un homme politique, en lui promettant de lui donner sa voix à la prochaine élection, s'il va mettre cela à son programme électoral !

Maintenant regardons avec une vision non matérielle.

Croyez vous en l’existence de la «conscience» (donc en une partie non matérielle de l’univers) ?

Sinon relisez (à la fin du chapitre 2) les propos de Max PLANCK, de Niels BOHR, de Werner HEISENBERG, d'Erwin SCHRODINGER et d'Eugène WIGNER.

Je précise que la mécanique quantique a montré (et prouvé par l'expérience) que deux particules intriquées (je détaille ce point dans le chapitre 10 au cas 32) forment un ensemble lié; et que l'observation d'une particule intriquée influence instantanément l'autre particule intriquée, quel que soit la distance qui les séparent.

Même si les particules sont distantes de plusieurs milliards d'années lumières ou plus)

La mécanique quantique a donc montré que «quelque chose» peut se déplacer instantanément d'un point à un autre.

Aussi, cela n'a donc rien d'extraordinaire de croire que les «consciences» peuvent se déplacer instantanément d'un point à un autre (ou que les «consciences» sont présentes partout dans l'espace). Des «consciences» peuvent donc arriver instantanément sur la terre, en partant de la galaxie d'Andromède (ou de plus loin).

Le mot arriver d'ailleurs n'est peut être pas la réalité si les «consciences» sont déjà partout.

Si des «consciences» sont incarnées sur leur planète, leurs «consciences» peuvent peut être sortir de leurs corps physiques et être instantanément sur terre (comme dans les expériences de sortie hors du corps par exemple) ?

Ce qui veut dire que si l’on croit à la «conscience», et à la présence instantanée de la «conscience» dans un autre lieu;

qu'il y a peut être plus de chance d’être visité par des «consciences» venant d’une autre région de l’univers, que par des êtres matériels venant d’une autre région de notre univers.

Ce qui ne veut pas dire qu'il n'y a pas de visites matérielles d'êtres venus d'ailleurs.

Mais simplement qu'il peut y avoir des visites de «consciences» (non matérielles) venues d'ailleurs.

A la question: Peut on retrouver aujourd'hui (dans une vie incarnée sur terre) des chocs (qui auraient engendrés des comportements répétitifs) qui auraient été inscrits lorsque une «conscience» était incarnée sur une autre planète ?

Si une «conscience» a été incarnée sur une autre planète;

qu'elle a eu des expériences sur cette autre planète;

ces expériences ont pu créer des comportements automatiques 

et les inscrire dans sa «consciences»;

et en se réincarnant sur terre, garder ces comportements automatiques, inscrits dans sa «conscience».

A la question: Des «consciences» incarnées sur une autre planète peuvent elles se réincarner sur la terre?

Si le niveau d’évolution d'une civilisation (sur une autre planète par exemple) est élevé; les êtres de ces planètes ont aussi, vraisemblablement des niveaux de «conscience» plus profond que ceux de notre civilisation.

Le niveau de «conscience» des terriens (après des incarnations... végétal, animal, humain ) est faible: il suffit de regarder les comportements des humains (surpopulation, épuisement des ressources, pollution, guerres, égoïsme...).

Et comme on se réincarne dans un corps matériel qui va nous permettre d'évoluer, pour aller vers des niveaux de «conscience», de compassion, plus profonds;

je crois qu'il y a plus de chances pour une «conscience» d'évoluer en s'incarnant dans une civilisation plus avancée;

c'est à dire de la terre vers d'autres systèmes plus avancés.

Et la terre est peut être un endroit (si je fais une comparaison avec le règne animal) où on commence à élever les poussins (par exemple); pour élever ensuite (lorsque les êtres ont grandi) les poules et les coqs sur une planète à plus haut degré d'évolution.

Mais on ne peut pas exclure une incarnation d'un être d'une autre civilisation (d'une autre planète), s'incarnant sur terre pour apporter sa vision, ou parce qu’il a fait des conneries lorsqu'il était sur cette autre planète. Comme peindre le chien du chef en vert. Ouvrir ses trois yeux rouges et ses 6 doigts gluants sur les 4 seins de la femme du capitaine. Dire que le patron avait gardé les dons. Rigoler lorsque le pantalon du surveillant général s'était déchiré. Lancer des bombes à eau quant il faisait chaud pour rafraîchir la directrice. Ou chanter god save the Mutant à 8h42 sous le balcon de sa/son bien aimée !

Et qui serait envoyé sur terre pour voir si les terriens ont plus le sens de l'humour que les machinchosesins ?

Pas plus, pas moins.

Et il y a peut être la même proportion de c...cornichons de partout?Il suffit de mettre la barre au même endroit.

Mais si des êtres plus avancés existent dans l'univers,

Nous visitent ils par la «conscience» ?

Ou par d'autres moyens ?

Essaient ils de communiquer avec nous ?

Je rappelle aussi, avec les hypothèses:

- Que la «conscience» a fait apparaître l'énergie, la matière.

- Que la «conscience» peut projeter des informations dans la matière (ou l'énergie).

- Que la «conscience» peut s'incarner.

Que des êtres qui maîtriseraient la «conscience» et ses interactions avec l'énergie et la matière à des degrés profonds; sont peut être capable, une fois leur «conscience» arrivée sur terre (instantanément) de faire apparaître de l'énergie.

Et ils sont peut être capable de faire se déplacer cette énergie sans trop de bruit, avec des changements de direction ou de forme ?

Et puis les extra terrestres sont peut être joueurs ?

Ils aiment peut être jouer avec les lasers ?

Vous savez ces rayons lumineux de couleur que l'on agite devant les chats, qui les font courir dans tous les sens!

Ou ils sont peut être capable de s'incarner dans la matière, en arrivant sur la terre ?

Mais si la matière est une projection de la «conscience»;

pour s'incarner dans notre univers, les différentes «consciences» doivent avoir des lois de projection cohérentes entre elles, pour pouvoir dialoguer, interagir entres elles; sinon les communications et les interactions ne seraient pas possible ou incohérentes.

C'est un peu comme dans un jeu: on joue tous avec les même règles. Et dans le cas de notre univers, les différentes «consciences» jouent peut être avec les même règles de projection.

Avec cette hypothèse, on peut imaginer d'autres univers de projection de la matière par des «consciences», que notre univers; avec d'autres règles, d'autres lois de projections, d'autres terrains de jeux, pour apprendre d'autres choses, évoluer, exprimer notre créativité, vivre d'une autre manière.

Et après la mort matérielle de notre corps physique, c'est un peu comme la fin d'une partie d'un jeu. Notre «conscience» peut rejouer en se réincarnant dans le même jeu, dans le même univers (sur terre ou sur une autre planète de notre univers actuel), avec les mêmes lois de projection. Ou se réincarner dans un autre jeu, un autre univers, avec d'autres lois de projection, d'autres règles du jeu.

Mais ce ne sont bien sûr que des réflexions.

Et sur le fait de rentrer en contact avec nous?

Si des êtres («consciences») venus d’ailleurs ont des capacité différentes des nôtres, il est peut être difficile de communiquer avec eux avec notre langage matériel.

Peut être que la communication «subtile» de «conscience» à «conscience» est plus adaptée, et plus universelle.

Et, dans certains cas, peut être devront ils se mettre à notre portée pour communiquer, en accordant leurs fréquences vibratoires aux nôtres.

Est il possible d'interroger des «consciences» venues d'ailleurs, et de leur demander de l’aide ?

Pourquoi pas.

Mais dans certains cas, peut être que, quand elles voient comment nous agissons;

nous laisseront elles expérimenter et prendre «conscience» des conséquences de nos choix, pour nous permettre d’évoluer, dans le respect de notre libre arbitre, sans nous imposer leurs croyances?

Isolés dans notre monde matériel comme dans une bulle d’expérience ?

Isolés pour ne pas polluer les autres mondes?

Et si un appel au secours est fait par un être terrestre altruiste ?

Peut être nous diront ils d’écouter les réponses qui émergeront de notre «conscience»?

Mais peut être que nous n'écouterons pas ?

Peut être préférerons nous tirer la chasse ? Et dans ce cas, bien sûr, on n'est pas dans la m....ouise !

 

Chapitre 8 – Déconnexion des attachements.

Partage d'expérience.

Le sens de notre vie incarnée, avec nos attachements, notre mental, notre «conscience», c'est peut être de vivre des expériences qui vont nous faire évoluer, grandir.

Nos attachements participent donc aussi à nous faire évoluer.

Car, par exemple, si nous avons un comportement automatique

(un attachement) non harmonieux pour le bonheur des êtres (dont notre bonheur); ce comportement va générer des alertes (des souffrances par exemple) pour nous montrer que nos comportements, toujours les même, génèrent de la souffrance dans certaines situations.

Cela va nous faire prendre «conscience» de l'importance de déconnecter ce qui génère cette souffrance (un attachement, un comportement automatique...), et nous amener à changer certains de nos comportements, à évoluer, à grandir.

Car face à une difficulté, à une souffrance répétitive, si on ne change rien; la difficulté, la souffrance reviendra encore et encore.

 

Exemple de manières pour déconnecter des attachements:

A- Traverser en «pleine conscience» le déclenchement de l'attachement, et l'événement qui a inscrit cet attachement,

par des régressions (en remontant dans le temps).

B- Traverser en «pleine conscience» le déclenchement de l'attachement, et l'événement qui l'a inscrit cet attachement,

par la méthode des attachements origine (en allant directement à l'événement origine).

C- Méditer en «pleine conscience» sur un comportement donné.

 

Je pratique pour moi même ces méthodes; et les personnes que j'accompagne peuvent décider de les utiliser si elles le souhaitent, ou d'utiliser leurs manières.

A- Première manière pour désactiver un attachement: Traverser en «pleine conscience» le déclenchement de l'attachement et l'événement qui a inscrit cet attachement, par des régressions (en remontant dans le temps).

Dans ce cas je travaille sur 7 étapes:

A1- Localiser et décrire en «pleine conscience» l'attachement;

ce qui le déclenche, et ce que cela génère.

A2- Trouver les événements qui ont inscrits et renforcés cet attachement. Et re traverser en «pleine conscience» les événements renforçants et l’événement origine, en étant au même niveau de «conscience» (ou plus profond) que le niveau de «conscience» où ces événements ont été inscrits.

A3- Regarder s'il y a d'autre informations associées au déclenchement de cet attachement .

A4- Réécrire le scénario de l'événement origine.

A5- Trouver un nouveau comportement.

A6- Poser un acte.

A7- Suivre le comportement automatique, et effectuer des actions complémentaires si nécessaire.

 

A1- Localiser et décrire en «pleine conscience» l'attachement;

ce qui le déclenche, ce que cela génère.

Le point de départ de la déconnexion d'un attachement;

c'est d'être «conscient» que l'on a un attachement

(un fonctionnement automatique).

Par exemple, on peux se rendre compte; que chaque fois que l'on se sent agressé, on a peur et que l'on ne dit plus rien.

On appelle information(s) bouton(s) ce qui déclenche l'attachement (ce comportement automatique).

Dans l'exemple ci dessus c'est l'agression.

On appelle information(s) conséquence(s) de cet attachement, les éléments qui sont engendrés, suite à la présence de l'information bouton.

Dans l'exemple ci dessus c'est: La peur, et ne plus rien dire.

Pour bien localiser un attachement, se remémorer un événement récent où on a eu un déclenchement de cet attachement.

Après s'être assuré que l'on est en «pleine conscience» (observation de sa respiration, de ses points de contact, de ses sensations, de ses sentiments, de ses pensées...) observer l'événement; et écrire les informations que l'on constate,

en re balayant toute la chronologie de l'événement, avec tout ce qui était présent: Les personnes, les objets, les lieux, les odeurs, les actions, les paroles, ses sensations, ses sentiments, ses pensées... tout ce qui était présent dans les différents phases de cet événement.

Par exemple: Je rencontre hier mardi au marché Owi, il pleut, j'ai froid; Owi vient vers moi le regard noir et m'agresse verbalement en me disant que j'ai dit à Yol qu'il était (Owi) un imbécile;

je suis désemparé, je ne sais pas quoi dire, je ne peux pas parler; Owi continue de crier et approche son visage du mien; je lui dit que ce n'est pas vrai; j'ai peur, je sens mes jambes fléchir; Owi me repousse violemment, et s'en va en disant que je je suis un menteur.Je reste là sans rien dire, les gens me regardent d'un air soupçonneux; je me sens coupable, je respire difficilement, je rentre chez moi; et je reste prostré sans rien dire pendant dix minutes.

Écrire les (ou l’élément s'il n'y en a qu'un seul) éléments déclencheurs (les boutons) de ce comportement automatique. Dans cet exemple: l'agression, une accusation injuste...

Ensuite écrire les éléments conséquences de ce comportement automatique: Être désemparé, ne pas pouvoir parler, la peur, les jambes qui fléchissent, la prostration...

 

A2- Trouver des événements (ou un événement) plus anciens qui ont pu inscrire ou renforcer ce comportement automatique; et re traverser en «pleine conscience» ces événements avec un niveau de «conscience» aussi profond (ou plus profond) que le niveau de «conscience» auquel, ils ont été inscrits.

Mais comme on ne connaît pas forcément à quel niveau de «conscience» les événements ont été à été inscrits; on se met au niveau de «conscience» le plus profond que l'on puisse être:

En observant en «pleine conscience» sa respiration;

En observant en «pleine conscience» ses points de contact (avec le sol ou la chaise...);

En observant en «pleine conscience» ses sensations (dans son corps);

En observant en «pleine conscience» ses sentiments;

En observant en «pleine conscience» ses pensées;

En observant en «pleine conscience» les causes de ce qui émerge;

En étant en «pleine conscience» de sa «conscience»;

En étant «unité».

Puis, en étant en «pleine conscience» au mieux que l'on puisse être, on se remet en mémoire l'attachement que l'on a localisé.

Par exemple: On m'agresse --> J'ai peur, je ne dit plus rien;

et on se pose la question: Est ce que ce comportement me rappelle un événement ancien (le plus ancien que l'on se souvienne) ?

Puis on observe en «pleine conscience» ce qui émerge: La situation, l'age que l'on avait, les personnes présentes, les éléments présents...

Lorsque l'on a trouvé un événement ancien, on le re traverse en «pleine conscience», en re balayant toute la chronologie de l'événement, avec tout ce qui était présent; et on écrit les informations que l'on constate; que cela soit fondamental, un détail, ou incompréhensible.

Il est souvent utile d'écrire, plutôt que de se dire: Je le garde en mémoire; parce qu’après une séance qui peut être longue, on a parfois oublié certains points, certains détails, certaines choses incompréhensibles qui vont s'éclairer plus tard.

Puis, après avoir balayé en pleine conscience» cet événement; toujours en étant en «pleine conscience»; on se pose la question:

Est ce que cette situation m'évoque une situation encore plus ancienne?

Si une situation encore plus ancienne remonte; on la retraverse en «pleine conscience» (en observant donc en «pleine conscience» les personnes, l'environnement, ses sensations, ses sentiments, ses pensées...).

Après chaque événement trouvé et re traversé en «pleine conscience»; on se repose la question: Y a t'il un événement encore plus ancien ? Jusqu’à avoir trouvé l’événement origine, où à la question: Y a t'il un événement plus ancien, plus rien n'émerge.

Mais attention, car en retraversant en «pleine conscience» un événement ancien qui a inscrit un attachement; il est nécessaire d'être prêt à faire face aux sensations, douleurs, peurs, qui étaient peut être présentes à ce moment là.

Et si on ressent qu'en allant voir la source de notre comportement automatique; on risque d'avoir des difficultés à faire face, et à gérer seul nos sensations, nos émotions, nos pensées; on peut décider de se faire accompagner.

Parfois se sont des sensations et des sentiments douloureux qui remontent. Parfois dans le cas d'un choc extrêmement violent, on peut ressentir comme un éclatement; comme si des fragments de nous même étaient projetés dans l'espace.

Dans ce cas, on traverse en «pleine conscience» cet événement;

avec l’état de «conscience» le plus profond que l'on peut;

on visualise tous ces éléments dispersés; puis on visualise que tous les fragments se regroupent, se ré assemblent dans un système cohérent: On rassemble ce qui est épars.

On peut être amener à faire cette visualisation en «pleine conscience» sur plusieurs séances, pour rassembler des éléments qui seraient restés dispersés lors d'une séance précédente (pour qu'il ne nous manque pas une case, un fragment).

Souvent, on a occulté tout ou partie de nos perceptions douloureuses (par exemple quand nous étions enfant) par ce que cela nous était insoutenable à ce moment là.

Et ces occultations, comme par exemple le masquage de certaines sensations, sentiments, pensées, nous a peut être permis, dans certains cas, de ne pas devenir fou, d'être complètement cassé, ou détruit psychologiquement.

Parfois, on dit (aussi) que nous avons enfoui au fond de nous même, ces sensations, ces sentiments, ces pensées, parce qu’elles étaient insoutenables, et que nous n'étions (au moment où elles ont été inscrites) pas prêt a leur faire face. Et ces sensations, sentiments ou pensées sont devenues non «conscientes»

(inconscientes); et ont été enfouies profondément dans notre inconscient.

C'est pour cela, pour les libérer, que l'on va les rendre «conscientes», en allant profondément dans notre inconscient,

là où elles ont été enfouies.

Et plus ces événements, sensations, sentiments ou pensées seront enfouis profondément dans notre inconscient, plus nous devrons atteindre un niveau de «conscience» profond, pour les observer et pouvoir se libérer de ces comportements automatiques.

On va donc, dans certains cas, devoir faire face à des sensations, des sentiments ou des pensées douloureuses.

Ce qui peut, dans certains cas, nous faire renoncer, en se disant: C'est trop douloureux, ça ne sert à rien de réveiller les fantômes du passé.

Mais cela sert à quelque chose: A se libérer de ses comportements perturbants et de ses souffrances qui reviennent régulièrement.

Et ses souffrances à venir, que va générer l'attachement, pour nous même (mais aussi pour les autres: pour nos enfants, notre famille, nos amis...) si on ne fait rien, ont toute les chances d'être plus perturbantes, que les efforts que nous avons à faire pour déconnecter cet attachement aujourd'hui.

Mais aujourd'hui on est plus fort, plus «conscient», plus autonome, plus ancré, pour faire face à ses sensations, ses sentiments, ses pensées, pour se libérer d'un attachement.

Et si cela remonte aujourd'hui, c'est peut être parce que l'on est prêt.

Il est souhaitable de se rappeler que l'ego est fait d'attachements, de comportements automatiques, de pensées mentales, de croyances.

Aussi l'ego défend ses attachements, ses comportements automatiques, ses pensées, ses croyances (car l'ego s'identifie à eux, et a l'impression que l'on veut l'amputer d'un partie de ce qu'il est, le détruire).

Et pour cela un des moyen employé par l'ego (si on décide de déconnecter ses attachements, ses comportements automatiques, ses pensées répétitives, ses croyances), c'est (entre autre) de renforcer les douleurs qui apparaissent lors du travail en développement personnel, pour nous faire arrêter le processus.

Entre autre par le mental qui en rajoute: Je souffre trop, cela ne sert à rien, c'est un grand malheur, c'est injuste, c'est inacceptable etc...

Et parfois la douleur générée par cette rumination mentale est 10 fois plus grande (avec l'amplification des pensées par le mental), que la douleur initiale.

Aussi, lorsque l'on déconnecte un attachement, ne pas penser: Simplement observer en «pleine conscience» ses sensations, ses sentiments, ses pensées... qui s'élèvent.

On ne fait qu'observer en «pleine conscience».

On ne répond pas à une pensée par une autre pensée; sinon on risque de déconnecter de notre état de «pleine conscience» en passant en fonctionnement mental, et d’arrêter le processus:

l'ego a momentanément réussi ce qu'il souhaitait.

Mais on peut reprendre notre travail en «pleine conscience» quand on le souhaite.

Ce qui déconnecte les attachements (les comportements automatiques) c'est d'être en «pleine conscience» lorsque l'on retraverse les événements qui ont inscrits ces attachements.

Et avec un niveau de «conscience» aussi profond (ou plus profond) que le niveau de «conscience» auxquels ces attachements ont été inscrits; pour atteindre les couches profondes de notre inconscient: là où les attachements ont été enfouis.

Si on se souvient des chocs qui ont inscrit un attachement avec les mémoires matérielles de son cerveau, en réfléchissant (donc sans être en «pleine conscience»), cela ne déconnecte pas l'attachement.

Et si on re traverse l'événement qui a inscrit l'attachement avec un niveau de «conscience» plus superficiel que le niveau de «conscience» auquel l'attachement a été inscrit;

cela ne désactivera que les couches superficielles de l'attachement.

On pourra ressentir un léger mieux; mais cela ne désactivera pas complètement l'attachement.

Pour désactiver complètement l'attachement; il sera nécessaire d'approfondir son niveau de «conscience», et de retraverser l'événement origine qui a inscrit l'attachement, en étant au niveau de «conscience» auquel il a été inscrit.

 

A3- Regarder s'il y a d'autre informations associées au déclenchement de cet attachement .

Pour désactiver tous les aspects de l'attachement, Il est important d'avoir observer en «pleine conscience»:

Tous les boutons déclencheurs de l'attachement.

Toutes les conséquences lorsque l'attachement se déclenche.

Aussi, reprendre ce que l'on avait écrit sur les boutons et les conséquences de l'attachement.

Par exemple:

Les boutons du comportement automatique:

L'agression, une accusation injuste.

Les conséquences du comportement automatique:

Être désemparé, ne pas pouvoir parler, la peur, les jambes qui fléchissent, la prostration.

Maintenant, en étant en «pleine conscience»; remémorez vous toutes les situations où cet attachement s'est déclenché,

et rajoutez les points complémentaires que vous constatez.

Comme par exemple:

Pour les boutons du comportement automatique:

L'agression, une accusation injuste (déjà listé);

mais en plus, un regard noir, j'ai froid, il pleut...

Pour les conséquences de ce comportement automatique:

Être désemparé, ne pas pouvoir parler, la peur, les jambes qui fléchissent, l'inaction, la prostration (déjà listé);

mais en plus, la culpabilité, l'inaction, je respire difficilement...

Car parfois on n'avait pas pris «conscience» que des éléments non listés au départ pouvaient déclencher (ou renforcer) aussi le déclenchement de cet attachement.

En être conscient va permettre de désactiver les différents aspects de l'attachement.

 

A4- Réécrire le scénario de l'événement origine.

Pour cela, on va revivre (par exemple chez soi, au calme) la situation origine en «pleine conscience», comme on aurait aimé qu'elle se passe; en ressentant la nouvelle situation, comme si nous avions le même age qu'au moment de l'événement origine, avec les personnes, les éléments présents, les nouvelles sensations présentes, les nouveaux sentiments, les nouvelles pensées, comme nous le souhaiterons aujourd'hui, avec notre niveau de «conscience» d'aujourd'hui.

Par exemple, face à une perception d'agression, au lieu de fuir;

un nouveau scénario peut être (en revivant la situation comme si nous étions revenu au moment où l'événement origine à eu lieu, avec l'age que nous avions): Je fais face, je reste en «pleine conscience», j'explique mon point de vue, je suis attentif au point de vue de l'autre, à sa difficulté, et nous trouvons ensemble des solutions à la difficulté rencontrée.

 

A5- Trouver un nouveau comportement.

Le fait de constater que le comportement que l'on avait lors du choc origine, n'est peut être pas le plus adapté aujourd'hui dans notre nouvel environnement, avec notre nouveau niveau de «conscience»; et que nous avons trouvé un autre comportement plus harmonieux (par exemple en réécrivant le scénario) pour le bonheur de tous; nous permet de rendre plus «conscient» ce nouveau comportement.

Pour approfondir la «pleine conscience» de ce nouveau comportement, on peut l'écrire.

Par exemple: Lorsque je me sens agressé, je fais face en «pleine conscience», je suis attentif à la difficulté de l'autre, j'écoute son point de vue, j'exprime mon point de vue, et nous trouvons ensemble des solutions à la difficulté.

Puis le dire ou le relire en «pleine conscience» plusieurs fois durant la journée: en marchant, en attendant le bus... (ou par exemple au calme chez soi, en méditation de «pleine conscience»); et cela sur plusieurs jours, au niveau de «conscience» le plus profond que l'on puisse être. Et ressentir les bienfaits de ce comportement sur le bonheur de tous.

 

A6- Pour consolider la déconnexion de l'attachement, on peut poser un acte en lien avec l'attachement.

Par exemple (si je reste sur le même exemple) on peut aller re voir une personne avec laquelle nous avons eu un comportement de fuite, face à une situation où on a ressenti de l’agressivité; et lui dire que nous souhaitons comprendre son point de vue (mais cette fois en faisant face en «pleine conscience»);

pour trouver des solutions plus harmonieuses, qui conviendraient mieux aux deux parties; ou tout autre acte (en lien avec l'attachement) qui émerge lorsque l'on est en «pleine conscience».

 

A7-Suivre le comportement automatique, et actions complémentaires si nécessaire.

Lorsque l'on a travaillé sur un comportement automatique (sur un attachement); que l'on a re balayer en «pleine conscience» l'événement origine que l'on a trouvé;

parfois on constate après quelques jours, quelques mois, que l'attachement se déclenche à nouveau.

Si tel est le cas, demandez vous en «pleine conscience»,

la raison pour laquelle l'attachement se déclenche à nouveau ?

Et laisser émerger ce qui remonte.

Vous pouvez aussi balayer en «pleine conscience» les points suivants; et voir si un des points vous interpelle:

 

Raison 1 pour laquelle l'attachement réapparaît: l'attachement s'est réinscrit.

Ce qu'il faut savoir, même si on a effectivement déconnecté un attachement; c'est qu'il peut se réinscrire.

Car parfois l'attachement est présent depuis tant d'années, il a été ancré en nous parfois très profondément; on s'y est tellement habitué, que lorsque ce comportement est déconnecté, qu'il n'est plus là, cela laisse un vide, et que ce vide laisse la possibilité au comportement automatique de se réinscrire.

Car, lorsque on a déconnecté un attachement, les événements qui ont inscrits ce comportement automatique sont toujours présents dans notre «conscience»; seul le déclenchement automatique a été déconnecté.

Aussi, pour réinscrire un comportement automatique,

il suffit que son enclenchement automatique se remette en place.

Mais si on a déjà trouvé l'événement origine d'un attachement;

que l'on a traversé en «pleine conscience» l'événement origine pour désactiver l'attachement; et que l'attachement s'est remis en place; cela va être plus facile de le déconnecter à nouveau.

Car comme on connaît déjà l'événement origine; il suffira de le retraverser en «pleine conscience», pour désactiver à nouveau l'attachement.

Pour limiter ce phénomène, après la déconnexion d'un attachement, on peut:

- Visualiser que l'on rempli ce vide par le nouveau comportement que l'on a trouvé.

- Méditer régulièrement sur le nouveau comportement trouvé.

- Être en «pleine conscience» dès que l'attachement se déclenche à nouveau en observant les boutons, les conséquences.

- Remplir le vide momentané laissé. Par exemple par de l'amour, par quelque chose que l'on aime.

- Poser un autre acte, en lien avec l'attachement.

 

Raison 2 pour laquelle l'attachement réapparaît: On était à un niveau de «conscience» plus superficiel que le niveau de «conscience» auquel l'attachement a été inscrit.

Souvenez vous que dans cette manière, pour déconnecter un attachement, il est nécessaire de re traverser l'événement origine en étant au même niveau de "conscience" (ou plus profond) que le niveau de "conscience" auquel cet événement a été inscrit.

Aussi, si le niveau de «conscience» en re traversant l'événement origine n'était pas assez profond, cela a peut être un peu affaibli l’intensité du déclenchement de l'attachement, mais l'attachement n'a pas été complètement désactivé.

Aussi, dans ce cas, il est nécessaire d'approfondir son niveau de «conscience», par exemple par la méditation de "pleine conscience" (autres points: Voir le chapitre 9 exemple 3);

et de retraverser l'événement origine.

En espérant que son nouveau niveau de «conscience» sera assez profond. Sinon il faudra encore approfondir son niveau de «conscience».

Rappel des Niveaux de "Conscience" (NC) que je constate:

NC1- Observer en "pleine conscience" les objets autour de soi.

NC2- Observer en "pleine conscience" ses sensations.

NC3- Observer en "pleine conscience" ses sentiments.

NC4- Observer en "pleine conscience" ses pensées.

NC5- Être en "pleine conscience" des causes.

Pour cela, en "pleine conscience" se poser une question, une préoccupation, et laisser émerger les réponses, les causes:

Un sentiment, une pensée, un événement, un attachement...

NC6- Être en "pleine conscience" de sa "conscience".

Pour faciliter la "pleine conscience" de sa "conscience";

on peux être en «pleine conscience» et en lien «subtil» avec un être qui est en «pleine conscience» de sa «conscience»;

ce qui facilite la perception en «pleine conscience» de notre «conscience».

Une fois cet état de «pleine conscience» de sa «conscience» introduit; il est plus facile de le stabiliser en méditant au calme, chez soi; puis dans sa vie de tous les jours.

NC7- Être en "pleine conscience" de l'unité, de ce qui est.

Pour faciliter cet état d'être, on peut, en "pleine conscience",

se remplir d'amour, de la lumière de la connaissance; partout en soi. Cet amour, cette lumière s'échange avec le monde, les autres, dans un va et viens sans fin. Unité, être.

Je constate qu'une grande partie des attachements sont inscrits aux Niveaux de "Conscience " NC5 et NC6.

Les informations (boutons et conséquences) liées à un attachement inscrit à un niveau de «conscience» profond, peut engendrer un (des) choc post traumatique.

Prenons l'exemple d'une personne qui assiste à un spectacle,

et durant le spectacle il y a un attentat, avec une explosion.

Elle est légèrement blessée à la tête, mais elle en ressort vivante.

Ce choc traumatique inscrit en elle un attachement; qui la conduit chaque fois qu'elle entend un bruit fort, à déclencher automatiquement en elle un mal de tête, un sentiment de peur.

Cette personne effectue une thérapie, exprime ce qu'elle a vécu; comme si elle revivait l'événement (le bruit, la fumée, les personnes qui courent), ses sensations (mal à la tête...), ses sentiments (peur...); et après quelques séances de thérapie elle va mieux, et reprend sa vie, en pensant avoir traité cet épisode de sa vie.

Mais il peut se produire, un mois après, un an après, 5 ans après, parfois plus, qu'elle retombe dans une très forte perturbation liée à cet événement: C'est le choc post traumatique.

Pour comprendre ce qui s'est passé, il est nécessaire de de rapeller que les souvenirs et les attachements peuvent s'inscrire plus ou moins profondément dans l'inconscient.

On peut aussi le formuler de de la manière suivante: Nos souvenirs et nos attachements sont inscrits à des niveaux de «conscience» plus ou moins profonds.

Je travaille avec 7 niveaux de «conscience» : Le niveau de «conscience» 1 pour le niveau le plus superficiel (le plus facile à atteindre), le niveau de «conscience» 7 pour le plus profond (le plus difficile à atteindre), et les niveaux 2, 3, 4, 5 et 6 entre les deux.

Je reviens à l'exemple précédent de la personne qui a été témoin de l’attentat.

Si, lorsque elle a réalisé sa thérapie, elle a eu accès (en les observant en «pleine conscience») aux informations (détails de la situation, sensations, sentiments, pensées...) qui se trouvaient dans ses niveaux de «conscience» 1, 2, 3 et 4.

En retraversant en «pleine conscience» ces informations, elle a déconnecté les informations (liées à ce choc, à cet attachement) qui étaient dans ses niveaux de «conscience» 1, 2, 3 et 4;

et elle va avoir la perception d'aller mieux.

Mais si d'autres informations liées à cet attachement (détails de la situation, sensations, sentiments, pensées) ont été inscrites dans ses niveaux de «conscience» 5 et 6; ces informations n'ont pas été déconnectées.

Ce qui veut dire que si, par exemple,1an après sa thérapie sur cet attachement (ce comportement automatique qui la conduit chaque fois qu'elle entend un bruit fort, à déclencher automatiquement en elle un mal à la tête et un sentiment de peur),

elle atteint le niveau de «conscience» 5 et 6 ;

elle va déclencher automatiquement la remontées d'événements, de sensations, de sentiments, de pensées qui étaient enfouies à ces niveaux de «conscience» 5 et 6.

La personne aura l'impression de ne pas être sortie de ce choc, que sa thérapie n'était pas efficace; et elle sera peut être découragée en se disant: Mais je ne sortirais jamais de ce problème, de cette souffrance.

Pour libérer ce qui a été inscrit aux niveau de «conscience» 5 et 6, elle devra reprendre sa thérapie, en retraversant en «pleine conscience» l'événement traumatique avec un niveau de «conscience» 6 (le niveau de «conscience» 5 est inclus dans le niveau de «conscience» 6, puisque le niveau de «conscience» 6 est plus profond), en l'exprimant, en étant entendue.

Variante à cet exemple: Si lors du choc post traumatique, la personne a atteint le niveau de «conscience» 5 ; et fait un travail de retraversée en «pleine conscience» en étant au niveau de «conscience» 5 (mais pas au niveau de «conscience» 6); elle ne libérera que ce les informations qui ont été inscrites au niveau de «conscience» 5.

La personne fera un deuxième choc post traumatique lorsqu'elle atteindra le niveau de «conscience» 6.

Elle risque alors d'être à nouveau découragée de voir ressurgir ses vieux démons.

Pour se libérer de ce qui a été inscrit au niveau de «conscience» 6, elle devra reprendre sa thérapie, en retraversant en «pleine conscience» l'événement traumatique avec un niveau de «conscience» 6, en l'exprimant, en étant entendue.

 

Raison 3 pour laquelle l'attachement réapparaît: On ne s'est pas donné assez de temps.

Il est souhaitable de se donner du temps, pour assimiler, digérer la traversée en «pleine conscience» de l'événement origine, les actions entreprises; et trouver un nouvel équilibre sans cet attachement, sans cet ancien comportement.

Aussi, si un comportement automatique sur lequel on à déjà travaillé réapparaît, posons nous la question: Quand avons nous travaillé sur cet attachement ?

Est ce récent: Il y a quelques jours, quelques semaines ?

Est ce que l'on s'est laissé assez de temps de digestion, d'assimilation de cette nouvelle situation?

Et dans cette période de digestion, comme pour la Raison 1;

pour accompagner l'intégration de son travail, on peut méditer régulièrement sur le nouveau comportement trouvé; être en «pleine conscience» dès que l'attachement se déclenche, en observant les boutons, les conséquences...

 

Raison 4 pour laquelle l'attachement réapparaît: On n'a pas balayé les différentes étapes de la déconnexion d'un attachement ?

A t'on re balayé en «pleine conscience» plusieurs fois l'événement origine trouvé ? (est ce qu'on le percevait nécessaire?)

A t'on réécrit le scénario ?

A t'on trouvé un nouveau comportement ?

A t'on médité sur le nouveau comportement que l'on a trouvé ?

A t'on posé un acte ?

 

Raison 5 pour laquelle l'attachement réapparaît: A t'on bien trouvé l'événement origine qui a inscrit cet attachement ?

(ou un événement avec un niveau de «conscience» plus profond ?).

Parfois, lorsqu'on a trouvé un événement ancien (en lien avec l'attachement); qu'on a re traversé en «pleine conscience» cet événement; et que l'on se pose la question:

Y a t'il un événement antérieur similaire ?

Parfois rien n'émerge (ou la réponse est non); et on peut penser que l'on a trouvé l'événement origine.

Effectivement, on l'a peut être trouvé, ou pas.

Pourquoi ?

Parce que l'événement origine est peut être inscrit à un niveau de «conscience» plus profond, que le niveau de «conscience» dans lequel nous étions, lorsque nous avons posé la question.

Donc nous ne percevons pas d'événement plus ancien.

Et si on se repose plus tard la question de savoir s'il y a un événement plus ancien; si notre niveau de «conscience» n'est toujours pas aussi profond (ou plus profond) que le niveau de «conscience» auquel l'événement a été inscrit, on ne va toujours pas trouver d'événement plus ancien.

Parfois on a une vague perception que l'on n'a pas trouvé l'événement origine: Ce peut être un début de piste.

On peut aussi méditer avec une personne avec un niveau de «conscience» profond; puis se reposer la question, et voir ce qui émerge; et ensuite échanger en «pleine conscience», avec cette personne, sur nos perceptions.

Si on perçoit qu'il y a un événement plus ancien;

on va donc approfondir son niveau de «conscience», pour pouvoir le localiser et re traverser en «pleine conscience» ce nouvel événement (que nous venons de trouver); en étant à un niveau de «conscience» plus profond.

En espérant que notre nouveau niveau de «conscience» sera aussi profond que le niveau de «conscience» où ce nouvel événement a été inscrit.

Remarque: Comme Il y a souvent une suite d’événements qui ont inscrits, puis renforcés le même attachement; parfois l’événement le plus ancien n'est pas celui qui a été inscrit avec le niveau de «conscience» le plus profond.

Alors, pour un attachement donné, on se pose la question: Y a t'il un événement inscrit à un niveau de «conscience» plus profond ?

Et on observe ce qui émerge.

 

Raison 6 pour laquelle l'attachement réapparaît: L'événement origine est dans une vie antérieure.

L'événement origine qui a inscrit un attachement peut être dans cette vie; mais l'événement origine aussi être dans une vie antérieure.

Mais on est peut être réticent aux vies antérieures;

et on bloque peut être toute situation qui pourrait être dans une vie antérieure.

Dans ce cas, se décontracter, et accepter l'expérience.

Que risque t'on ?

Si ce n'est de découvrir (ou pas) de nouvelles choses.

Mettons nous au niveau de « conscience» le plus profond que nous pouvons; et posons nous la question de savoir quel événement le plus ancien est en lien avec notre attachement;

et laissons émerger ce qui remonte de notre «conscience»;

et notons le.

Dans ce cas, les étapes de la déconnexion sont les même que s'il s'agissait d'un événement qui s'est produit dans cette vie:

- Localiser et décrire en «pleine conscience» l'attachement,

ce qui le déclenche, et ce que cela génère.

- Re traverser en «pleine conscience» l'événement en étant au même niveau de «conscience» (ou plus profond) que le niveau de «conscience» où ces ces informations ont été inscrites.

- Regarder s'il y a d'autre informations associées au déclenchement de cet attachement .

- Réécrire le scénario.

- Trouver un nouveau comportement.

- Poser un acte.

Si une personne perçoit un choc dans une vie antérieure,

et qu'elle est est hésitante sur les vies antérieures ?

Il est possible de revivre ce choc «comme au cinéma»:

Comme si la personne regardait un film de fiction.

Et la personne va traverser en «pleine conscience» ce qui remonte: La situation, ses sensations, ses sentiments, ses idées…

pour déconnecter le comportement automatique.

On voit donc qu’il est possible de déconnecter le déclenchement d’un comportement répétitif, suite à choc inscrit dans une vie antérieure (si les vies antérieures existent bien sûr), sans forcément croire aux vies antérieures.

Il suffit de traverser en «pleine conscience» ce que l'on perçoit: Vrai, imaginaire, symbolique ?

Aussi, même si une situation vous paraît comme dans un rêve, comme une histoire imaginaire; que cela ne vous paraît pas être une histoire réelle que vous avez vécu;

vous pouvez la traverser en « pleine conscience », telle qu'elle vous apparaît, avec ce que vous percevez.

Vous pouvez aussi ensuite réécrire le scénario (imaginaire, rêvé...) comme vous souhaiteriez maintenant que cela se passe.

Vous pouvez aussi voir: Quel attachement en est la cause, les nouveaux comportements que cela vous inspire, les actions que vous souhaitez entreprendre.

Et regardez ensuite les effets que cela a sur vous, sur votre entourage, et sur votre vie.

Je constate que la perception d'attachements dans des vies antérieures sont en général inscrits dans des niveaux de «conscience» profonds (Niveau 5 ou Niveau6).

Car juste avant une nouvelle réincarnation, les informations sur nos vies antérieures ont été mises dans des niveaux de «conscience» profonds.

C'est pour cela qu'il est difficile de les atteindre, et donc de pouvoir les désactiver.

Mais c'est possible.

 

Je constate parfois, pour un attachement que l'on a désactivé en traversant un choc de cette vie actuelle;

que si une part de l'attachement est dissous par la traversée en «pleine conscience» de ce choc dans cette vie (ce qui a en général fait diminuer l’intensité de nos réactions, et parfois supprime certains boutons déclencheurs de la réactivité); la réactivité n'est pas encore complètement désactivée. Parce que l'on n'a pas retrouvé le choc origine; et que l'on ne pense pas forcément à le chercher dans une de nos vies antérieures.

Mais, même si on croit que l'événement origine peut être dans une de nos vies antérieures humaines; il peut aussi être dans une de nos vies antérieures animales, végétale, cellulaire, minérale etc...

Ou si on était incarné ailleurs que sur la terre.

Mais le processus de déconnexion est le même:

Re traverser en «pleine conscience» l'événement origine qui a inscrit cet attachement.

Mais il vaut mieux savoir que cette possibilité existe, pour ne pas être surpris par ce qui émerge, et ce que l'on a à re traverser.

Ce qui me vient à l'esprit maintenant, c'est l'évolution des espèces dans un autre monde que la terre:

Dans notre monde, en haut de la chaîne alimentaire il y a les prédateurs comme les humains, les lions, puis les herbivores, puis les végétaux, puis les cellules, puis les minéraux, puis les atomes, puis les particules, puis l'énergie.

Et dans d'autres mondes, notre «conscience» évolue aussi peut être au travers d'incarnations successives où l'on se nourrit de «choses» plus basses dans la chaîne alimentaire.

Mais si on est au sommet de la chaîne alimentaire, et que cela nous a permis d'évoluer dans le monde dans lequel nous sommes; notre rôle aujourd'hui n'est il pas aussi, d'être attentif, voir d'accompagner l'évolution des êtres des autres espèces ?

Et si on se nourrit parfois d'espèces de plus faible niveau de «conscience»; devons nous les considérer comme des objets à notre service ?

Ou les remercier du sacrifice qu'elles font, pour nous permettre de vivre nos expériences, d'évoluer ?

Pour localiser les attachements, les attitudes, les croyances que nous avons vis à vis des autres êtres; on peut balayer nos étapes d'incarnations dans différents êtres de la chaîne alimentaire;

et observer nos attitudes, nos relations, l'utilisation que nous faisions des autres êtres; pour voir, ce que l'on a à apprendre;

et évoluer en respectant les autres «consciences», leurs libres arbitres au niveau de «conscience» où elles sont; et observer si on respecte les «libres arbitres» des «choses» de plus basses «consciences» ?

C'est peut être un moyen de savoir si est dans la dictature ou dans l'amour...

 

Raison 7 pour laquelle l'attachement réapparaît: L'attachement est dans dans la «conscience» d'un être (ou de plusieurs êtres) avec lequel on est en lien «subtil».

Si un être avec lequel on est en lien «subtil» est perturbé (par exemple par un attachement qui se déclenche en lui),

et si on est en lien «subtil» avec cet être,

on peut percevoir les perturbations de cet être.

Et parfois on croit que que cette perturbation vient de nous.

Donc, si un attachement perturbateur se déclenche chez un être avec lequel nous sommes en lien «subtil», nous pouvons parfois ressentir une perturbation.

Aussi, si cette possibilité nous apparaît;

se poser en «pleine conscience» la question (et observer ce qui émerge): Est ce que cette perturbation vient d'une personne avec laquelle je suis en liens «subtils» ?

D'une personne de ma famille ? D'un ami ? D'un autre être?

Dans le cas où la réponse est oui, il y deux possibilités:

- Nous avons aussi cet attachement en nous.

- Nous n'avons pas cet attachement en nous.

- Dans le cas où nous avons aussi cet attachement en nous;

une action est de désactiver cet attachement en ayant durant le processus de déconnexion, la «pleine conscience» de notre connexion avec l'être (ou les êtres) avec lequel nous sommes en lien «subtil».

Cela aidera aussi l'être avec lequel nous sommes en lien «subtil» à déconnecter l'attachement qui est en lui, si tel est sa décision.

Mais comme l'être à son libre arbitre, cela ne désactivera pas automatiquement l'attachement chez l'autre être.

Il lui sera nécessaire de faire un travail personnel, mais cela sera plus facile pour lui/elle.

- Dans le cas où nous n'avons pas cet attachement en nous.

Si, en «pleine conscience» on le ressent, on peut discuter avec l'être avec lequel nous sommes en lien «subtil»; lui exprimer que dans telle situation nous ressentons telle chose, et échanger en «pleine conscience» avec elle/lui si elle/il le souhaite.

Si nous ne pouvons pas discuter avec cet être (ou ces êtres),

observer en «pleine conscience» nos sensations, nos sentiments... en ressentant le lien «subtil» avec cet être (ces êtres).

L'incidence de notre niveau de «conscience» dans l'observation de cette perception et du lien «subtil» avec cet être, ne peuvent que favoriser un approfondissement du niveau de «conscience» chez cet être, s'il le souhaite; lui permettant de mieux laisser émerger ses actions, pour traiter sa perturbation.

 

B- Deuxième manière pour désactiver un attachement: Traverser en «pleine conscience» le déclenchement de l'attachement, et l'événement qui l'a inscrit cet attachement,

par la méthode des attachements origine (en allant directement à l'événement origine).

Travailler en partant d'aujourd'hui, et en remontant progressivement dans des événements de plus en plus anciens, s’appelle une régression.

Mais la technique de la régression en remontant progressivement dans le passé (manière évoqué précédemment), s'il y a une longue suite d'événements successifs qui ont inscrits un attachement (un comportement automatique) peut prendre du temps en re traversant en «pleine conscience» chaque événement (parfois on saute quelques chocs dans le temps, ce qui nous fait gagner un peu de temps pour arriver au choc origine).

Ce qu'il faut savoir, dans le cas d'une suite d'événements qui ont inscrits, puis renforcés un attachement; c'est que si on désactive l'événement le plus ancien (et que cet événement est inscrit à un niveau de «conscience» le plus profond de la suite d'événements); en retraversant en «pleine conscience» cet événement origine (au niveau de «conscience» où cet événement origine a été inscrit) on désactive tous les événements postérieurs.

Dans ce cas on n'a donc qu'un seul événement à traverser, et pas toute une suite d'événements.

D'où la méthode des attachements origine, qui vise à atteindre directement l'événement origine.

Cette méthode s'applique lorsque:

- On est capable d'atteindre un niveau de «conscience» profond (car un niveau de «conscience» superficiel, risque de nous limiter à des événements récents).

- On a l'expérience de régressions dans ses vies antérieures (car l'événement origine peut se trouver dans une vie antérieure).

En régression, on se limite parfois à régresser jusqu'au moment où nous étions fœtus (dans cette vie); parfois à nos vies antérieures humaines, voir animales; plus rarement dans nos vies antérieures où notre «conscience» était associée à des végétaux, des cellules, des minéraux, des atomes, des particules, sur terre ou «ailleurs» (mais notre «conscience» n'est pas obligatoirement passée par toutes ces étapes).

Certains diront que ce n'est pas parce que l'on ressent un événement très ancien où l'on se perçoit associé à un végétal, à un minéral, à une particule... que c'est obligatoirement cela.

Cela peut être une perception d'autre chose:

Une production de notre ego ?

Une représentation symbolique?

Etc...

Mais j'ai constaté que si je travaille sur quelque chose que je ressens (même si cette perception devait être symbolique, un rêve, ou illusoire), et que je traverse cette situation en «pleine conscience»; je constate:

- Que je désactive «quelque chose».

- Que je prend «conscience» de nouveaux comportements.

- Que des réactivités sont désactivées.

- Que j'arrive plus facilement à me connecter à des niveaux de «conscience» plus profonds.

Et dans ces cas, je rappelle (comme évoqué précédemment) qu'il n'est pas nécessaire de croire aux vies antérieures pour déconnecter un attachement inscrit dans une vie antérieure (si elles existent bien sûr).

Il suffit de re traverser en «pleine conscience» l'événement que l'on perçoit, comme si (éventuellement) on vivait un rêve, un événement symbolique... ou une vie antérieure.

Donc dans la méthode des attachements origine,

on commence par localiser l'attachement sur lequel on a décidé de travailler.

Ensuite on s'assure que l'on est en «pleine conscience» au niveau de «conscience» le plus profond que l'on puisse (mais au minimum NC5, si possible NC6 voire NC7).

De cet état de «pleine conscience», en ayant en mémoire son attachement, on se pose la question de savoir quel événement origine à inscrit cet attachement dans une de nos vies; et on balaie nos différentes vies antérieures dans l'ordre suivant:

Énergie ?

Particule ?

Atome ?

Minéral ?

Cellule ?

Végétal ?

Animal?

Humain ?

Dés qu'une vie antérieure nous interpelle, on note ce qui vient.

Puis en «pleine conscience» on se pose la question de savoir quel est l'événement origine de l'attachement, dans cette vie antérieure (ou de cette vie, si rien n'apparaissait dans une vie antérieure).

Ensuite on re traverse l'événement localisé en «pleine conscience»: Les éléments présents, ses sensations...

On réécrit en «pleine conscience» le scénario comme on le souhaiterai aujourd'hui.

On écrit un comportement plus adapté qui a émergé.

On pose en «pleine conscience» un acte en lien avec la situation.

Puis on se pose la question: Est ce qu'il existe un événement postérieur à cet événement origine, qui a été inscrit à un niveau de «conscience» plus profond que cet événement d'origine ?

Si on perçoit que oui, on continue de re balayer l'ordre des incarnations successives évoquées plus avant, là où on en était resté (en ayant toujours l'attachement, le comportement automatique en «conscience»).

Lorsque l'on a trouvé l'événement inscrit a un niveau de «conscience» plus profond que l'événement origine (si notre «conscience» nous a dit qu'il y en avait un); on le re traverse en «pleine conscience», avec les mêmes étapes que précédemment.

En espérant que notre niveau de «conscience» soit au moins aussi profond que le niveau de «conscience» auquel l'événement a été inscrit.

Sinon il sera nécessaire d'approfondir notre niveau de «conscience», puis de retraverser l'événement.

 

C- Troisième manière pour déconnecter un attachement.

Méditer en «pleine conscience» sur un comportement.

Comme on l'a vu dans la première manière (et la deuxième);

après avoir localisé et décrit en «pleine conscience» l'attachement,

ce qui le déclenche, et ce que cela génère;

après avoir re traversé en «pleine conscience» l'événement origine avec un niveau de «conscience» au moins aussi profond que le niveau de «conscience» auquel s'est inscrit l'attachement;

après avoir regardé s'il y a d'autre informations associées au déclenchement de cet attachement;

après avoir réécrit le scénario;

on découvre en «pleine conscience» une nouvelle manière d'être, un nouveau comportement.

Aussi, la troisième manière consiste, même si on n'a pas trouvé l'événement origine d'un comportement automatique (d'un attachement), à méditer en «pleine conscience» sur un nouveau comportement que l'on perçoit en lien avec le comportement automatique sur lequel nous avons décidé de travailler; et les bienfaits de ce nouveau comportement pour notre bonheur et celui de tous.

Car si un but de la déconnexion des attachements, est de n'être plus asservi à des programmes automatiques (même si c'est nous qui avons participé à leurs mises en place); c'est aussi de nous permettre d'évoluer, en développant de nouveaux comportements qui conduisent au bonheur de tous.

Et si un processus développe des comportements altruistes favorables au bonheur de tous;

cela désactive aussi progressivement les attachements associés à ces comportements égoïstes.

Exemples de méditations sur des manières d'être:

- Méditation sur l'amour.

Etre attentif aux autres et les aimer.

Si tout le monde aime les autres êtres:

C'est à dire que j'aime tous les êtres,

mais aussi que tous les autres m'aiment;

je serais attentif aux autres, et je ferais tout pour qu'ils soient heureux; mais aussi tous les autres êtres feront tout pour que je sois heureux ; et nous seront plus heureux.

Plutôt que d'être égoïste, que chacun tire la couverture à lui,

que tous les autres soient contre nous, et que cela engendre des tensions et des souffrances.

- Méditation sur l'impermanence de toute chose matérielle.

Une vie matérielle humaine, un objet, un atome... ne sont pas éternels, pas permanents. Aussi pourquoi s'attacher à quelque chose qui n'est pas permanent ?

Car cela risque d'engendrer de la souffrance en nous,

quand l'objet de notre attachement sera séparé de nous.

- Méditation sur nos différents types de fonctionnements: Mental, automatique, «pleine conscience».

Savoir comment reconnaître chaque type de fonctionnement.

Dans quelles situations ces comportements sont les plus adaptés.

- Méditation sur le fonctionnement en «pleine conscience» dans sa vie de tous les jours, et ses conséquences pour tous.

- Comportements qui sont importants pour vous:

….....................…........................................................

….................................................................................

Si on décide de déconnecter les uns après les autres nos attachements, en recherchant tous les chocs qui ont pu les inscrire, dans cette vie et dans nos vies antérieures;

on n'aura peut être pas assez de cette vie pour les re balayer tous, et les désactiver tous ?

Mais on peut aussi désactiver ses attachements au fur et à mesure qu'ils apparaissent, lorsque on en a «conscience»;

ou en commençant par ceux qui nous font le plus souffrir.

Je vais évoquer maintenant des attachements qui sont fréquents; qui ont pu s'inscrire dans cette vie; ou qui ont pu avoir été inscrits dans nos «consciences» dans nos vies antérieures.

Exemples d'attachements liés à l'alimentation.

Je devrais plutôt dire les différentes catégories d'attachements liés à l'alimentation.

Parce qu’il peut y avoir plusieurs attachements (plusieurs programmes différents) qui conduisent aux même conséquences:

je mange trop, ou je ne mange pas assez, ou je ne mange pas,

ou je mange n'importe quoi; ou je mange vite, ou je ne peux pas m’empêcher de manger, ou je me gave...

Et qui peuvent avoir des événements origine différents.

Le fait qu'il puisse y avoir plusieurs types d'attachements différents liés à la nourriture, peut être un piège; parce que lorsque l'on a déconnecté un type d'attachement, avec son événement origine (et sa suite d'événements renforçant cet attachement), on peut penser que l'on a déconnecté son attachement à la nourriture.

Donc, après avoir déconnecté un attachement à la nourriture;

il est important de regarder si notre comportement automatique se déclenche aussi souvent, moins souvent, moins fort, ou plus du tout.

Et si on constate toujours le même type de comportement; s'interroger en «pleine conscience»:

- Ai je encore à travailler sur ce comportement ?

- Ai je un autre attachement à la nourriture à désactiver ?

et observer ce qui émerge de notre «conscience».

Exemple d'attachement à l'alimentation 1.

L'événement qui a inscrit un attachement à l'alimentation peut être une période de manque de nourriture, de famine.

Dans cette vie ou dans une vie antérieure (humaine, animale...);

et dès que de la nourriture devient accessible, on se gave, on fait des réserves.

Parfois dans une vie antérieure animale on mangeait très vite pour éviter que d'autres animaux mangent notre part de nourriture;

et parfois ce type de comportement reste inscrit en nous.

Exemple d'attachement à l'alimentation 2.

Parfois on ressent un vide en nous, et on mange de manière compulsive. Et dans ces cas, si la cause est un attachement;

un régime alimentaire ne réglera pas le problème.

Pour connaître les causes, et savoir si cela provient d'un attachement; il est nécessaire de bien différencier:

- Un besoin.

- Et l'attachement à un besoin.

Par exemple:

On peut avoir le besoin d'être compris (prenons le cas où il n'y a pas d'attachement): On apprécie d'être compris, cela nous nourrit profondément; et on a aussi en général l'envie de comprendre les autres.

On peut aussi avoir le besoin d'être compris, mais avec de l'attachement:

Dans ce cas (pour savoir si on a un attachement à ce besoin);

si on ne se sent pas compris, on regarde si:

Il y a de l'exigence, un impératif, on a de la frustration, on s'énerve, on peut même en retour être agressif(ve) envers son interlocuteur; car on a l'exigence d'être compris (dépendance).

On est attaché à être compris, on attend que l'autre comble notre besoin d'être compris.

Et dans ces cas où l'on attend que l'autre comble un de nos besoin; quand ce besoin n'est pas satisfait, cela crée un vide en nous. Et lorsque on ressent un vide en nous, on a parfois le besoin compulsif de se remplir, de manger, pour le combler.

Ce besoin compulsif de manger peut être associé à des sensations, des sentiments, des pensées comme: De la tristesse, de la fatigue, de l'effondrement, de l'angoisse, des palpitations dans le corps, une perte de contrôle...

Aussi, pour localiser un attachement de cette nature;

en «pleine conscience» on va laisser émerger les manques qui ont pu ancrer un attachement en nous.

Et en «pleine conscience», laissez émerger un manque en vous:

….......................................................................................... ?

Un manque de présence d'une personne ?

Un manque d'attention, de soin ?

Un manque de respect ?

Un manque de considération ?

Un manque de sécurité ?

Un manque d'amour ?

Un autre manque:

…...…......................................................... ?

Et pourquoi je mange, pourquoi je me rempli?

se transforme en: Quel vide je comble par la nourriture ?

Et je deviens attaché à ce manque, à ce vide, à cette exigence;

comme une drogue, une dépendance:

A la présence d'une personne ?

A l'attention, au soin ?

Au respect ?

A la considération ?

A la sécurité ?

Etc…......

Mais, est ce que j’attends que quelqu'un(e) comble de manière répétitive mon manque, mon vide, comme un puits sans fond?

Qu'il (elle) me fournisse pour combler mon vide, comme on fournit une personne en drogue, pour apaiser momentanément sa souffrance ?

Lorsque j'observe en «pleine conscience» ce vide et les sensations/sentiments/pensées associés; est ce que cela m'évoque une situation de mon passé ?

Si je trouve un choc, un traumatisme, qui à mis en place un attachement en moi, alors je peux enclencher la déconnexion de cet attachement.

Et comme il peut y avoir plusieurs types de vides en soi;

si on a trouvé un manque en nous, un vide à combler;

se poser la question: Ai je un autre manque, un autre vide à combler?

Ce qu'il est important de savoir lorsque l'on a traité la cause d'un vide, en déconnectant l'attachement (ou les attachements) concerné; c'est que le corps s'est habitué à cette nourriture physique; et on est peut être devenu dépendant physiquement

au sucre, aux graisses, à de grandes quantités d'aliments etc...

Comme si j'avais pris de la drogue durant plusieurs années, et que mon corps physique soit devenu dépendant à cette drogue, à cette nourriture.

Aussi, après avoir traité l'attachement, il est parfois nécessaire de faire une cure de désintoxication à la dépendance physique alimentaire auquel mon corps s'est habitué.

Exemple d'attachement à l'alimentation 3.

Si dans son enfance, la mère d'un enfant le gavait, l’obligeai à tout finir dans son assiette pour lui imposer ses croyances de bien faire ou de déculpabilisation; peut être que cet enfant a inscrit en lui ce comportement répétitif. Et aujourd'hui la personne se gave peut être par amour (fidélité) pour sa mère qui le gavait ?

Mais aujourd’hui, si la personne a pris «conscience» que sa mère le gavait pour lui imposer ses croyances de bien faire ou de déculpabilisation; et a retraversé en «pleine conscience» ces anciennes situations; la personne peut se libérer du déclenchement automatique de ce comportement (de cet attachement).

Exemple d'attachement à l'alimentation 4.

Même si les bactéries ou les minéraux, ne ressentent pas le plaisir ou la douleur comme nous les ressentons; des attachements de recherche de nourriture, de constituants, sont inscrits dans leurs «consciences».

Par exemple, si notre «conscience» a été incarnée dans une vie antérieure dans une molécule d'opale (SiO2, n H2O).

SiO2 c'est du quartz, un des composants du sable,

H2O c'est de l'eau, et n avant H2O c'est le nombre variable de molécules d'eau associée à une molécule de quartz.

Si notre «conscience» a été incarnée, dans une vie antérieure, dans une molécule d'opale; comme il y a dans la «conscience» d'une molécule d'opale un attachement de recherche de quartz et d'eau.Si cet attachement n'a pas été éliminé; nous pouvons avoir aujourd'hui une attirance automatique pour le quartz (ou le sable) et l'eau.C'est le même type de processus pour des attachements de recherche de nourriture.

Pour désactiver cet attachement, retraverser en «pleine conscience» le moment où cet attachement a été mis en place par le «bain de conscience» associé à notre «conscience».

Exemple d'attachement à l'alimentation 5.

Un manque de sens à sa vie.

On peut ressentir un manque de sens à sa vie, un malaise.

Et pour masquer cette sensation de malaise; on mange parfois.

Parfois le manque de sens à sa vie est tellement fort, qu'on ne peut plus supporter sa souffrance.

Alors manger (ou ne pas manger) peut être une forme de suicide à petit feux (le surpoids ou le sous poids étant un facteur aggravant, ou une cause de maladie).

Cela peut aussi venir de souffrances intolérables que l'on préfère fuir par la mort.

Dans ces cas, il est souvent utile de se faire accompagner pour faire face à ses souffrances, et aux événements qui les ont induits, pour s'en libérer.

Retrouver l'événement origine qui a inscrit ce manque de sens à sa vie, peut nous éclairer sur le sens de notre vie, sur le rôle que nous avons décidé de vivre, à l'occasion de notre incarnation.

Exemples d'attachements liés au sexe.

Comme nous l'avons déjà vu, nous pouvons mettre en place un attachement :

- Pour reproduire un plaisir.

- Pour éviter une souffrance.

- Pour favoriser sa survie ou son développement.

- Suite à un choc psychologique.

Mais dans le cas des attachements liés au sexe, il y a un attachement très ancien pour favoriser sa survie ou son développement; c'est l'attachement que le «bain de conscience» a mis en place (en lien avec notre «conscience») lorsqu'il a fait apparaître les premiers êtres avec une reproduction sexuée.

Car au début de la relation sexuée, s'il n'y avait pas eu d'attachement conduisant automatiquement à l'envie de se rapprocher et d'avoir un acte de reproduction sexuel, la relation sexuée n'aurait pas fonctionné.

Quand est apparue sur terre des êtres avec une reproduction sexuée ?

On constate des reproductions sexuées chez des végétaux, chez des champignons, chez des eucaryotes (organismes unicellulaires ou multicellulaires, comme des algues, des bactéries).

Et l'apparition de la relation sexuée est apparue vraisemblablement avec les premiers eucaryotes il y a environ 1,5 milliard d'années.

Puis cet attachement de départ a été renforcé par beaucoup de situations où l'être a ressenti du plaisir.

Des attachements liés aux relations sexuelles sont aussi apparus, ou ont été renforcés, par des situations de frustrations sexuelles animales, ou humaines; où nous étions attirés par des êtres qui ne nous étaient pas accessibles, ou difficilement accessibles.

De plus l'attachement à la relation sexuelle lié au plaisir que l'on ressent, peut être renforcé par le/la partenaire qui peut être conscient(e) de notre dépendance/attirance, et peut la renforcer; par exemple en satisfaisant notre besoin régulièrement, en nous rendant dépendant (comme à une drogue).

Et si le/la partenaire à compris que cela rendait sa(son) conjoint(e) dépendant(e) à la relation sexuelle avec nous;

par ce biais, le partenaire peut induire une forme de troc:

Du sexe contre de la sécurité ?

Du sexe contre du pouvoir ?

Du sexe contre de l'image ?

Du sexe contre .................

Si vous souhaitez déconnecter votre attachement à la relation sexuée/sexuelle vous pouvez par exemple retraverser en «pleine conscience»:

- Les situations de plaisirs qui ont inscrits cet attachement.

- Les situations de frustrations sexuelles.

- La situation d'attirance sexuelle automatique, lorsque votre «conscience» était incarnée en eucaryote (algue, bactérie) ?

Mais ce n'est pas parce que l'on n'a plus d'attachement à la relation sexuée/sexuelle que l'on n'a plus de plaisir dans l'acte sexuel.

On a simplement coupé le déclenchement automatique de dépendance à cet attachement.

On aime toujours ce plaisir, mais sans attachement.

Exemples d'attachements liés à l'abandon.

Cela peut venir:

- De l'époque préhistorique (ou autre); où être rejeté par le groupe c'était comme une mise à mort; car les chances de survie en étant seul étaient faibles.

- D'une période animale, où les petits sont abandonnés par les parents, lorsqu'ils deviennent adulte.

- D'un sevrage trop rapide.

- De la privation de son objet transitionnel (son nounours, son ninnin...), sécurisant l'enfant en l'absence de ses parents.

- Du décès de ses parents nourriciers.

- De la captation de la présence de la mère, du père par une autre personne (frère, sœur...).

- L'abandon, avec parfois le déni que l'on a été abandonné, délaissé, par une personne que l'on aimait.

Et cela était tellement insupportable, que pour éviter de devenir peut être fou; on a occulté cette réalité, que ses parents ne s'intéressait pas à nous, ou comme un objet pour leur propre valorisation, ou pour le plaisir que leur procurait l'objet chaud, remuant; et que l'on tape s'il crie trop fort ou nous dérange.

Et pour se libérer de nos comportements automatiques, il est aujourd'hui nécessaire de faire face à la réalité; en observant sa tristesse, son désespoir; en traversant en «pleine conscience» les situations qui ont inscrits ces comportements automatiques, pour s'en libérer.

Exemple d'attachements liés à la perte d'un être cher.

Je crois qu'une attitude adaptée, face à une personne qui vient de perdre un être cher, c'est d'être présent (si la personne le souhaite bien sûr); de lui témoigner de l'affection, de l'écouter.

D'écouter: sa tristesse, sa souffrance, les bons moments aussi passés avec cet être cher...

Et il est important de savoir que, face à l'attachement que nous avons pour des personnes qui ne sont plus présentes (départ, séparation, décès...) les êtres humains ont des points communs dans leurs manières de fonctionner:

Ils passent par des étapes, pour faire leurs deuils.

Les étapes du deuil constatées sont

(j'ai détaillé 8 étapes, mais certaines étapes sont parfois regroupées, pour ne former que 5 étapes):

1 - Le Choc: Juste après l’annonce de la perte, cela nous laisse sans émotion apparente, comme sidéré.

2 - Le Déni: On n’y crois pas, ce n’est pas possible, pas vrai.

3 - La Colère: Révolte tournée vers soi ou vers les autres.

4 - Le Marchandage: On pense qu’en faisant telle ou telle chose, la situation originelle pourrait revenir.

5 - La Dépression: Un état de désespérance, de tristesse, d’effondrement.

6 - La Résignation: L’abandon de la lutte, plus trop de visibilité sur quoi faire, agissement au gré des circonstances.

7 - L’Acceptation: L'acceptation de la perte (on est capable de garder les bons moments comme les moins bons), on se sens un peu mieux, et l’avenir nous semble moins noir qu’avant.

8 - La Reconstruction: Se reconstruire amène à mieux se connaître, à découvrir ses ressources personnelles, à développer de nouvelles attitudes et comportements, et à développer sa confiance en soi.

Il est donc fréquent, en cas de perte d'un être cher

(ou de quelque chose à laquelle on est attaché),

de passer par l'étape 5 de la dépression.

En observant en «pleine conscience» notre déni, ou notre colère, ou notre négociation, ou notre tristesse, ou notre désespoir, ou notre dépression, ou notre résignation, ou notre acceptation, ou notre reconstruction;

on peut constater dans quelle étape on est.

Le risque serai de rester bloqué dans une étape, et de tourner en rond dans ses souffrances.

 

Conflit entre deux attachements.

Parfois 2 attachements rentrent en conflit.

Prenons l'exemple d'une personne qui a (entre autre) les attachements suivants:

Attachement 1: Attachement à sa compagne/son compagnon (vouloir être avec elle/lui).

Attachement 2: Attachement à la non agression (fuir l'agression).

Si sa compagne/son compagnon l'agresse (verbalement ou physiquement), les 2 attachements déclenchent respectivement les 2 effets suivants:

Pour l'attachement 1: La réaction de se rapprocher de sa compagne/son compagnon.

Pour l'attachement 2: La réaction de s'éloigner.

Cela va enclencher un conflit dans la personne,

avec les deux volontés contradictoires, de se rapprocher et de s'éloigner de sa compagne/son compagnon.

Ce conflit intérieur va engendrer de la confusion, de la douleur etc...qui peuvent aller parfois jusqu'à la dépression, au suicide.

Dans ces cas, reconnaître ses différents attachements conflictuels, et travailler à déconnecter ses différents attachements.

Car si on ne fait tien, on va rester dans les même schémas, reproduire le même type de situations, de partenaires, de souffrances.

A quoi sert la souffrance liée à un attachement ?

Prenons un exemple: Je vois une fille qui me plaît, j'aimerai sortir avec elle, mais cela ne se fait pas: Je suis déçu, mais cela ne me fait quand même pas trop souffrir; et au bout de quelques jours, je n'y pense peut être même plus.

Maintenant imaginons que je sorte avec cette même fille, que durant un an je sois très heureux avec elle; que je me sois attaché à elle (que j'ai donc inscrit un attachement en moi), et qu'elle me quitte. Dans ce cas, je risque d'être plus que déçu, et cela peut engendrer en moi de grandes souffrances, et cela peut durer de nombreux mois, années.

Mais cette période de séparation, où elle n'est plus avec moi, cela ressemble à la période d'avant, où je ne la connaissait pas, où elle n'était pas avec moi; et alors je ne souffrais pas de sa non présence.

Alors pourquoi je souffre maintenant ?

Parce-que je me suis attaché au plaisir d'être avec elle, et que je suis désormais fort mécontent d'avoir perdu ce plaisir.

Mais à quoi sert cette souffrance ?

Ma souffrance va elle me faire revenir ma copine ?

Cette souffrance m'épuise, me gâche la vie, et à priori cela ne va pas la faire revenir.

Car si elle ressort avec moi parce que cela me fait souffrir, est ce une bonne raison pour elle?

Et pour qu'un couple fonctionne harmonieusement, il est nécessaire que les deux y trouvent leur compte: Que j'ai envie de sortir avec elle; et qu'elle ai envie de sortir avec moi (et pas uniquement pour me faire plaisir).

Et si j'ai envie que qu'elle sorte avec moi (et que je lui dit que cela me fait souffrir si elle n'est pas là); n'ai je pas plutôt envie qu'elle sorte avec moi parce qu'elle m'aime, plutôt que parce cela me fait souffrir si elle n'est pas là?

Mais si ma souffrance ne va pas (à priori) faire revenir ma copine,

ma souffrance ça sert à quoi ? A rien ?

Sinon me montrer que j'étais heureux d'être avec elle;

mais ça, je le savais déjà.

Cela peut aussi me montrer que je l'aimais (que je l'aime), mais avec de l'attachement (ce qui ne veut pas dire que je ne l'aimais (l'aime) pas aussi de manière ouverte); et que cet attachement a engendré de la souffrance ?

Mais si je l'aimais sans attachement, sans rien attendre en retour, est ce que je souffrirais ?

Certes je serais sans doute triste de la voir s'éloigner; mais si je constate en «pleine conscience» qu'elle ne souhaite pas rester avec moi, que je respecte son libre arbitre, je vais peut être accepter cette situation avec moins de souffrance ?

Si mon attachement génère plus de souffrances (que si je n'avais pas d'attachement); cela veut dire que c'est moi qui génère ce surplus de souffrances.

Et que si c'est moi qui génère ce surplus de souffrance;

que je peux peut être agir dessus ?

En déconnectant cet attachement; par exemple en observant en «pleine conscience» l'événement (ou la suite d'événements) qui a inscrit cet attachement ?

Et cette souffrance peut, peut être, m'alerter, me servir:

- A me motiver à déconnecter mes attachements, quel que soit le niveau de «conscience» auxquels ils ont été inscrits, pour réduire mes souffrances et celles des autres ?

- A développer mon respect pour le libre arbitre des autres êtres

quel que soit leurs niveaux de «conscience» (superficiel ou profond) ?

- A développer mon amour pour les autres quel que soit leurs niveaux de «conscience»; mais sans attachement, de manière ouverte, sans rien attendre en retour, pour le bonheur de tous ?

 

Chapitre 9- 39 exemples pour vivre en «pleine conscience».

Comme nous l'avons vu au Chapitre 3-Trois modes de Fonctionnement; il y a un certain nombre d'avantages au fonctionnement en «pleine conscience»:

- Il y a plus d'informations dans notre «conscience», que dans notre mental/notre cerveau.

- Lorsque nous sommes en «pleine conscience», nous pouvons être en liaison «subtile» avec d'autres êtres (et percevoir des informations supplémentaires que leurs «consciences» émettent de manière «subtile»).

- Le fonctionnement en «pleine conscience» tient mieux compte des autres êtres, de leurs bonheurs, est plus global; alors que le fonctionnement mental est plus étroit, souvent centré sur soi, sur ses croyances, ses certitudes et ses à priori.

- Le fonctionnement en «pleine conscience» est adapté à chaque cas, à chaque situation; alors que les fonctionnements automatiques sont toujours pareil et ne tiennent pas compte de la spécificité de la situation.

- Un autre avantage du fonctionnement en «pleine conscience» est la vitesse de «traitement» des informations. Car le fonctionnement en «pleine conscience» est instantané malgré le grand nombre d'informations à traiter.

On voit donc l’intérêt d'utiliser sa «conscience» plutôt que de fonctionner uniquement avec son mental (son cerveau) et ses programmes automatiques pour résoudre une difficulté.

Mais les autres modes de fonctionnement sont aussi utiles,

dans les cas où ils sont adaptés (comme par exemple: Un calcul mathématique pour un fonctionnement mental; et retirer sa main du feu pour un fonctionnement automatiques).

Maintenant je vais évoquer des exemples de vie en «pleine conscience», qui parfois se recoupent, où qui abordent le sujet sous un angle un peu différent, par rapport à ce que j'ai parfois déjà évoqué.

Aussi ne soyez pas surpris si certaines perceptions clés reviennent dans certains exemples.

 

Exemple 1 - Vivre en «pleine conscience»: Trouver un équilibre entre un fonctionnement en «pleine conscience», un fonctionnement mental et un fonctionnement automatique.

Même si le fonctionnement en «pleine conscience» a des avantages, cela ne veut pas dire qu'il faille bannir les fonctionnements automatiques et les fonctionnement mentaux.

Certains fonctionnements automatiques, comme respirer ou retirer sa main du feu si on risque de se brûler, nous aide dans notre vie de tous les jours.

De même, des fonctionnements mentaux, comme des calculs (en tenant compte des lois physiques matérielles), peuvent nous être utiles.

Aussi je crois qu'il est utile de trouver un équilibre entre ces trois types fonctionnement.

Mais c'est quand même la «conscience» qui coordonne cet ensemble.

 

Exemple 2 - Vivre en «pleine conscience»: J'ai une préoccupation: Je m'assure que je suis en « pleine conscience », et je laisse émerger mes «intuitions».

Si j'ai une préoccupation, je me met en «pleine conscience» en

observant ma respiration,

en observant mes points de contact avec le sol, avec la chaise,

en observant mes sensations,

en observant mes sentiments,

en observant mes pensées,

en observant les causes qui émergent de ma «conscience»,

en étant «conscience»,

en étant unité.

Au niveau de «conscience» le plus profond que je puisse être.

Puis je porte mon attention sur ma préoccupation, sur ce qui m'interpelle, me tracasse, sur ma question;

et j'observe en «pleine conscience» (sans alimenter une pensée par une autres pensée, sans repousser ce qui est) ce qui émerge de suite: Un événement, une personne, une sensation, un sentiment, une pensée...

J'observe ce qui émerge, simplement observer; et je note ce qui émerge de suite à ma «conscience», sans réfléchir, sans filtre:

je note tout ce qui me viens.

Puis au rythme de ma respiration, je visualise que mon inspiration va dans dans ce qui est présent: Une sensation, un sentiment, une pensée...(c'est où dans mon corps ?);

et j'écris ce qui me viens.

Parfois des événement du passé remontent;

j'observe, sans interpréter, ni alimenter par des pensées.

Comme je sais reconnaître, lorsqu'une perception remonte,

si elle provient d'un comportement répétitif, d'un raisonnement mental, ou d'une "intuition" issue de ma "conscience";

je reviens en "pleine conscience" si j'ai déconnecté de mon état de "pleine conscience", et que je suis passé en mode mental ou automatique.

Puis, suite aux émergences de ma "conscience" (mes «intuitions»): des pensées, des actions... j'agis en «pleine conscience» pour résoudre ma préoccupation; et je fais confiance à ma "conscience", à mes "intuitions".

 

Exemple 3 - Vivre en «pleine conscience»: Pour approfondir notre niveau de «conscience», ce qui facilite l'expression de notre «conscience» (nos «intuitions»), on peut:

- Pratiquer régulièrement la méditation de «pleine conscience» (ou observer en «pleine conscience» c'est pareil).

D’abord quelques minutes par jour au calme, puis élargir son temps de fonctionnement en «pleine conscience».

Mais l'important est d'être en «pleine conscience» dans sa vie de tous les jours.

Alors, progressivement, observer en «pleine conscience» sa respiration, ses points de contact avec le sol, ses sensations, ses sentiments, ses pensées, même si ce n'est qu'une minute, dans les transports en commun, dans une file d'attente, en marchant, en mangeant, au yoga...

Puis en discutant; au début dans des échanges amicaux, pour pouvoir ensuite rester en état d'observation en «pleine conscience» (de sa respiration, de ses points de contact, de ses sensations, de ses sentiments, de ses pensées...) dans des échanges plus conflictuels.

Et se poser régulièrement la question, plusieurs fois par jour, dans quel état de fonctionnement je suis: Un fonctionnement mental, automatique, ou en «pleine conscience» ?

Et revenir en «pleine conscience» si on est passé en mode mental ou automatique.

- Prendre «conscience» de ses comportements automatiques (de ses attachements), et déconnecter ses attachements.

- Laisser émerger en «pleine conscience» ses «intuitions»,

les exprimer, agir en accord avec elles et leur faire confiance (et observer les conséquences). Car si on est en «pleine conscience» on est au mieux que l'on puisse être; alors on n'a rien a regretter, on a confiance.

- Être attentif aux communications «subtiles» des autres.

Être attentif aux synchronicités, aux signes «subtils» en ressentant ce que cela éveille en nous.

- Prendre soin de soi, respirer, se reposer, se détendre, s'aimer.

- Aimer les autres, ce qui est.

- Méditer sur l'amour altruiste et ses conséquences pour le bonheur de tous.

- Être avec des être simples, d'un profond niveau de «conscience», qui aiment les autres, et que l'on aime.

- Situer son niveau de «conscience».

Car lorsque l'on est en «pleine conscience», on peut être à des Niveaux de "Conscience" (NC) plus ou moins profonds:

NC1- Percevoir les matières et les événements matériels;

percevoir avec son cerveau ses sensations matérielles, ses sentiments matériels, ses pensées matérielles (le terme matériel signifie que le cerveau perçoit via des phénomènes matériels comme des courants électriques, des transferts chimiques de neuro transmetteurs...)

NC2- Observer en «pleine conscience» les matières «subtiles», les événements «subtils», les énergies «subtiles», ses sensations «subtiles» qui émergent de sa «conscience».

NC3- Observer en «pleine conscience» ses sentiments «subtils» qui émergent de sa «conscience».

NC4- Observer en «pleine conscience» ses pensées «subtiles» qui émergent de sa «conscience».

NC5- Être en «pleine conscience» des causes «subtiles».

Pour cela, en «pleine conscience», s'interroger sur un point, une préoccupation; et laisser émerger de sa «conscience» les réponses, les causes «subtiles»: Un sentiment «subtil», une pensée «subtile», un événement «subtil», un attachement «subtil»...

NC6- Être en «pleine conscience» de sa «conscience».

Pour faciliter la «pleine conscience» de sa «conscience»;

on peux être en lien «subtil» avec un être qui est en «pleine conscience» de sa «conscience»; ce qui facilite la perception en «pleine conscience» de notre «conscience».

Une fois cet état de «pleine conscience» de sa «conscience» introduit; il est plus facile de le stabiliser en méditant au calme, chez soi; puis dans sa vie de tous les jours.

NC7- Être en «pleine conscience» de l'unité, de ce qui est.

Pour faciliter cet état d'être, on peut, en «pleine conscience», se remplir d'amour, de la lumière de la connaissance; partout en soi.

Cet amour, cette lumière s'échange avec le monde, les autres, dans un va et viens sans fin, une unité d'être.

 

Exemple 4 - Vivre en «pleine conscience»: Les difficultés.

Quel que soit les décisions que l'on prend, il peut y avoir des difficultés; même si cette décision est la plus cohérente pour le bonheur de tous (donc avec le moins de difficulté et de souffrance).

Les oiseaux de mauvaises augures qui se valorisent en critiquant les autres, en donnant des leçons une fois que les décisions sont prises; en se concentrant et grossissant toutes les difficultés qui existent, sans vue globale ni pondération, vont critiquer nos décisions.

Mais comme il y a souvent des difficultés suite à une décision; même si c'est la décision la plus cohérente, c'est facile de critiquer.

Et s'ils disent que l'on aurait du faire autrement: Qui peut dire que cette autre décision aurait conduit à plus de bonheur pour tous?

Et c'est facile de le dire, car comme cette autre décision n'a jamais été appliquée; on ne saura donc jamais si elle aurait réellement conduit à de meilleurs résultats.

Aussi face à une décision prise en «pleine conscience», assumer.

Accepter les souffrances résiduelles, si on sait qu'en étant en «pleine conscience» se sont les souffrances les plus faibles qui puissent arriver; et que toute autre action/comportement engendrerait plus de souffrances.

D'autre part, la souffrance est parfois une information sur quoi travailler.

Aussi observer en «pleine conscience» cette souffrance, ce qu'elle a à nous dire;

Et émergera peut être une situation, une sensation, un sentiment, une pensée, un événements du passé.

Peut être pour trouver un attachement, et travailler dessus pour s'en libérer; pour se libérer de cette souffrance ; et aller vers plus de bien être avec les autres.

 

Exemple 5 - Vivre en «pleine conscience»: Etre soi.

Parfois on se dit: Je veux être moi.

Mais savons nous qui nous sommes ?

Sommes nous nos comportements automatiques, nos raisonnements mentaux, nos croyances auxquelles nous nous identifions ? Parce que nous y sommes habitué depuis tellement d'années, que nous ne connaissons parfois que cela.

Parce que nos familles nous ont habitué à fonctionner comme cela. Parce que cela nous paraît une évidence que c'est nous.

De plus le matériel est souvent privilégié dans notre monde, et le non matériel parfois nié.

Mais nous sommes peut être conditionnés; et le propre du conditionnement c'est que l'on ne s'en rend pas compte.

Certaines personnes fonctionnement:

70% de leurs temps avec leurs attachements (fonctionnements automatiques),

25% avec leur mental (raisonnements de leur cerveau),

et parfois moins de 5% avec leurs «intuitions» qui émergent de leurs «consciences».

L'ego (nos comportements automatiques engendrés par nos attachements, et les raisonnements de notre mental/cerveau)

est aussi appelé parfois le faux soi; parce que c'est l'apparence de ce que nous croyons être.

L'ego n'est qu'une construction provisoire: Les pensées répétitives, les comportements automatiques ont été mis; ils peuvent être enlevés.

Ou sommes nous notre «conscience» ?

Car si notre «conscience» est capable:

- De sortir de notre corps dans les expériences de mort imminente, et de garder ses perceptions et ses mémoires.

-De passer d'un corps physique à un autre corps physique lors de nos différentes incarnations.

Alors, notre «conscience» n'est ce pas ce que nous sommes réellement, véritablement, durablement?

Mais si on se pose la question de savoir qui on est;

et si nous devons choisir entre nos «intuitions» issues de notre «conscience», et notre mental/croyances/comportements automatiques; notre mental et nos fonctionnements automatiques risquent de prendre le dessus, parce que c'est notre fonctionnement habituel.

Et si nous raisonnons avec notre mental pour prendre une décision: Notre mental est juge et parti; et notre mental peut décider contre notre «conscience».

 

Exemple 6 - Vivre en «pleine conscience»: Pourquoi ne fonctionnons nous pas plus en «pleine conscience» ?

Parce que nous nous identifions à notre mental, à nos croyances,

à nos certitudes, à nos raisonnements récurrents, à notre corps physique; que nous croyons que c'est nous, notre personnalité.

Et que nous croyons que c'est en agissant suivant nos programmes, nos raisonnements mentaux, nos croyances ou certitudes que nous serons les plus heureux.

Alors que nous sommes parfois dans l'ignorance de qui nous sommes profondément, durablement: Notre «conscience».

Car dans les expériences de morts imminentes, des centaines de personnes ont décrit que leurs «consciences» étaient sortie de leurs corps physiques, et qu'elles gardaient leurs facultés de perceptions et leurs mémoires.

Et que ce n'était pas des illusions de leur mental, car dans un grand nombre de cas, elles ont décrit des événements, en revenant ensuite dans leurs corps, qui leur était impossible de le connaître si elles étaient restées dans leurs corps (comme par exemple se qui se passait dans la pièce d'à côté).

C'est comme pour les récits de personnes décrivant leurs vies antérieures. Elles ont décrit des événements qui leurs étaient impossible de connaître: Dans des lieux très éloignés, dans des temps reculés, avec des personnes qu'elles n'avaient jamais connu, ni de personnes qui auraient pu les connaître.

Et lorsque des personnes ont vérifié; elles se sont aperçues que ce que disait ces personnes (qui décrivaient leurs vies antérieurs), c'était effectivement produit.

Et si un fonctionnement uniquement automatique et mental (dans le pouvoir et l'exigence) ne conduit durablement ni à mon bonheur ni à celui des autres; alors je peux décider de laisser s'exprimer ma «conscience»; et trouver un équilibre entre un fonctionnement en «conscience», un fonctionnement mental, et un fonctionnement automatique.

 

Exemple 7 - Vivre en «pleine conscience»: Si je veux quelque chose de manière égotique/mentale avec exigence, pouvoir et égoïsme; c’est le contraire que ma «conscience» risque de m’envoyer; pour m’aider à prendre «conscience» que je veux quelque chose qui n’est pas en harmonie avec le bonheur des autres et mon environnement, mais centré sur moi.

Par exemple, si je veux absolument sortir avec quelqu’un(e), avec exigence, pouvoir, et pour mon seul plaisir; c’est le contraire que ma «conscience» risque de m’envoyer:

Je vais rester seul(e).

Alors, avoir envie de sortir avec quelqu'un(e), oui, mais en étant en «pleine conscience», attentif(ve) à lui/elle, dans le respect de son libre arbitre; sans exigence, sans pouvoir, sans attachement ni égoïsme. Et si cela doit se faire, cela se fera, aidé par ma «conscience» et les «consciences» environnantes.

 

Exemple 8 - Vivre en «pleine conscience»: Je veux que cela soit comme je le veux.

Des personnes veulent que cela soit comme elles le veulent.

Et pour cela elles peuvent:

- S'énerver (avec parfois les paroles: Arrête de m'énerver;

ou aussi parfois: Tu vois dans quel état tu me met).

- Culpabiliser l'autre.

- Déformer et grossir ce qui les arrange, sans vue globale ni logique, si ce n'est la leur.

- Critiquer l'autre.

- Abuser de leur pouvoir.

- Menacer l'autre.

- Agresser l'autre.

- Se venger.

- Séduire, manipuler, profiter que l'autre les aime.

- Rendre l'autre dépendant matériellement ou psychologiquement.

- Utiliser les attachements et les dépendances de l'autre (au sexe, à la présence, à la valorisation, à la flatterie...).

- Jouer les victimes.

- Jouer sur leurs capacités intellectuelle, leur statut social, leur image.

- Etc...

Et si ces personnes ne peuvent pas contrôler une autre être;

cette autre être n'est alors plus utilisable. Alors ces personne arrêtent parfois leurs relations avec cet autre être.

Mais est ce que ce comportement de contrôle, pour que cela soit comme elles le veulent, leur apporte bonheur et harmonie pour elles même et les autres ?

Votre avis: .....................................................................................

En ce qui me concerne, je ne crois pas.

Vous aviez peut être deviné ma réponse?

Auriez vous un don de percevoir les pensées «subtiles» émises par les autres ?

Si des personnes sont convaincues qu'elles ont raison;

et veulent imposer leurs décisions, c'est la dictature.

Et si les autres, ont le même type de comportement,

cela va être conflictuel, chacun pensant qu'il a raison.

Mais si on est attentif aux autres, si on aime les autres, si on a envie d'être heureux et qu'ils soient heureux, si on écoute nos besoins et leurs propres besoins, que l'on échange pour trouver ensemble des solutions qui satisfont les deux; on engendre des relations harmonieuses avec les autres; et les autres, comme nous même, sont heureux.

Mais les personnes qui veulent que cela soit comme elles le veulent, ne vont pas, en général, être d'accord avec cette manière de voir les choses, qui risque de les conduire à ne pas faire ce qu'elles veulent. Ces personnes ne se soucient pas vraiment des besoins des autres; ou font semblant de s'en soucier, en trouvant plein de raisons leur prouvant qu'elles ont raison.

Alors, si on ne se sent pas écouté, pas respecté dans nos propositions, dans nos besoins, dans ce que l'on est;

que faire ?

Être en «pleine conscience», et laisser émerger ses «intuitions», ses décisions ?

Votre proposition: …....................................................................

 

Exemple 9 - Vivre en «pleine conscience»: Le sens de la souffrance.

Parfois on souffre, cela nous paraît injuste et on souffre encore un peu plus.

Peut être, parce que l'on n'a pas «conscience» du sens de la souffrance ?

Je vois plusieurs sens à la souffrance:

a- La complémentarité avec le bonheur.

b- Une alerte si on s'enferme dans des comportements automatiques, sans "conscience".

c- Un choc du passé qui à inscrit un comportement automatique.

d- Une alerte d'un comportement pas harmonieux pour le bonheur des autres.

e- Une alerte, pour éviter un problème encore plus gros.

f- La preuve que l'on est libre.

g- L'éveil chez les autres.

h- Un cadeau caché.

i- Parfois le mental en rajoute.

j- Reconnaître le sens de sa souffrance.

 

a- La complémentarité avec le bonheur.

Si on revit éternellement le même plaisir; est ce qu'au bout d'un certain temps cette sensation de plaisir ne deviendra t'elle pas la norme, une sensation neutre, sans joie et sans douleur ?

Alors une autre sensation, que l'on va percevoir comme douloureuse, peut nous refaire prendre «conscience» de cette ancienne sensation agréable; et nous faire ressentir le plaisir, en contraste avec cette sensation de souffrance.

 

b- Une alerte si on s’enferme dans des comportements

automatiques dont on est pas «conscient».

Si on s'enferme dans un comportement automatique répétitif

(un attachement), que l'on a inscrit à un moment donné en soi;

pour nous informer de cette prison, de cet automatisme, dont on est peut être pas complètement «conscient» aujourd'hui;

la souffrance peut être un moyen de nous alerter.

Aussi, si on ressent de la souffrance, on peut observer

si un de nos comportement revient régulièrement ?

Ce comportement est t'il une source régulière de souffrance ?

Et si vous souhaitez le déconnecter,

vous pouvez aller au chapitre: Déconnexion des attachements.

 

c- Un choc du passé qui à inscrit un comportement automatique.

Si on a eu dans le passé un choc émotionnel ou physique qui a inscrit en nous un comportement automatique (un attachement) avec de la souffrance; alors chaque fois qu'un élément déclencheur (un bouton) de ce programme sera présent; le comportement automatique se déclenchera, avec la douleur associée.

Mais si on en est «conscient», on peut enclencher la déconnexion de cet attachement.

 

d- Une alerte d'un comportement pas harmonieux pour le bonheur des autres.

C'est la loi du Karma: Si nous avons des intentions et des actions qui ne sont pas en harmonie avec le bonheur des êtres; alors vont apparaître des alertes (des souffrances par exemple) pour nous avertir de cela.

Alors posons nous en «pleine conscience» la question:

Quels peuvent être nos comportements qui ne sont pas en harmonie avec le bonheur de tous les êtres.

Et modifions nos comportements, pour ne plus souffrir en retour.

 

e- Une alerte pour nous éviter un problème encore plus gros.

Parfois il nous arrive une tuile, un événement douloureux, et on se dit: Pourquoi ça m’arrive à moi ?

Une possibilité, c’est que cette souffrance est peut être une alerte pour nous protéger d'une souffrance encore plus grande.

Je m’explique:

Par exemple, si une personne a l'impression qu'elle est plus intelligente et plus perspicace que les autres; et que sa prétention lui dit /lui fait croire que rien ne peut lui arriver; qu'elle se promène tard le soir dans un endroit à risque, et qu'elle se fasse agresser;

et que se soit une fille de son immeuble qui, malgré le risque de prendre un coup de couteau, fasse fuir son agresseur.

Est ce que cela va la changer ?

Si elle entends et comprend le message, cela va peut être lui sauvez la vie; parce que le mois prochain elle avait prévu, dans un voyage au USA, par bravade, de traverser le Bronx à pied la nuit;

et là, c’est peut être les pieds devant, dans une boîte en bois, qu'elle serait revenue des USA.

 

f- La preuve que l'on est libre.

Je pense que la souffrance c’est aussi la preuve que l'on est libre:

Libre de créer du bonheur,

Libre de créer de la souffrance.

Car si on a le choix que de créer du bonheur,

je pense que l'on n'est pas libre.

Mais si j'ai mon libre arbitre; cela veut aussi dire que les autres ont leurs libres arbitres; et que les expressions de leurs libres arbitres peuvent engendrer de la souffrance en moi même (ou du bonheur d'ailleurs); comme mon libre arbitre peut générer de la souffrance (ou du bonheur chez les autres.

Aussi, la souffrance (et le bonheur) peut m'apprendre à reconnaître mon libre arbitre, et celui des autres.

 

g- L'éveil chez les autres.

Prenons l'exemple d'une personne A qui s'intéresse aux autres et qui agit avec amour pour leurs bien-être.

Mais que d'autres personnes estiment, par égoïsme,

que cela va à l'encontre de leurs satisfactions de court terme,

et calomnient, agressent la personne A.

Quelle attitude avoir:

Agresser; fuir; rester en «pleine conscience» et aimer ?

- L'agression ne risque t'elle pas de renforcer l'agression en retour; et de justifier leurs agressions futures ?

- La fuite peut elle être interprétée comme une preuve de culpabilité; et de renforcer l'agression ?

- Peut être que l'attitude la plus efficace (même s'il y a de la souffrance), est de rester en "pleine conscience", présent et dans l'amour; et de reconnaître les passions, les aveuglements, d'envoyer notre amour, d'agir en "pleine conscience".

Et si d'autres personnes perçoivent un jour

l'attitude de la personne A,

peut être seront elles interpellées ?

Percevront elles quelque chose d'autre ?

Commenceront elles à changer ?

Car il n'y a qu'elles qui peuvent se changer, si elles le décident.

De même, il est important de savoir que nous sommes tous interdépendants.

Aussi, comme une balle perdue, un éclat d'une action non harmonieuse de quelqu'un d'autre, peut nous atteindre.

Alors on peut se dire: Pourquoi cette souffrance m'atteint,

alors que je n'ai rien fait, que je n'y suis pour rien?

Que nous n'y soyons pour rien ou que nous ne voyons pas d'éventuels liens; pour moi, l'attitude est la même:

Être en «pleine conscience» de ce qui se passe, et agir pour le bonheur de tous (dont nous même); même si ce n'est pas nous qui avons généré le conflit, la souffrance.

Et notre comportement peut avoir un rôle d'éveil de la bonté et de la «conscience» chez les autres.

 

h- Un cadeau caché.

La souffrance peut elle être un cadeau caché ?

Cela dépend si on la regarde avec son ego ou avec sa "conscience".

Si on regarde la souffrance avec son ego, on se concentre souvent sur les comportements des autres qui créent de la souffrance en nous. Et l'ego interprète souvent cette souffrance comme une injustice; parfois une fatalité à laquelle il faille se résigner;

comme une incapacité que nous aurions à être heureux ?

Si on regarde la souffrance avec sa "conscience" (donc en "pleine conscience"); notre "conscience" voit la souffrance comme une information qui peut nous permettre de nous améliorer; entre autre en éliminant des comportement qui ne sont pas ou plus en harmonie avec le bonheur de tous.

 

i- Parfois le mental en rajoute.

Ce qu'il est important de se rappeler,

c'est que lorsque l'on souffre, le mental en rajoute souvent,

en se disant par exemple: C'est injuste; pourquoi ça m'arrive à moi;

mais qu'est ce que je vais devenir; ça va être la catastrophe;

je ne peux pas supporter cela etc...

Et ces souffrances rajoutées par le mental est parfois 10 fois plus forte que la souffrance initiale.

Alors, lorsque des souffrances mentales rajoutées s'élèvent, mettons nous en "pleine conscience" des pensées de notre mental, pour désactiver ces rajouts de souffrances; parce que ces souffrances surajoutées nous pénalisent, et ne nous aident pas dans la résolution de la situation.

 

j- Reconnaître le sens de sa souffrance.

Alors, pour connaître le sens de notre souffrance; soyons en «pleine conscience»:

Observons notre respiration, nos sensations,nos sentiments, nos pensées...

Puis posons nous la question: Qu'est ce que cette souffrance a à m'apprendre?

Envoyons notre respiration dans notre souffrance, et laissons émerger ce qui vient:

Parfois un comportement.

Parfois un choc du passé...

Et si quelque chose émerge, agissons.

Et on va se rendre compte que notre «conscience» est libératrice de notre souffrance.

 

Exemple 10 - Vivre en «pleine conscience»: Parfois on se détruit soi même.

Parfois on a le sentiment que les autres nous détruisent

en constatant leurs agressions pour satisfaire leurs attachements de plaisir, de contrôle, de pouvoir, de domination.

Mais que peut on faire pour sortir de cette situation ?

- Prendre des dispositions de protection?

- Agir sur les autres ?

Mais si la décision de changement ne vient pas de la personne elle même, cette personne changera elle vraiment ?

- Agir sur nous même?

Alors, nous pouvons observer en «pleine conscience» si nous avons quelque chose en nous qui peut créer des circonstances favorables à une agression: un comportement, une attitude récurrente?

Parfois on croit que c'est notre caractère, et que l'on ne peut pas se changer. Mais si un comportement automatique a été inscrit; il peut être enlevé.

Aussi, il est important d'observer en «pleine conscience»:

si on a des comportements récurrents qui génèrent de notre part de l'agression vers de autres;

ou des comportements qui favorisent de la part des autres des agressions vers nous même.

Puis de trouver l'événement qui à inscrit ce comportement automatique, pour le désactiver.

 

Exemple 11 - Vivre en «pleine conscience»: Ma mission de vie.

On s'interroge parfois sur sa mission de vie.

On peut chercher avec son mental:

- Qu'est ce que je sais faire ?

- Quelles sont mes expériences ?

- Quel métier est demandé ?

- Est ce que c'est bien payé ?

- Etc......

Et on reste parfois sur sa faim; dans ses doutes, ses interrogations, ses schémas de penser, sa souffrance.

Et si quelque chose émerge de surprenant; le mental prend le contrôle et dit que ce n'est pas réaliste, qu'il n'y a pas de marché, que ce n'est pas fait pour moi.

Alors, il va peut être falloir changer de méthode?

Couper le mental, et être en «pleine conscience»:

Observer sa respiration, ses points de contact avec le sol, ses sensations, ses sentiments, ses pensées...

Ne faire qu'observer, sans alimenter ses pensées par d'autres pensées; et si une pensée émerge l'observer, c'est tout.

Puis, à propos de sa mission de vie, on se pose la question:

Qu'est ce que j'aime, qu'est ce qui résonne en moi ?

Et on observe en «pleine conscience» ce qui remonte instantanément, on note ce qui vient.

Ensuite, toujours en «pleine conscience» on se pose la question: Comment puise commencer dans ce que j'aime, dans ce pourquoi je suis fait, dans cette mission de vie?

Et on observe ce qui émerge spontanément.

La clé c'est d'être en «pleine conscience» et de laisser émerger ce qui vient de suite, sans penser (on aura tout le loisir de penser plus tard, si on le souhaite).

Ce qui émergera sera peut être un changement radical dans une nouvelle activité, ou un démarrage d'une nouvelle activité à temps partiel, ou en parallèle de votre activité actuelle, ou un test pour voir ce que cela déclenche en vous.

Ensuite, il est fondamental d'agir, même un petit pas (ou un grand); une action pour enclencher la réalisation de nos rêves,

de ce que l'on est profondément; et que cela devienne réalité.

Parfois une action déclenche quelque chose qui nous met sur le chemin d'une activité que l'on n'avait pas envisagé au départ. Aussi, restons ouvert, saisissons les opportunités qui se présentent à nous, qui nous interpellent en «pleine conscience», et que nous sommes prêt à assumer.

Donc agissons, et observons ce que cela déclenche.

Et si une difficulté se présente, ressentons en «pleine conscience» ce qui émerge: Enclencher une action complémentaire...

Et ayez confiance dans votre décision, dans ce que vous aimez, dans ce qui est important pour vous.

Car si vous mettez votre énergie dans un projet, autant que ce soit pour quelque chose qui en vaille la peine.

 

Exemple 12 - Vivre en «pleine conscience»: Rester jeune.

Le corps physique vieillit, nous constatons des rides, nos traits se creusent, notre silhouette change.

Tout change. Alors, peut être accepter cet état de fait inévitable, plutôt que de se battre contre l'inévitable.

Cela est aussi peut être le signe que nous sommes attaché à l'image. Si tel est le cas, travaillons sur cet attachement.

Mais cela ne veut pas dire qu'il faille ne rien faire, qu'il ne faille pas prendre soin de nous: Au contraire, prenons soin de nous, mais sans attachement.

J'ai constaté que certains attachements ou comportements automatiques, en revenant encore et encore creusent nos traits, nos lèvres se referment, nos visages se plissent, la tension s’installe dans nos corps et nos expressions.

Un fonctionnement en «pleine conscience» nous rend plus confiant, plus détendu; les traits de notre visage et de notre corps deviennent aussi plus détendus, nous paraissons plus jeune.

Aussi, si nous souhaitons être jeune dans notre tête et dans notre corps, et rayonner autour de nous; nous pouvons méditer, vivre en «pleine conscience», et désactiver nos attachements.

 

Exemple 13 - Vivre en «pleine conscience»: L'éclatement.

Il y a environs13,7 milliards d'années, le big bang (la grosse explosion) a projeté dans l'espace la matière (entre autre) que nous observons aujourd'hui.

Cela a généré l'éclatement, la dispersion, la division.

Peut être pour nous apprendre la solidarité, l'interdépendance, l'unité ?

Car nos corps proviennent tous de cet éclatement origine.

Nous sommes tous reliés par l'unité de cet éclatement origine.

Mais certains ont la perception que nous sommes des êtres séparés, indépendants; et que nous pouvons trouver le bonheur en nous isolant, en ne pensant qu'a soi. Alors que notre survie et notre évolution, notre bonheur, n'est peut être que dans la solidarité, le rassemblement et l'union ?

 

Exemple 14 - Vivre en «pleine conscience»: La maladie peut être un message.

Comme cela a déjà été évoqué, lorsque nous avons des comportements, des actes qui ne sont pas en harmonie avec le bonheur de tous les êtres; des messages nous parviennent pour nous informer que certains de nos comportements, actes ne sont pas en harmonie avec le bonheur de tous.

Au départ les messages sont légers: Pensées, rêves, coïncidences... Si nous n'entendons pas ces messages, ils deviennent plus forts ou douloureux: Accidents, perturbations...

Si nous continuons de ne pas en tenir compte, c'est parfois la maladie. Parfois le message nous est plus directement dédié;

parfois plus collectif si la maladie concerne un ensemble de personnes (si un comportement collectif qui n'est pas en harmonie avec le bonheur de tous les êtres).

Décoder, s'est se relier à sa «conscience», et a son expression: ses «intuitions».

Et si la maladie nous enferme, c'est peut être que nous nous étions enfermé par la couronne de nos pensées, de nos croyances, de nos comportements répétitifs, de notre égoïsmes...

Si la maladie touche une grande partie des êtres, dispersés dans le monde, cela nous informe aussi que nous sommes tous reliés.

Le message de la maladie peut nous rappeler de nous connecter à ce que nous sommes: notre «conscience»;

et que nos «consciences» nous ouvrent vers les autres.

Mais si on n'entend pas les messages, les messages suivants seront plus forts, plus douloureux.

Alors que si on entend les messages, que l'on change, on grandit; et le monde, dont nous même, est plus harmonieux et heureux.

 

Exemple 15 - Vivre en «pleine conscience»: Bombes à retardement.

Lorsque l'on travaille en développement personnel en «pleine conscience» sur soi même; on déconnecte des réactivités (autre nom des attachements ou des comportements automatiques).

Et si on fait la liste de toutes nos réactivités constatées, et que l'on travaille dessus; on peut penser qu'une fois qu'on les aura toutes déconnectées, on sera tranquille.

Mais ce qu'il faut savoir, c'est qu'une réactivité (un attachement) peut se déclencher, alors qu'on ne l'a jamais constaté auparavant, et cela quel que soit son age.

Pourquoi ?

Parce qu’une réactivité se déclenche en fonction d'un déclencheur (une action, un événement...) qui est l'information bouton d'un l'attachement; et si ce déclencheur n'est jamais apparu dans notre vie actuelle, nous n'avons jamais déclenché cette réactivité;

et nous n'avons donc pas «conscience» de cette réactivité là.

Et le déclencheur peut être matériel (un événement matériel) ou «subtil» (une information «subtile» que l'on perçoit).

L'age peut aussi expliquer le déclenchement d'une réactivité.

Si par exemple, dans une de nos vies antérieures, nous avons été intoxiqué par une substance lorsque l'on avait 40 ans; nous pouvons devenir allergique à cette substance lorsque l'on aura 40 ans dans cette vie.

Le déclenchement d'une réactivité peut venir de nous, mais aussi de notre lignée familiale ou de personnes avec lesquelles on est en lien «subtil». Par exemple si notre arrière grand mère avait développé un cancer à 45 ans après le décès d'une personne qu'elle aimait; si on est en liens «subtils» avec notre lignée familiale, nous pouvons développer un cancer à 45 ans (surtout si une personne que l'on aime décède à cette même période).

Il y a donc, peut être, plein de bombes à retardements (réactivités non «conscientes»), en nous même, qui peuvent se déclencher à n'importe quel moment, si le déclencheur (le bouton) devient présent.

Comme autre exemple, nous pouvons être réactif(ve) aux champs électromagnétiques forts sans le savoir (si nous avons cette réactivité, et que l'on n'a jamais été en contact avec des champs électromagnétiques forts auparavant).

Mais aujourd’hui, si on rentre en contact avec un champs électro magnétique fort, on peut être perturbé.

 

Exemple 16 - Vivre en «pleine conscience»: Parfois des situations ou des cas paraissent désespérés.

Parfois des situations ou des cas nous paraissent désespérés,

et on veux agir sur le monde, pour supprimer cette souffrance.

Bien évidement vouloir le bonheur des êtres et supprimer la douleur est louable.

Mais attention que cela ne soit pas le signe d'un attachement à la non souffrance (ou un autre attachement) sans voir le sens de la souffrance, qui parfois nous permet de prendre «conscience» de ce que nous avons à améliorer en nous même, pour que nous allions mieux, pour que le monde aille mieux.

Face à la tristesse, voir au désespoir, de constater notre monde qui se dégrade; de constater des humains dans leurs schémas égoïstes. Comment se positionner ?

Peut être travailler sur soi même, sur nos attachements de pouvoir, de valorisation (même s'ils nous apparaissent faibles)...

Et en «pleine conscience», laisser émerger nos «intuitions»,

nos actions qui émergent, pour le bonheur de tous.

Mais si nous voulons mentalement forcer les choses, sauver les cas désespérés de force avec nos certitudes mentales, nous pouvons tomber dans la dictature du bien.

Et si on change les choses de force, avec nos certitudes, sans être dans la «pleine conscience» cela risque de n'être qu'un changement de surface, qui ne résoudra pas à terme la situation.

Il n'est bien sûr pas question de rien faire; mais de se mettre au meilleur positionnement que l'on peut: En «pleine conscience» laisser émerger nos «intuitions», et agir.

Car pour sortir de manière durable des cas désespérés;

cela ne se résoudra pas au délai imposé par notre ego;

mais au rythme auquel cela doit se produire en agissant régulièrement en «pleine conscience»; en apprenant ce que nous avons à apprendre.

 

Exemple 17 - Vivre en «pleine conscience»: Le monde est il absurde ?

L'absurdité du monde vient elle de la répétition ?

De l'enfermement dans nos certitudes, dans nos schémas de penser répétitifs, dans nos comportements automatiques qui nous enferment et nous font tourner en rond, dans les même processus ?

Attaché à ce que les choses soient comme nos programmes le disent, comme nos certitudes le disent?

Ou dans une originalité illusoire conditionnée par nos schémas de penser: L'idée que nous nous faisons de l'originalité: une originalité de la différence pour la différence, pour l'image?

Suffit il de laisser émerger de notre «conscience» ce qui doit l'être, sans le programmer ou le vouloir mentalement, sans l'exigence du paraître plus beau, plus différent?

Sans confondre «original», et vouloir faire absolument différent des autres ?

Quel peut être notre rôle dans ce monde de conditionnement ?

Le déconditionnement ?

Aussi, vaincre l'absurdité, c'est peut être trouver qui nous sommes, notre rôle ; et laisser émerger nos «intuitions» de notre «conscience» ?

 

Exemple 18 - Vivre en «pleine conscience»: Le moment présent.

Parfois, face à une souffrance passée; notre mental en rajoute,

en remettant sur le tapis que c'est un grand malheur, que c'est injuste.

De même, nous nous inquiétons parfois pour le futur.

Et nous souffrons encore plus en ressassant des scénarios catastrophes, qui rajoutent de l'inquiétude et du stress.

Ces souffrances répétitives du passé, et ces projections incertaines de l'avenir nous affaiblissent.

Et, en tournant en rond dans notre mental et nos pensées répétitives, cela freine les émergences «d'intuitions» de notre «conscience», qui nous permettraient de trouver des solutions plus efficaces pour le bonheur de tous.

Si on ressent que le comportement en «pleine conscience» est plus efficace que le fonctionnement mental ou automatique;

ne plus avoir confiance, dans un monde que l'on perçoit absurde, c'est peut être avoir oublié la puissance, la créativité, l'imprévisibilité des «consciences» qui s'expriment dans le moment présent.

Car les actions originales et créatives des «consciences» modifient à chaque instant le présent, et rendent l'avenir imprévisible.

Alors nous avons le choix de laisser émerger en «pleine conscience», dans le moment présent nos «intuitions».

De nous libérer de nos souffrances passées et de nos peurs de l'avenir (par exemple en travaillant sur les attachements qui sont associées à ces souffrances, à ces peurs).

Car si des événements catastrophiques imprévisibles peuvent arriver;

cela veut aussi dire que des miracles imprévisibles peuvent arriver.

 

Exemple 19 - Vivre en «pleine conscience»: La «conscience» a le temps.

L'ego est pressé, il fait plein de choses à la fois, vite, il est submergé, pressé, débordé, stressé, et ça doit arriver quand il l'a décidé, dans l'exigence d'avoir tout, tout de suite, centré sur ses exigences ou les exigences de l'ego du patron.

L'ego croit que c'est fini après la mort du corps physique, c'est peut être pour cela qu'il veut faire le maximum de choses avant de mourir ?

Le raisonnement de l'ego est mental ou réactif.

Mais comme il est pressé, il ne peut pas tout voir; et il fait souvent n'importe quoi, des problème surviennent, et il saute sur toutes les mines; ce qui l'amène souvent à refaire plusieurs fois les même choses. Il n'apprend pas réellement en profondeur, il est dans l'image, le toujours nouveau, le compliqué, le pouvoir, l'argent, la comparaison, la critique, le jugement, les conflits, il passe à côté de l'essentiel.

La «conscience»: Ce que l'on est profondément (ma croyance), réellement, durablement, est amour, respect, simplicité, attention à ce qui est, a une vue globale, fait une chose à la fois, ça arrive quand c'est le moment, a le temps de vivre l'instant présent.

 

Exemple 20 - Vivre en «pleine conscience»: La non confiance en soi vient elle de notre perception du monde?

Quoi que nous fassions; des personnes (dont nous même) peuvent toujours dire qu'il y a encore des problèmes, des difficultés, que cela ne va pas, que l'on aurait pu mieux faire.

Et comme parfois nous croyons cela, on pense que l'on a mal fait, ou pas assez bien. Et nous doutons de nos capacités à contenter et satisfaire tout le monde: Les êtres qui nous sont chers, les êtres dont nous voulons être aimé etc...

Et nous constatons régulièrement nos échecs, nos demis échecs ou nos lacunes...

Ce qui entraîne parfois une non confiance en nous.

Mais il y aura toujours quelqu'un (dont nous même) pour nous dire que ce n'était pas parfait. Et nous risquons alors, de ne jamais avoir confiance en nous, dans les autres, dans le monde.

Lorsque l'on ressent, au plus profond de soi, que le fonctionnement en «pleine conscience» est plus ouvert, plus global, avec beaucoup plus d'informations, plus efficace qu'un fonctionnement mental ou automatique.

Alors, lorsque l'on est en «pleine conscience» et qu'une «intuition» émerge; qu'on la ressent juste; que l'on agit; et que l'on assume notre décision; on est au mieux que l'on puisse être, on n'a donc rien à regretter, et on a confiance.

Bien sûr il y aura des difficultés et des souffrances, mais comme c'est en réalité le minimum que l'on puisse générer; alors on fait avec. Et on laisse les oiseaux de mauvaises augures (qui se valorisent en rabaissant les autres), critiquer tous les petits détails.

On regarde alors en «pleine conscience» les oiseaux de mauvaises augures croasser, et on laisse la caravane passer, en confiance.

 

Exemple 21 - Vivre en «pleine conscience»: N'y a t'il que nous qui pouvons nous sauver ?

Certes on peut être aidé; mais cela reste malgré tout de notre décision. Et si on ne souhaite pas d'aide, une aide de force sera inefficace, voire aura un effet contraire.

L'accompagnant que nous auront choisi ne nous imposera pas ses idées, ses certitudes; mais facilitera l'expression de ce que nous sommes. Car même en étant accompagné, nous sommes la source de notre changement.

 

Exemple 22 - Vivre en «pleine conscience»: J'abandonne mes anciens maîtres:

J'abandonne mes attachements à mes anciennes valeurs.

J'abandonne mes pensées mentales répétitives.

J'abandonne mes croyances dictatoriales.

J'abandonne mes comportements récurrents.

J'abandonne mes attachements à vouloir te faire plaisir.

J'abandonne mes attachements à tes caprices.

J'abandonne mes attachements aux plaisirs que tu me procurais.

J'abandonne mes attachements de culpabilité.

J'abandonne....

Je jette l'éponge, gorgée d'attachements devenus inutiles et malodorants; «conscient» de m'abandonner à ce qui émerge spontanément du vide (du vide de mes pensées etc...), agissant dans l'instant, confiant.

 

Exemple 23 - Vivre en «pleine conscience»: Nous sommes tous les patrons de nous même.

Dans le domaine matériel de l'ego (l'ensemble de nos raisonnements mentaux, de nos comportements automatiques, de nos croyances, de nos certitudes, de nos raisonnements récurrentes, auxquels nous nous identifions) le mot patron a un sens de décideur, souvent de dominant, parfois de dictateur; imposant sa volonté aux autres par le contrôle sur leurs esprits ou sur leurs corps; contrôlant, manipulant, utilisant la force parfois; dans l'illusion que leur place de décideur est méritée; et que notre place de soumis à leurs décisions est juste.

Mais ce n'est qu'une illusion;

même si nous pouvons avoir la perception de nous soumettre librement; croyant que nous ne sommes pas dignes d'être aimé, pas dignes de diriger notre vie; pas dignes d'accompagner d'autres personnes, pas compétents;

avec des propos lorsque nous étions enfant, de nos professeurs, parents, entourage, que ce que nous faisions n'était pas suffisant, mal, et décevait les exigences de leurs egos.

La confiance en soi est une petite lumière (ou une grande) que nos enseignants, nos parents, nos amis... peuvent:

- Préserver, encourager, faciliter.

- Ou essayer de tuer, essayer d'éteindre, essayer de nous cacher.

Mais le patron, de notre petite lumière, c'est nous même,

notre «conscience», toujours présente en nous même, inaltérable, indestructible.

Toutes ces lumières en chacun de nous sont reliées par l'amour,

et chaque lumière peut nous accompagner dans la révélation de ce que nous sommes: Les patrons de notre petite lumière.

 

Exemple 24 - Vivre en «pleine conscience»: Un égoïste peut devenir altruiste.

Si un égoïste prend le temps de regarder les conséquences de l’égoïsme et de l'altruisme, pour lui même et les autres, va t'il devenir altruiste ?

Si toutes les personnes autour de moi sont égoïstes,

tout le monde est «contre» moi, car chacun tire la couverture à lui; et cela va générer de la souffrance.

Si toutes les personnes autour de moi sont altruistes, m'aident, tiennent compte de mes aspirations;

que j'écoute aussi leurs aspirations;

et que nous trouvons ensemble des solutions cohérentes pour les personnes; nous allons être heureux.

Aussi si un égoïste prend le temps de regarder et de comprendre les conséquences de l’égoïsme, et de l'altruisme, pour lui même et les autres, il va devenir altruiste.

 

Exemple 25 - Vivre en «pleine conscience»: Les murs.

Parfois, on commence le développement personnel parce que l'on souffre;

et on découvre qu'un comportement répétitif (un attachement) en est la cause; on le déconnecte (par exemple en retraversant en «conscience» l'événement qui a inscrit ce comportement automatique), et on va mieux.

Ensuite, on ne souffre plus (ou moins, si son niveau de «conscience» n'était pas encore assez profond) du déclenchement automatique de cet attachement; même si parfois il est nécessaire de re observer nos sensations, nos sentiments, l'événement origine, pour éliminer les scories qui pourraient encore rester.

Puis on se rend compte qu'il y a d'autres attachements qui nous font souffrir. On les localise, et on les déconnecte.

Mais l'ego (fait de tous nos attachements et pensées récurrentes basées sur nos croyances, auxquelles nous nous identifions) prend les tentatives de déconnexion de ses attachements, comme une attaque contre lui.

Et l'ego se défend en protégeant ses attachements.

Et pour défendre ses attachements,

L'ego perturbe le processus de déconnexion des attachements:

- En brouillant nos mises en «pleine conscience».

- En essayant de nous faire repasser en mode mental.

- En envoyant des pensées comme: Cela ne sert à rien, tu te trompes.

- En envoyant de la souffrance.

Et lorsque l'ego sent que la «conscience» est en train de déconnecter encore plus d'attachements importants, ou de se rapprocher de la «conscience» de ce qu'est l'ego;

l'ego envoie un mur.

Un mur de peurs, de sensations désagréables, de fatigues, de confusions, de tristesses, de découragements, de pensées négatives, de dépressions; pour nous bloquer; pour nous faire croire que le travail en «pleine conscience» cela ne fonctionne pas, pour nous faire renoncer, pour protéger ses attachements.

Si on constate un mur, c'est que l'on est sur la bonne voie.

C'est que l'ego jette ses forces dans la bataille.

C'est que l'on est près du but de la déconnexion de l'attachement (ou des attachements) concerné, ou de la vision de ce qu'est l'ego, ou de la perception de sa «conscience».

Dans ce cas, il est souhaitable:

- De continuer d'être en «pleine conscience» de sa respiration, de ses sensations, de ses sentiments, de ses pensées, des événements, de ses souffrances...

- De laisser remonter ses «intuitions».

- De faire face à ce qui émerge.

- De déconnecter ses attachements.

- De continuer d'approfondir son niveau de «conscience».

- De continuer ses prises de «conscience».

Même si bien sûr on peut se laisser une pause pour souffler;

en constatant que cette décision de faire une pause émane bien de notre «conscience».

Aussi, lorsque l'on fait du développement personnel;

on passe par des périodes de doute, de tristesse, de découragement, de confusion, de désespoir, voire de dépression.

Pourquoi ?

Parce que, comme on vient de le voir, comme on avance entre autre en déconnectant nos attachements, l'ego se défend (et c'est un signe que l'on avance).

De plus rappelez vous les étapes du deuil:

Choc, déni, colère, marchandage, dépression, résignation, acceptation, reconstruction.

Et la déconnexion d'un attachement est perçue par l'ego comme une perte (donc un deuil à faire).

Et on passe par les étapes du deuil (dont la dépression).

Mais ensuite, en étant en «pleine conscience», on avance vers

l'acceptation, la reconstruction, et on grandit.

 

Exemple 26 - Vivre en «pleine conscience»: La nuit noire de l’âme.

Certaines personnes s'identifient à leur ego (à leurs comportements automatiques, à leurs croyances, à leur mental) .

Et lorsqu'elles commencent à faire du développement personnel; progressivement elles prennent «conscience» de leurs comportements automatiques qui les perturbent, de leurs croyances, de leur fonctionnement mental;

Et avancent vers plus de «conscience».

Et il y une période de transition entre:

- La période où la personne s'identifie à son ego.

- Et la période où la personne est éveillée à sa «conscience»;

est «consciente» de ce qu'est son ego (ses fonctionnements automatiques, son fonctionnement mental);

et fonctionne régulièrement en «pleine conscience».

Dans cette période de transition, la personne est entre deux chaises, entre deux mondes, tiraillée dans deux directions, deux manières de fonctionner:

- Avec ses anciennes certitudes, son fonctionnement mental, ses comportements automatiques, d'un côté.

- Avec ses «intuitions» qui remontent, de l'autre côté.

Et dans cette période de transition, ce que qui émerge de nous,

ce que nous ressentons, c'est souvent douloureux:

Entre doutes, interrogations, incompréhensions, confusions, tentions, perturbations, souffrances, voire la dépression.

Dans cette période de transition: la nuit noire de l’âme (de la «conscience») on est dans une part de nuit, dans une part d'ignorance, dans une part de choses cachées et enfouies, dans une part de nuit qui obscurcit notre «conscience».

C'est notre «conscience» qui éclairera cette nuit, et la dissipera.

Nous allons donc passer:

d'un ego sans «conscience», avec des comportement automatiques sans «conscience» souvent inadaptés aux situations de l'instant, et un mental piloté par ses certitudes, ses croyances, et centré sur lui;

à un fonctionnement coordonné et piloté par la «conscience» avec un ego sain.

Qu'est ce qu'un ego sain:

C'est un ego où les fonctionnements automatiques sont supervisés par la «conscience», et sont adaptés aux situations présentes (comme retirer automatiquement sa main du feu, les battements de son cœur...); et un fonctionnement mental dans les cas où il est adapté à la situation, supervisé par la «conscience» pour des taches matérielles, des calculs (par exemple) etc...

Dans la nuit noire de l’âme, notre plus grande force,

c'est notre «conscience», c'est:

- D'être en «pleine conscience».

- De faire face en «pleine conscience», d'affronter ses plus grandes peurs, ses blessures, sa part d'ombre; de continuer à déconnecter ses attachements.

- Dès qu'une perturbation violente et soudaine nous frappe (un attachement qui se déclenche par exemple); de respirer, d'envoyer en «pleine conscience» notre respiration dans ses sensations, ses sentiments, ses pensées ...

- De reconnaître une «intuition» qui émerge, d'un déclenchement d'un comportement automatique, ou d'un fonctionnement mental.

- De savoir revenir en «pleine conscience» (observer sa respiration, ses points de contact, ses sensations...) si on constate que nos pensées récurrentes nous enferment, qu'un comportement automatique se déclenche.

- D'accepter de changer.

- De faire confiance à ses «intuitions» et d'agir.

Et cela à chaque instant de notre vie, dans l'instant présent.

Et maintenant que notre «conscience» éclaire notre vie, que le jour s'est levé :

- Nous percevons notre «conscience».

- Certes des douleurs apparaissent parfois, mais nous savons les observer en «pleine conscience», et nous ne renforçons plus ces douleurs. Nous pouvons donc continuer de travailler sur nous même plus sereinement, en faisant face à des scories éventuelles.

- Nous approfondissons, développons et stabilisons notre état de «pleine conscience» dans notre vie de tous les jours.

- Nous développons nos «intuitions».

- Nous développons notre amour pour tout ce qui est, dans le respect du libre arbitre de chaque «conscience».

- Nous agissons en accord avec notre «conscience», les autres «consciences» et le «bain de conscience».

 

Exemple 27 - Vivre en «pleine conscience»: La nuit noire de l’âme des flamme jumelles.

En préambule je vais préciser les termes employés pour des âmes sœurs et des âmes jumelles, par rapport aux flammes jumelles.

On est en lien avec toutes les âmes (les «consciences»).

Et on a été en contact, dans nos vies antérieures, avec un très grand nombre d’âmes (de «consciences»).

Mais attention, car les termes ont un sens différent pour certains,

et tout le monde n'appelle pas les même choses de la même manière.

J'ai déjà expliqué le sens du mot «conscience» tel que je le perçois (le corps «subtil» de la «conscience», ou l’âme).

Mais on peut aussi différentier le terme âme et le terme esprit.

L’âme correspondant plus (dans ma définition des mots) à la «conscience» (niveau de «conscience» NC6: «conscience» de sa «conscience»); et le terme esprit correspondant plus (dans ma définition des mots) au niveau de «conscience» NC7 «conscience» du «bain de conscience».

Après cette parenthèse; nos âmes sœurs et nos âmes jumelles sont des âmes avec lesquelles nous avons eu des liens d'amour très forts dans une (ou plusieurs) vie antérieure.

Les flammes jumelles se sont deux âmes complémentaires (parfois cela s'exprime: l'une yin, l'autre yang) comme les 2 pièces d'un puzzle. Les flammes jumelles ont de fortes connexions «subtiles» entre elles, et un amour profond entre elles.

Elles se sont incarnées pour vaincre leurs peurs (leurs attachements, leurs réactivités) les plus profondes, pour vaincre leurs egos, s’éveiller a leurs «consciences», vivre en «pleine conscience», dans l'amour, évoluer.

Comment savoir si on est des flammes jumelles?

Sur les quelques points suivants (bien sûr ce n'est pas exhaustif,

ni un questionnaire d'embauche); mettez vous simplement en «pleine conscience» et ressentez ce que vous dit votre cœur:

- Vous vous aimez profondément, de manière désintéressée.

- Un don réciproque.

- L'envie profonde d'être ensemble (pas uniquement pour le plaisir).

- Intérêt pour les projets, l'évolution de l'autre.

- Une bienveillance réciproque.

- Avec votre âme jumelle, vous vous sentez tiré vers le haut, vers plus d'énergie, vers des vibrations hautes.

- L'autre active fortement et régulièrement vos attachements (vos réactivités), vos peurs. Mais pas pour vous faire souffrir ou vous manipuler; mais parce que cela vient naturellement (sur le fond, c'est par amour), pour vous montrer vos attachements (pour que que vous les déconnectiez, si vous le décidez).

Etc.......

Comme les flammes jumelles se sont incarnées pour évoluer;

entre autre en déconnectant leurs attachements les plus forts (et les autres).

Chaque flamme jumelle réactive donc les attachements, les peurs, chez l'autre (comme l'abandon, la séparation, la non attention, le non respect, l'agression, l'injustice etc...).

Et chaque réaction de l'un, active souvent chez l'autre le déclenchement d'un autre attachement (réaction de l'autre qui est parfois perçue comme une agression).

Cela va en général entraîner un enchaînement de réactions qui sont plus un combat d'ego, que des échanges dans l'ouverture et la «pleine conscience». Et cette succession de déclenchements de réactivités, de protections et d'attaques (ou perçues comme tel), va conduire la plupart du temps à une rupture, à une séparation (ou à des ruptures, à des séparations successives).

Pendant la séparation, les deux âmes (les deux «consciences») vont travailler à désactiver leurs attachements; faire face à leurs plus grandes peurs pour les désactiver. C'est une période très douloureuse, car le lien «subtil» existe, l'amour réciproque existe (même s'il est parfois masqué pour ne pas trop souffrir), et les deux «âmes» jumelles sont séparées physiquement.

Une période de confusion; parce que l'on est dans le passage d'un fonctionnement de l'ego à un fonctionnement en «pleine conscience» (similaire à l'exemple précédent, la nuit noire de l’âme). C'est pour cela que l'on appelle cette période de séparation:

La nuit noire de l’âme des flammes jumelles.

Puis, lorsque les deux flammes jumelles ont déconnectées leurs plus grandes peurs, leurs principaux attachements; et que les êtres commencent à s'éveiller à leurs «consciences»;

un contact peut de nouveau avoir lieu (dans cette vie, ou dans une vie suivante...).

- Les «consciences» (les âmes) constatent qu'elles ont changées.

- Les déclenchements des réactivités réciproques sont mieux maîtrisées (par la respiration, le fait d'être en «pleine conscience»...)

- La relation est plus légère, dans l'instant présent, sans prévision, sans contrôle.

- Sans attente, on prend son temps, dans le calme.

- Chacun travaille sur soi, comme il le souhaite, à son rythme.

- Dans la bienveillance.

On est sorti de la nuit noire de l’âme des flammes jumelles.

 

Exemple 28- Vivre en «pleine conscience»: Son chemin de vie.

Un point fondamental dans son chemin de vie, c'est de savoir qui nous guide ?

- Notre mental et nos comportements automatiques (notre ego).

- Notre "conscience" (ce qui nous survit après la mort de notre corps physique) ?

- Un gourou ?

- Un thérapeute ?

- Un dictateur ?

- Autre : …........................................... ?

- Si c'est notre mental et nos comportements automatiques (notre ego) qui nous guide, comme ces comportements sont souvent les même, ils nous enferment. Et nous avons de notre chemin l'idée que s'en fait notre ego, en fonction de nos programmes de valorisation, de nos idées reçues, de nos conditionnements qui ont été inscrits dans notre cerveau/notre corps physique.

- Si on est "conscient" de ce que nous somme véritablement, profondément, durablement: notre "conscience"; alors c'est notre «conscience» qui nous guide.

C'est notre "conscience" qui décide de nos actions;

on est en "pleine conscience" responsable de sa vie;

on se prend en charge.

- Si on se laisse accompagner, guider par un gourou, un thérapeute, un dictateur etc...

Je vois deux possibilités:

Soit c'est un choix "conscient", alors c'est nous qui conduisons notre vie en choisissant de nous faire accompagner (vers l'autodétermination de ce que l'on est véritablement?), et cela revient à être guidé par sa «conscience».

Soit les croyances de notre ego nous font croire que l'on ne sait pas comment et quoi décider par nous même.

Alors ce n'est pas nous qui conduisons notre chemin de vie, mais les autres.

Parce que nous n'avons peut être pas "conscience" que toutes les réponses sont en nous, dans notre "conscience"; et que notre chemin de vie consiste peut être à le découvrir.

On peut aussi voir «vivre en pleine conscience»,

comme un chemin de vie.

En vivant en "pleine conscience" les expériences que nous avons à vivre, émergent dans notre vie, cohérentes pour nous même et pour les autres; et on agit en "pleine conscience" pour le bonheur de tous.

Si on est perturbé, que l'on a une difficulté, après s'être assuré que l'on est en "pleine conscience"; on respire dans ses sensations, ses sentiments, ses pensées... et des "intuitions" émergent, pour nous monter des solutions à ces difficultés.

Il n'y a alors pas de bonne ou de mauvaise décisions,

mais que des décisions que l'on est prêt à assumer.

Le fait d'être régulièrement en "pleine conscience", dans les différentes situations de notre vie, nous permet d'approfondir notre niveau de "conscience".

Cela nous permet d'atteindre des informations enfouies profondément dans notre "conscience", et donc de pouvoir déconnecter complètement certains attachements,

inscrits en nous à des niveaux de "conscience" profonds.

Mais la "pleine conscience" ne concerne pas uniquement

l'attention portée à ses perceptions.

Elle concerne aussi notre attention portée aux autres, car nous somme tous en interactions, en interconnections.

Et si nous échangeons avec les autres; notre "pleine conscience" de l'instant va nous permettre de percevoir les communications "subtiles" qui émanent de la "conscience" de l'autre, de l’écouter vraiment, totalement, profondément; de mieux comprendre ses besoins, ses demandes, les causes de ses souffrances, voire de son agressivité, pour trouver ensemble en "pleine conscience" des solutions qui donnent satisfaction aux deux.

Le point fondamental dans notre chemin de vie, c'est peut être de ne pas se laisser guidé par son mental et ses comportements automatiques qui nous égarent; mais de vivre en "pleine conscience".

 

Exemple 29 - Vivre en «pleine conscience»: La recherche du Graal.

Mais que cherche t’on:

La plus grande des richesses ?

Mais quelle est la plus grande des richesses:

- Ce que l'on est vraiment: Sa «conscience»?

- L'amour ?

- Dieu ?

- La connaissance de ce qui est ?

- La «pleine conscience» ?

- Être heureux ? et comment y parvenir ?

- Gagner au Loto ?

- Votre recherche : …....................................... ?

S’il s’agit d’une recherche spirituelle:

- Notre mental et nos programmes matériels risquent de ne pas nous être d’une grande utilité; et peut être même qu'ils nous emmèneront sur de fausses pistes.

- Le mental et les attachements, avec leurs volontés de

possessions, de retenir, me fait constater, que si le Graal (spirituel) existe; il ne doit pas être un récipient qui retient/garde son contenu;

mais au contraire quelque chose qui laisse circuler ce qui est.

Une forme me vient:

 

41 le graal 10 mars 2021

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

- Les pieds sur terre, avec une assise, un ancrage, une perception du contact avec la matière.

- Une parabole de réception des informations «subtiles».

- Un lien de communication entre les deux, comme un canal, où l’on observe en «pleine conscience» la circulation de ce qui est:

Des matières, des sensations, des sentiments, des pensées, des causes, des «consciences», le «bain de conscience».

- L'amour: Un point, un cercle origine.

Cette forme me fait penser à un être humain, entre ciel et terre.

Un être d’alliance entre la «conscience» et la matière.

Mais dans une recherche;

Cherche t'on le reflet ou la source de ce reflet?

Cherche t'on une matière ou la source de cette matière ?

Et si la matière est une projection de la «conscience»,

est ce la «conscience» que nous cherchons ?

Cherchons nous un Graal matériel ? ou Spirituel ?

Cherchons nous une Arche d'alliance matérielle ? ou Spirituelle ?

Mais où chercher dans le monde ?

Sous le temple de Salomon ?

Près d'une source ?

Dans une grotte ?

Etc...

Mais si nous cherchons une «conscience»,

rappelons nous que les «consciences» sont partout.

 

Exemple 30- Vivre en «pleine conscience»: Du respect à l'amour.

Lorsque l'on perçoit le monde avec ses sens matériels;

on peut voir les objets comme des choses à notre service, que l'on utilise, modifie, malmène, casse, comme on le veux.

Et parfois on a la même attitude avec les végétaux, que l'on utilise pour notre plaisir, que l'on malmène, que l'on mange sans «conscience».

C'est aussi parfois la même chose pour les animaux que l'on considère comme des peluches à notre service, que l'on maltraite parfois, que l'on mange aussi souvent sans «conscience».

Et cela se poursuit pour les humains que nous considérons parfois à notre service pour notre plaisir, un peu comme des objets.

Lorsque l'on est en «conscience»

des «consciences» des humains,

des «consciences» des animaux,

des «consciences» des végétaux,

des «consciences» des cellules,

des «consciences» des minéraux,

des «consciences» des atomes,

des «consciences» des particules,

une communication «subtile» peut s'établir avec leurs «consciences» et nous voyons l'amour, le service, l'attention qu'ils nous portent. Je les remercie de cela.

Alors peut s'élever de notre «conscience» du respect pour les humains, pour les animaux, pour les végétaux, pour les cellules, pour les minéraux, pour les atomes, pour les particules...

voire de l'amour.

 

Exemple 31- Vivre en «pleine conscience»: S'aimer.

L'amour, est ce:

- Un comportement automatique (ou un ensemble de comportements automatiques) ?

- Des réactions chimiques dans le cerveau, un raisonnement mental 

- Une perception en «pleine conscience» ?

Si je t'aime, est ce que j'ai envie de vivre, de partager mes joies, mes moments de bonheur, en «pleine conscience» avec toi?

Si je t'aime, est ce que j'ai envie, en «pleine conscience», de t'écouter, de te comprendre, de comprendre ce que tu ressens,

tes besoins, tes demandes, tes préoccupations, tes souffrances ?

Si je t'aime, est ce que j'ai envie de t'exprimer en «pleine conscience» mes besoins, mes demandes, mes préoccupations, mes souffrances ?

Si je t'aime est ce que j'ai envie de te parler, si je perçois des incompréhensions, des tensions  entre nous?

Si je t'aime est ce que j'ai envie d'être avec toi en «pleine conscience» ?

Si je t'aime est ce que j'ai envie que tu sois libre, et qu'aussi en «pleine conscience» je me sente libre ?

Mais qu'est ce que l'amour:

Votre avis .................................................................. ?

- La source de ce qui est ?

- Ce que l'on est au cœur de nous même?

- La plus grande force ?

- Ce qui nous relie, ce qui nous unit ?

- Ce qui donne un sens à la vie ?

- Ce qui nous permet d'être heureux ?

L'amour n'est peut être pas de vouloir que les autres soient avec nous, en étant attaché aux plaisirs qu'ils nous procurent; mais d'être attentif à ce qui rend les autres heureux, en respectant leurs choix et leurs libres arbitres ?

Pour savoir ce qu'est l'amour, peut être vivre dans l'amour, être amour ?

 

Exemple 32- Vivre en «pleine conscience»: Pas d'amour sans pardon ?

Pardonner aux autres ? pardonner à soi même ?

L'amour est dans l'instant présent; dans l'ouverture; dans l'émergence de ce qui est; dans le vide des pensées, des rancœurs, des attachements, des vengeances, des haines, des cristallisations des souffrances passées, des jugements, des conditionnements, des accumulations...

Et aujourd'hui est un jour nouveau, avec des personnes différentes d'hier, parce que les personnes changent.

Aussi je fais table rase de mes conditionnements, de mes rancœurs,de mes vengeances, qui m'alourdissent, m’immobilisent, bloquent mon amour.

Alors mes rancunes, mes vengeances, mes combats contre les autres, contre ce qu'ils m'ont fait, ne me sont plus nécessaire pour donner un sens à ma vie.

Je ne me bat plus, je pardonne, plus de rancunes, plus de vengeances, plus rien.

Plus rien que l'amour dans mon cœur.

 

Exemple 33- Vivre en «pleine conscience»: L'attention à ce que les autres expriment.

En général, on commence par développer son état de «pleine conscience» en observant sa respiration, ses points de contact, ses sensations, ses sentiments, ses pensées dans un endroit calme, puis progressivement dans des situations de notre vie de tous les jours.

Mais si cela permet de développer, d'approfondir et de stabiliser son état de «pleine conscience»; cela ne doit pas nous enfermer dans nos perceptions.

Et s'il est normal de développer son état de «pleine conscience», en observant ses perceptions; notre état de «pleine conscience» se développe aussi en étant à l'écoute en «pleine conscience» des autres.

Car le risque serait d'échanger avec les autres en étant centré sur ses perceptions.

Car si on est centré sur soi, on risque alors de percevoir les autres comme on a envie qu'ils soient, de les idéaliser (ou de les diaboliser), et de ne pas les percevoir tel qu'ils sont.

Pour développer notre attention aux autres; on peut s'assurer, lorsque quelqu'un s'exprime, que l'on est attentif à lui/elle en «pleine conscience».

Mais, comme pour l'état de «pleine conscience» où au début de sa pratique, on décroche de cet état au bout d'une ou de plusieurs minutes, et que l'on constate que l'on est passé en mode mental ou automatique.

De même lorsque l'on écoute en «pleine conscience» l'autre,

on se rend compte que l'on est parfois dans ses pensées, ou en fonctionnement automatique; au lieu d'écouter en «pleine conscience» l'autre, lorsqu'il s'exprime.

Alors dès que nous avons cette perception, revenons à l'attention en «pleine conscience» de ce que l'autre exprime.

Aussi il peut être utile, lors d'un échange avec quelqu'un, de se poser régulièrement la question: Est ce que je suis attentif (et en«pleine conscience»), à ce que l'autre exprime ?

Et comme l'état d'être attentif à ses perceptions est souvent plus fréquent que d'écouter les autres; pour se désintoxiqué de ce comportement, on peut par exemple privilégier l'écoute de l'autre, avant d'exprimer son point de vu.

Et de toute façon, ce n'est pas parce que l'autre s'exprime en premier, que l'on ne pourra pas exprimer son point de vu ensuite.

Et après un certain temps d'attention régulière et constante à l'écoute en «pleine conscience» des autres; la mise en place des liens «subtils» avec les autres, et l'attention aux autres deviendra naturelle et évidente.

Pour savoir si on est attentif aux autres (et développer notre attention aux autres) je vous propose un jeu:

Le jeu de l'attention à l'autre.

Le jeu consiste, lors d'une conversation avec un être, à observer toutes les minutes (environs bien sûr), si l'on est attentif et en «pleine conscience» à l'autre; ou si l'on est non attentif à l'autre.

Pour cela, il y a deux périodes:

- Les périodes où l'autre parle (ou s'il y a un silence).

- Les périodes où l'on parle.

- Dans les périodes où l'autre parle (ou s' il y a un silence);

si on constate que durant une minute on a toujours été attentif et en «pleine conscience» à l'autre, on met une barre du côté attentif à l'autre.

Si on n'a pas été toujours attentif et en «pleine conscience» à l'autre, lorsque l'autre s'exprimait (par exemple parce que on a été à des moments centré sur soi, ou en mode mental, ou en mode automatique), on met un barre du côté non attentif à l'autre.

Si durant n'importe quelle période d'une minute, si les deux voulaient s'exprimer et que l'on a pris la parole en premier, c'est une barre pour cette minute pour non attentif à l'autre.

- Dans les périodes où l'on parle, on regarde si on a été, dans la minute où on a parlé, au moins à un moment donné, attentif en «pleine conscience» à l'autre.

Si tel est le cas on met une barre du côté attentif à l'autre.

Par exemple si on a posé en «pleine conscience» une question à l'autre, si on lui a demandé si c'était clair, si on a été attentif si l'autre s'ennuyait ou si quelque chose l’interpellait ou s'il voulait parler.

Et tout cela, bien sûr, en «pleine conscience»; car il n'est pas question de demander machinalement à l'autre si tout va bien, sans être en «pleine conscience» complètement attentif à ce que l'on exprime, et à la réponse de l'autre.

Mais, si dans la dernière minute où l'on parlait, on n'a pas été au moins une fois attentif en «pleine conscience» à l'autre, on met une barre du côté non attentif.

A la fin de l'échange, on regarde combien de minutes l'échange a duré (bien évidement noter l'heure au début de l'échange).

Si l'échange a duré par exemple15 minutes, il devrait y avoir en tout 15 barres (car on met une barre toutes les minutes, et pas plus d'un barre par minute).

Et si on n'a pas mis de barre durant une minute, c'est que l'on était pas attentif à faire le point toute les minutes. Aussi s'il y en a moins de barres que le nombre de minutes de l'échange, on rajoute les barres manquantes du côté non attentif.

Par exemple s'il y a 8 barres du côté attentif à l'autre;

et 3 barres du côté non attentif à l'autre;

soit un total de 11 barres;

et que l'échange a duré 15mn, il manque 4 barres;

Donc, on rajoute ces 4 barres dans non attentif à l'autre.

Ce qui fait 3 + 4 = 7 barres du côté non attentif à l'autre.

Que vous inspire ce jeu?

Que vous inspire les résultats, si par exemple il y 8 barres attentif, et 7 barres non attentif ?

 

Exemple 34- Vivre en «pleine conscience»: Ce ne sont pas les autres qui me font souffrir, mais mes attachements.

Si tu me quittes, je peux te dire que tu me fais souffrir.

Mais si je souffre, est ce parce que je t'aime avec attachement ?

Attaché aux plaisirs que tu me procures ?

Certes j'observe en «pleine conscience» que j'étais heureux avec toi. Et je garde en mémoire les moments heureux passés avec toi, que je suis heureux d'avoir vécu, plutôt que rien.

Certes cela aurait pu durer encore un peu de temps.

Mais pour que deux personnes vivent ensemble il est nécessaire que les deux décident de le faire, et pas uniquement une seule.

Et je vais peut être me rendre compte que ce n'est pas toi qui me fait souffrir, mais mes attachements: à ta présence, à nos échanges, à nos activités ensemble...

Aussi, si je déconnecte en «pleine conscience» ces attachements, et ne garde que l'amour ouvert que j'ai pour toi;

je souffrirais moins, ou ma souffrance se transformera.

Car même si nos corps physiques sont séparés,

je peux continuer de t'aimer, sans rien attendre en retour.

 

Exemple 35- Vivre en «pleine conscience»: Yin Yang.

Le bien et le mal apparaissent parfois comme une dualité:

une perception de l'ego.

Mais qui peut dire qu'une action est bonne ou mauvaise ?

Et qu'elle engendrera dans le court terme et le long terme,

pour tous les êtres, plus de bonheur que de souffrances?

Nous avons en nous même les deux aspects d'une capacité, en cohérence, en complémentarité: Comme le yin et le yang.

Comme par exemple:

Être souple et être ferme.

Être organisé et être déstructuré.

Être gai et être triste.

Etc...

Peut être qu'aucune capacité, attitude, n'est ni bonne ni mauvaise ?

Et que cela dépende du contexte, des circonstances, de l'environnement ?

Par exemple dans une situation donné la souplesse est peut être la plus adaptée pour créer du bonheur; alors que dans une autre situation la fermeté est peut être la plus adaptée pour créer du bonheur (et parfois c'est un mix des deux).

Si nous sommes toujours sur le même mode de fonctionnement (par exemple toujours dans la souplesse maximum, sans fermeté), quel que soit les circonstances, parce que notre ego a étouffé une de nos aptitudes, attitudes (par exemple en nous disant que la fermeté c'est mal); ce mode de fonctionnement unique ne va pas être adapté dans certains cas, et cela va générer de la souffrance.

C'est l'ego qui compare, qui juge, qui bonne les bons points ou les punitions. Et qui peut nous amener à croire que nous sommes bon, ou mauvais, ou un monstre.

Alors que notre «conscience» est tous les différents aspects potentiels, sans jugement de valeur.

Aussi, acceptons ces différents aspects de nous même;

libérons les aspects qui sont bloqués, qui ne s'expriment pas;

et laissons émerger en «pleine conscience» l'aspect potentiel de nous même le plus adapté à la situation présente, pour le bonheur de tous.

 

Exemple 36- Vivre en «pleine conscience»: Effets de la pratique régulière de la «pleine conscience».

La pratique régulière de la «pleine conscience»:

- Améliore l'attention à ce que l'on fait.

- Régule les émotions.

- Améliore la maîtrise de nos impulsions.

- Réduit le flot des pensées qui nous perturbent.

- Réduit le stress.

- Facilite le traitement de la dépression.

Pour information: 50% des personnes qui ont fait une première dépression, font une deuxième dépression.

Et environs 75 % des personnes qui ont fait deux dépressions, font une troisième dépression.

Un essai clinique a été fait sur des personnes qui ont déjà fait deux épisodes dépressifs, et qui en font un troisième:

On donne à ces personnes des antidépresseurs.

Au bout de quelques mois on sélectionne les personnes qui sont sorti de la phase aigu de leurs dépressions (et qui continuent, pour consolider leur traitement, de prendre des antidépresseurs), et on les divise en trois groupes:

Le premier groupe continu de prendre des anti dépresseurs.

Le deuxième groupe continu de prendre des anti dépresseurs, mais en réalité c'est un placebo.

Pour le troisième groupe, après leur avoir appris à méditer en "pleine conscience", les personnes continuent de pratiquer journellement la méditation de "pleine conscience" (et elles ne prennent plus d'antidépresseurs).

Après deux ans, le groupe qui prend des antidépresseurs et le groupe qui médite ont les même résultats: 70% de non rechute (ou 30% de rechute).

Le groupe qui a pris un placebo a 20% de non rechute (ou 80% de rechute).

- La pratique régulière de la «pleine conscience» permet d'être plus calme, entre autre dans dans les moments difficiles.

- Améliore la maîtrise de soi.

- A des effets sur notre santé.

Une expérience a été faites sur des personnes à qui on a administré un vaccin contre la grippe.

La première moitié du groupe pratiquait régulièrement depuis 3 mois la méditation de "pleine conscience",

la deuxième moitié du groupe ne pratiquait pas la méditation de «pleine conscience».

Quelques semaines après l'injection du vaccin on mesure la production d'anticorps. Le groupe pratiquant la méditation de «pleine conscience» avait un taux d'anti corps trois fois supérieur au groupe qui ne la pratiquait pas.

Un autre constat concerne les télomères (se sont les capuchons qui sont aux extrémités des chromosomes).

Les télomères sont un indicateur du vieillissement cellulaire.

Un étude a montré l'effet de la méditation de "pleine conscience"

sur le maintien et la réparation des télomères des chromosomes.

- Améliore la compassion aux autres, l’altruisme, nos relations avec les autres.

- Développe notre vue globale, notre "intuition".

- Facilite la résolution de nos difficultés.

- Facilite notre développement personnel.

- Réduit nos souffrances.

Lorsque l'on souffre (Par exemple à l'occasion de la perte d'un être cher), le mental en rajoute souvent :

C'est injuste, Pourquoi ça m'arrive à moi.

Mais qu'est ce que je vais devenir.

Ça va être la catastrophe.

Je ne peux pas supporter cela. Etc...

Et notre mental augmente notre souffrance.

Et cette souffrance mentale surajouté est parfois bien plus forte que la souffrance initiale (10 fois plus forte parfois).

Et la méditation de «pleine conscience»,

par l'observation de nos pensées,

à une action pour réduire cette souffrance mentale surajoutée.

- Augmente notre niveau de "conscience".

 

Exemple 37- Vivre en «pleine conscience»: Certaines personnes disent: Méditer ça ne me fait rien.

Prenons l'exemple d'une personne qui a 30 ans, qui médite depuis 30 jours, 30mn par jour; et qui trouve que la méditation ça ne lui fait pas grand chose.

Pour résumer, cette personne médite donc chaque jour 0,5 heure sur les 16 heures où elle est réveillée; cela fait environs 3 % de son temps.

Et comme elle à 30 ans, elle a donc été réveillée:

30 ans x 365 jours x 16 heures = 175 200 heures.

Et elle a pratiqué la méditation 30 jours x 0,5 heure = 15 heures;

cela fait environ 0,01% de son temps.

Ce qui est probable, si avant de commencer la méditation de «pleine conscience» cette personne n'était pas naturellement et régulièrement en état de «pleine conscience»; c'est qu'elle fonctionne aujourd'hui principalement de manière mentale ou automatique; que l'habitude de fonctionner de manière mentale ou automatique soit ancrée en elle; que son fonctionnement lui paraisse normal, et qu'elle s'identifie à ces deux modes de fonctionnement (mental ou automatique).

Il est donc probable, que si elle continue de fonctionner de cette manière, qu'elle ai l'impression que la méditation, cela ne lui fait pas grand chose. Car à ce stade, pour ses décisions qui ont une incidence sur sa vie; il y a plus de chance qu'elle les prennent de manière mentale ou automatique qu'en «pleine conscience».

Alors qu'une personne qui vit principalement en «pleine conscience» perçoit de manière claire que cela est fondamental dans sa vie.

Mais si cette personne doit attendre que l'état de «pleine conscience» s'installe la plupart du temps en elle,

elle peut se décourager de pratiquer la «pleine conscience», si elle ne constate pas d'effets favorables pour elle, dans le court terme.

Alors, il peut être utile qu'elle se concentre sur des points précis, où elle pourra plus facilement constater ses petites victoires (ou ses grandes) dans le court terme, en pratiquant la "pleine conscience":

1- Par exemple, on peut constater un effet sur la réduction de son stress.

Si on est stressé, et que l'on pratique la "pleine conscience":

- En observant l'air rentrer par ses narines, son ventre se gonfler, son ventre se dégonfler, et l'air ressortir par ses narines.

- En observant ses points de contact avec le sol.

- En envoyant sa respiration dans ses sensations, ses sentiments, ses pensées...

Après quelques minutes de pratique de la "pleine conscience";

est ce que l'on se sent plus calme ?

2- On a parfois des idées partielles sur la méditation:

On peut croire, par exemple, que la méditation est un état de décontraction, en étant assis, sans bouger.

Mais l'état méditatif c'est plus large que cela:

C'est un état d'observation en «pleine conscience»,

mais pas forcément immobile, et pas forcément dans dans un endroit calme.

L'état de «pleine conscience» est un état naturel, qui peut être présent dans toutes les situations de notre vie.

Certes, lorsque l'on commence, il est souvent plus facile d'être en «pleine conscience» (en méditation de «pleine conscience») en étant immobile et dans un endroit calme.

Mais on peut aussi être en «pleine conscience» en bougeant ses doigts, en bougeant un bras, en bougeant une jambe, en marchant, en mangeant, en parlant, en attendant dans une queue, dans les transports en commun etc...

Aussi, pour faciliter la pratique de la «pleine conscience»;

on peut pratiquer la «pleine conscience» à n'importe quel moment où on est disponible.

Comme par exemple:

Lorsque l'on attend dans une queue, dans les transports en commun, en faisant une pause dans la journée, en marchant etc...

Dans ces moments là, on observe en «pleine conscience» sa respiration, ses points de contacts, ses sensations, ses sentiments, ses pensées... et si on constate que l'on a déconnecté de l'état de «pleine conscience», on revient à sa respiration, à l'observation de ses points de contact, à l'observation de ses sensations, de ses sentiment, de ses pensées.

On peut aussi visualiser que l'on envoi sa respiration dans ses sensations, ses sentiments...

Même si cela ne dure que qu'une minute.

Mais il est souhaitable, si possible, de pratiquer l'observation en «pleine conscience» plusieurs fois durant une journée.

En pratiquant la «pleine conscience» tous les jours de cette manière, on peut:

- Constater ses progrès, en observant la durée et le nombre de fois où l'on a pratiqué la «pleine conscience» dans la journée.

- Constater qu'au début on observait en «pleine conscience» principalement ses sensations dans son corps (par exemple: douleur dans le dos, pression dans la gorge...); alors que désormais on peut observer ses sentiments; ou observer ses pensées sans les alimenter par d'autres pensées (uniquement observer ses pensées).

- Constater que l'on peut observer en «pleine conscience» ses sensations, ses sentiments, ses pensées, en mangeant, en écoutant une personne parler...

- Puis observer en «pleine conscience» ses sensations, ses sentiments, ses pensées, dans des situations de plus en plus agitées; comme en marchant sur un terrain accidenté, avec du bruit autour de nous, avec des personnes énervées ou stressées...

3- Après la pratique de la «pleine conscience», est ce que l'on arrive, pour des décisions qui nous angoissent ou nous stressent,

à rester en «pleine conscience» ?

Et à prendre des décisions avec plus de recul ?

4- Lorsque l'on a une difficulté, une souffrance;

est ce que l'on arrive à observer en «pleine conscience» ses pensées, qui rajoutent de la souffrance ?

Comme par exemple:

C'est injuste, ça n' arrive qu'a moi.

Je ne peux rien faire.

Je ne vais jamais m'en sortir.

C'est un grand malheur, le sort s'acharne sur moi. Etc...

Et par cette observation en «pleine conscience»;

est ce que l'on prend «conscience» qu'avec ces pensées qui tournent en boucle, on se rajoute de la souffrance ?

Alors qu'en observant en «pleine conscience» ces pensées,

cela réduit, voire fait cesser cette souffrance mentale surajoutée?

5- Est ce que pendant ou après des séances de méditation de «pleine conscience», on a plus de facilité à voir ses comportements automatiques: Ce qui déclenchent nos réactions automatiques, et les effets engendrés en nous?

6- Est ce qu'après des séances de méditation de «pleine conscience»; nous prenons plus facilement «conscience» des nos modes de fonctionnement: Mental, ou Automatique, ou en «Pleine conscience» ?

7- Est ce que l'observation de «pleine conscience» nous conduit dans notre vie de tous les jours à une meilleure maîtrise de nos émotions?

Par exemple, si on est perturbé dans des échanges difficiles;

est ce qu'en prenant le temps de respirer profondément en «pleine conscience» lentement, dans ses sensations, ses émotions...

(en se reconnectant à l'état dans lequel on est lorsque l'on médite «en pleine conscience»);

Est ce que l'on est moins submergé par ses émotions ?

Est ce que l'on arrive à mieux gérer la situation ?

8- On peut donc commencer par observer des points précis 

(comme des points évoqués précédemment);

et des éléments de notre vie: Comme des synchronicités, des prises de «conscience», des événements, nos relations avec les autres…et regarder s'il y a des changements.

Mais attention, lorsque l'on développe son état de «pleine conscience»; nos fonctionnements mentaux et automatiques reviennent en général, malgré tout, régulièrement;

avec parfois d'anciennes habitudes d'auto sabotage, d'auto dénigrement, avec parfois de la souffrance et du découragement,

pour nous faire renoncer à être en «pleine conscience», en se disant ça ne sert à rien, et que l'on ferait mieux d’arrêter.

Mais le fait de savoir que notre ego peut nous envoyer de la souffrance et du découragement pour nous faire renoncer à être en «pleine conscience», nous rend plus fort; parce que l'on est prévenu que l'ego fonctionne comme cela, et que cela peut arriver.

Alors si apparaît de la souffrance, de la rumination dans des idées négatives et répétitives, du désespoir: Respirons et observons ces informations en «pleine conscience» pour ce qu'elles sont: Des événements, des sensations, des sentiments, des pensées; pour les traverser en «pleine conscience» et prendre de la distance; pour qu'elles n'aient pas une prise inconsciente sur nous; pour garder notre hauteur de vue et notre libre arbitre de décider ce qui nous convient.

Et étant régulièrement en «pleine conscience» en observant notre respiration, nos points de contact, nos sensations, nos sentiments, nos pensées chez soi, dans les transports, en attendant dans une queue, en mangeant, en discutant etc...

on peut donc constater les points sur lesquels on s'est amélioré,

et observer les effets de la méditation sur nous même et notre entourage; ce qui nous motive à continuer et à approfondir notre état de «pleine conscience».

 

Exemple 38- Vivre en «pleine conscience»: L'auto sabotage.

Parfois des événements de notre passé ont inscrit en nous des comportements automatiques d'auto sabotage:

1- Par exemple, si dans notre passé nos parents, dès que nous ne réussissions pas quelque chose, au lieu de nous dire:

Que c'est normal lorsque l'on apprend de ne pas forcément réussir du premier coup, de nous encourager et nous aider à persévérer, et nous féliciter lorsque nous avons réussi;

nous disaient:

Tu as encore échoué, tu es bête, incapable, tu n'y arriveras jamais; et que cela nous rendait triste.

Il est possible, qu'un attachement, une croyance, se soit inscrit en nous; et qu'une fois adulte, nous soyons triste lorsque nous échouons dans quelque chose, que nous nous trouvions bête, incapable, et que nous pensons que nous n'y arriverons jamais;

et que nous sabotions nos projets, comme pour confirmer les pensées de nos parents, auxquelles nous nous sommes attaché.

Si nous sommes «conscient» d'une telle possibilité; nous pouvons enclencher la déconnexion de cet attachement.

2- Un autre manière possible possible d'intégrer un attachement d'auto sabotage, c'est si nous avons vécu une (ou des) situation importante d'échec dans le passé (par exemple que nous voulions aider nos parents à sortir de leurs difficultés, ou que nous n'ayons pas réussi nous faire aimer de nos parents, d'un partenaire, pas réussi un projet etc...), et que cela ai entraîné par exemple de la tristesse, du désespoir, de la culpabilité, une forte souffrance; et que nous pensions que nous étions nul, incapable; et que nous avons inscrit en nous un attachement lié à la peur de l'échec, la peur de ressentir à nouveau la souffrance de l'échec, avec parfois de la culpabilité.

Alors dans des situations importantes pour nous, nous avons peur de la souffrance qui pourrait survenir si nous échouons. Peurs qui sont parfois inconsciences, que nous avons occulté et que nous n'avons pas envie de voir. Alors nous préférons parfois saboter nos projets, pour nous éviter de constater à la fin que nous avons peut être échoué, et que l'on risque de souffrir.

3- Parfois dans notre enfance on a subit, on ne nous demandait pas notre avis, il fallait obéir, tout accepter, on était dévalorisé, humilié parfois, par la force, la parole, la moquerie, la manipulation, pour que les autres se valorisent à nos dépends.

Alors aujourd'hui par réaction, on décide ce que l'on veut, sans tenir compte de l'environnement ou des autres, qui risqueraient de nous imposer leurs volontés.

Et en décidant autoritairement, unilatéralement, on sabote les projets qui nécessitent la coopération ou l'accord des autres.

4- Parfois dans le passé il y avait des bénéfices secondaires à l'échec: Si on échouait on nous consolait, ou on nous achetait des choses qui nous faisaient plaisir etc... Et nous avons peut être associé (consciemment ou inconsciemment) l'échec au réconfort induit par les autres.

Et peut être qu'aujourd'hui nous échouons pour être consolé, pour avoir des bénéfices secondaires.

5- Un autre attachement qui amène souvent au sabotage, c'est d'être énervé si cela ne va pas comme on le veut, d'être pressé, dans l’exigence. C'est l'ego qui est pressé, dans le pouvoir, dans l’exigence; et on peut être alors en mode réactif (automatique).

On va trop vite, on décide avec énervement et pouvoir, centré sur ses certitudes sans réelle écoute de l'autre, ou on arrête la discussion.

De plus, cela braque et énerve souvent les autres; et cela fait capoter les projets qui nécessitent un accord des différents parties.

Au lieu d'être en «pleine conscience». Car si on est en «pleine conscience», on est au mieux que l'on puisse être, en écoutant les autres dans le calme et la compréhension de leurs besoins, de leurs points de vue.

6- De plus, il faut se rappeler que notre ego défend ses attachements; et que lorsque on déconnecte des attachement et que l'on développe son fonctionnement en «pleine conscience», notre ego fait tout pour arrêter ce travail par des opérations d'auto sabotage (parce que l'ego prend cela comme une agression contre lui même; car l'ego est constitué principalement d'attachements; et que l'ego a l'impression que cela risque de le détruire).

7- Une difficulté, dans les situations les plus importantes pour nous, les plus stressantes; c'est que c'est dans ces moments là qu'il est le plus utile d'être en «pleine conscience».

Et c'est malheureusement dans les situations les plus difficiles, les plus conflictuelles, les plus importantes, les plus stressantes, que nous passons souvent en mode réactif (automatique) ou mental, parce que nous sommes habitué à fonctionner comme cela, et que c'est dans des situations stressantes que certaines réactivités se déclenchent parfois.

8- Alors, repérons nos comportements d'auto sabotage, et ce qui les déclenchent; et désactivons nos comportements réactifs (nos attachements) d'auto sabotage: Détail sur les manières possibles au chapitre déconnexion des attachements.

9- Et dans les différents situations de notre vie, si on sent que l'on est énervé, stressé, réactif, revenir en «pleine conscience» en observant sa respiration, ses points de contact, ses sensations, ses sentiments, ses pensées; et lorsque l'on est revenu en «pleine conscience», exprimer ce qui émerge de nous, nos sentiments, nos besoins, nos propositions; et en «pleine conscience», écouter les sentiments, les besoins des autres, leurs difficultés, leurs propositions, pour trouver ensemble des solutions qui satisfassent les deux.

 

Exemple 39- Vivre en «pleine conscience»: Le sens de ma vie.

Ma «conscience» s'est incarnée dans cette vie pour apprendre, évoluer.

Mais parfois je ne ressens pas de sens à ma vie.

Objectivement, mon mental trouve des activités matérielles que je fais et qui me paraissent utiles.

Mais j'ai la perception de ne pas trouver, parfois de faire pour faire.

Et lorsque je me pose la question: Quand est ce que je ressens un sens à ma vie ?

Je constate, lorsque je suis avec des personnes que j'aime de manière ouverte, sans rien attendre en retour,

que je ne ressens plus ce manque de sens.

 

Chapitre10 - 40 cas qui s'expliquent par l’existence de la «conscience».

Je vais résumer un certains nombre de cas qui s'expliquent

par l’existence de la «conscience» (Pour un être humain, sa «conscience» c'est ce qui continue après la mort de son corps physique).

Mais pour celles ou ceux qui liraient directement ce chapitre;

je rappelle un certains nombre de points déjà évoqués qui précisent ce qu'est la «conscience» et ses spécificités:(hypothèses, croyances ou réalités?)

- Comme de rien il ne peut rien naître, j'en déduis que quelque chose a toujours existé, et je vais appeler ce «quelque chose» qui a toujours existé, et qui rempli tout l'espace, le «bain de conscience».

- Les «consciences» sont des manifestations du «bain de conscience». Le «bain de conscience» fait apparaître par masquage d'une partie de ce qu'il est des «consciences» (de toute éternité, ou dans le moment présent).

- Les êtres humains ont une «conscience» non matérielle (ce qui nous survit après la mort de notre corps physique).

- La matière est une projection de la «conscience».

- Chaque matière (ou rassemblement de matières) est associée à une «conscience»:

Une «conscience» est associée à chaque particule (bien sûr pas avec le même niveau de «conscience» qu'un être humain), à chaque atome, à chaque molécule (minéral), à chaque cellule, à chaque végétal, à chaque animal, à chaque humain.

- Les «consciences» sont partout dans l'espace.

- Les «consciences» stockent et échangent des informations «subtiles» (non matérielles).

Pour la partie matérielle; les corps physiques (dont les cerveaux) échangent aussi des informations, mais qui sont de nature matérielle (sous forme d'impulsions électriques, de réactions chimiques, d'ondes sonores, de lumières...).

- Il y a beaucoup plus d'informations «subtiles» dans la «conscience» que d'informations matérielles dans le cerveau.

Car toute information matérielle qui est dans le cerveau l'est aussi sous une forme «subtile»(non matérielle) dans la «conscience».

Mais l'inverse n'est pas vrai: Certaines informations «subtiles» qui sont dans la «conscience» ne sont pas (sous forme matérielle) dans le cerveau.

- Les «consciences» peuvent émettre des informations «subtiles» (non captées par notre corps matériel: notre corps matériel ne captant que les informations matérielles).

Les informations «subtiles» (comme des sentiments «subtils», des pensées «subtiles»...) émises par une «conscience» peuvent être captées par une autre «conscience» (ou d'autres «consciences»),

si la «conscience» réceptrice se met sur la même fréquence «subtile» que la fréquence d'émission «subtile».

Les «consciences» qui ont de fortes affinités entre elles savent se caler sur les même fréquences «subtiles». Certaines «consciences» ont la capacité de rechercher et de se mettre sur les même fréquences «subtiles» que d'autres «consciences».

- Les transferts d'informations «subtiles» entre deux «consciences» sont instantanés, quelque soit les distances qui les séparent.

 

Exemple de cas qui peuvent s'expliquer par l’existence de la «conscience» (non matérielle).

Les cas que j'ai déjà évoqués dans les chapitres précédents ne seront que mentionnés: Les 9 premiers cas; puis je commenterai les autres cas.

Cas 1- Explication par la «conscience» des Expériences de Mort Imminente (EMI). Point évoqué dans l'introduction; lors de la sortie de la «conscience» hors du corps, dans les expériences de mort imminentes.

 

Cas 2- Explication par la «conscience» de l’accompagnement en «conscience», permettant de converger plus rapidement vers l'essentiel. Point évoqué au Chapitre 3 - Trois modes de fonctionnement, au paragraphe 3 Le fonctionnement en «pleine conscience».

 

Cas 3- Explication par la «conscience» des vies antérieures.

La «conscience» c'est ce qui continue après la mort de notre corps matériel. Ce point est évoqué au Chapitre 4 – Histoire de l'évolution de la «conscience» depuis une particule jusqu'à un être humain.

 

Cas 4- Explication par la «conscience» de la perception d'un bras (ou autre), alors que celui ci a été coupé, amputé.

Point évoqué au Chapitre 4 – Histoire de l'évolution de la «conscience» depuis une particule jusqu'à un être humain, au paragraphe: Je vais faire une parenthèse pour évoquer un exemple lié à l'inscription de ces fréquences de communication «subtile».

 

Cas 5- Explication par la «conscience» des interactions avec des «consciences» d'êtres décédés. Point évoqué au Chapitre 5- 20 Exemples d'interactions «subtiles» avec d'autres «consciences» .

 

Cas 6- Explication par la «conscience» des perturbations avec des «consciences» non incarnées. Point évoqué au Chapitre 5- 20 Exemples d'interactions «subtiles» avec d'autres «consciences»

 

Cas 7- Explication par la «conscience» des prises de contrôle par une autre «conscience». Point évoqué au Chapitre 5-20 Exemples d'interactions «subtiles» avec d'autres «consciences».

 

Cas 8- Explication par la «conscience» des déstabilisations par des intentions perturbatrices «subtiles».

Point évoqué au Chapitre 5- 20 Exemples d'interactions «subtiles» avec d'autres «consciences».

 

Cas 9- Explication par la «conscience» du charisme.

Point évoqué au Chapitre 5- 20 Exemples d'interactions «subtiles» avec d'autres «consciences». Exemple d'interaction 16 - Ascendant de l'ego, Charisme de la «conscience».

 

Cas 10- Explication par la «conscience» des alertes «subtiles» (communications «subtiles») entre des êtres.

Si deux êtres (leurs «consciences») ont les capacités de percevoir et d'émettre des communications «subtiles»;

Si ces deux êtres sont proches et ont des affinités l'un pour l'autre, comme une mère ou son père avec ses enfants par exemple;

ces êtres (leurs «consciences») peuvent avoir la capacité de communiquer de manière «subtile» (en se calant sur les même fréquences d'émission «subtiles»).

Par exemple, si un enfant émet une information «subtile» de danger; sa mère ou son père peuvent la percevoir instantanément, même si la distance qui les sépare est grande.

On constate le même type d'alerte en communication «subtile» entre des «consciences» de végétaux.

Les feuilles de certains arbres lorsqu'elles sont agressées sécrètent des toxines; et on constate alors, que les feuilles des arbres environnants sécrètent aussi instantanément des toxines (en s'étant assuré bien sûr que que l'information n'a pas été transmise par des composés chimiques entre les végétaux); alors que les arbres environnants ne sont pas agressées: l'information a été transmise de manière «subtile» entre les «consciences» des arbres.

Autre expérience de communication «subtile» réalisée par échange d'informations «subtiles» entre deux «conscience» de végétaux:

On agresse les feuilles d'un premier végétal qui est dans une pièce. Dans l'autre pièce il y a un autre végétal sur lequel on a mis des capteurs (pouvant mesurer de faibles variation électriques). Chaque fois que l'on agresse le premier végétal, cela déclenche instantanément un signal (mesuré par le capteur) chez l'autre végétal.

 

Cas 11- Explication par la «conscience» de la sympathie instantanée; et de l’impression de connaître déjà quelqu'un.

On a parfois une sympathie instantanée pour une personne.

Cela peut s'expliquer par une communication «subtile», qui va percevoir instantanément les affinités réciproques que l'on a avec l'autre être.

Parfois les «consciences» ont été incarnées dans des être qui étaient proches dans des vies antérieures; et les «consciences» savent se mettre sur les même fréquences pour communiquer de manière «subtile» (cela se fait instinctivement, spontanément; ce n'est pas un processus mental); et les «consciences» se reconnaissent aussi par des échanges «subtils» de souvenirs communs.

 

Cas 12- Explication par la «conscience» des impressions de déjà vu.

Les transferts informations «subtiles» entre deux êtres sont instantanés; alors que les transferts d'informations matérielles prennent du temps.

Par exemple une parole se déplace à la vitesse du son (340m par seconde environs). Une information visuelle se déplace à la vitesse de la lumière (300 000 km par seconde); certes c'est rapide, mais ce n'est pas instantané.

Aussi si un être émet vers un autre être une information «subtile» en même temps qu'une information matérielle (parole ou geste par exemple);

Si l'être qui reçoit l'information a la capacité de percevoir les informations «subtiles», il va percevoir instantanément l'information subtile; alors qu'il percevra l'information matérielle avec un léger temps de retard.

Et même si ce temps de retard est très faible, il aura quand même la perception d'avoir déjà eu cette information.

 

Cas 13- Explication par la «conscience» d'accès à beaucoup d'informations.

Il y a beaucoup plus d'informations dans notre «conscience» que dans notre cerveau: Des milliers de fois plus, des millions de fois plus, voire beaucoup plus.

Et chaque fois que nous atteignons un niveau de «conscience» plus profond, nous avons accès aux informations qui sont stockées à ce niveau de «conscience»; ce qui nous permet d'avoir accès à encore plus d'informations.

De plus, lorsque nous communiquons de manière «subtile» avec d'autres «consciences», nous captons les informations qu'elles émettent; et cela nous donne accès à d'autres d'informations.

Si nous émettons une demande d'information vers le «bain de conscience»; le «bain de conscience» peut, si nous avons un niveau de «conscience» profond, et que nous sommes en harmonie avec le bonheur de tous les êtres, nous envoyer les informations «subtiles» que nous avons demandé.

C'est ce que l'on appelle avoir accès aux annales Akashiques.

 

Cas 14- Explication par la «conscience» de la voyance.

J'ai évoqué ce point au chapitre 7; mais je vais donner des points complémentaires.

Pour moi, la voyance s'appuie sur un grand nombre d'informations «subtiles» émises par des consciences (souvent suite à une demande «subtile»), et qui sont perçues par la «conscience» d'un voyant A. Ce qui lui permet de laisser émerger de sa «conscience» une prédiction.

Je rappelle que le traitement de toutes ces informations «subtiles» par la «conscience» du voyant A est instantané («intuitive», sans action du mental).

Parfois le voyant A, pour faciliter les manifestations dans la matière de ses perceptions «subtiles», va utiliser des objets de transition entre le «subtil» et la matière, comme une boule de cristal, du marc de café, des cartes, des runes etc...

Mais il est important de savoir que la prédiction est une direction probable, compte tenu des éléments perçus par la «conscience» du voyant A à un instant donné.

Car une prédiction peut interpeller d'autres «consciences».

Cela peut faire prendre «conscience» de ce qui va arriver si on ne change pas nos comportements.

Et si une «conscience» d'une personne B effectue un acte en «pleine conscience» (exprime donc son libre arbitre), après que la prédiction ai lieu; cela peut avoir une action sur la prévision (en accord avec les libres arbitres des autres «consciences» et ce qui est).

Si le flot d'une rivière représente les prédictions du voyant A; L'action, en «pleine conscience», que la «conscience» de la personne B fait après la prédiction, peut avoir une incidence sur le flot de la rivière.

 

Cas 15- Explication par la «conscience» d'informations importantes qui s'expriment dans nos rêves .

Lorsque nous dormons, rêvons; le mental n'est pas aussi présent qu'a l'état de veille.

Le mental bloque donc moins les émergences de la «conscience».

La «conscience» peut donc envoyer plus facilement des informations «subtiles» que nous percevons dans nos rêves.

Ces informations «subtiles» peuvent aussi être envoyées par d'autres «consciences», ou le «bain de conscience».

 

Cas 16- Explication par la «conscience» des échanges avec nos ange gardiens.

Comme nous l'avons vu, nous pouvons communiquer de manière «subtile» avec des êtres incarnées avec lesquelles nous avons des liens «subtils» (en se calant sur les même fréquences d'émission «subtiles»).

Mais cela est aussi possible avec des êtres non incarnés, comme par exemple notre (ou nos) ange gardien.

Pour communiquer (donc de de manière «subtile») avec son ange gardien: Être en «pleine conscience» (état similaire à un état de prière); et dans cet état appeler son ange gardien.

Si on est en «pleine conscience» et réceptif, en général son ange gardien se cale sur nos fréquences «subtiles». Mais avec l'expérience on peut émettre (et recevoir) sur les fréquences habituelles de communication que l'on a avec lui (processus intuitif et spontané).

Poser sa question (ou échanger simplement avec lui) en restant en «pleine conscience», et observer ce qui émerge.

Si c'est notre ego qui fait une demande à notre ange gardien,

il n'y aura en général pas de réponse, ou alors parfois une plaisanterie. Un ange gardien répond à une question importante faite par notre «conscience», dans l'amour, pour notre le bonheur en accord avec le bonheur de tous.

Mais si les réponses émergent parfois juste après une demande; elle s'expriment aussi parfois plus tard (un jour, une semaine...) par des signes, des coïncidences, des événements, des rencontres...

 

Cas 17- Explication par la «conscience» des communications «subtiles» avec les animaux.

C'est une communication de «conscience» à «conscience», lorsque l'on est dans l'amour réciproque, et qu'il y a une grande complicité, affinité, avec l'animal. Cela permet aux deux «consciences» de se mettre sur les même fréquences, et donc de pouvoir communiquer de manière «subtile».

On peut penser que les animaux ont peu de choses à nous apprendre: Que nenni.

Par exemple savez vous transmuter les énergies négatives ?

Si vous ne savez pas encore comment faire et que vous avez un chat (car en général les chats savent transmuter les énergies négatives); vous pouvez, si vous êtes en «pleine conscience», et sur les même fréquence «subtiles» qu'un chat, lui demander comment il fait. Après il répondra ou pas: Cela dépend du chat.

 

Cas 18- Explication par la «conscience» des communications subtiles avec les plantes; les soins par les plantes.

Comme avec un animal, c'est une communication de «conscience» à «conscience», lorsque l'on est dans l'amour, que l'on ressent une forte affinité avec les plantes; ce qui permets aux «consciences» de se mettre sur les même fréquences «subtiles».

Pour communiquer, on se met donc en «conscience» (état de méditation de «pleine conscience»); et on laisse émerger ses perceptions.

Si on souhaite se faire aider par une plante pour se soigner (par exemple); établir une une communication «subtile» avec la plante en étant en «pleine conscience»; puis notre «conscience» envoie une information «subtile» sur notre difficulté ou notre maladie à la «conscience» de la plante.

Si la plante a, dans sa «conscience», des informations qui font écho à notre difficulté; des informations «subtiles» sont envoyées par la «conscience» de la plante sur comment nous soigner (ou la plante effectue un soin «subtil»).

Ce processus avec la «conscience» de la plante vivante, est aussi possible avec des préparations avec des fragments de plante (par exemple séchés). Car je rappelle que chaque «cellule» à une «conscience», que chaque molécule à une «conscience».

Et la «conscience» de la plante, les «consciences» de ses cellules, les «consciences» de ses molécules, se sont échangé des informations «subtiles».

 

Cas 19- Explication par la «conscience» des communications subtiles avec les minéraux, litho thérapie.

C'est le même principe qu'avec les plantes; c'est une communication de «conscience» à «conscience», lorsque l'on a une affinité pour les minéraux.

Si on souhaite se faire aider par un minéral;

établir une une communication «subtile» (méditation de «pleine conscience», ou observation en «pleine conscience», c'est pareil).

Puis notre «conscience» envoie une information «subtile» à la «conscience» du minéral (l'échange «subtil» avec le minéral se fait de manière «intuitive»).

Si le minéral a, dans sa «conscience», des informations qui font écho à notre demande; des informations «subtiles» sont envoyées par la «conscience» du minéral, pour nous communiquer des informations «subtiles» en accord avec notre demande.

Mais n'importe quel minéral ne peut pas nous transmettre les informations que nous demandons (par exemple pour un soin).

Car certains minéraux ont, dans leurs «consciences», des informations pour traiter telle difficulté, et d'autres minéraux ont d'autres informations pour traiter d'autres difficultés.

C'est donc un travail d'échanges avec différents minéraux, pour trouver celui qui peut nous aider, pour une demande donnée.

 

Cas 20- Explication par la «conscience» de la mémoire de l'eau.

Les molécules d'eau au niveau matériel sont identiques:

Elles sont constituées de deux atomes d'Hydrogène et d'un atome d'Oxygène (H2O).

Mais elles ne sont pas identiques au niveau de leurs «consciences»;

car, même si leurs «consciences» contiennent certaines informations/attachements «subtils» similaires;

chaque «conscience» de molécule d'eau a aussi des informations «subtiles» qui lui sont spécifiques;

car lors de ses contacts avec d'autres «consciences» dans ses différentes vies incarnées (dont cette vie); chaque «conscience» de molécule d'eau a intégré des informations qui sont propres aux échanges spécifiques que cette «conscience» de molécule d'eau a eu avec d'autres «consciences».

Par exemple, si une «conscience» d'une molécule d'eau a été en contact avec une «conscience» d'un atome de carbone;

la «conscience» de l'atome de carbone a pu lui transmettre des informations spécifiques au carbone.

De même, si la «conscience» d'un humain a envoyé à une «conscience» d'une molécule d'eau par exemple de l'amour;

cette information d'amour s'est inscrite dans la «conscience» de la molécule d'eau.

L'eau peut donc être un messager (un vecteur) de transmission de toutes les informations «subtiles» avec lesquelles la «conscience» de la molécule d'eau a été en contact.

Et ces informations peuvent être re transmises plus tard à une autre «conscience» (à la «conscience» d'une personne par exemple); si la «conscience» de la personne et de la «conscience» de la molécule d'eau vibrent sur les même fréquences (cela est favorisé par l'état d'esprit, l'état de «conscience», l'ouverture, la bienveillance de la «conscience» de la personne...);

et que la personne (par exemple) interroge la «conscience» de la molécule d'eau sur les informations qui lui sont utiles pour traiter un point particulier (cela se fait de manière «intuitive», ce n'est bien sûr pas une demande faite par le mental);

la «conscience» de la molécule d'eau peut alors émettre les informations «subtiles» qu'elle possède, en lien avec la demande.

 

Cas 21- Explication par la «conscience» de l'homéopathie.

Ce cas a des points communs avec le cas précédent.

Prenons l'exemple d'un ensemble de molécules A (ce peut être des molécules de plante, d'huiles essentielles, de minéraux etc...) qui ont des informations thérapeutiques (des principes actifs) pour une maladie donnée. Ces Informations thérapeutiques sont matérielles par les composants chimiques des molécules A (qui ont une action matérielle sur le corps physique de la personne à traiter); mais les «consciences» des molécules de la préparation homéopathique ont encore plus d'informations «subtiles» dans leurs «consciences».

Le préparateur du médicament homéopathique va mettre ces molécules A en présence d'eau (par exemple, mais cela est aussi possible avec un solvant, une huile, voire un solide...); et un opérateur va agiter en «pleine conscience» l'ensemble: On appelle cela la dynamisation.

Cela va transmettre les informations thérapeutiques «subtiles» qui sont dans les «conscience» des molécules A (de la plante, ou autre) vers les «consciences» des molécules d'eau (ou de solvant, ou d'huile, ou de solide...).

Cela peut aussi neutraliser l'éventuelle toxicité des molécules thérapeutiques A si elles étaient utilisées seules, ou avec une concentration élevée.

Cela peut aussi renforcer l'action des principes actifs de la plante (ou autres).

Ensuite la préparation peut être mise dans un flacon avec un compte gouttes pour la diffusion.

Mais une préparation liquide dynamisée peut aussi être intégrée dans une gélule, un comprimé solide; car les «consciences» des molécules d'eau (ou autre) peuvent transmettre les informations thérapeutiques «subtiles» qui sont dans leurs «consciences» aux «consciences» des éléments solides.

On peut même, ensuite, faire s'évaporer l'eau; car les éléments thérapeutiques «subtils» contenus dans les «consciences» des molécules d'eau ont été transférés aux «consciences» des éléments solides contenus dans la gélule, dans le comprimé.

Ensuite, lorsque un patient va absorber une goutte de préparation

(ou une gélule, ou un comprimé), les informations thérapeutiques «subtiles» contenues dans les «consciences» des molécules d'eau (ou d'huile, ou de solvant, ou des éléments solides de la préparation), vont être captées par la «conscience» du patient, ce qui va l'aider à se soigner.

Ce principe va fonctionner avec les personnes dont les «consciences» peuvent échanger des informations «subtiles» avec les «consciences» de la préparation homéopathique.

Autrement dit cela ne fonctionne pas avec tout le monde.

Notamment ce principe fonctionnera mal pour ceux ou celles dont l'ego bloque les transmissions d'informations «subtiles».

Pour ceux et celles dont la maladie (ou la perturbation) est une alerte d'un comportement non harmonieux pour le bonheur de tous; c'est un travail sur un (ou plusieurs) attachement qui sera nécessaire de réaliser; mais un médicament homéopathique peut avoir une action sur l'éveil de notre «conscience» ; peut favoriser notre travail de développement personnel, par la transmissions d'informations « subtiles » utiles pour nous à ce moment là.

 

Cas 22- Explication par la «conscience» de la mémoire des lieux, des objets.

Lorsqu'il se passe quelque chose dans un lieu, près d'un objet;

des informations matérielles sont produites: Des gestes de personnes, des paroles, des sensations de personnes, des sentiments, des pensées...

Mais en même temps que ces informations matérielles, des informations «subtiles» sont aussi émises par les «consciences» des personnes, des objets...(rappel: Toute information matérielle a une information «subtile» associée).

Et ces informations «subtiles» émises, sont captées par les «consciences» environnantes, des molécules des matériaux qui constituent les murs, le plafond, le sol, les meubles présents, des objets, etc... Et stockées dans leurs «consciences».

Et plus tard (des semaines, des mois, des années...),

si la «conscience» d'un être humain (par exemple),

pose la question (de manière «consciente» ou inconsciente) de savoir ce qui s'est passé dans cette pièce (ou en tenant un objet...); et que cet être humain accorde les fréquences de sa «conscience» sur celles des «consciences» des molécules des matériaux qui constituent les murs, le plafond, le sol, des objets;

ces «consciences» peuvent émettre des informations présentes dans leurs «consciences».

Et si l'être humain capte ces informations mémoires «subtiles»;

il peut savoir ce qui s'est passé dans ce lieu, ce qu'a vécu l'objet.

 

Cas 23- Explication par la «conscience» des réseaux «subtils» des êtres humains. Les méridiens d'acupuncture – les nadis de la Kundalini.

Le corps physique possède des réseaux où circulent:

Le sang pour le réseau sanguin.

L'air pour le circuit respiratoire.

Les influx nerveux pour le système nerveux.

De même, il y a circulation d'énergie «subtile» dans les canaux «subtils», dans les corps «subtils» de notre «conscience»;

par exemple dans le corps «subtil» CS2 des sensations/énergies/matières, appelé aussi parfois corps éthérique ou corps énergétique.

Cette énergie «subtile» qui circule s’appelle Ki chez les japonais, Prana chez les Yogi,

Mana pour les peuples du pacifique,

Ka chez les Egyptiens,

Wakonda chez les sioux etc...

Comme dans le corps physique, si le sang ne circule pas (ou mal) dans les veines et les artères, on va avoir des problèmes de santé. Si l'énergie «subtile» ne circule pas librement dans nos canaux «subtils» on va aussi avoir des problèmes de santé ou des perturbations.

Par exemple, pour rétablir cette fluidité de circulation, l'acupuncture va stimuler des points d'acupuncture, qui sont situés le long des méridiens (canaux de circulation de l'énergie «subtile») pour libérer (par exemple) des blocages énergétiques; ce qui facilite la circulation de l'énergie «subtile», et rééquilibre le système énergétique.

Il y a aussi des canaux principaux d'énergie «subtile» comme les nadis qui passent par les chakras.

Les chakras sont des portes (des roues) énergétiques par lesquelles passent l'énergie «subtile».

Il y a sept chakras principaux, le long d'un canal qui se situe près de la colonne vertébrale. Il y aussi des milliers de chakras secondaires dans le corps (par exemple au milieu des paumes des mains).

Des chakras peuvent être bloqués, ou laisser difficilement passer l'énergie «subtile».

Lorsque les 7 chakras principaux sont débloqués et laissent passer librement l'énergie «subtile» dans les nadis, c'est ce que l'on appelle l'éveil de la Kundalini (Cela est possible par l'élimination des blocages «énergétiques subtils» par un travail de développement personnel entre autre en déconnectant ses attachements, en élevant ses fréquences vibratoires, en développement de l'amour inconditionnel...)

 

Cas 24- Explication par la «conscience» des réseau «subtils» de la terre.

De la même manière, qu'un être humain a dans son corps physique des réseaux matériels (réseau sanguin...); et dans ses corps «subtils» des réseaux «subtils» (méridiens...).

La terre possède dans son corps matériel des réseaux matériels (comme les cours d'eaux...); et dans ses corps «subtils» (notre planète terre a une «conscience») des réseaux «subtils» (réseaux telluriques...) comme le réseau Hartmann, ou le réseau Curry (ce n'est pas exhaustif, car il y en d'autres).

42 reseaux telluriques jan 2021

 

 

 

 

 

 

Le réseau vibratoire Hartmann (ou réseau H) est orienté Nord-Sud et Est-Ouest. Il couvre toute la terre. Il est de forme rectangulaire. Sa maille est d'environ 2 m (Nord-Sud) par 2 m 50 (Est-Ouest).

Les bandes où vibre l'énergie, émanent des profondeurs terrestres, et remontent à la verticale (comme des murs) avec une largeur de l'ordre de 20 cm.

Le réseau vibratoire Curry est orienté à 45° par rapport à l'axe Nord-Sud, et couvre aussi toute la terre.

Les dimensions moyenne de ses mailles sont de l'ordre de 4m (mais les dimensions peuvent être plus petites ou plus grandes suivant les lieux) .

Il s'étend également verticalement comme des murs qui monteraient du sol.

La terre possède aussi des Puits d'énergie, ou Cheminées Cosmo Telluriques (CCT), qui sont des circulations d'énergie «subtile», comme des tubes verticaux où circule l'énergie. Leurs diamètres sont en général de quelque centimètres à plusieurs mètres.

De même que les réseaux «subtils» de l'être humain ont des liaisons entre eux; les réseaux «subtils» de la terre ont des liaisons entre eux. Les réseaux «subtils» des êtres humains ont aussi des interactions avec les réseaux «subtils» de la terre.

Nous pouvons donc rentrer en liaison avec les énergies «subtiles» de la terre. Ces énergies «subtiles» peuvent interagir avec notre «conscience» et en conséquence avec notre corps physique.

Par exemple si vous dormez sur un nœud (un croisement des lignes représentées sur le dessin) du réseau Hartmann, vous pouvez être perturbé, mal dormir, être fatigué...

Pour régler ce problème; vous pouvez par exemple, localiser le réseau Hartmann avec une antenne (ou demander à un spécialiste de le localiser), et déplacez votre lit pour que vous ne soyez plus sur un nœud (surtout la tête).

Il est aussi possible (dans certains cas) de modifier localement l'énergie «subtile» d'un réseau ou d'un puits, s'il ne reste que cette solution (c'est un travail de spécialiste, en échangeant avec les «consciences» concernées).

Comparons la circulation de l'électricité dans un circuit électrique, et la circulation de l'énergie «subtile» dans un canal «subtil» d'un être humain:

Si dans un circuit électrique il y a une restriction, un frein à la circulation de l’électricité (une résistance électrique), et que l'on impose la circulation d'un fort courant électrique: ce point de résistance électrique va chauffer; et si l’intensité du courant électrique est trop forte, cela peut faire fondre le fusible, péter les plombs, faire disjoncter le système.

Pour les circuits énergétique «subtils» humains c'est la même chose: Si vous avez des attachements, des blocages énergétiques dans vos réseaux «subtils» de votre «conscience», et que vous restiez trop longtemps sur une Cheminées Cosmo Telluriques avec une forte circulation d'énergie «subtile»; vous risquez de péter les plombs. Donc, si vous ressentez que vous êtes perturbé en restant sur une Cheminées Cosmo Telluriques; vous savez alors que vous avez des attachements, des blocages énergétiques dans votre «conscience»; et qu'il va falloir les enlever si vous souhaitez supporter des circulations d'énergie «subtile» plus importantes.

Il va falloir alors que vous travaillez sur vous même, à déconnecter vos attachements et blocages énergétiques, pour que l'énergie «subtile» puisse circuler plus librement, sans blocages dans vos canaux «subtils». On est alors canal; c'est le lâché prise, vide de volonté mentale, simplement être là, en observation, en méditation, dans l'instant présent.

Comme les énergies telluriques «subtiles» sont vibratoires;

il peut y avoir des vibrations basses (créées, par exemple, par la présence d'eau stagnante dans la profondeur du sol).

Si la «conscience» (et ses corps «subtils») se cale sur des fréquences basses, on peut être perturbé.

Dans ces cas, s'éloigner du lieu, se mettre en «conscience», ressentir son contact avec le sol pour laisser s'écouler l'énergie «subtile» avec des vibrations basses dans la terre.

Parfois les vibrassions basses activent des attachements, ce qui nous perturbe.

Aussi, si une vibration énergétique basse déclenche, par exemple, en nous une perte d'énergie, un brouillage...

Cette prise de «conscience» peut être le début du processus de déconnexion d'un attachement.

Parfois les vibrations des puits d'énergie (Cheminées Cosmo Telluriques) sont élevées (hautes fréquences). Cela va aider notre «conscience» et nos corps «subtils» à vibrer sur de hautes fréquences; ce qui va nous aider à approfondir nos niveaux de «conscience».

Ce qui explique pourquoi les sites et constructions spirituelles (églises, temples etc...) sont sur des lieux avec des vibrations telluriques élevées, pour faciliter l'élévation vibratoire et spirituelle (état de méditation et de prière) des personnes.

Mais attention, si on reste sur une Cheminée Cosmo Tellurique avec une fréquence de vibration élevée; être attentif à ne pas dépasser la dose que l'on peut supporter; qui est fonction de notre niveau de «conscience», d'où on en est dans le nettoyage de nos attachements et de nos blocages énergétiques.

Car si notre mental veut aller trop vite; et que nous restons trop longtemps sur une Cheminée Cosmo Tellurique avec une fréquence de vibration élevée, nous risquons de faire péter les plombs à notre système énergétique.

Pour savoir ce qui est cohérent pour nous; être en «pleine conscience» et observer: A un moment donné notre «conscience» va nous faire percevoir que c'est le moment d’arrêter.

 

Cas 25- Explication par la «conscience» des baguette de sourciers.

Prenons l'exemple de la recherche d'eau dans la terre par un sourcier.

La «conscience» du sourcier a la capacité de mettre les fréquences de sa «conscience» sur les même fréquences que celles des «consciences» d'eau.

Le sourcier interroge donc les «consciences» de l'eau (cela se fait bien sûr de manière «intuitive», sans réflexion du mental);

et le sourcier perçoit les informations émises par les «consciences» des molécules d'eau.

En général un sourcier utilise un élément de transition entre la réponse que perçoit sa «conscience» et la manifestation physique de cette réponse: une baguette en général (mais ce peut être aussi un pendule, ou autre...).

Le sourcier perçoit les réponses «subtiles», en lien avec la «conscience» de la baguette; et un déplacement physique de la baguette se produit suite à ces communications «subtiles» avec les «consciences» de l'eau, du sourcier et de la baguette.

La sensibilité de la baguette est renforcée si des éléments «subtils» sur la recherche d'eau sont transférés dans la «conscience» de la baguette. Par exemple si un sourcier expérimenté rentre en communication «subtile» avec la baguette.

Les deux «consciences» du sourcier et de la baguette sont en lien, en harmonie, elles forment un tout qui contribue au mouvement de la baguette.

Mais rien n'interdit à un sourcier d'avoir une perception directe des réponses des «consciences» des molécules d'eau; même si le captage des informations «subtiles» en provenance des «consciences» d'eau est souvent plus aisé avec l'union de la «conscience» du sourcier et de la «conscience»de la baguette.

 

Cas 26- Explication par la «conscience» des pendules des radiesthésistes.

Dans ces cas, les «consciences» des radiesthésistes sont capables d'être en liens «subtils» avec d'autres «consciences»,

et peuvent donc capter des informations «subtiles» émises.

Le radiesthésiste pose une question en «pleine conscience» (état de méditation, canal, appelé aussi parfois «vide» de toutes pensées...), et envoie les éléments «subtils» de cette question dans l'espace «subtil» (cela se fait de manière «intuitive»).

Ces éléments «subtils» sont captés par les «consciences» qui sont concernées.

Les «consciences» concernées répondent de manière «subtile».

La «conscience» du radiesthésiste perçoit ces réponses «subtiles»; et la synthèse «subtile» se fait instantanément, et une réponses «subtile» émerge à la «conscience» du radiesthésiste, qui se manifeste par un mouvement du pendule.

Comme dans le cas de la baguette de sourcier, le pendule est un élément de transition entre les réponses «subtiles» captées par la «conscience» du radiesthésiste (en lien avec la «conscience» du pendule) et la manifestation de ces réponses dans le monde matériel.

L'utilisation du pendule par un radiesthésiste (comme l'utilisation de la baguette par un sourcier) facilite la non perturbation par le mental; car si on n'utilise pas le pendule (ou la baguette), mais ses perceptions directes, le mental peut parfois envoyer des pensées, et perturber les réponses.

Le mental peut bien sûr aussi perturber le mouvement du pendule, en créant des mouvements de la main qui vont dans le sens qu'il souhaite; c'est pour cela que le radiesthésiste (ou le sourcier, ou le voyant...) est dans un état de non pensée, de méditation, canal.

Les «consciences» du pendule et du radiesthésiste sont accordées pour une synergie «subtile» entre les deux «consciences».

Avant de procéder à un travail avec un pendule; en général le radiesthésiste évoque l'intention oui (ou place le pendule au dessus d'un papier où est écrit oui), et le radiesthésiste voit comment le pendue se déplace (par exemple tourne dans le sens des aiguilles d'une montre, mais cela peut aussi être des oscillations, ou tout autre mouvement...).

Puis le radiesthésiste évoque l'intention non (ou place le pendule au dessus d'un papier où est écrit non), et voit comment le pendue se déplace (par exemple tourne dans le sens contraire des aiguilles d'une montre, mais cela peut être un autre type d'oscillations...).

Il n'y a pas de mouvement standard. Les mouvements du pendule en réponse à une question sont spécifiques au radiesthésiste, au pendule et au moment considéré.

Comme les conventions de mouvement pour un oui ou pour un non peuvent changer d'un pendule à l'autre et d'un jour à l'autre;

il est utile de s'assurer de la convention des mouvements avant chaque travail.

D'autre part, avant d'effectuer un travail au pendule, on pose la question de savoir si le travail sur le sujet ou la question, peut se faire. Parfois la réponse est non (par exemple si c'est une demande de l'ego, ou si la demande n'est pas en harmonie avec d'autres êtres, ou autre...).

Dans ce cas ne pas effectuer de travail au pendule.

De même, si la réponse ne nous convient pas, on ne pose pas deux fois la même question: C'est peut être un signe que l'ego veut que les choses soient comme il le veut (ou une autre cause).

 

Cas 27- Explication par la «conscience» des soins effectuées par les magnétiseurs.

Deux aspects dans ce cas: La localisation de la difficulté, et le soin.

Localisation de la difficulté:

Lorsqu'une personne (par exemple) a une dysharmonie quelque part (par exemple un blocage dans sa «conscience» qui se traduit dans le monde matériel par le blocage du fonctionnement d'un de ses organes); le magnétiseur interroge la «conscience» du patient et les «consciences» environnantes concernées, à propos de la difficulté.

La «conscience» du patient et les «consciences» concernées répondent en envoyant des informations «subtiles».

Ces informations «subtiles» sont captées par le magnétiseur qui peut ressentir une différence dans ses mains, une perception directe ou autre...pour localiser la cause de la perturbation.

Ensuite, pour le soin, le magnétiseur peut envoyer de l'énergie «subtile» avec ses mains, ou envoyer des informations/énergies thérapeutiques «subtiles» à distance (qu'elles viennent de la «conscience» du magnétiseur, ou de «consciences» environnantes) à la «consciences» de la personne et aux «consciences» concernées, pour une (des) action dans le domaine «subtil», qui aura une (des) incidence dans le domaine matériel.

 

Cas 28- Explication par la «conscience» des capacités artistiques: Peintres, écrivains, chanteurs, musiciens, photographes etc...

Un artiste est parfois relié, dans ses moments de création, à sa «conscience»; et ses «intuitions» sont imprévisibles, originales...

L'artiste peut aussi, dans ses moments de création, être relié à d'autres «consciences»; et il perçoit alors des informations «subtiles» émises par d'autres «consciences».

Si dans certaines périodes un artiste crée en étant relié à sa «conscience»; l'artiste peut aussi, dans d'autres périodes de création, être relié à son ego;

et son comportement est alors égotique: centré sur lui/elle, sur son mental, sur ses comportements automatique qui peuvent être névrotiques (dans ce cas il en a conscience), ou psychotique (dans ce cas il n'en n'a pas conscience ), ou autre.

Et une œuvre d'art peut aussi être un mélange d'«intuitions» en provenance de la «conscience» de l'artiste, et d'expressions d'attachements égotiques.

Si un artiste réalise une œuvre (une peinture, une musique, un texte etc...) en état de «pleine conscience»; des informations «subtiles» s'inscrivent dans les «consciences» des composants de son œuvre (similaire à ce qui se passe pour la mémoire des lieux).

Et lorsqu'un spectateur est en contact avec l’œuvre, s'il est capable de percevoir les informations «subtiles»; le spectateur va ressentir ces informations «subtiles» associées à l’œuvre, et cela va le toucher, au delà de la beauté matérielle de l’œuvre.

Dans certains cas l'artiste est en lien «subtil» avec la «conscience» d'un autre artiste (vivant ou décédé); et certaines de ses actions lui sont transmises de manière «subtile» par la «conscience» de l'autre artiste.

Ce qui explique, par exemple, si la «conscience» d'un peintre renommé décédé rentre en contact avec la «conscience» d'un peintre vivant, que ce peintre vivant puisse peindre comme le peintre renommé décédé.

 

Cas 29- Explication par la «conscience» des médecins qui ont de bonnes «intuitions» dans leurs diagnostiques.

Un médecin qui est en «pleine conscience» (de manière «intuitive», avec bon sens et grande simplicité...) peut percevoir des informations «subtiles» que lui envoie la «conscience» de son patient (ou des «consciences» associées aux constituants de son corps physique, ou de son environnement...).

Avec ces éléments «subtils» et le traitement «subtil» de toutes ces informations; le médecin va donc pouvoir développer ses capacités «subtiles» à faire un diagnostique plus précis, en laissant émerger ses «intuitions».

 

Cas 30- Explication par la «conscience» de «l'intuition» de certains Détectives.

Les grands détectives comme Jules Maigret, Hercule Poirot, Sherlock Holmes, ou plus réels; sont des personnes qui sont naturellement en «pleine conscience» (ou qui ont développé ces capacités). Et leurs «consciences» perçoivent beaucoup plus d'informations que la moyenne des détectives.

Parce que leurs «consciences» perçoivent naturellement les informations «subtiles» émises par d'autres «consciences» (des personnes, des objets, des lieux etc...).

Leurs «consciences» peuvent traiter instantanément un très grand nombre d'informations; et faire ressortir l'essentiel pour résoudre une énigme.

 

Cas 31- Explication par la «conscience» de l'amélioration «subtile» du fonctionnement d'une équipe sportive (ou de toute équipe qu'elle qu'en soit la nature) .

Si les membres d'un groupe travaillent:

- Sur ce qu'est l'état de «pleine conscience», et l'observation en «pleine conscience» de leurs sensations, de leurs sentiments...

- Sur l'approfondissement de leurs niveaux de «conscience» (par exemple par la méditation de «pleine conscience»).

- Sur l'émission et la réception des informations «subtiles».

Ils peuvent développer et renforcer leurs «intuitions» et leurs connexions «subtiles» entre coéquipiers.

Bien sûr il est aussi nécessaire de travailler (suivant la nature de l'équipe) sur les schémas tactiques, les techniques, la condition physique... mais en développant aussi leurs «intuitions» et leurs connexions «subtiles» entre coéquipiers.

S'il a été décidé de développer «l'intuition», les échanges «subtils», la cohésion, et la cohérence d'action de l'équipe;

exemple d'une séance, pour développer ces points:

Pour cela, l'accompagnant commence par expliquer (à l'ensemble de l'équipe, en incluant les joueurs, les entraîneurs, les soignants, les assistants, les accompagnants, les managers etc… toute l'équipe);

ce qu'est le fonctionnement automatique, le fonctionnement mental, le fonctionnement en «plein conscience», et les communications «subtiles».

L'accompagnant informe qu'une séance commence par une pratique collective de méditation de «pleine conscience»;

puis par une pratique de communication «subtile» en «plein conscience» entre deux personnes.

Pour la pratique de la communication «subtile» entre deux personnes (certes il existe une communication «subtile» entre la totalité des « consciences » d'un équipe; mais on commence par une communication «subtile» entre deux «consciences»; car si on sait communiquer de manière «subtile» avec une «conscience»;

on sait communiquer avec plusieurs «consciences» en même temps).

L'accompagnant explique que chacune des personne du binôme (du groupe de deux), commencera par être en «pleine conscience» de sa respiration, de ses points de contact, de ses sensations, de ses sentiments, de ses pensées; puis à un moment donné, lorsque que la personne le ressentira (le temps peut être différent pour l'une ou l'autre personne du binôme), elle portera son attention sur ce qu’émet (de manière «subtile») l'autre; et toujours en «pleine conscience», elle notera instantanément tout ce qui émergera à sa «conscience».

L'accompagnant précise qu'il ne s'agit pas d'aller chercher des informations «subtiles» dans la «conscience» ou le cerveau de l'autre: On ne fait que capter ce que la «conscience» de l'autre émet. L’émetteur des informations «subtiles» garde donc pour lui tout ce qu'il a de personnel ou ne souhaite pas émettre.

Dans la phase d'écoute «subtile», on ne pensera pas; on sera simplement attentif en «pleine conscience» à l'autre, et on observera en «pleine conscience» ce qui émergera spontanément de notre «conscience»: les perceptions, les images, les sensations, les sentiments, les pensées etc...

Et s'il y a des silences, on observera le silence; on ne se forcera pas à penser en se disant qu'il faut que je sente quelque chose;

on laissera aller; et si rien n’émerge c'est ok; car parfois c'est après un silence, en laissant aller, que les choses émergent.

Et lorsque quelque chose émergera de notre «conscience», on l'observera, et on le notera.

Si une pensée apparaît, on ne se mettra pas à penser ou à répondre à une pensée par une autre pensée, on ne fera qu'observer la pensées et on la notera, c'est tout.

Dans cette phase d'écoute «subtile», on ne parlera pas;

on écoutera de manière «subtile» et on notera tout ce qui vient, instantanément, sans réfléchir, que cela soit compréhensible, incompréhensible ou surprenant; sans penser, sans interprétation, sans jugement de valeur.

Dès que tout le monde aura fini d'écrire; on comparera deux à deux (en binôme) les réponses de l'autre, pour constater les informations qui ont été notées, par rapport aux informations émises par l'autre personne.

Après l'expression et les échanges en binôme sur ce qui s'est passé et sur ce que l'on a écrit; il y aura un échange avec la totalité du groupe; et l'accompagnant donnera la parole aux participants qui le souhaitent.

Chaque membre du groupe sera libre d'exprimer ce qu'il souhaite, tout ou partie de ce qu'il souhaite, ou de ne pas s'exprimer.

Si des points qui remontent ne sont pas des ressentis de ce que l'on a perçu de l'autre, mais des améliorations ou des problèmes liés au fonctionnement au groupe, on les notera par écrit;

mais ils seront traités en dehors de la séance.

Après ces informations sur le déroulement de la séance, l'accompagnant précise que chacun est libre de faire cette expérience ou pas. Il demande simplement de respecter les choix de chacun, et le calme de la séance.

L’accompagnant demande s'il y a des questions ou des remarques.

Si tout est OK on peut commencer la partie pratique.

Les participants commencent par se regrouper en binômes (groupe de deux personnes). Chacun se munit d'un papier et d'un crayon.

Les personnes en binôme se mettent à côté, pour qu'entre la méditation collective de «pleine conscience», et l'échange «subtil» entre participants, cela se fasse plus facilement dans le silence, le calme avec le minimum de déplacement.

On peut ensuite commencer une méditation collective de «pleine conscience»:

Observation de sa respiration, de ses points de contacts, de ses sensations, de ses sentiments, de ses pensées…

L'accompagnant et les participants seront dans cet état de «pleine conscience» durant toute la séance (collective et par binômes).

Puis les participants portent en «pleine conscience» leur attention sur l'autre personne de leur binôme (s'il y a un nombre impair de participants, on peut éventuellement faire un groupe de trois; chaque personne notant ce qu'il perçoit de la deuxième, puis de la troisième personne).

Les participants restent dans le calme, attentif à ce qu'ils perçoivent de l'autre; et notent tout ce qui leur vient spontanément, sans réfléchir.

Une fois que tous le monde à fini d'écrire (pour ne pas perturber le calme des autre), chaque binôme compare ce que l'autre a écrit.

Ensuite c'est l'expression des personnes qui le souhaitent.

Si l'accompagnant a envie de donner la parole à quelqu’un qui ne s'est pas signalé; il peut lui demander s'il souhaite s'exprimer.

On peut aussi faire un tour de table, mais en respectant ceux/celles qui ne souhaitent pas s'exprimer.

S'il y a des questions, l'accompagnant répond.

Puis synthèse par l'accompagnant. Cela peut monter;

qu'il y a déjà des communications «subtiles» entre des personnes;

que l'on a encore du travail à faire en communication «subtile», 

ou autre.

Et que plus on pratique, plus on s'améliore.

En travaillant sur les connexions «subtiles»; on améliore les fonctionnements entre les membres du groupe qui forment un ensemble relié. La performance optimale d'une équipe n'étant pas uniquement d'avoir des joueurs brillants, mais d'avoir des joueurs brillants qui fonctionnent ensemble, en formant une unité, au mieux de ce qu'ils peuvent être ensemble.

 

Cas 32- Explication par la «conscience» de l'intrication quantique.

Ce qui est intéressant avec la physique quantique c'est qu'elle montre de manière scientifique, avec des expériences concrètes et vérifiées, des lois concernant le comportement de la matière que l'on n'avait pas découvertes jusqu'alors.

Je vous ai déjà présenté une loi de la physique quantique qui dit qu'une particule (comme par exemple un électron) est dans une superposition de différents états potentiels, et que c'est l'observation (donc la «conscience») qui définit un état parmi les différents états potentiels .

L'intrication quantique quand à elle montre; et cela a aussi été vérifié par des expériences scientifiques; qu'une action sur une particule intriquée a un effet instantané sur une autre particule intriquée; et cela quelque soit la distance qui sépare les particules intriquées; même si cette distance est de plusieurs milliards de kilomètres (ou plus...).

Cela montre de manière scientifique et incontestable, même si cela parait incroyable, qu'une information peut se déplacer instantanément d'un point à un autre de l'espace.

Mais qu'est ce que c'est que l'intrication quantique ?

Lorsque deux particules sont intriquées, cela veut dire qu'elles ont formé, à un moment donné, un seul système; qu'elles ont donc été à un moment donné en «complémentarité/synergie»;

et qu'ensuite, lorsqu'elles sont séparées, elles gardent cette «complémentarité/synergie».

Au début de l'énoncé de cette loi quantique sur l'intrication:

qu'une action sur une particule intriquée a un effet instantané sur l'autre particule intriquées (quel que soit la distance qui les sépare);

même à Albert Einstein a évoqué que cela ne lui paraissait pas possible, argumentant qu'aucune particule physique ne peut dépasser la vitesse de la lumière (300 000 km/seconde), et donc qu'il n'est pas possible qu'une information puisse se transférer instantanément entre deux particules séparées par une grande distance.

Mais depuis l'énoncé de cette loi quantique, elle a été vérifiée expérimentalement plusieurs fois (mais malheureusement pour Albert Einstein après la mort de celui ci); sans que les scientifiques ne comprennent comment cela fonctionne.

Ils constatent simplement que cela fonctionne comme cela.

Mais on a le droit de faire des hypothèses:

- Premièrement nos «consciences» ne sont pas de nature matérielle.

- Deuxièmement chaque particule est associée à une «conscience» (mais bien sûr la «conscience» associée à une particule n'a pas les même niveaux de «conscience» qu'un être humain, ni toutes les informations contenues dans la «conscience» d'un être humain).

- Troisièmement, les «consciences» sont partout dans l'espace;

donc la «conscience»1 d'une particule intriquée1 peut communiquer instantanément avec la «conscience»2 de l'autre particule intriquée 2 (point évoqué au chapitre 2).

Dit autrement, dans le domaine de la «conscience», les transferts d'informations «subtiles» sont instantanés, parce que les «consciences» sont partout.

Je crois donc qu'il n'y a pas de déplacement de particules matérielles messagères; mais un transfert d'information «subtile» entre les «consciences» des particules; et ensuite la «conscience» réceptrice de l'information «subtile», projette instantanément l'information «subtile» reçue dans la matière.

 

Cas 33- Explication par la «conscience» de la capacité d'être à deux endroits en même temps.

Comme nous venons de le voir dans le cas précédent; dans le domaine «subtil», les transferts d'informations «subtiles» sont instantanés.

C'est parce que les «consciences» occupent tout l'espace, parce qu'elles sont partout.

Aussi, elles n'ont pas besoin de se déplacer d'un point à un autre; puisqu'elles sont déjà partout.

Elles sont donc non seulement à deux endroits en même temps, mais à tous les endroits en même temps.

 

Cas 34- Explication par la «conscience» des liens entre les traditions spirituelles et la «conscience».

Dans le mot religieux, il y a la notion de relié.

Mais relié à quoi:

- Relié à sa «conscience» ?

- Reliée au «bain de conscience» ?

- Relié a «Dieu» ?

Chacun peut l'appeler comme il le souhaite.

Car l'état de prière profond est similaire à un état de «conscience» profond.

 

Cas 35- Explication par la «conscience» de l’influence des livres sacrés, des reliques.

Comme nous l'avons vu précédemment, un lieu, un objet, un livre, une œuvre d'art, une partie d'un végétal ou d'un humain etc ...

peut être chargée d'informations «subtiles».

Et les «consciences» des livres sacrées et les reliques sont chargées d'informations «subtiles» spirituelles, favorisant l'élévation de l’âme, l'amour.

Et lorsque nous sommes dans un état profond de «conscience» ou en «prière»; notre «conscience» capte les informations «subtiles», les réponses «subtiles», des reliques et des textes sacrés.

 

Cas 36- Explication par la «conscience» de l’influence des chants sacrés, des mantras.

C'est la même chose que précédemment; car un chant sacré ou un mantra, sont associées des informations «subtiles» spirituelles, que nous percevons lorsque notre «conscience» est dans un état de «pleine conscience» profond, de prière.

 

Cas 37- Explication par la «conscience» de la croissance du corps humain.

Comment expliquer qu'une cellule formée suite à la rencontre d'un ovule et d'un spermatozoïde commence par se multiplier;

puis a un moment donné, des cellules se différencient en un cerveau, d'autres en foie, d'autres en os...

Certes on peut dire, par exemple, que ces informations sont dans notre patrimoine génétique (mais comment s'est formé l'ADN et son fonctionnement: Par hasard?)

Je crois qu'au moment de l'incarnation d'un être humain (ou un animal, un végétal...), toutes les informations sur sa croissance sont dans sa «conscience». Et que c'est la «conscience» de l'être humain (ou de l'animal, ou du végétal...) qui pilote les divisions et les spécialisations des organes, des cellules... en lien avec les «consciences» des cellules...

 

Cas 38- Explication par la «conscience» de l'évolution des espèces.

On constate dans l'évolution des espèces, des évolutions de capacités spectaculaires: La chauve souris envoie des ultra sons pour se repérer, des grenouilles sécrètes des toxines qui dissuadent d'autre êtres de la manger etc...

Expliquer cela par le hasard des mutations et une sélection naturelle, peut apparaître surprenant quand on voit la sophistication des nouvelles capacités qui sont apparues.

Mais pourquoi pas?

Mais on peut aussi proposer d'autres possibilités.

Par exemple que se soit la créativité de la «conscience» qui génère ces nouvelles caractéristiques; et les projettent au moment de l'incarnation dans le corps physique, lors de la croissance de l'être.

 

Cas 39- Explication par la «conscience» de l'évolution du cosmos, de la terre.

Comment, d'une explosion primordiale (le big bang), on en est arrivé à un ensemble organisé d'étoiles, de galaxies, de planètes, d'êtres vivants...

Une proposition, est que le «bain de conscience», en lien avec les les «consciences» des particules, les «consciences» des minéraux, les «consciences» des étoiles, les «consciences» des planètes, les «consciences» des êtres vivants...) organisent et gèrent cet ensemble matériel de particules, de matières, d'étoiles, de planètes; et favorise les éléments favorables à l'apparition de la vie.

 

Cas 40- Explication par la «conscience» de la loi d'attraction.

Nous avons vu que si on veut quelque chose de manière mentale avec exigence et pouvoir; centré sur soi, pour son seul plaisir, sans tenir compte des autres (une demande égoïste de l'ego); notre «conscience» (et les autres «consciences») va tout faire pour faire échouer cette demande; pour nous alerter et nous faire prendre «conscience» que cette demande n'est pas en harmonie avec le bonheur de tous les êtres.

Au contraire, si une demande de notre «conscience» est exprimée dans l'amour, dans le respect du libre arbitre arbitre et du bonheur de tous les êtres; comme toutes les «consciences» sont reliées et partout; elles vont capter notre demande.

Et en faisant notre demande dans l'amour, dans le respect du libre arbitre arbitre et du bonheur de tous les êtres; les «consciences» vont se mettre sur les même fréquences que les nôtres.

Les «consciences» concernées vont percevoir notre demande, et vont alors favoriser des éléments, faire arriver des situations etc... qui vont concourir à la satisfaction de notre demande;

comme si on attirait des éléments facilitateurs:

C'est la loi d'attraction.

 

Conclusion.

Le point fondamental que je vois pour son évolution et son bonheur, en lien avec les autres; c'est de ne pas fonctionner uniquement avec son ego (uniquement avec son mental et ses comportements automatiques); mais de fonctionner avec ce que l'on est profondément, réellement, durablement, sa «conscience»:

Cette partie immatérielle qui continue après la mort matérielle de notre corps physique.

Aussi me paraît il nécessaire d'enlever les voiles d'ignorance que notre ego a tissé autour de notre «conscience»;

et pour cela, la méditation de «pleine conscience», l'amour que l'on a pour les autres, la déconnexion de nos attachements, sont les moyens les plus efficaces que je connaisse.

Car la «pleine conscience»:

- Développe l'amour altruiste et le respect du libre arbitre des autres.

- Permet de disposer de beaucoup plus d'informations.

- Est plus global, avec plus d'ouverture et d'objectivité.

- Est adapté à chaque cas, à chaque situation.

- Est plus créatif.

- Permet de trouver des solutions à nos préoccupations, là ou notre mental et nos comportements automatiques nous font tourner en rond, ou nous conduisent parfois sur de fausses pistes.

- Permet de nous libérer de nos programmes automatiques (en les déconnectant), de nos pensées répétitives, de nos souffrances.

- Apaise, rend plus calme, plus joyeux, plus zen.

- Rend plus confiant, plus persévérant, on assume.

- Évite de nous focaliser sur ce qui ne va pas et de rajouter de la souffrance, et nous fait prendre «conscience» des moments de bonheur de notre quotidien qui sont là, maintenant.

- Fait émerger des «intuitions», qui nous font agir au mieux que l'on puisse être, pour développer ensemble notre bonheur et celui des autres, on a donc rien à regretter.

Aussi, dans ma vie de tous les jours je peux décider:

- De développer mon amour pour les autres, pour ce qui est,

quel que soit leurs niveaux de «conscience» (du plus superficiel au plus profond) ; mais sans attachement, de manière ouverte, sans rien attendre en retour, pour le bonheur de tous ?

- De respecter le libre arbitre des autres êtres, de ce qui est, quel que soit leurs niveaux de «conscience», du plus superficiel au plus profond.

- De faire face maintenant, quel que soit les difficultés des situations, ma manière d'être en «pleine conscience» aux niveaux de «conscience» les plus unifiés.

- De laisser émerger maintenant mes «intuitions» parmi les autres.

- D'agir maintenant en «pleine conscience».

De déconnecter mes attachements, quel que soit le niveau de «conscience» auxquels ils ont été inscrits,.

Et même si les libres arbitres des autres ont une incidence sur mon bonheur et mes souffrances, comme mes comportements ont aussi une incidence sur le bonheur et les souffrances des autres;

en activant en «pleine conscience», dans l'amour, les leviers sur lesquels je peux agir pour l'évolution et le bonheur de tous; je sais que c'est le mieux que je puisse être, faire; alors, j'assume, j'ai confiance, je ne regrette rien.

Sur smart phone Pour faire apparaître la liste des thèmes: Le journal, Courts Textes, Vidéos, livres...(ou les faire disparaître);

Revenez au début des pages, et appuyez sur le petit carré en haut à gauche à côté de Vivre en pleine conscience.

Sur ordinateur Cliquer sur le thème souhaité: Accueil, Texte, Vidéos, Livres... situé en haut de cette page pour le faire apparaître.